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Je découvre que je suis une salope

Chapitre 2

Gay
Quelques jours après, au réveil, je ne me remets toujours pas, j’ai enfin couché avec un inconnu même si on s’est juste fait jouir à coup de langue. L’idée ne m’a toujours pas quitté : il faut que je me fasse baiser, cela fait quelques années qu’on ne m’a pas baisé, mais ça, ce sera une autre histoire. Pris d’une impulsion, je me connecte via un site de rencontre, j’ai reçu beaucoup de messages, la queue tendue, je me branle au fur et à mesure que les messages défilent, je trie les plans qui pourraient m’intéresser, jusqu’à ce que je vois deux annonces qui m’intéressent, deux actifs qui veulent se vider, je converse avec eux, et récupère leurs numéros et adresse.
L’après midi, je sors avec des amis quelques heures, on va dans un bar, puis au cinéma, mes amis ne sont pas au courant que je suis bi, en plus d’être une salope, je crains leurs réactions lorsqu’ils l’apprendront. A la fin, j’envoie un message, propose un plan avec un de mes contacts, il accepte.En une dizaine de minutes, je suis devant la porte de son appartement, je sonne :
— Oui ? — Bonjour, je vous ai contacté il y a dix minutes pour un plan. — Monte, dernier étage, porte de droite.
Je fais ce qu’il me dit, et vois une porte entrouverte, je m’approche et vois la porte s’ouvrir sur un homme, bronzé, cheveux courts, noirs, il est assez gros et se présente en caleçon, je sens qu’il n’a pas une odeur très saine, puant la sueur et la pisse alors que je suis à quelques mètres de lui. Au lieu de me répugner, cette odeur m’excite, il me dit d’entrer, ce que je fais, il referme derrière moi, et enlève immédiatement son dernier vêtement. Il s’allonge.
— Viens me sucer salope, m’ordonne-t-il.
J’ai horreur de l’irrespect, et aussi qu’on me donne des ordres. Pourtant je réponds d’une petite voix :
— Oui Monsieur.
Je m’approche et mets le sexe qui ne bande pas dans ma bouche, au fur et à mesure, je sens la sexe grandir et s’épaissir, pourtant la déception vient, son sexe ne fait qu’environ 7 ou 8 centimètres. Je fais quand même ce pourquoi je suis venu et le suce, ma langue s’enroule autour de la queue, son odeur désagréable s’infiltre dans mes narines pourtant mon excitation ne fait que monter, faisant des va-et-vient sur sa queue je tripote ses tétons de mes doigts. L’homme dont je ne me souviens pas de son nom, gémit et ses commentaires vont de bon train :
— Oui, c’est ça, suce-moi petite chienne !— T’aimes sentir ma queue petite pute ! — Espèce de traînée, ne t’avise surtout pas d’arrêter !
Ses insultes ne font que m’exciter davantage. Je le pompe avec plus d’ardeur, je m’arrête seulement pour lécher ses couilles tout en le branlant encore, après quelques minutes, il hurle qu’il va jouir, il se met debout, retire sa bite de ma bouche, et éjacule sur mon visage, ses traînées de sperme sont épaisses et nombreuses, elles me recouvrent le visage. Le temps que je me remette de mon excitation, il s’est déjà procuré un paquet de mouchoirs et me le tend. Sans un mot je m’ essuie, il se dirige vers la porte l’ouvre et m’ordonne d’une voix froide :
— Dégage.
Vexé, je récupère mes affaires, et pars. Sorti de l’immeuble, mon excitation se mêle à une colère, dont je n’ai aucun mal à identifier, cet enfoiré ne m’a considéré que comme un objet, et ne s’est pas même interrogé sur mes envies, sur ma queue. Sur les nerfs, je fume cigarette sur cigarette, j’ai un besoin urgent de me défouler, je prends mon téléphone et appelle mon deuxième plan tout en me dégageant des autres passants :
— Allô ? décroche-t-il— Oui, bonjour, je vous appelle par rapport à un plan cul, vous êtes disponible maintenant ? — Euh... oui je peux recevoir pas de souci, me répond-il surpris de ma phrase directe. — J’aurai par contre des conditions : pas un mot sur nos vies personnelles, j’arrive, vous vous mettez à poil, je vous suce, et vous me baisez, vous ferez ce que je dis à la lettre, si vous avez envie de quoi que ce soit, vous me le dites et je m’en occuperai. — D’accord, je vous attends.
Je sens déjà dans sa voix son excitation, parfait. Je marche jusqu’à chez lui, à peine cinq minutes après, je sonne chez lui. Il m’ouvre et me fait signe de me suivre. On monte les escaliers menant à chez lui, et on va dans sa chambre. On se déshabille, on se sourit, et je me mets déjà à genoux, il est soigné dans son corps comme dans son attitude, pas un gramme de graisse n’est présent en lui, son sexe bande déjà, 15 centimètre, cela me satisfait déjà beaucoup plus. Je commence à le pomper, lécher ses couilles, je m’amuse à prendre des gorges profondes avec sa bite, en même temps, j’enfonce un doigt dans mon cul, fais des va-et-vient, et en rajoute deux. Surpris de la facilité à laquelle mes trois doigts pénètrent en moi, je me défonce à coups de va-et-vient. Je recrache le surplus de ma salive sur son sexe et me bifle les joues avec son pénis. Décidé de passer à l’acte suivant je le pousse sur son lit, il s’allonge et je me mets à cheval sur lui, et fais pénétrer sa bite dans mon cul d’un coup de bassin. Je reste quelques secondes immobile afin de m’habituer à sa présence et bouge, je monte et descends sur sa bite, le plaisir m’envahit, me submerge et je crie :
— Putain, oui! — C’est si bon ! — Je sens ta bite en moi !
Il demande à changer de position, je me mets à quatre pattes, il se positionne derrière moi, et sa queue rentre comme dans du beurre en moi. Sans hésiter, il me pénètre avec de violents coups de reins, je n’en peux plus, je me branle à toute vitesse, et le supplie :
— Oui, encore ! Je t’en supplie ! Ne t’arrête surtout pas ! Baise-moi, prends moi comme la chienne que je suis !
Ses mouvements ne ralentissent pas une seule seconde, soudain je jouis d’une puissance rare sur ses draps, lui, continue encore quelques secondes, en me demandant où il doit jouir, je me retourne, me mets à genoux, et lui montre d’un signe mon visage, on se sourit avec franchise quand il se branle au-dessus de moi, et éjacule tout autant que l’homme précédent. Bon Dieu, j’adore sentir le jus de mes amants sur mon visage, il me propose un Sopalin, je l’accepte avec plaisir, m’essuie et on se rhabille. Je le remercie de ce moment, il fait de même, et je m’en vais.
Je n’ai revu aucun de ces hommes, au fur et à mesure que cette journée s’écoule, je découvre encore des parties de moi qui me surprennent : j’ai aimé être traité comme une pute, mais surtout j’ai aimé être pris avec violence.
Surtout n’hésitez pas à écrire des commentaires, et je vous remercie de m’avoir lu. À bientôt.
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