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Un défi

Chapitre 4

Travesti / Trans
Il revint, pendant que son sperme séchait sur mon menton. L’odeur me dégoûtait un peu, et en même temps, surexcitée par la situation et par mon clito enfin libéré de sa cage, ainsi que par le plug qui élargissait mon petit trou, je rêvais qu’il continue de me tourmenter et de me maltraiter. Plus que jamais, je me sentais prête à être sa chose, le réceptacle de tous ses instincts les plus pervers. je voulais qu’il fasse de moi un simple objet, un trou obéissant qui ne lui servirait qu’à se soulager de ses pulsions, de sexe ou autres. La moindre attention de sa part, je la vivrais comme un honneur et un privilège; le soin qu’il mettait à me dresser me semblait la meilleure preuve qu’il cherchait à s’occuper de moi au mieux; je voulais être en chaleur dès qu’il le voudrait, pour qu’il fasse de moi ce qu’il voudrait.
Je fantasmais, toujours attachée, toujours la bite dure, à son sperme sur moi, à son sperme que j’avalerais goulûment, au soulagement que j’aurais à me faire enculer. Je ressentais le plaisir qu’il aurait à libérer ses envies de m’insulter, de me rabaisser, de ne faire de moi que son réceptacle à tout ce qu’il désirerait. 
Il me donna régulièrement à boire; Vers 22 heures, il regarda mon sexe qui ne se départissait pas longtemps de son érection.
-Ben dis donc, ça te plaît d’être attachée, salope. Tu aimes être à la merci de ton maître, pas vrai?-Oui, Maître.-Tu as envie de jouir, pas vrai?-Oui, Maître.-Tu jouiras du cul, avec moi. Jamais avec ta petite queue pitoyable, tu m’entends?
Je le sentis s’approcher de moi, et soudain, un froid glacé enserra mes testicules. La surprise me fit crier.
-Ta gueule. Je te réenferme, le défi n’est pas fini. 
Il avait glissé un sac de glaçons sur mes couilles, et le froid me fit instantanément ramollir; pourtant, l’envie de toucher mon pénis demeurait, et j’aurais été prête à me frotter par terre pour me libérer du désir qui m’empêchait toute lucidité. J’étais plus en chaleur que jamais, le moindre contact sur ma peau me faisait frissonner. Il enduisit ma verge de lubrifiant, puis je sentis un anneau se glisser derrière mes couilles, et ma cage enserrer à nouveau mon pauvre clito qui hurlait du désir d’un contact plus prolongé.
-Je te l’ai dit, je te veux désespérée . Plus tu auras une envie de cul folle, plus tu seras prête à accepter tout ce que je te dirai. Ton petit cul doit être prêt à engouffrer toutes les bites que je lui ordonnerai de prendre, et pour ça il faut que tu sois au point d’avoir une envie impossible. Plus tu seras frustrée, plus tu seras prête à t’ouvrir.
Puis il me détacha, et me désigna une gamelle à ses pieds. 
-Embrasse mes pieds, puis tu pourras manger. Interdiction d’utiliser tes mains.
Mon corps était engourdi, ankylosé de la position dans laquelle il avait tenu. Je m’étirai, puis m’exécutai. Après avoir fini de manger, je m’agenouillai à côté de lui et il me caressa les cheveux en continuant de regarder son programme. Puis il m’envoya me coucher, uniquement vêtue d’une laisse, mais l’excitation d’être souillée, pour son bon plaisir, de sperme et de la nourriture que je m’étais étalée sur le visage en mangeant ne me laissèrent pas un sommeil très réparateur.

Une douche, un retour chez moi, puis je reçus un nouveau défi.
Je devais aller dans un nouveau sex shop, acheter un plug plus gros que la dernière fois, dans le seul magasin où je le trouverais, et que mo maître me spécifia. Mais cette fois-ci, je devais également aller voir une cliente du magasin, et lui demander si elle accepterait de me cracher au visage, autant de fois qu’elle le voudrait. 
La première partie du défi fut aisée: je trouvai un rosebud assez large qui me permettrait d’élargir mon petit trou. Mon clito commença, à l’idée de l’insérer, à être parcouru de fourmillements, mais je n’avais autorisation de le mettre que le lendemain.
Par chance, une seule cliente se trouvait dans le magasin. Elle se tenait au premier étage, seule, à regarder les tenues fétichistes. Je n’aurais ainsi pas à poser la question en public, mais encore fallait-il qu’elle accepte.
-Bonjour, Madame, excusez-moi de vous déranger...-Oui?-J’aurais ... un service à vous demander si vous acceptez de... me le rendre, bafouillai-je.-Euh... C’est-à-dire?-Il ne s’agit pas de quelque chose de proprement sexuel, mais, je dois demander à quelqu’un de me faire quelque chose... Mais bien sûr, je comprendrai que vous ne vouliez pas, je suis désolé, lâchai-je, prête à abandonner pour ne pas la mettre mal à l’aise.-C’est quoi, cette chose? — Eh bien, j’ai l’ordre de demander à une femme de... me cracher au visage.Elle parut soudain vivement intéressée.-Et comment ça se fait que tu aies cet ordre?(Le passage au tutoiement me fit frémir d’humiliation)— Eh bien, mon Maître m’a lancé un défi, et...-Ton Maître, il aime les petites lopes, c’est ça?-Euh oui...-C’est quoi votre relation?-Eh bien, il m’entraîne à être sa soumise sissy.-Ah, pas mal... Eh bien je te rends ce service à deux conditions. La première c’est que tu m’achètes cette tenue que je trouve très belle (elle me désigna une robe en latex qui, par chance, n’était pas trop chère); la deuxième, vu que tu es une sissy, c’est que tu ailles chercher tes affaires de trav, que tu reviennes et que tu les mettes avant qu’on commence. Je t’attends ici encore une heure, j’ai deux-trois choses à regarder encore.-Compris, Madame.
Le coeur battant, la respiration haletante et saccadée, je rentrai chez moi chercher mes habits, une robe moulante, mes lunettes, une perruque, un choker en cuir.
A mon retour, elle était toujours là, et quelques clients sortirent, ce qui me laissa à nouveau seule avec elle.
— Va te changer dans la cabine d’essayage.
Je sortis quelques minutes plus tard. Elle sortit de son sac une trousse de maquillage, me maquilla légèrement les yeux, et me prêta son rouge à lèvres;
-Va m’acheter ma tenue en attendant que ça sèche.
Habillée en femme, morte d’embarras, j’allais à la caisse et achetai la tenue qu’elle m’avait demandée.
-Ok, c’est quoi exactement l’instruction? -Il faudrait que vous me crachiez dessus, puis que vous preniez une photo, s’il-vous-plaît.-Ok, mais il faut me demander de le faire.-Pourriez-vous me cracher au visage, autant de fois que vous le souhaitez, puis prendre une photo, s’il-vous-plaît?-Comme ça, ça marche. A genoux.
Je m’agenouillai à ses pieds. Nous étions heureusement toujours seuls. Elle me dévisagea quelques secondes, qui me parurent une éternité, puis j’entendis un premier "ppttt!" en sentant de la bave atteindre ma joue.
-Ouvre les yeux (je les avais fermés par réflexe). Regarde moi quand je te crache dessus.
Je réouvris les yeux, juste à temps pour voir sa bouche lâcher un long filet de bave qui s’étala sur mon front. Puis elle cracha à nouveau pour de bon, sur ma jour, puis sur mon menton.
-Comment tu te sens?-Je me sens sale Madame, mais je suis contente que vous me crachiez dessus.
Les crachats, même s’ils me dégoûtaient, me faisaient me sentir sale, m’excitaient. La dégradation qu’une inconnue me crache dessus, sur ordre de mon Maître, faisait résonner en moi des phrases comme "tu es une pauvre salope, prête à tout pour de l’attention, et pour ton Maître. Tu es un pitoyable trou, tout juste bonne à obéir à ton Maître et tu n’as aucune autre dignité". je me sentais souillée, mais terriblement excitée de faire ça pour mon Maître, de repousser ma pudeur à ce point.
Enfin, elle me dit "ouvre la bouche". En transe, je m’exécutai. J’étais prête à toutes les humiliations, lorsque je sentis un nouveau crachat sur ma langue cette fois.
-Garde la bouche ouverte et file moi ton portable.
Elle fit une courte vidéo selfie où, d’abord, on la voyait souriante, puis elle changeait vers moi à genoux, bouche ouverte.
-C’est bon, tu peux avaler.
Elle me tendit ensuite un mouchoir, m’aida à me sécher le visage, puis me laissa me rhabiller et partir.
Mon Maître fut très satisfait de la vidéo. Mon défi le lendemain fut de recevoir la personne qui sonnerait chez moi à 18 heures, et de lui obéir.
A 18 heures très exactement, on sonna, et la dame de la veille m’attendait devant la porte.
-Tu ne crois pas que ton Maître t’aurait vraiment fait faire ça avec une inconnue totale? me lança-t-elle.
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