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Défaillance

Chapitre 3

Orgie / Partouze
Dans le courant de la journée, je téléphone à Laurette, lui demandant de passer nous examiner, insistant pour qu’elle vienne à la maison au lieu de nous recevoir dans son cabinet. La doctoresse commence par Francine. — Peux-tu nous laisser quelques minutes Michel, je t’appellerai lorsque j’aurai fini. — Euh… Je suis déçu car j’avais convoqué la doctoresse chez nous pour assister à l’examen. Je reçois le soutien inattendu de Francine. — Il peut rester tu sais, ça me fait rien, au contraire. — Bon, c’est toi qui vois. Est-ce une illusion ou j’ai décelé une nuance de dépit dans la voix de Laurette ? A la demande de son amie, Francine se couche sur le lit, jambes écartées, offertes. Elle me tend une main que je m’empresse de saisir. Laurette s’installe entre les cuisses ouvertes. Tiens ? Elle n’a pas enfilé de gant. Doucement elle écarte les chairs sensibles, explore l’entrée du vagin. — Pour l’instant je ne vois rien de grave. Elle prend un spéculum dans son sac et l’introduit avec précautions, arrachant quand même un gémissement. — Houlà là ! Son ton m’inquiète. — Qu’est-ce qu’il y a ? — Jamais vu pareille érosion ! Qu’est-ce que t’as pris ma chérie ! Une chance qu’il n’y ait ni blessure ni saignement. Elle range son appareil de torture et examine avec soin la vulve écarlate. Francine serre les lèvres mais à son sourire je devine que ce n’est pas la douleur qui la fait soupirer. — Le clitoris n’a pas souffert, tant mieux. Il me semble que l’examen se prolonge au delà du strict nécessaire, ce dont Francine ne se plaint pas. Serait-elle sensible aux caresses féminines ? Qu’est-ce que je dis là ! Elle est sensible aux caresses un point c’est tout, je suis bien placé pour le savoir. Que ce soit moi ou Laurette qui les pratique n’y fait rien. Par contre celle-ci m’étonne. Elle semble prendre un réel plaisir à l’examen. Je ne lui connaissais pas ce penchant saphique. Bah ! Quelle importance. Elle s’incline, va-t-elle embrasser le sexe offert ? Non, notre amie se redresse en soupirant et me jette un regard noir. Voilà pourquoi elle voulait être seule avec Francine ! Je suis l’élément perturbateur. — Tu t’en tires bien. Je te prescris une pommade et dans quelques jours il n’y paraîtra plus. A ton tour Michel. — J’ôte mon pantalon ? — Cette question ! Évidemment, et le slip aussi ! Allez ! Dépêche-toi, je n’ai pas que ça à faire. — Comment je me mets ? — Place-toi à quatre pattes sur le lit, le cul à l’air. Elle se venge en me laissant en posture humiliante le temps de nettoyer son spéculum. Francine s’assied sur le lit et me caresse la joue. Laurette s’approche menaçante avec son engin de torture. — Bon, à nous deux… Écarte les genoux… Plus que ça… Hum… C’est pas brillant. Elle caresse du doigt l’anus. Je soupire en tendant le cul.
— Hé ! Hé ! On dirait qu’il apprécie… Bon à savoir, ajoute-t-elle dans un murmure à peine audible. — Qu’est-ce que tu dis ? interroge Francine. — Rien… Attention Michel, j’introduis mon appareil… Ça fait mal ? Si, mais je ne peux me montrer plus douillet que Francine qui a subit l’examen sans broncher. — Un peu, c’est sensible. Elle l’enfonce, le fait tourner, m’arrachant une grimace de douleur. — Fais attention Laurette tu lui fais mal, intercède mon épouse. — Je fais le plus doucement possible… Ben toi non plus ils t’ont pas ménagé. Enfin, il n’y a pas de lésions profondes, ça guérira vite. A toi aussi, je prescris une pommade réparatrice…
Laurette range ses affaires. — Bon, les enfants, vous vous en tirez bien. Il ne vous restera pas de séquelles… Euh… Ils avaient des préservatifs j’espère. — Euh… Non ! La doctoresse bondit furieuse. — Pas de capote ? Mais vous êtes fou ! On a pas idée d’une telle imprudence ! Sa colère me semble disproportionnée, c’est quand même nous que cela concerne en premier. — Euh… Tu sais Laurette, ils ne nous ont pas laissé le choix. — Bon, excuse-moi. Vous en êtes quittes pour une prise de sang dans deux mois environ. Je vous reverrai avec les résultats. Soignez-vous bien en attendant. Elle nous plante là seuls avec notre inquiétude. Pourvu que nous n’ayons rien attrapé !
Deux mois plus tard, Laurette nous convoque dans son cabinet. — J’ai les résultats de vos prises de sang. Francine m’agrippe le bras. — Alors ? — Rien, tout est normal. Quel soulagement ! Francine et moi nous nous dévisageons en souriant. Encore un mauvais souvenir qui s’efface. Laurette semble aussi heureuse que nous. — Une bonne chose n’est-ce pas ? Francine se lève : — Nous te remercions de cette agréable nouvelle, mais je dois vous quitter, j’ai à préparer au bureau la visite d’un haut fonctionnaire. — S’il te plait, ne pars pas si vite, j’aimerais t’examiner une nouvelle fois. — Mais je vais bien, je t’assure. — Laisse-moi en juger par moi-même. Et toi aussi Michel, je t’examine par la même occasion. Déshabillez-vous. Tiens ? Elle ne me demande pas de quitter la pièce ? Tant mieux ! De toute façon j’aurais refusé. Francine se retrouve la première allongée sur le dos, écartelée. — Hum… A première vue, rien d’anormal… Quand je fais ça, t’as mal ? — Ooh ! Non ! — Et ça ! — Aaah ! Quelle est la raison de cet examen ? Me soupçonnerait-elle de pratiques sadiques sur Francine en compensation à ma déficience ? Je m’approche. Les attouchements que pratique Laurette ressemblent plus aux caresses que je prodigue à Francine qu’à des explorations médicales. Un doigt qui titille le clitoris deux autres enfoncés dans le vagin arrachent des soupirs à ma tendre épouse. Laurette s’aperçoit de ma présence. Elle rougit et se redresse. — Bon, tout va bien, aucun problème. Tu peux te rhabiller. A toi Michel. — Je ne vois pas pourquoi Francine aurait des problèmes. Je t’assure que je ne lui fais rien de mal.— J’en suis persuadée, sourit le médecin. Tu veux rester, Francine, pendant que j’examine ton mari, ou tu préfères rejoindre ton bureau ? — Au point où j’en suis, je reste. Je monte à mon tour sur le lit d’examen. — Combien de fois devrai-je te demander d’enlever pantalon et slip ! Un peu honteux je me retrouve en liquette. Je m’installe sur le ventre. — Que fais-tu dans cette position ? Tourne-toi ! — Euh… Je croyais que tu voulais contrôler derrière. — Pas du tout !… Hé ! Hé ! On dirait qu’il regrette. — Euh… — Regardez-moi ce petit, non ce gros vicieux qui souhaite que j’examine son cul. Ça t’a tellement plu la dernière fois ? Je veux bien pour te faire plaisir. — Euh… Non, ce n’est pas nécessaire. Vexé, je me tourne coté face. Laurette prend en main mon attirail, d’abord les testicules qu’elle fait rouler entre ses doigts puis la verge qu’elle tord facilement. — Hum… Pas de progrès à première vue. Il ne bande pas ?… Francine !Celle-ci qui fixe d’un regard brillant la main manipulant ma tige molle, met quelques secondes à réagir.— Euh… Excuse-moi… Non… Euh… Enfin si, de temps en temps mais ça ne dure pas. Pas assez en tout cas pour une pénétration. Si la caresse de Laurette n’était pas si agréable, je les enverrais promener ces femelles qui se moquent de moi ! — Ah ! On dirait que j’obtiens un résultat. — Fais voir !… Ah oui, ça grossit, tu as de la chance. Je peux toucher ? Les doigts de Francine remplacent la main de Laurette. Je ferme les yeux me concentrant pour ralentir la montée du sperme. Las, mes efforts sont inutiles et les gouttes de semence retombent sur le poignet de ma femme. — Pas d’amélioration, décrète le médecin. Je crois qu’il faut que tu en prennes ton parti Francine. — Allez mon gros, me console celle-ci, je t’aime quand même. Ce n’est pas un réconfort. Il est urgent de trouver un palliatif qui comble les besoins de ma femme sans mettre notre couple en danger. Nous nous habillons en silence. — Êtes-vous libres ce vendredi ? Georges et moi voudrions vous inviter. Après échange de regard avec Francine, j’accepte avec chaleur. — Bon ben rendez-vous à 7 heures du soir. — A vendredi…
Après le repas, fort bon, Georges m’entraîne au salon pendant que les femmes débarrassent la table et font le café. Il sort les tasses et soucoupes et les pose sur la table basse. Il a l’air gêné, me regarde, ouvre la bouche puis détourne la tête. — Tu veux me dire quelque chose ? — Euh, non… Bizarre, j’aurais cru. Il s’assied dans un fauteuil et me fait signe de l’imiter. — Enfin, si, corrige-t-il. Tu sais, Laurette m’a parlé de ton problème. Je fronce les sourcils, perturbé. Qu’avait-elle à dévoiler mes ennuis ? Et le secret médical alors ? — De mon coté, poursuit-il, j’apprécie beaucoup votre compagnie. Ça me désolerait si vous ne vous entendiez plus. Je voudrais pouvoir faire quelque chose pour vous… Euh… Où veut-il en venir ? Je le laisse patauger dans ses explications. — J’ai toujours eu un faible pour Francine… Euh… Aussi Laurette et moi… Euh… On a pensé… Euh… Que pour elle… Euh… Je pourrai… Ça y est j’ai compris ! Il me propose de suppléer ma défaillance et de remplir auprès de ma femme le rôle que je ne puis assumer ! Quel culot ! Furieux, je me redresse sur les avant-bras puis me laisse retomber. Ne serait-ce pas là la solution ? Oui, plutôt faire confiance à des amis qui sauront ne pas nous éloigner l’un de l’autre. — Je ne ferai rien pour vous empêcher… Si Francine est d’accord. — Évidemment. Il a l’air soulagé. Curieusement moi aussi comme si je m’attendais à sa proposition. A la réflexion elle était prévisible : l’invitation à une soirée juste après la séance de caresse dans le cabinet de Laurette… Obnubilé par mes problèmes, je n’avais pas percuté… Mon subconscient avait compris, lui… Laurette et Francine reviennent de la cuisine. Ma femme est toute rouge. Elle vient s’asseoir sur l’accoudoir de mon fauteuil et m’embrasse près de l’oreille. — Tu sais ce que m’a proposé Laurette ? Pas la peine de préciser, nos amis se sont partagé les rôles pour nous convaincre. — J’ai compris va, Georges m’a informé. C’est ce que tu veux ? — Je… Je sais pas… Je t’aime tu sais. Elle tourne vers moi des yeux qui s’embuent. L’idée de faire l’amour avec Georges ne la rebute pas mais elle hésite à franchir le pas. Il est de mon devoir de l’encourager. — C’est peut-être la solution pour nous ma chérie, dis-je en mordillant le lobe de l’oreille. — Buvons le café il va refroidir, déclare Laurette qui remplit les tasses. Francine s’installe sur le canapé à coté de son amie. Nous dégustons en silence, chacun dans ses pensées. Je devine que nos amis se demandent si leur projet va aboutir. Moi, je m’interroge sur la suite de la soirée. Que va faire Laurette ? Tentera-t-elle de me séduire pour faciliter la tâche de son mari ? Ma foi, je ne suis pas contre, j’ai encore sur ma petite queue le souvenir de ses lèvres…
Georges repose sa tasse et va se placer derrière Francine, les mains sur ses épaules. Elle reste immobile, la tasse en suspend. Les mains glissent sur le chemisier, descendent vers le renflement de la poitrine. Ma femme me fixe les yeux grands ouverts. Elle ne réagit pas quand Laurette la débarrasse de sa tasse. Je lui souris et lui envoie un baiser du bout des doigts. Elle pousse un soupir et se laisse aller contre le dossier du canapé acceptant sa défaite. Georges ne s’y trompe pas, il caresse à pleines mains les seins de ma femme et l’embrasse dans le cou. Notre défaite devrais-je dire car Laurette vient me rejoindre sur mon fauteuil et tend les lèvres pour un baiser que je ne lui refuse pas…
Georges pilonne Francine à grands coups de rein sur le canapé pendant que, ses cuisses sur mes épaules, je broute le minou de Laurette qui pousse des petits miaulements chaque fois que je mordille le clitoris. Moi, il y a longtemps que j’ai déposé mon offrande dans les doigts de la doctoresse, dès les premières caresses. Les gémissements de plaisir de Francine me dopent et je m’efforce de satisfaire ma partenaire. Doigts, langue, dents, j’utilise tout pour qu’elle reçoive autant de plaisir que ma femme en manifeste. Aïe ! Laurette m’arrache les cheveux. Ça ne fait rien, c’est signe que mes efforts atteignent leur but. J’insiste, elle pousse un fort gémissement presque un cri et s’effondre contre le dossier du fauteuil. Sur le canapé, Georges et Francine encore soudés l’un à l’autre peinent à retrouver une respiration normale.
Laurette me repousse. Elle se lève, dégage ma femme des bras de son mari et l’entraîne dans la salle de bain. Georges se débarrasse du pantalon et du slip qui encombraient une jambe. — Je crois qu’on ferait mieux de se déshabiller complètement, invite-t-il en ôtant sa chemise. Ce n’est donc pas fini ? Pourquoi pas. Je termine à mon tour de me dévêtir et ce sont deux hommes à poils qui reçoivent, verre de cognac en main, leurs épouses de retour de la salle de bain. J’ai un éblouissement en les voyant apparaître en tenue d’Ève. Quelles sont belles ! Francine est soulagée de nous voir nus aussi. Je devine que Laurette a du insister pour qu’elle quitte ses derniers vêtements. Elle s’installe à coté de moi, sur le canapé, une main gentiment posée sur mon sexe. Je l’embrasse près de l’oreille. — Il t’a fait jouir Georges, n’est-ce pas ? — Tu m’en veux ? — Pas du tout, ma chérie. Je suis heureux de cette jouissance que je ne peux plus te procurer. — C’est toi que j’aime. — Je sais et je t’en remercie. Georges lui tend un verre de liqueur. — Tiens, bois ça, ça te fera du bien. Francine trempe les lèvres. — Oh ! C’est bon ! Qu’est-ce que c’est ? — De la Chartreuse jaune. Je suis content que cela te plaise. — Viens t’asseoir à coté de moi, réclame Laurette qui dépose son verre. Francine me regarde, je lui donne l’autorisation d’un battement de cil. Son amie l’attire entre ses cuisses et caresse la poitrine dont les tétons pointent, trahissant l’émoi de mon épouse. Laurette la fait pencher, leurs lèvres se joignent. Georges s’installe à coté de moi. Je sens les poils de ses cuisses me chatouiller. — Tu n’es pas étonné ? me demande-t-il. — Non, je me doutais que ta femme était attirée par la mienne. — Oui, elle est bi. Bi ? Ah oui ! Bisexuelle, amoureuse des hommes comme des femmes. — Euh… Moi aussi, avoue-t-il dans un murmure. Pris par le spectacle des deux femmes, je ne relève pas. Sa main glisse sur ma cuisse et tripatouille mon sexe ratatiné. C’est aussi bon qu’avec des doigts féminins. Tout à coup je réalise ce qu’il m’a dit : c’est mon cul qu’il désire ! Non, pas ça ! Je ne suis pas attiré par les hommes, moi ! Et ce n’est pas le viol subit il y a trois mois maintenant qui m’a fait changer d’avis. Je recule jusqu’au coin du canapé. Il me fixe d’un air malheureux. Oh ce regard ! Cela fait resurgir des tréfonds de ma mémoire un épisode que je croyais définitivement oublié. Je me reporte en pensée de très nombreuses années en arrière dans un studio de la Cité Universitaire ; un copain, après une laborieuse révision en commun, m’avait regardé avec le même air de chien battu… Je n’avais pas su résister… Expérience sans lendemain, malgré le plaisir découvert. Georges glisse vers moi, l’œil suppliant. Je le regarde s’avancer, incapable de réagir. Qu’est-ce qui m’arrive ? La même inertie m’avait paralysé lorsque mon copain avait dégrafé mon jeans. Le souvenir de la jouissance éprouvée en ces lointains instants remonte en surface. Je me mets tout à coup à regretter que mes bourreaux aient été si brutaux… Mon ami me fera sûrement moins mal… Qu’est-ce que je dis là ? Je ne deviens pas homo quand même !… Euh… Je réalise en cet instant que ma première et lointaine incursion dans l’univers homosexuel est restée unique non par conviction mais plutôt par manque d’occasion, la peur du qu’en dira-t-on, par lâcheté peut-être… La main retrouve ma cuisse et remonte doucement vers l’aine. La peau se couvre de chair de poule. Je suis submergé par une évidence : je brûle de retrouver les sensations enfouies dans les profondeurs de mon subconscient que la brutalité de mes bourreaux n’avait pas réussi à exhumer. J’ai la conviction que Georges me les fera redécouvrir. Pour taire le soupçon de honte qui persiste au moment de m’abandonner, je me persuade que je lui dois bien cela. Je lui suis reconnaissant du plaisir procuré à ma femme et j’aurais mauvaise grâce de lui refuser la récompense qu’il espère… En signe d’accord, je pose la main sur sa queue qui raidit entre mes doigts. Je pousse un gros soupir : dire qu’il y a quelques mois -une éternité- j’arborais un sceptre aussi triomphant. Enfin, le passé est le passé, jouissons sans complexe du présent ! Georges me retourne à plat ventre contre l’accoudoir du canapé. Sur le fauteuil qui me fait face, Francine reçoit entre les jambes les caresses buccales de Laurette. Nous nous sourions, amusés par la symétrie de nos relations avec nos amis.
J’avais raison de ne pas m’inquiéter. Georges est très prévenant, l’introduction, bien préparée par des caresses, se passe sans encombre. Le frottement dans le sphincter ne m’envoie que des ondes bénéfiques dans mon corps. Aucune douleur ne vient entacher mon plaisir… Oui ! Mon ami qui devine mes désirs passe le bras sous mon ventre et fait rouler mon sexe entre les doigts. Sur le fauteuil, Laurette a réussi à se placer tête bêche avec Francine. Je capte le regard de celle-ci. J’y devine de la reconnaissance. Oui, nous sommes heureux du bonheur du conjoint. La jouissance m’envahit, elle monte dans la tige que je sens, à mon grand plaisir se développer. — Je… Je vais jouir. — Tant mieux, me rétorque Georges. — Mais… Le canapé. — Pas de problème… Han !… Le cuir ça… Han !… Ça se lave. Il redouble ses coups de rein. Je me répands dans sa paume un peu déçu car j’aurais aimé résister autant que lui. Cela ne m’empêche pas de frémir de bonheur lorsque son sperme déferle et déforme mon intestin. Puis, la queue dégonfle, glisse et s’échappe me laissant le regret de sa grosseur dans le cul. Sur le fauteuil les deux femmes n’en finissent plus de se faire jouir… Plus tard dans la nuit, sur le grand lit où nous nous serrons tous les quatre, Georges et Laurette font l’amour pendant que Francine et moi les comblons de nos caresses avant de nous endormir terrassés par la fatigue, une saine et douce fatigue…
Cette soirée, cette nuit plutôt, a été la première d’une série qui continue. Au début Francine s’en est voulu de la jouissance que lui procurait Georges. Laurette a su mieux que moi, la rassurer et lui affirmer que nos deux couples n’étaient pas en danger. Elle et son mari nous ont avoué qu’ils rêvaient depuis longtemps de transformer l’amitié qui nous liait en une relation plus intime mais n’osaient pas devant notre apparente indifférence. Il me revient alors les appels du pied et les allusions discrètes qu’ils nous adressaient, mais à l’époque ni Francine ni moi, en amoureux égoïstes et comblés, étions en mesure de les comprendre. Ce n’est qu’après la révélation de mes ennuis et la facilité avec laquelle, moi d’abord, Francine ensuite, avons accepté les caresses de Laurette que celle-ci s’est mise à espérer. Je comprends maintenant sa déception en apprenant que nous n’avions pas été protégés lors de notre viol : elle devait patienter deux mois supplémentaires ! Nous passons la majeure partie des week-ends ensembles, chez nous ou chez eux. Nous avons institué un roulement. A chaque rencontre un de nous quatre reçoit les hommages des trois autres. Je suis devenu un spécialiste des caresses en tout genre et parviens à faire oublier que je ne suis plus capable de pénétration. Francine et moi avons beaucoup parlé de notre mésaventure, surtout dans les deux mois qui ont précédé le changement de relation avec Laurette et son mari. Elle a convenu que la première partie de la soirée s’était bien déroulée et que si je n’avais pas accepté l’invitation de Joseph elle en aurait conservé un bon souvenir. Moi de même… Souvent j’y repense et me rappelle avec émotion le plaisir éprouvé quand elle me masturbait pendant que Joseph la baisait. J’ai attendu que Francine admette sans remords nos parties carrées avec nos amis avant de lui proposer de retourner au club. Ce ne fut pas facile mais à la longue elle se laissa convaincre quand je lui jurais que je n’accepterai plus d’invitation à sortir. Le premier soir au moment de sonner à la porte du club, je lui avoue qu’à l’issue de la première étreinte réussie avec Joseph, j’avais imaginé de recommencer, mais entièrement nus cette fois. Elle pousse des hauts cris, mais son indignation sonne faux car elle ne fait pas mine de s’en aller. Elle rougit quand je la regarde d’un air moqueur et appuie elle-même sur la sonnette. Mon ancien collègue nous accueille chaleureusement. Mis au courant de nos déboires avec Joseph, il m’assure qu’il va nous présenter un ami en qui nous pouvons avoir toute confiance. Cet ami ne nous déçoit pas. Il ne se formalise pas des réticences de Francine et nous entraîne dans un salon particulier où ma femme consent à se laisser dévêtir. Je retrouve avec délice les sensations découvertes la première fois amplifiées par le contact de nos épidermes et je suis sûr qu’il en est de même pour Francine. Nous sommes maintenant des habitués du club où nous nous rendons environ une fois par mois. On nous appelle les Inséparables car aussi bien elle que moi, refusons toute étreinte hors de la présence du conjoint. Nos partenaires ont en effet vite compris que si l’état de mes parties génitales ne me permettais plus honorer des personnes du sexe dit faible, je n’étais pas opposé à recevoir des hommages masculins. Le plus souvent nous nous faisons pénétrer simultanément pendant que face à face, nous nous embrassons et que sa main masturbe ma queue qui n’est jamais aussi grosse que dans ces moments-là. Non, je ne regrette pas ce qui m’est arrivé, ce que d’aucuns qualifieraient d’infirmité. Moi je dirais plutôt que j’ai eu de la chance. Avec cette épreuve notre couple s’est soudé et nous vivons une existence épanouie. Le jour, je m’occupe en bénévole d’une association de réinsertion par le travail et le soir Francine et moi partageons de tendres moments dans le lit. Elle m’assure que les week-ends avec Laurette et Georges et les soirées au club suffisent à combler les besoins sexuels que je ne peux satisfaire. Je regarde l’heure. Il se fait tard. Francine va bientôt rentrer du travail et Laurette et Georges ne vont pas tarder. Ce soir, c’est mon tour de recevoir leurs caresses. Je sais que les deux femmes se disputeront ma petite queue. J’adore quand leur bouche se referme sur mon sexe mais j’ai une préférence pour Francine qui seule sait faire rouler le gland entre la langue et le palais. Ah ! Se faire sucer par elle pendant que Georges introduit sa bite dans mon cul… Le pied !…
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