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Je découvre qui je suis.

Chapitre 3

Divers
Voilà, je me suis un peu dévoilée, mais me voilà revenue dans ce gymnase, dans une tenue que je ne veux pas porter pour rentrer chez moi, et je vais devoir m’expliquer. Fredo : -Violaine ? Mais pourquoi es-tu encore là ?-Je suis venue me changer, je ne veux pas rentrer comme ça, Danny ne comprendrait pas, il ne sait rien.-Mais qu’est-ce que tu me chantes, depuis des années tu participes à mes soirées, tu viens dans ce club dans des tenues qui font bander tous les mecs, tu te laisses toujours faire par ceux qui s’approchent, depuis que je te connais je t’ai vu faire toutes sortes de choses, et tu me dis que ton mari ne sais rien ! -C’est ça.-Tu plaisantes ? Et quand tu rentres tard après nos soirées, il ne te pose pas de questions ?-Non, je lui dis que j’ai beaucoup de travail et parfois nous faisons l’amour.-Dans l’état ou tu rentres après ces soirées tu arrives encore à faire l’amour avec lui et il ne s’aperçoit de rien ? Et toi tu trouves encore de la force ? Et ça depuis tant d’années ?-Oui.-Mais Violaine, ça me parait impossible, quand tu pars d’ici, je me demande à chaque fois comment tu arrives à marcher. Et quand tu as des marques, il ne voit rien ?-Tu me connais, j’ai toujours assez de force pour faire l’amour. Pour les marques, il n’aime pas faire ça avec la lumière, et s’il en voit, je lui dis que c’est en pratiquant des sports de combats. De toutes façons, on ne se touche quasiment plus depuis des années. Sa famille sait que je ne suis pas pudique et que j’aime les tenues provocantes, ma belle-mère me le reproche chaque fois, et mon beau père et mon beau-frère profitent du spectacle depuis toujours, et même plus, mais ils ne savent pas tout, quoique …-Mmmm ! Si c’est ça ta vie, elle doit être bien ennuyeuse. Qu’est-ce tu veux dire par « et même plus » ?-Oh! Il y a des années de ça, je travaillais au magasin, j’étais enceinte de mon fils, j’avais mis une de ces jupes si courtes dont j’ai le secret, de celles que j’évite en famille. Je ne sais plus pourquoi mon beau-père est passé, mais il a directement mis sa main entre mes jambes en me disant bonjour et en me demandant si c’était une habitude de montrer ma chatte. Je l’ai laissé faire, comme les autres hommes. Il n’avait pas fini de me dire bonjour que ses doigts étaient déjà entrés en moi, et quelques minutes plus tard, j’avalais son sperme. Le lendemain, j’ai vu arriver mon beau-frère, lui a préféré me sodomiser.Depuis, ils sont passés souvent, parfois avec des amis, en me menaçant de tout dire à Danny si je n’accédais pas à leurs demandes de plus en plus exigeantes. Si seulement ils savaient que j’aurais de toute façon tout accepté sans menaces.Mon beau-père a organisé une soirée spéciale avec ses partenaires de foot deux semaines avant mon accouchement, ils m’ont suspendue par les seins et toute l’équipe m’a enculée. Je n’ai jamais eu aussi mal aux seins. J’ai vraiment aimé.-Même le jour je t’ai cloué les seins sur une poutre pour t’immobiliser ?-Même ça ! En voyant le lait sortir de mes seins, ils m’ont détachée et m’ont de nouveau enculée en me trayant comme une vache, c’était sublime comme sensation, je me sentais comme une bête et j’adorai ça.Ils ont continué des mois, aussi longtemps que j’avais du lait, je passais les voir à leur entrainement pour me faire traire à quatre pattes avant de rentrer, ça a duré des mois, un régal.Quand j’ai expliqué mon plaisir de me sentir une vache à mon beau-père, il a proposé de me faire percer le nez pour y mettre un anneau. Rien que l’idée m’a fait jouir.Il m’a organisé un rendez-vous avec ses copains dans sa maison de campagne et pendant que belle maman gardait les enfants, ils m’ont attaché les mains dans le dos, lié les pieds, bandé les yeux et emmenée en voiture. Quand la voiture s’est arrêtée, je savais qu’on était dans une ferme. On m’a ôté tous mes vêtements, y compris les chaussures. Quand la porte s’est ouverte, j’ai senti un air terriblement froid entrer dans la voiture, on m’a fait sortir et quelqu’un a passé une chaîne glaciale autour de mon cou, je sentais de la neige à mes pieds. On a tiré sur la chaîne vers le bas, je me suis retrouvée allongée dans la neige et j’ai entendu qu’on attachait la chaîne et des pas s’éloigner. Puis la voiture est partie. Au bout d’un instant, je me suis mise à trembler de froid.
Des pas, j’entends des pas.On me soulève les fesses, je suis installée avec la tête et les seins dans la neige, le cul en l’air, je demande qui est là, en réponse je reçois une claque magistrale sur mes fesses gelées. J’hurle, nouveau coup sur les fesses, mais cette fois, c’est une cravache, j’hurle à nouveau, nouveau coup. Je comprends vite, je serre les dents et ne crie plus. Cette fois, une main caresse mon cul et quelque chose de très froid y est enfoncé, je retiens mon cri de surprise. Ce qui entre dans mon cul est en métal très froid et les va et viens sont douloureux, je gémis et vlan, nouveau coup de cravache, sur le flan cette fois, la douleur me scie en deux, je crie et un nouveau coup s’abat sur l’autre flan. La barre de métal s’enfonce encore, je serre les mâchoires, aucun son n’en sort. La douleur est intense, le froid, les coups, ce gode glacial qui me défonce… Je jouis.On détache la chaine et me redresse, mes seins doivent être bleus de froid, on en pince cruellement le bout, je crie encore. La cravache s’abat sur ma poitrine, sur mon ventre et je reçois une gifle. On m’enlève le bandeau. C’est mon beau-père, il sourit et me dit : -Tu veux toujours être une vache ?Je le regarde droit dans les yeux et réponds : -Plus que jamais ! Il m’entraine vers un bâtiment, mes pieds attachés me font souffrir, ils sont bleus, mes seins aussi.Il ouvre la porte, deux hommes sont là, sans doute les maitres des lieux. Au moment où je m’apprête à entrer, il m’arrête, me détache les pieds et les mains et dit :-Lève les bras, je veux te voir souffrir sans crier sous les coups, et ne ferme pas les yeux.Je le regarde, provocante, et j’écarte les jambes et lève les bras en souriant.Il m’annonce la couleur, ce sera au fouet, pas par lui, et seul le visage sera épargné. Les deux inconnus s’avancent, ils ont un fouet chacun et leurs sourires font s’éteindre le mien.Le premier coup tombe, en plein milieu du dos, je retiens mon cri, ma peau bleuie par le froid est déjà douloureuse, un autre coup cingle, en plein sur les seins, je garde les dents serrées, ils frappent à tour de rôle, pas de pose, ils n’épargnent rien. Je les regarde sans montrer ma douleur, je n’en peux plus mais je sens arriver l’orgasme.Mon beau-père attendait ce moment, la cravache remonte entre mes jambes et inflige une douleur atroce à mon clito.Je ne crois pas avoir crié, mais quand je reprends mes esprits, je suis seule dans la grange, suspendue par les mains, les pieds attachés au au-dessus du sol, les jambes écartées. J’ai mal partout, je regarde mes seins, un bout est en sang, les zébrures laissées par les fouets font des traits rouges partout où je peux voir. Mes poignets, mes bras et mon vagin me font horriblement mal. Ils ont dû continuer pendant que j’étais inconsciente. J’ai froid. Je jouis encore.De la hauteur ou je me trouve, je peux voir six vaches, et juste à côté de moi, un taureau de belle carrure.Un peu plus tard, la porte s’ouvre, Mon beau-père entre, tenant la barre de fer d’une main. Il me demande.-Veux-tu toujours être une vache ?-Oui dis-je en souriant, mais dois-je être maltraitée.-Les vaches indociles doivent être matées, nous allons te traire, et maintenant que ta chatte est prête, tu vas être offerte au taureau. Si tu veux, nous pouvons te faire évanouir avant.-Je ne veux rien rater d’un tel moment, et je suis déjà bien assez marquée.-Ça, on verra, maintenant on va poser ton anneau nasal.Il fait un signe, d’autres homme entrent, les paysans, mais aussi plusieurs de ses copains du foot. Puis arrivent mon beau-frère, et à ma grande surprise, ma belle-mère et ma belle-sœur suivent. Je jouis en les voyant entrer.C’est fou ce que la honte, la douleur et la provocation me font. Je trouve ma belle-sœur vêtue un peu court pour la saison.On m’installe à quatre pattes, le paysan le plus âgé se met à califourchon sur mon dos, ma belle-mère et ma belle-sœur commencent à me traire, le jeune paysan présente sa queue devant ma bouche, je l’enfourne, mon beau-père m’encule, les autres préparent leurs queues, quel pied, un orgasme manque de me terrasser.Le paysan ne tarde pas à remplir ma bouche, j’avale comme je peux, la quantité est impressionnante.Je sens mon beau-père arriver, je me cambre pour mieux le sentir, le paysan sur mon dos qui me tenait par les cheveux tire ma tête en arrière, un homme approche avec une aiguille énorme, sans hésiter, il transperce ma cloison nasale. La douleur n’est pas si terrible, il attend que ma jouissance cesse de me faire trembler, et avec dextérité, remplace l’aiguille par un anneau. Les deux femmes tirent sur mes seins avec insistance, plus rien n’en sort et j’ai très mal mais elles continuent. Les hommes défilent dans ma bouche, mon cul et ma chatte de plus en plus douloureuse, je m’effondre en jouissant. De là ou je suis, je découvre que ma belle-sœur a la chatte à l’air sur sa jupe presque aussi courte que les miennes. Ma belle-mère approche un bol de ma bouche, c’est le lait qu’elles m’ont tiré, je bois, pas terrible. Ensuite, elle se penche pour m’embrasser, puis descend jusqu’à ma chatte pour y recueillir le sperme qui en coule. Sa langue provoque un nouvel orgasme, elle boit aussi mon jus.Les deux femmes me prennent chacune une main, me font lever et me conduisent vers le taureau. Belle sœurette est à poil, très jolie, avec d’étranges tatouages, je jouis encore. Un homme me présente un miroir, je vois l’anneau, il est énorme, la chaîne pend à mon cou, je me sens vache, j’aime ça. Je me penche sous le taureau, pas très impressionnant, je le prends en bouche, un peu de sperme coule, ce n’est pas très bon mais je le garde en bouche.Les paysans me font accouder à la barrière, belle sœurette viens en face pour m’embrasser, je lui refile le sperme du taureau, elle avale. Je sens le taureau se dresser sur moi, belle maman dirige son sexe dans le mien pendant que les paysans l’empêchent de m’écraser, c’est puissant, impressionnant tant la bête est énorme, violent, rapide, mais c’est tout. Quand c’est terminé, belle sœurette vient lécher recueillir le sperme avec sa bouche puis viens m’embrasser. J’avale, cette fois, j’aime bien. Ses tatouages n’en sont pas, c’est autre chose.Belle sœurette me glissa à l’oreille : -Demain, essaye le cheval, le cochon ou le chien, c’est bien meilleur.-Je les veux tous.Beau papa me demande si je veux toujours être une vache. -Oui, pour la traite du lait, mais je voudrais aussi être chienne, jument ou cochonne. -Dès demain belle fille, tu auras tout ça, puis nous te marquerons au fer avant de te ramener à ton mari.-Quoi ? Au fer ? Je comprends ce que sont les « tatouages de Belle sœurette.-Oui, au fer rouge, sur les fesses, et quand tu n’auras plus de lait, tes seins seront marqués aussi, et tu auras droit à des anneaux.
Voilà Fredo, maintenant tu sais pourquoi au début de mon mariage je te voyais moins. Tu sais aussi que Danny ne sais rien de mes pulsions et que je ne veux pas qu’il sache. Mais tu dois aussi savoir que c’est toi qui m’a fait découvrir ce qui me fait vibrer, ma belle-famille n’a été qu’un passage, finalement, ils ne m’ont pas marquée au fer, ils ne m’ont pas fait les piercings promis ni rien de plus. Je veux que tu me marques de ton sceau, que tu me fasses prendre par des chevaux ou pire, depuis toujours je suis à toi, je veux être ta chose, mais garder mon mari.-OK, demain tu iras voir ce Lucio, tu feras ce qu’il veut et tu me raconteras. Garde une vie apparemment normale pour ton mari, mais à partir de demain, tu seras toujours nue dans ce club.-Nue : pour le ménage ?-Oui, avec un plug, et pour le sport aussi, mais sans le plug.-Et si mes enfants ou mon mari viennent ?-Ton mari ne vient jamais, ton fils est loin et ne vient pas non plus. Ils devront sonner, avec Teddy et Chloé nous nous chargeront de te prévenir. Ta fille est grande maintenant, et la dernière fois que je l’ai vue, sa robe trop courte et son attitude m’ont fait comprendre que c’est bien ta fille, je crois qu’elle aimera ce qu’elle trouvera ici, tu devrais même l’inviter ? En plus, Chloé l’aime bien, je les ai vues au vestiaire.
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