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Je découvre que ma mère est une cochonne, adepte de pratiques SM

Chapitre 3

Une croix de saint André pour ma mère

Inceste
Se faire initier à tout juste 18 ans aux pratiques SM par sa propre mère, ce n’est pas une chose banale. Lorsque toute votre enfance vous avez idéalisé celle qui vous a mis au monde, lorsque vous aviez l’image d’une maman sage et aimante, vous avez du mal à accepter l’évidence : c’est en fait une belle cochonne, bien perverse. Elle avait ainsi dépassé toutes les limites de la morale en me poussant à avoir des relations sexuelles sado maso avec elle. Je me rappelle toujours ce jour où elle s’est mise à poil devant moi, exhibant ostensiblement son intimité.
— Ça te plaît ? m’avait-elle demandé, souriante, en désignant le milieu de son corps.
Elle s’était approchée de moi, avait mis la main sur mon sexe, à travers mon pantalon de jogging... Comment voulez-vous résister à une telle provocation lorsque vous êtes un jeune adolescent en manque de sexe ? Elle en était vite venue à des jeux bien plus pervers, m’obligeant à l’attacher, refusant que je la relâche avant de s’être fait bien baiser. Et plus je la défonçais de façon violente, plus elle aimait ! Elle aimait être maltraitée, rabaissée. Habillée tout en cuir, dans des tenues d’une indécence incroyable, elle m’offrait son cul pour que je m’en serve à ma guise. Elle inventait ainsi maintes façons de pimenter sa vie sexuelle. Sa dernière trouvaille allait encore m’étonner.
Ce jour-là en rentrant à la maison j’eus la surprise de voir des curieux paquets dans le salon, des cartons de belle dimension, assez longs. Lorsque ma mère rentra de son travail, je lui demandais ce que c’était.
— Tu tombes bien mon chéri, viens m’aider. C’est une croix de Saint-André, en kit, à monter tout seul.— Une croix de Saint-André ? C’est-à-dire ?
Ma mère rigola de ma naïveté et se mit à déballer les paquets. Je craignais le pire, vu ce qui s’était passé les deux jours précédents. Elle déballa plusieurs longues pièces de bois recouvertes de cuir, un socle, des sangles diverses. Puis elle se plongea dans la notice de montage. A la façon d’un meuble Ikea quelconque, elle assembla différentes pièces entre elles et grâce à ses talents de bricoleuse l’objet prit rapidement forme. La croix ainsi montée, fut installée sur un socle de façon à pouvoir être inclinée. A chaque extrémité de la croix, quatre sangles étaient destinées à attacher mains et pieds. Je réalisais à quoi ça allait servir et je devins rouge de confusion. C’était l’objet sado maso par excellence.
— Maman, c’est quoi ce truc ?— Tu ne sais vraiment pas à quoi ça sert ? Tu vas m’attacher dessus et je serai livrée à toi.
Encore une fois j’étais stupéfait.
— Non maman, c’est pas possible. Il faut qu’on arrête tout ça, tous ces jeux stupides. Je refuse de t’attacher ou te faire quoi ce soit. Et encore plus de te...— Me quoi ? Me baiser ?— Oui...
Ma mère rigola de plus belle. Elle savait que je ne lui résisterais pas longtemps.
— Allez, ne joue pas à ça avec moi, je sais que tu aimes ça. Tu es un cochon. J’ai bien senti ta bite, l’autre jour, elle était bien dure, bien au fond.

Elle se rapprocha de la croix.
— Allez, c’est pas tout, ça, mais on va l’essayer, voir si c’est pas trop inconfortable. J’ai pris un modèle de luxe, entièrement inclinable, le cuir est souple mais le rembourrage n’a pas l’air génial. J’espère que ça va aller.
Elle enleva ses chaussures, retira tous ses vêtements, enleva son soutien-gorge, fit glisser sa culotte au sol, puis grimpa sur la croix. Entièrement nue, elle s’installa sur les traverses de bois et cuir, qui formaient un grand "X ", bras et jambes écartés sur chaque branche du X. Dans cette position, jambes écartées, elle dévoilait une vue superbe sur son sexe. On ne voyait même plus que ça. Je ne pouvais détourner le regard de cet objet magnifique de désir, offert à mon admiration. Il était épilé de près, sa vulve lisse comme celle d’une petite fille. Mais son aspect n’avait rien à voir avec celui d’une petite fille, c’était bien le sexe épanoui d’une femme mûre, élargi par des années de pratique sexuelle intense...
Les lèvres étaient grandes, massives, plutôt charnues, constituaient des plis multiples, de forme incertaine. Au milieu, dans sa fente, à l’endroit où la chaire prend une teinte un peu plus rosée, je distinguais une légère humidité, un suintement caractéristique. Était-ce déjà un signe précurseur du plaisir à venir, un début d’excitation ?
— Attache-moi avec les sangles, on va voir ce que ça donne.
Je n’osais bouger, encore hésitant quant à la conduite à tenir, impressionné par la situation. Mais comme ma mère insistait, je refermais les sangles sur chacune de ses deux chevilles et sur ses poignets. Dans cette position elle ne pouvait plus bouger, entièrement livrée à mon bon vouloir.
— Bien. Je suis à toi. Fais de moi ce que tu veux.
J’avais devant moi la vulve de ma mère, fantastique, déjà luisante d’excitation. Je décidais d’en profiter pour la regarder d’un peu plus près. J’avais toujours rêvé de faire ça, avoir le loisir d’inspecter ce sexe en prenant mon temps, en peine lumière, à la manière d’un gynécologue. Mais je n’avais jamais imaginé un jour réaliser ce fantasme. C’était d’autant plus fascinant d’écarter ces lèvres, inspecter l’intérieur de cette féminité, que c’était le sexe qui m’avait donné naissance...
J’entrepris de glisser les doigts à l’intérieur et je fouillais là-dedans avec délice, tournant mes doigts dans tous les sens. Ma mère était trempée. Je mis alors deux doigts, puis trois, puis quatre... Bientôt c’est ma main entière qui se retrouva à l’intérieur. Le sexe de ma mère était vraiment large ! Je pouvais bouger ma main à l’intérieur très facilement, la remuer dans tous les sens. Ma mère adorait, haletait de plaisir. Elle aimait ce genre de traitement, et plus j’y allais avec énergie, plus elle aimait. Moi je bandais comme un fou. Je n’avais qu’une envie : la baiser. La salope allait voir de quel bois je me chauffais ! Je baissais alors mon jean et mon caleçon, laissant s’échapper ma queue qui jaillit comme un diable hors de sa boîte, toute droite et dure.
Je me positionnais entre ses jambes. La croix était fixée à une hauteur de 80 centimètres du sol, pile à hauteur de ma queue. La position idéale pour baiser ma mère. J’approchais ma bite de sa vulve déjà ouverte et je poussais un peu. Elle glissa à l’intérieur avec une facilité désarmante. Je poussais encore... Quel bonheur !
J’entamais alors des va-et-vient réguliers, avec un plaisir qui augmentait à chaque mouvement. La sensation de mon gland qui glissait dans cet environnement chaud et humide était succulente. Je variais les rythmes, rapide ou plus lent, m’appliquais, ressortais ma queue pour l’admirer, si droite, si dure, dégoulinante de la cyprine maternelle. Puis je la rentrais à nouveau avec délice. Si ça n’avait dépendu que de moi, je me serais allé à jouir, là, directement. Mais je savais que ma mère avait des exigences assez importantes en matière de sexe. Il fallait assurer avec elle ! Elle voulait en profiter. Et si elle acceptait de faire ça avec moi, elle exigeait en retour que je m’applique. Le plaisir était cependant trop important. Je sentais que je n’allais pas tenir longtemps. Peut-être ma mère a-t-elle alors senti que je ralentissais.
— Léo, va attraper le gode qui est dans le carton. Ton sexe est gros, mais j’ai envie d’un truc encore plus gros. J’ai envie que tu me défonces vraiment avec ce gode.
J’allais alors dans le carton où ma mère rangeait ses objets SM. Je sortais un gros gode en plastique noir, énorme, tout nervuré, à l’image d’un vrai sexe d’homme, en beaucoup plus gros.
— Maman, je vais pas te mettre ça, c’est trop gros !— Si, vas-y ! Prends ce tube, là, c’est une sorte de vaseline, ça va aider. Et même si j’ai mal, n’arrête pas !
J’étais vraiment impressionné. Le machin était gros comme mon bras. J’étalais la vaseline sur le gode, le rendant tout glissant, et je le positionnais à l’entrée de la vulve ouverte de me mère. Je poussais. Au début le gode restait bloqué à l’entrée, mais petit à petit il écarta les lèvres. Je poussais un peu plus, et il pénétra doucement.
— Aïe !— Ça fait mal, maman ?— Ne t’occupe pas de ça, j’ai dit. Pousse !
Visiblement la douleur était conséquente. Ma mère grimaçait, et j’avais mal pour elle. Sa vulve était complètement distendue, déformée. L’objet rentrait petit à petit mais j’avais peur d’un déchirement.
— Pousse, Léo ! Plus fort !
Le truc était énorme. Mais je le rentrais d’un coup. Il pénétra entièrement dans l’orifice distendu. Quel miracle de voir cet engin énorme entrer en totalité à l’intérieur de ma mère ! Je le bougeais dans tous les sens, arrachant de nouveaux gémissements à ma mère. Elle frémissait, entre plaisir et douleur. Lentement le gros engin noir commençait à se recouvrir d’une cyprine blanche. C’était stupéfiant, je n’en avais jamais vu autant...
— Dis-le-moi, Léo !— Que je dise quoi, maman ?— Que je suis une salope. Dis-le !—...?... Heu... Oui tu es une salope !— Plus fort !— Salope ! SALOPE ! Maman, tu es une salope !— Ho oui ! Et quoi d’autre ?— Pute ! Tu es une vraie pute qui aime se prendre des bites ! Une connasse de pute !— Tu le penses vraiment Leo ?— Bien sûr que je le pense ! Tu es une connasse de salope ! Saleté ! Ordure !— Aïe, tu me fais mal avec le gode !— Ha bon ? Hé bien tant mieux ! Tiens prends toi ça !
Rendu complètement fou par ma mère je me mis à la défoncer violemment avec l’énorme gode, que j’enfonçais à fond dans sa chatte éclatée, au risque de lui perforer l’intérieur. Mais ma mère s’en foutait, c’était exactement ce qu’elle voulait.
— Ha oui, continue, c’est trop bon ! Continue !
Excité comme un fou, je remuais l’engin de plus en plus vite. Maintenant le vagin de ma mère était assez distendu pour que le gode entre presque sans forcer, jusqu’au fond. Je me disais que c’était dingue à quel point un vagin de femme pouvait se distendre. Ma mère gémissait de plaisir comme jamais. Je continuais de l’insulter, ce qui l’excitait encore plus.
— Espèce de salope, chienne, t’aimes ça te faire défoncer, hein ?— Ho oui j’aime ça !— Putain, si j’avais su ça je t’aurais défoncé bien avant. C’était stupide de me branler dans tes culottes, quand j’étais plus jeune. J’aurais dû te baiser directement !— Oui... Tu aurais dû ! Pourquoi tu as tellement attendu ? J’aurais tellement aimé que tu le fasses avant !
Je me rappelais qu’à l’époque j’étais loin d’être majeur et qu’elle aurait été dans l’illégalité si elle s’était fait baiser par son fils mineur... Mais ça elle s’en foutait. J’enfonçais alors le gode encore plus fort.
— Aïe.— Salope ! Cochonne ! Prends ça !— Ouiiii, ha... Je vais jouir ! Haaa !
Elle criait, gigotant dans tous les sens, folle de jouissance. Je n’avais jamais vu ma mère jouir autant. Moi-même j’en pouvais plus, dramatiquement excité. Je lâchais le gode et introduisais mon sexe dans son vagin, jusqu’au fond. Je ne sentais quasiment plus rien tellement il était distendu. Ça me faisait assez bizarre de pénétrer ce sexe si large. Mais qu’importe. Trop excité il ne me fallut pas plus de quelques mouvements pour sentir la jouissance monter. J’explosais à mon tour dans une tornade de plaisir. Que j’aimais lâcher mon sperme en elle ! C’était à chaque fois un moment incroyable. Et ce coup-là encore plus que d’habitude. Mon sperme coulait en elle, coulait encore, sans s’arrêter...Je donnais alors encore quelques coups de reins énergiques pour finir de jouir, puis je m’écroulais au sol, groggy par tant de plaisir. Je reprenais mes esprits quelques minutes après pour voir le sexe de ma mère ouvert, dégoulinant de sperme.
— Détache-moi Léo. C’était très bon mais j’ai mal aux bras. Je vais me détendre un peu. Et puis il faut que je prépare à manger. Papi et Mamie ne vont pas tarder.
Stupéfait je me rappelais que c’était le jour où mon grand-père et ma grand-mère venaient manger. Comment ma mère pouvait-elle m’annoncer ça, très calmement, comme si rien n’était, après s’être fait baiser de la sorte ? Ca me faisait assez bizarre d’imaginer passer la soirée avec mes grands-parents. A mes yeux Papi et Mamie étaient deux vieilles personnes, et j’étais persuadé qu’ils n’avaient plus aucune vie sexuelle. Je les pensais à des années-lumière d’imaginer ce qui s’était passé entre ma mère et moi, que nous puissions avoir des relations sexuelles, sado maso qui plus est.J’allais cependant découvrir que mes grands-parents étaient bien plus dévergondés que ce que je pensais.Moi qui avais vécu une folle aventure, je n’étais pas au bout de mes surprises...
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