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Un défi

Chapitre 5

Travesti / Trans
En fait, mon Maître l’avait contactée: c’était une amie à lui, et il savait qu’elle connaissait bien le magasin. A l’heure qu’il m’avait donnée pour y aller, elle avait fait le nécessaire pour que nous y soyons seules. Ainsi, si j’avais vécu l’humiliation de demander à une inconnue de me cracher dessus, je n’avais en fait pris aucun risque d’être repoussée, ni de mettre mal à l’aise cette dame.Cette grande brune allait entrer chez moi; ses poignets étaient pleins de bracelets métalliques et une petite clef tintait autour de son cou.
-Alors, tu ne me fais pas entrer? Tu étais plus extravertie tout à l’heure, pas vrai?-Je vous en prie, entrez Madame.-Maintenant c’est Patronne.-D’accord, Patronne. Me ferez-vous l’honneur d’entrer?
Elle entra à ma suite, et je remarquai qu’elle portait une grosse valise.
-Bien, il t’a dit pourquoi je suis là? Il m’a expliqué que tu étais une petite chienne mais que pour l’instant tu ressemblais plus à un travelo maladroit qu’à une vraie cochonne. Pas de mal à ça, chacun son truc. Mais lui il veut que tu sois surentraînée et ultra féminine; donc je suis là pour t’expliquer des trucs et faire de toi une chienne de qualité supérieure. Et puis évidemment ça m’amuse mais je vais m’amuser autrement avec toi t’inquiète pas. Pour commencer, on va regarder ter fringues. Pour l’instant tu fermes ta gueule sauf quand je te pose directement une question et tu finis toutes tes phrases par "Patronne". C’est clair?-Oui Patronne.
Elle ouvrit mon armoire, et observa mes habits féminins. 
-Ma chérie ça ça se portait en 1960, c’est pas possible que tu aies ça. Donc tu vas t’en débarrasser. Ca pareil, ça pareil. Ouvre ma valise, je t’ai amené deux-trois trucs.
En effet, la valise contenait notamment une jupe en nylon, cintrée, des hauts plus sexys que ce que j’avais... 
-A poil. On va commencer par ton épilation.
Je paniquai. En effet, ne devant pas voir mon Maître avant quelques jours, je n’étais pas bien épilée. Elle sembla deviner mes pensées:
-Toujours épilée. Comment tu feras si on Maître t’appelle en urgence parce qu’il a eu une grosse journée et qu’il a besoin de relâcher la pression dans ton cul? Donc tu dois être toujours parfaitement épilée. On va arranger ça. Allez, à poil maintenant.
Une fois que je fus nue, elle me mit à quatre pattes par terre. 
-La cire c’est le plus efficace, ça repousse lentement et c’est tout doux tu vas voir.
Elle commença par mettre ses mains sur mes fesses et les caressa. Puis elle posa une première bande de cire, une deuxième... Et les retira. La douleur me fit écarquiller les yeux subitement, comme un coup de fouet. Mes glapissements ne la firent pas s’arrêter pour autant; elle continua par mon dos, mon torse, plutôt glabre (j’avais de la chance), les aisselles, les jambes, et enfin le pubis. Puis elle m’emmena à la douche, me rinça d’un coup d’eau froide. Ce fut ensuite le tour du maquillage: elle m’enseigna les différentes techniques, quel couleur de fond de teint choisir, comment marier lèvres ("jamais de rouge pur, c’est trop classique. Une couleur assortie à ta tenue, mais rouge c’est uniquement si tu veux faire BCBG. Si ton Maître te sort par exemple; sinon, une couleur plus pétante, au minimum du rose"), paupières ("ne te contente pas d’un trat d’eyeliner, quand tu feras une gorge profonde, on veut voir plein e couleurs couler sur tes joues"), faire un contouring, donner l’impression d’avoir une poitrine féminine juste par du maquillage...

-Maintenant je vais m’amuser un peu plus, dit-elle en prenant la clef qu’elle avait autour du cou, et que je reconnus soudain: la clef de ma cage. Tu as défense absolue de jouir si je ne te l’ordonne pas. Allonge-toi sur le dos.
Elle libéra ma queue qui durcit immédiatement, posa la cage sur le côté, puis me demanda si j’avais déjà léché une chatte. Oui, timidement, je n’en avais que peu l’habitude. Tu vas apprendre, me dit-elle.
Elle semblait déjà bien excitée par mn obéissance, si j’en juge à la quantité de mouille qu’elle produisait. Je reniflai son odeur délicieuse et indescriptible de sueur, d’un peu d’urine, et surtout, cette cyprine qui m’enivrai. Ma bite était posée sur le lit, et alors que mon nez entrait en contact avec son pubis, elle durcit plus que jamais. J’embrassai ses lèvres avec passion, je remontai poser un baiser sur son clito, et sans m’en rendre compte mon pubis commençais à effectuer des va-et-vient sur le drap. Ma langue longea la fente de bas en haut, et elle gémit longuement alors que j’atteignais du bout de ma langue le petit bouton qui semblait une serrure à son sexe. J’appuyai ma caresse linguale, je me concentrai dessus, de plus en plus fort, puis je redescendis glisser ma langue à l’entrée de sa chatte, que je pénétrai de quelques millimètres. Je la faisais languir en remontant à son clito que je libérai de son capuchon tout en le poussant du plat de ma langue, je le dévorai lentement, et ses gémissements se faisaient de plus en plus fort et...
-Attends tu fais quoi là? Me lança-t-elle soudain en attrapant mes cheveux.
Elle venait de remarquer, en même temps que je venais de me rappeler, que je me frottais frénétiquement aux draps, à deux doigts d’un orgasme qui m’aurait libéré de près de trois semaines de chasteté.
-Je t’ai dit quoi? Debout.
Penaude, je me relevai. Elle me tendit des habits, un string, une robe qu’elle avait trouvée chez moi. Mon maquillage était sec, et en m’apercevant dans la glace je fus contente de me trouver si féminine.
-Tu t’admireras plus tard. Allonge-toi sur le dos. Je vais me finir sur ta gueule, mais tu ne vas pas pouvoir toucher ton clito de salope.
Elle attacha mes mains à la tête du lit, posa un pied sur mon visage, me dit de bien le lécher pour me faire pardonner. Par chance il était très propre. Puis elle s’agenouilla, une jambe de chaque côté de mon visage. Sa chatte était à quelques centimètres de mon nez, et j’en percevais à nouveau l’odeur exaltante.
-Si tu as du mal à respirer ou mal, claque des mains. Reçu, espèce de cochonne?-Oui, Patronne.
Elle s’abaissa. Son pubis envahit ma vue, ma bouche était collée à ses lèvres, et elle commença à onduler sur mon visage, qui était couvert de mouille. Elle se relevait régulièrement pour me permettre de respirer, puis se reposait sur moi, se frottait de plus en plus vite, jusqu’à ce qu’elle crie.
-Ah, merci pour ça cochonne. Dis-moi merci aussi.
Elle se retourna, et me présenta son anus. L’odeur de mouille était aussi forte, mais plus âcre, plus sauvage. Elle écarta ses fesses, et, toujours surexcitée, je tendis ms lèvres jusqu’à poser un baiser en plein milieu d’elles. Elle me dit de recommencer, et je recommençai, plus fort, un baiser baveux et langoureux en plein sur le trou de son magnifique cul.
Je sentis soudain un liquide frais couler sur ma bite qui n’avais pas molli, et ses mains agrippèrent la base de ma verge. Sans un mot, elle les fit glisser jusqu’à mon gland, puis le relâcha, attendit deux secondes, et recommença de la base au gland, donnant à chaque fois à mon clito qui n’avait pas été même effleuré depuis si longtemps une décharge intense de plaisir. Elle recommença avec une pression moins forte, et la vue de son cul m’excitait tant que je me remis à l’embrasser. Je voulais plus, même si je me doutais de ce qui allait arriver.
-Maintenant tu jouis quand tu veux. Tu peux continuer à embrasser mon cul.
Elle se pencha, écartant plus encore ses fesses autour de mon visage, et je sentis un léger frétillement de sa langue sur le haut de mon gland, en même temps que la pression de ses mais qui me tenaient la queue, tantôt tendrement, tantôt plus fort.
Mes fesses se serrèrent,  mon bassin se contracta... Et elle lâcha tout contact. Mon pénis, impuissant à s’arrêter, frétilla, et elle, penchée encore devant moi, ne bougeait plus, ne me touchait plus le sexe. Les contractions libérèrent un filet de sperme que je sentis sortir mais l’absence de stimulation faisait instantanément baisser le plaisir que j’avais à cet orgasme. J’éjaculai, mais toutes les sensations de l’orgasme m’étaient refusées, un râle s’exhala de ma poitrine, et mon orgasme se fit sans aucun plaisir. Elle avait ruiné mon orgasme, et j’étais toujours aussi excitée mais incapable d’avoir du plaisir pendant que mon sexe entrait doucement en rétractation. La frustration me faisait venir des larmes aux yeux; deux semaines sans contact, un plaisir si agréable, et on me refusait le final!! On me refusait le soulagement qui m’aurait transporté et calmé un peu l’excitation que je ressentais en permanence et que je ne pouvais jamais résoudre!
Elle se retourna, et m’embrassa: elle avait pris en bouche une partie du sperme qui était sorti. Comme j’étais encore excitée, j’étais encore prête à lui obéir, mon corps me disait stop mais mon esprit en voulait encore, et lui obéir ne me sembla pas désagréable. Je pris en bouche ce mélange de sperme et de bave, et l’avalai.
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