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Un défi

Chapitre 7

Travesti / Trans
On me fit lever, m’emmena dans la salle de bains, où l’on me fit agenouiller dans la douche. Là, je dus patienter, le visage encore maculé, le goût du sperme emplissant ma bouche, pas encore autorisée à me nettoyer. Je fus enfermée dans le noir, et attendis en entendant des rires s’élever du salon. Je me sentais à la fois sale, dégradée, et fière d’avoir rendu mon Maître heureux; fière également d’avoir surmonté mon dégoût du sperme, d’en avoir encore avalé, fière enfin d’avoir aidé cette belle femme à jouir.
Soudain, la porte s’ouvrit et une lumière m’aveugla. "On a décidé comment te nettoyer, petite chienne", me dit un des deux types qui m’avait utilisée tout à l’heure. "Ferme les yeux". Je compris immédiatement où il voulait en venir, et m’é-exécutai très vite. Aussitôt une chaleur poisseuse frappa mon visage pendant qu’il urinait en prenant bien soin de viser mon front. Le jet fit se décoller de mes joues quelques morceaux de lasagne qui restaient, fit couler encore mon mascara, et tomba sur ma robe dont la mousseline se colla à la peau de ma poitrine et de mon cou.
"Voilà, une bonne petite cochonne dans une porcherie. Montre-moi ton cul, petite cochonne", m’ordonna-t-il. Je me trouvai à quatre pattes face au mur carrelé, les murs de la douche si proches de moi que je ne pouvais faire un demi tour à moins de me relever, comme enfermée avec simplement mon cul à la vue de cet homme. Des gouttes d’urine coulaient de mon visage. Sa main se posa en haut de ma fesse droite qu’il caressa lentement, puis il serra les doigts pour empoigner ma chair, et un frisson me parcourt. Sans un mot, je sentis son pouce et son index se rapprocher de mon petit trou, attraper la base du plug qui me bouchait depuis tout à l’heure, puis lentement le tourner, ce qui provoqua dans mes sphincters dans étincelles de plaisir et de gêne mêlées. Enfin il saisit carrément le plug et, lentement, sans me faire mal, il le retira. Ce fut un soulagement et en même temps je me sentis soudain comme privée d’une part de moi.
"Ne bouge pas", m’intima-t-il.
Je sentis soudain une nouvelle petite chose dans mon anus, un objet rigide qui s’inséra lentement.
"Je vais te faire un lavement, ça va t’être bien utile pour demain. Tu es prête?-Oui, Monsieur.
Je sentis alors de l’eau tiède lentement versée dans mon anus, emplir peu à peu ma cavité. Après quelques secondes, peut-être deux minutes au plus, il me fit accroupir et je pus relâcher l’eau dans le siphon, dans un soulagement certain. Il sortit, fut remplacé par mon Maître, et ce dernier me fit insérer un nouveau plug, plus large que le précédent. Puis il me passa sous l’eau froide, toute habillée. le froid mordit ma peau, mes sens, les habits me collaient encore plus à la peau que précédemment, le plug occupait une part non négligeable dans mon anus, et je sentis que la fatigue de ce service intense commençait à me peser. Il me fit ensuite enlever ma robe, ma perruque, et me permit de me laver vraiment. Je sortis de la douche devant lui, nue, n’ayant pour tout vêtement que la cage de plastique rose qui enserrait ma bite depuis déjà plusieurs semaines et m’avait interdit si longtemps la moindre érection (avec l’exception notable de l’avant-veille). Il rattacha ma laisse à mon cou, me tendit une paire de bas, une paire de taons hauts, me fit mettre à quatre pattes, et je sortis de la salle de bain ainsi, devant les quatre convives. qui semblaient plongés et plongées dans une grande discussion.
Il s’assit, me fit allonger sur ses genoux, et les yeux se fixèrent sur mes fesses. Ma nudité me semblait une vulnérabilité totale. Ils et elles me voyaient parfaitement, sans artifice, alors qu’étant habillés, une protection s’offrait contre mes regards. Mes fesses, levées sur les jambes de mon Maître, saillaient et appelaient à la fessée que j’allais prendre ("une fessée et au lit", me disais-je au fond de ma tête). Mes mains, comme mes pieds, touchaient à peine le sol, mes jambes et mes bras étaient tendus. Je tournai la tête, mais ne voyais pas bien ceux qui allaient être témoins de ma fessée rituelle. La position était inconfortable pour moi, mais j’étais sûre que mes jolies fesses rebondies étaient le point où convergeaient tous les regards.
Mes réflexions furent interrompues par un claquement sonore et une douleur cuisante sur ma fesse gauche. A peine eus-je le temps de comprendre que ma fessée avait commencé que j’en subis une autre. Nous avions avec mon Maître un safeword que je n’avais jamais eu à utiliser; dès la troisième claque, je compris que e ne l’avais jamais utilisé parce qu’il s’était toujours retenu. A chaque coup, je sentais une brûlure subite sur ma fesse, qui ensuite se fondait dans les brûlures plus diffuses qui l’avaient précédée; mais avant qu’elle ait eu le temps de les rejoindre ne intensité, la main s’abattait à nouveau et ajoutait une douleur qui se démarquait des autres. je perdis le compte de tous les claques que mes fesses prirent. Au début, je serrais les dents et tentais de ne pas me plaindre pour faire l’admiration de mon Maître, mais au bout d’un temps que je ne saurais pas quantifier, une nouvelle fessée, jetée entre mes deux fesses maintenues écartées me fit exhaler un petit cri plaintif.Ce coup fut la vanne qui ouvrit le torrent. Soudain, chaque claquement était accompagné d’un "ah!" ou d’un "aïe" incontrôlable sortant de ma poitrine, et des larmes, peu à peu, coulèrent sur mes joues. Je tentais de résister, de les retenir, mais mes fesses étaient brûlées, et je sentais dans le silence total des témoins de cette scène le plaisir qu’ils prenaient à me voir tourmenter.
Le martelage s’arrêta. Je soufflais, et de véritables sanglots me submergèrent dans le relâchement de ma concentration. Mon Maître me glissa un "merci et bravo" dans l’oreille. Je me relevai, toujours larmoyante, et mon Maître me montra dans dans un miroir mes fesses: elles étaient d’une couleur oscillant par endroits entre l’écarlate et le mauve.
La Patronne me siffla; e m’approchai d’elle, et elle me fit mettre sur ses genoux à son tour. Mais alors que je craignais le retour des coups sur mes fesses meurtries, je sentis sa main m’étaler une crème froide et réconfortante sur l’ensemble des mes globes; Sa main douce passait à plat de tous côtés de mon cul; de l’extrémité où la fesse rencontre le fémur au centre, autour de mon plug. Elle me caressa un long moment, et la douleur qui avait pris tout mon corps fut un peu soulagée par la douce crème qu’elle mettait sur mes fesses et qui semblaient une eau, fraîche mais pas froide, pour calmer l’incendie qui me recouvrait. Ses longs ongles grattaient délicatement ma peau, et ma nudité me sembla soudain être une marque du bien-être absolu que je ressentais. Les regards fixés sur moi (et je m’aperçus que je gémissais au contact de ses mains) m’enveloppèrent avec tendresse, et, pendant les quelques minutes où je restai sur les genoux de cette femme, je me sentis comme sur un nuage. Les regards m’accompagnèrent jusqu’à ce que, quelques instants plus tard, je fusse envoyée me coucher dans une chambre sommaire qui contenait en tut et pour tout un matelas mince à même le sol.
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