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Je découvre que ma collègue PEGGY est une salope

Chapitre 1

Avec plusieurs hommes
Je travaille dans une boite en banlieue, et on va ouvrir une agence au centre ville. On est trois à être sollicités pour y partir, et à accepter la proposition: il y a moi (même si ce n’est pas poli de commencer par soi, Eric, soixante ans), il y a Myriam (la quarantaine, mariée, maman, et que je ne connais pas trop), et puis il y a Peggy (32 ans, célibataire mais avec un copain, qui travaille avec moi depuis dix ans et avec laquelle je m’entends très bien, avec qui j’aime plaisanter y compris sur des sujets coquins).
On discute inévitablement de notre nouvelle affectation: elle est ravie, c’est une promotion pour elle, mais il y a quelque chose qui la tracasse un peu. Il est impossible de se garer au centre, et elle va devoir prendre le métro, avec le risque de mains baladeuses. Je vois là un excellent sujet de conversation, et j’embraye aussitôt:— Ce n’est pas bien méchant. Ca te fait fantasmer?— N’importe quoi! Mais tu sais que ça arrive, des vicieux qui te mettent la main aux fesses.— Pas à moi, mais c’est vrai que quand on est belle comme toi, avec un joli petit cul, c’est le risque; on peut les comprendre.— Attends, je rêve, tu serais prêt à me tripoter?— Pas toi ma chérie, mais si je ne te connaissais pas! Quoique en pantalons comme tu l’es toujours tu ne risquerais pas grand chose. Il faudrait que tu sois en mini jupe.— C’est ça, et sans rien dessous tant que tu y es. Là, c’est toi qui fantasmes.— Non, mais comme il existe des vicieux, il existe des femmes adeptes du groping, et qui font ce qu’il faut pour arriver à leur fin. — Adepte du quoi?— Du groping, tu ne connais pas?— Non, c’est quoi?— Tu chercheras sur internet, quand ton mec n’est pas là. Tu verras, c’est instructif pour ton fantasme.— Mais je ne fantasme pas je te dis, j’y pense, c’est tout.
On passe à autre chose, et on n’en parle plus. Cela fait maintenant plus de huit jours que l’on est en ville, et l’occasion se présente de ré aborder le sujet:— Et au fait, ça se passe bien le métro?— Oui, je gagne du temps par rapport à avant.— Tant mieux pour toi, mais ce n’est pas de ça que je voulais parler. Le groping, ça marche?— Tu es bête, mais tu sais qu’avec tes conneries d’internet et de fantasme tu m’en fais rêver.— Ce sont de beaux rêves j’espère, pas des cauchemars.— C’est pas mal!— Humm, j’ai dans l’idée que ça ne te déplairait pas. Mets une petite jupe, et tu pourras concrétiser.— J’y pense, j’ai vu ça sur le net, mais j’ai peur de faire de mauvaises rencontres. Il faudrait que je tombe sur des vieux, sympa, comme toi.
— Des vieux! Parce qu’il t’en faut plusieurs!— Deux ce serait bien, alors si tu as un copain!— Je me trompe, ou c’est une proposition?— Non, tu ne te trompes pas, mais décide toi vite avant que je ne change d’avis.
J’accepte sans hésiter son offre, et on imagine un plan.Son copain est un sportif de haut niveau, souvent en déplacement pour des compétitions, et on va profiter d’une de ses absences. On a repéré une ligne peu fréquentée, et qui doit l’être encore moins le soir venu. On se décide pour un vendredi, et on prendra le dernier trajet, tard le soir.Le jour venu je gare ma voiture prêt du terminus, puisque l’on en aura besoin pour rentrer, et je reviens jusque devant chez elle par le métro, pour ne pas la laisser sortir toute seule. Elle me rejoint, ravissante, avec une robe légère, très courte, qu’elle ne met en principe que l’été en vacances. On va jusqu’au départ de ligne, et on attend le dernier moment. On entre au milieu du dernier compartiment, il n’y a qu’une personne sur la gauche, mon copain, mais plusieurs hommes sur la droite. On s’avance du côté opposé, elle se cramponne à une barre, tournant le dos à tous ces mecs, et je me colle à elle.Je pose ma main sur sa hanche, descend sur sa cuisse, et je remonte sous sa jupe. Je caresse une fesse, l’autre, elle semble ne rien avoir dessous, ou alors un string avec la ficelle bien enfouie; je veux en avoir le cœur net. Je glisse ma main entre ses cuisses, et elle écarte les jambes pour me faciliter le passage. Elle n’a rien, c’est sûr, et mes doigts patinent sur sa vulve toute lisse et déjà mouillée. Je la masse quelques secondes, puis ramène mes doigts huilés entre ses fesses pour lui badigeonner la raie. Je repars chercher son lubrifiant dans sa fente, et reviens dans son sillon. Je titille sa rondelle, puis tente d’enfoncer mon majeur. Elle me laisse faire, je lui mets et tente un deuxième doigt. J’entends son souffle s’accélérer, ses légers soupirs:— Ca va?— Oui, c’est bon.— Il te prend par derrière ton copain?— Non pas lui, mais celui d’avant aimait ça. — Et toi?— Oui, c’était un con mais il savait me faire du bien.— Je peux t’enculer si ça te manques.— Tu es fou! pas ici.— Oui, ici et maintenant, j’en ai trop envie, et toi aussi. Ose dire le contraire.— Tu as raison, mais tous ces mecs qui vont nous voir!— Ils s’en foutent, c’est chacun pour soi.On a déjà passé une station, et je lui promets de lui mettre juste après la seconde. Personne ne monte et il n’y a pas de temps à perdre. Je me décolle, comme pour déballer mon sexe, et elle pousse un tout petit cri au moment de la pénétration, puis gémit aussitôt:— Ca va toujours?— Oui, elle est bonne ta queue. — Tu as l’air d’aimer ça, petite salope.— Oui, je ne me rappelais pas que c’était aussi bon.On échange encore quelques mots, je lui dis que j’ai une surprise pour elle et lui demande de ne pas se retourner, de ne surtout pas crier, de rester cool.Je vois alors ses yeux stupéfaits s’écarquiller, sa bouche s’ouvrir sans qu’aucun son n’en sorte: mon copain est toujours à sa place, je suis maintenant devant elle, elle a toujours une bite dans le cul, et elle réalise que ce n’est pas la mienne. Elle reste calme, et continue à s’offrir:— C’est quoi ce plan?— Tant qu’à faire du groping, autant le faire bien. Alors j’ai pensé que ce serait mieux si tu ne sais pas qui c’est. — Tu le connais?— Oui, c’est un autre pote à moi. Il t’a vu à l’agence et m’a dit que tu avais tout d’une salope, et qu’il te voulait. Elle n’a pas le temps de répondre, mon copain s’est retiré, il lui penche la tête en avant et vient dans sa bouche, au moment même où elle se prend une autre bite dans le fion. Elle veut se relever pour protester, mais il la maintient et jouit:— Avale, avale tout, salope.Elle se redresse et se laisse toujours sodomiser:— A quoi tu joues? Je suis peut-être une salope mais pas une pute pour que tu m’offres. — Mais justement, tu es une pute, ma pute, et ils m’ont tous payé pour te farcir. — Tous! C’est quoi ce délire?— N’aie pas peur, ils ne sont que six, six qui ne pensent qu’à ton petit trou, et à ta bouche si tu ne veux pas qu’ils déchargent entre tes reins. — Tu es un salaud, je n’aurais jamais cru ça de toi.— Et toi une cochonne qui cache bien son jeu.
Le deuxième s’est retiré, il se soulage les couilles dans sa bouche, et le troisième est déjà en place.Je lui fait remarquer qu’elle ne se débat pas, accepte ces pénétrations anonymes, mais que l’on peut tout stopper si elle veut, il me suffira de les rembourser et ils comprendront, ce ne sont pas des sauvages. Je lui dis aussi de bien réfléchir, que ce serait dommage de rater une telle occasion de rattraper un peu le temps perdu par son cul. Elle me redit que je suis un salaud, mais aussi qu’elle est trop chaude pour que l’on arrête, qu’elle veut continuer, les prendre tous. Je suis ravi de sa décision, et je déballe ma queue:— Regarde comme tu me fais bander, suce moi, puis je t’enculerais quand ils seront tous passés. Elle s’exécute, avec des petites pauses pour permettre à ses amants furtifs d’éjaculer en elle, de lui donner leur semence à boire. Le trajet est limité en temps, et ils défilent rapidement, il faut qu’ils aient fait leur affaire en deux ou trois minutes. Ca va être enfin mon tour, et il ne reste plus que deux stations. Les six hommes, dont elle n’a pas vu le visage, descendent rapidement. J’ai ma queue enfoncée dans son trou bien ouvert mais elle a une autre envie:— Baise moi, prend moi en levrette, j’ai le ventre en feu.— Désolé ma chérie, mais on n’a pas le temps. Mais si tu veux on peut finir chez moi, je vais bien m’occuper de ta chatte. Elle accepte et je m’empresse de terminer. Je lime son cul accueillant, lui donne une saillie hyper rapide avant de conclure par une pipe éclair. Juste le temps de ranger mon paquet, et on est arrivé.
On rejoint ma voiture à pied en discutant:— Ca va? Tu ne m’en veux pas?— Non, et puis je l’ai cherché, je n’ai eu que ce que je mérite. Mais quand même tu es un sacré salaud.— Tu n’es pas mal non plus dans ton genre, ça t’a plus toutes ces bites dans ton cul, ça t’a rappelé le bon temps?— Oui, un peu, mais c’était trop court, c’était mieux avec mon copain.— C’était superman?— Tu rigoles, mais il pouvait m’enculer deux heures à la suite, alors que vous ça a duré tout juste un quart d’heure.Je lui dis alors que si elle veut on peut jouer les prolongations avec nos six partenaires. J’ai deux bons copains parmi eux, les autres sont des potes à eux, et on avait envisagé de continuer la soirée chez moi si ça se passait bien et si elle était d’accord. Mon téléphone sonne, et c’est justement mon copain qui vient aux nouvelles. Je demande à Peggy ce qu’elle en pense, elle est hésitante, mon pote me dit qu’il vont lui payer un supplément, et elle est d’accord, pas pour le fric mais parce que son petit trou a encore faim. On rentre chez moi et ils vont nous rejoindre dans une petite heure, le temps que je m’occupe de la chatte de ma copine, comme promis.
Elle a vite fait d’enlever sa robe et elle s’allonge sur le lit, offerte mais pas très à l’aise. Je viens à poil contre elle, et caresse ses superbes petits seins:— Ca va ma puce, je te sens tendue. Si tu ne veux plus, on peut tout annuler.— Non, tu es gentil, mais c’est juste que c’est la première fois que je trompe mon ami, et ça fait bizarre.— On continue, tu veux faire l’amour?— Oui, baise moi, fais moi jouir.J’embrasse ses seins, et ma bouche descend rapidement jusque sur sa chatte. Je suis à quatre pattes entre ses jambes et je la lèche avec application; je tiens à lui faire plaisir, lui laisser un bon souvenir de notre première fois pour espérer une suite. Elle se détend, s’abandonne, et m’offre ses orgasmes sans retenue. Ma bouche remonte sur elle, et je glisse ma queue bien raide dans sa fente. Je n’ai pas de capote mais lui jure qu’elle ne risque rien, que je me retirerais à temps. Je la baise virilement, pas sauvagement, et elle se lâche tout à fait, ne retient ni son plaisir, ni ses mots coquins, ses encouragements. Je me dégage et elle vient sur moi en 69 pour me finir. Elle se démène sur ma bite et obtient vite de bonnes giclées qu’elle savoure, tandis que je déguste sa délicieuse cyprine.Mes copains ne sont pas encore là et on se fait un petit câlin en les attendant.
Ils sont arrivés et je les conduis à la chambre. Peggy est à quatre pattes sur le lit, elle nous tourne le dos, présente son cul offert. Le temps qu’ils se déshabillent et se branlent pour être en forme, j’en profite pour lécher le petit trou de ma collègue, le doigter, l’ouvrir en douceur pour éviter qu’ils ne la prennent à sec. Le premier est prêt et je m’allonge sur le lit pour me faire pomper par notre petite pute. Il l’a enfilée et il la matraque comme un bourrin, cinq minutes, sort, et la queue suivante le remplace dans la seconde qui suit. Cinq minutes lui aussi de ramonage intensif, et au suivant. Ils se succèdent tous en boucle qui n’en finit pas, recommencent, une fois, deux fois, trois et même quatre pour les plus vaillants. Elle voulait se faire casser le cul, mais là elle me demande de me dépêcher de jouir, me dit qu’elle n’en peut plus. Je décharge sans attendre, et elle demande grâce. Ils stoppent leurs pénétrations sauvages, et elle leur offre sa bouche pour les remercier. Elle n’a plus la force de sucer, et elle se contente d’ouvrir grand la gueule pour qu’ils se branlent et giclent dedans. Elle garde tout, attend que le dernier soit passé, puis elle déglutit à plusieurs reprises et exhibe sa bouche vide. Elle s’effondre sur le lit, et leur tourne le dos.Ils se rhabillent, lui donnent le fric promis, mais elle le balance disant qu’elle n’en veut pas, qu’elle n’est pas une putain. Je les raccompagne à la porte, puis la rejoins.
Elle est couchée en chien de fusil, je lui propose de la ramener, mais elle est trop crevée et souhaite que je la garde pour la nuit, me demande si je veux. Je suis trop heureux de son idée et lui dis que je peux même la garder le week-end. Elle ne répond pas.Elle est toute nue, découverte, et je remonte le drap sur elle. Je me couche contre elle en chien de fusil moi aussi, me colle à son corps, l’enveloppe de mon bras. Je lui fais un gros bisou, et lui souhaite une bonne nuit. On dort.
A suivre.....................
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