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Un défi

Chapitre 6

Travesti / Trans
Quand elle fut partie, je réalisai quel point j’étais frustrée. Je ne rêvais que de libérer mon sexe encagé, ou de jouir de quelque manière que ce soit. Je venais d’avaler une décharge de sperme pour la première fois ,et moi qui avais toujours été dégoutée par cette idée, j’avais bu avec gourmandise ce liquide visqueux. Je me sentais devenir chienne, poussée par la frustration; le fait d’être entièrement travestie, maquillée, d’avoir appris (même s’il m’en restait beaucoup à apprendre encore) me faisait bouillonner dans le bas du ventre une concupiscence qui n’avait que soif d’être étanchée.
Le vendredi soir arriva suite à deux défis plutôt faciles, et mon Maître m’ordonna de venir chez lui le vendredi et le samedi. J’y allai en Uber, en homme, impatiente d’utiliser mes nouvelles compétences de féminisation pour l’impressionner. Le rituel était que je sonnais, j’arrivais chez lui, et entrai directement dans la première pièce à ma droite. Il avait généralement disposé là une tenue que je devais porter pour la soirée, et de quoi me maquiller, et je me préparai. Une fois prête, je sortais le rejoindre, et m’agenouillais devant lui pour le saluer. Je me relevais lorsqu’il m’en donnait l’ordre.
Ce jour-là, la tenue était constituée d’une simple robe dont la jupe était très évasée, bleue marine à pois blancs; le haut était bleu marine à manches courtes, séparé par une ceinture rouge. Il m’avait mis de côté également une paire de bas noirs et des escarpins rouges à talons, assortis à la ceinture. Une perruque brune, de ma couleur de cheveux naturelle, taillée en carré, et une paire de fausses lunettes, complétait l’extérieur, tandis qu’un tanga en dentelle noire et un soutien-gorge assorti me serviraient de sous-vêtements.
Je me maquillai, m’habillai, puis allai le retrouver. Il m’accueillit en m’expliquant ma tâche du jour: être une maîtresse de maison modèle pour les amis qu’il invitait ce soir-là. le repas était prêt, je n’aurais qu’à faire le service et obéir à ses ordres. Pendant que je prenais connaissance de la liste des plats, de l’ordre du service, de la manière de mettre la table, il vaquait à ses occupations.
J’installai donc la table, et j’avais à peine fini lorsque les premiers invités arrivèrent, et que j’allai les accueillir avec cordialité.
— Bonsoir, bienvenue chez mon Maître. Puis-je prendre vos affaires?
(c’était le protocole qu’avait préparé mon Maître pour les personnes qui arriveraient ce soir-là). C’était un couple: un homme inconnu et la Patronne d’il y a quelques jours. Il me salua d’une petite tape sur la joue, alors qu’elle m’embrassa tendrement la joue.

Une dizaine de minutes plus tard, la sonnette retentit à nouveau: un autre homme entra, me confia ses affaires et me regarda avec intérêt.
Les cinq assiettes étaient disposées, et je pensai que tous les convives étaient là. J’accompagnai le dernier arrivé dans la salle à manger, et m’apprêtai à m’assoir, lorsque soudain, la sonnette retentit une nouvelle fois. Je compris alors que ma présence autour de la table de dîner n’avait jamais été envisagée, et que je n’étais pas censée manger avec les autres.
J’allais lui ouvrir, et sans rien faire remarquer à mon Maître, installai la convive qui venait d’arriver, puis commençai le service. je ne parlais pas, mais la discussion allait bon train pendant l’entrée. A la fin de celle-ci, mon Maître me dit:
— Puisque tu fais gentiment le service, présente-toi au moins. Sois extensive.— Bien Maître. Je me présente, je suis la servante, l’esclave et la chienne de mon Maître A. ici présent. Il m’entraîne à devenir sa femelle personnelle, accro à sa bite, et prête à satisfaire ses moindres désirs. Il a la bonté de m’entraîner à supporter la douleur, les humiliations pour être la plus parfaite possible pour lui.
Il me fit un geste, et je compris qu’il voulait pousser l’humiliation plus loin; avec un peu de crainte, je relevai ma robe; écartai mon string, et fis voir la cage rose qui enserrait mon clito.
— Il ne me laisse pas jouir ni prendre de plaisir avec mon clito pour que je sois disposée à accueillir sa bite et qu’être pénétrée soit la seule forme pour moi de plaisir sexuel. je le remercie, et à cet instant je vis dans ses yeux une lueur de fierté.
Je fis ensuite venir le second plat: une assiette de lasagnes végétariennes (le repas était simple, mais plutôt convivial), que je servis avant de me tenir droite dans un coin de la pièce, prête à intervenir pour servir si quelqu’un voulait un supplément d’eau, ou de vin. Lorsqu’ils eurent fini leurs plats, mon Maître m’ordonna de sortir une nouvelle assiette. Ils déversèrent tous les quelques restes dans cette nouvelle assiette, et mon Maître me dit: "Tu as de la chance: ton repas c’est ça. On t’en a laissé pas mal! Bon appétit".
Il posa l’assiette par terre et je m’agenouillai. Il ne m’avait pas donné de couverts, ni ordonné d’en prendre, ce qui ne pouvait dire qu’une chose: je n’y avais pas droit. Sous les regards amusés de l’assemblée, je me penchai sur l’assiette, et commençai à prendre les restes dans mes doigts, lorsque je sentis une claque sur ma fesse. "Je t’ai autorisée à utiliser tes mains? Mets-les dans ton dos". Je recommençai, mais la sauce tomate s’étalait sur mes joues; à chaque bouchée, les morceaux de légume glissaient plus loin, et je devais retourner les chercher. L’ensemble étant un reste de tout ce qu’avaient pris les invités et invitées, le tout était en vrac, et bientôt, mes joues, mais aussi mon nez furent maculés de sauce et de petits morceaux de pâte.
Je me relevai avec le peu de dignité qu’il me restait. Mon Maître m’attrapa le cou, me plaqua sur la table avec force et douceur à la fois, et je sentis quelqu’un baisser mon tanga, un doigt qui glissait sur mon anus en y appliquant un liquide froid, et finalement une poussée qui entra dans mon orifice. Un plug vint se placer dans mon cul, et la soumission que je sentais à cette situation me fit lâcher un gémissement. Mes parois étaient béantes, maintenues par la largeur d’un sextoy plus large que ce dont j’avais l’habitude. Il venait de m’être mis pas cette autre dame, que je ne connaissais pas, et qui frôla de ses doigts mes fesses, éveillant en mon échine un frisson qui me parcourut jusqu’au coeur.
— Dessert.
Je m’exécutai malhabilement, le plug rendant mes mouvements hasardeux, et les taons ne facilitant pas la tâche. Sur mon visage séchaient les restes de nourriture que je n’avais pas eu le droit d’essuyer. Enfin, le dessert fut fini, mais je n’avais pas le droit de m’essuyer encore; je devais faire la vaisselle, pendant que les invités se mettaient à l’aise. J’entendis très vite des bruits au salon qui ne laissaient pas de place au doute: des réjouissances avaient commencé. Mon sexe fut traversé d’un fourmillement, et tenta de durcir dans sa cage. Je devais également annoncer les cafés à l’aide d’une petite clochette quand j’auras fini, et leur amener sur un petit plateau, une fois que la vaisselle serait terminée. Ce la fut rapide, les plats étaient simples, mais je mourais d’envie d’aller voir dans le salon les ébats dont je n’entendais que le bruit.
Enfin, je tintai la clochette et amenai le plateau sur lequel étaient posées cinq tasses. Il était plus lourd qu’il n’y paraissait, et ma peau séchée par la souillure de la sauce tomate commençait à être désagréable.
Mon ouïe ne m’avait pas trompée: sur un canapé, la patronne de l’autre jour était à quatre pattes, mon maître, rhabillé pour l’occasion (et comme je le compris, pour ne pas encore me laisser voir son sexe) lui dévorait le clitoris par derrière, pendant qu’elle poussait des gémissements de volupté.
Allongé au sol était un autre invité, qui pénétrait vaginalement l’autre femme; celui qui était arrivé en dernier les regardait en se masturbant. Le plateau pesait lourd, mais je m’appliquai à ne pas laisser tomber quoi que ce soit. Au bout de quelques minutes, la patronne jouit dans une expression de béatitude qui m’émut. Ce fut comme un signal. On me fit poser le plateau, puis agenouiller. La femme qui n’avait pas encore joui s’assit dans un fauteuil face à moi, qui brûlais de détruire ma cage pour me masturber frénétiquement; j’aurais rêvé d’un simple contact, et ce fut ce que j’obtins: elle me fit agenouiller devant elle, et soupesa mes couilles de son pied.
— Ouvre la bouche, mo’ronna-t-elle, et je sentais qu’elle était sur le point de jouir. Les deux types se masturbaient, et le contact de son pied sous mes bourses m’électrisaient "tu n’avales pas avant que je te le dise, c’est clair?" je hochai la tête. Mon Maître me glissa à l’oreille que le pouvoir qu’elle exerçait était ce qui la faisait jouir et qu’elle n’aimait rien tant que faire durer une humiliation pour se masturber et maîtriser les actions de quelqu’un d’autre. Enfin le premier type s’approcha de ma bouche ouverte et déposa sur ma langue son sperme chaud et gluant, dont le goût ressemblait à l’ananas. Je luttai pour ne pas fermer la bouche et déglutir, lorsque le second vint également décharger dans ma bouche. Je montrai à la dame le résultat de ces deux éjaculations pendant qu’elle se touchait frénétiquement le clito du bout de l’index et du majeur. Après ce qui me sembla être une éternité, je réalisai que j’avais toujours un plug, le visage sali, une robe, et deux doses de sperme dans la bouche, et qu’elle continuait de soupeser mes couilles de son pied, ce qui me faisait venir la chair de poule et un désir absolu de lui plaire: "avale, salope!" je m’exécutai avec un rien de dégoût et la satisfaction de lui avoir plu, tandis qu’elle lâchait un râle sonore.
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