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Défis de couple

Chapitre 3

Divers
Défi de couple : 3 : Une soirée au restaurant Arnault et moi nous sommes longuement parlés les jours qui ont suivi et je lui ai raconté ma soirée chez notre vieux voisin. Il avait reçu les photos de moi et les a vraiment appréciées.Je lui ai également parlé des livres que le vieux m’avait prêtés et que j’avais déjà lus, et je lui ai montré les plus belles photos des deux albums que je consultais chaque soir. Je ne pouvais m’en détacher, en réalité. J’étais comme fascinée par ces filles sublimes qui se livraient entièrement dans des poses extrêmes avec parfois des accessoires très particuliers.Arnault m’a lancé un nouveau défi. C’était simple : Je devais accepter cette invitation au restaurant. Il me conseillait, en outre, de m’excuser auprès du vieux pour mon ivresse et, selon lui, je devais veiller à ne pas recommencer pour pouvoir garder le contrôle de la situation. J’étais parfaitement d’accord sur ce point. La lucidité était la première règle à respecter dans ce genre de petit jeu. Je sentais bien, au ton de sa voix, qu’il était consterné et déçu par mon attitude. Je sais qu’il a horreur de me voir boire trop.Je lui ai demandé pardon en lui promettant de ne pas recommencer. Le soir venu, je me suis préparée pour cette soirée. J’ai délibérément choisi de porter la même petite robe et, par en dessous, un combiné en soie noire, des escarpins à hauts talons, un maquillage pour souligner mes yeux, une étole beige, un collier de fines pierres noires. J’étais hyper sexy, au moins autant que ces modèles des albums du vieux qui me rendaient folle de jalousie.La veille au soir, j’avais relu une sorte de polar, un prétexte pour raconter une histoire érotique, très érotique même, puisqu’une jeune femme de diplomate, très belle, est devenue l’esclave sexuelle d’un maquereau chinois ignoble, violent, obèse et très laid. Elle doit, au cours d’un effeuillage, se présenter et exposer ses « spécialités sexuelles ». Elle exhibe une cravache et annonce qu’il pourra l’utiliser s’il n’est pas satisfait d’elle et qu’il peut même en user s’il le souhaite car, dit-elle au savant médusé et écarlate: « Je suis encore plus excitante après avoir pleuré! »Ce livre m’a tellement excitée que je me suis caressée en lisant et relisant ce passage. J’en ai parlé à Arnault qui m’a demandé, avec un rire moqueur, de préparer un striptease comme celui là, pour son retour. Ce soir là, nos échanges devant nos caméras ont été torrides.J’étais prête. J’ai interrompu le fil de mes pensées et je suis finalement descendue dans le hall de l’immeuble juste au bon moment pour voir le taxi arriver. Quelques instants plus tard, le vieux Schuller est péniblement sorti de l’ascenseur et, après m’avoir salué et remercié avec la plus parfaite civilité, il a croché d’autorité mon bras gauche pour me conduire, en boitant bas, vers le taxi. Il s’appuyait lourdement sur moi et sa masse me heurtait à chaque pas. Je devais caler mon pas sur le sien pour amortir les chocs.Le chauffeur nous a ouvert la porte de son véhicule, a aidé le vieil homme à s’installer et son professionnalisme lui permit de contenir la moue de répulsion qui s’était dessinée sur son visage à la vue du physique de son client. SCHULLER lui a donné le nom du restaurant : le « Relais de P. » à N., puis sa main s’est emparée de la mienne.
C’était parti ! Du calme, ma fille, tiens-toi tranquille ! Ce n’est qu’un jeu, après tout ! Pendant le trajet d’une bonne vingtaine de minutes, étrangement, il a gardé le silence et la main posée sur la mienne, sans plus. Je ne la bougeais pas. Il devait vouloir me ménager. Nous étions installés, c’est vrai, dans un taxi et le vieux voulait certainement se tenir correctement.En arrivant, et alors que le chauffeur sortait pour ouvrir la portière arrière gauche pour lui permettre de s’extirper de son siège, il s’est adressé à moi : « Très chère voisine, vous être encore plus élégante qu’hier soir et je remarque que vous avez su tenir compte de mes petites suggestions vestimentaires! » Effectivement, mon haut était ouvert comme il l’avait suggéré et en bas, quatre boutons étaient dégrafés. Ma cuisse se dévoilait à chaque pas.Je ne pouvais dire mot et me suis contentée d’une esquisse de sourire. J’ai dû, en réalité, faire une grimace tant j’étais mal à l’aise. Pas facile de s’exhiber au bras du grand-père de Quasimodo! Nous nous sommes rendus vers la porte d’entrée du restaurant, un établissement bourgeois du style relais de campagne et à la décoration bâtie sur un modèle vieillot mais chaleureux. Je me tenais un peu à l’écart tant j’avais peur qu’on me prenne pour la maîtresse de ce vieux cachalot.On nous a guidés vers une table située derrière un rideau de plantes qui formait une sorte d’alcôve de verdure. Nous nous sommes assis non pas l’un en face de l’autre, mais à cause de cette disposition particulière de la table, l’un à côté de l’autre ; le vieux SCHULLER à ma gauche, position qui de toute évidence favorisait, du fait de ses différents problèmes physique, son confort personnel. Il penchait vers moi et je sentais son corps balancer vers le mien.Une coupe de champagne nous a été servie puis la serveuse est partie chercher les cartes. Je me suis immédiatement excusée platement pour mon comportement lors de la dernière soirée chez lui et l’ai remercié pour son invitation et pour les livres qu’il m’avait prêtés.A peine la serveuse avait-elle tourné le dos que la main du vieux est passée sous la table pour se poser sur mon genou. Ne pas réagir ! Le défi l’exige. Nous avons parlé des livres et des photos des albums et, à sa demande, je lui ai promis de poser pour lui à nouveau si cela lui faisait plaisir. «… mais uniquement des photos sages, » ai-je ajouté !« Bien évidemment, très chère ! Je n’oblige jamais un modèle à faire ce qu’elle ne peut supporter et il en sera de même pour vous! Vous ferez ce que vous pourrez, au fur et à mesure. » Sa main, elle, se faisait de plus en plus hardie sous la table. Par réflexe, j’ai réagi en tentant de la repousser un peu, tant j’avais peur que quelqu’un aperçoive ce manège et me voit me laisser tripoter par ce vieux bonhomme affreux.« Je vous en prie ! »Il a posé sa main sur la mienne en un geste qui se voulait rassurant mais sa main, aux doigts grêles et trop longs, est de suite revenue sur mon genou découvert qu’elle a caressé en cercles légers. Comme je réagissais à nouveau, il a tenté de me rassurer en me glissant à l’oreille: « Soyez tranquille, je vais être discret ! » et il a immédiatement tenté de remonter ma robe jusqu’à mi cuisse. J’ai eu un nouveau geste de recul : « S’il vous plaît ! » Il a répondu de manière ambigüe: « Je ne fais rien d’autre, ma chère, que ce que vous acceptez que je fasse !»Je suis restée sans réaction devant cette réponse très subtile et il a poursuivi son petit manège sous la table. J’ai mordu ma lèvre inférieure. Eh oui, j’étais coincée par la règle du défi. J’ai alors fait remarquer que quelqu’un pouvait percevoir son manège. A cet instant, j’ai rougi et baissé le regard et j’espérais confusément que la possibilité d’être surpris par des regards curieux allait calmer ses ardeurs.« De ce côté, rien à craindre, ma chère, car la nappe tombe presque jusqu’au sol, vérifiez ! »C’était vrai et, en plus, la masse corporelle de mon voisin nous dissimulait totalement au regard des autres clients attablés. De vieux couples, silencieux pour la plupart, comme absorbés par leurs assiettes. Il avait bien répondu et je devais maintenant le laisser faire pour respecter les règles du défi.Je n’avais plus le choix. Sa main parcourait toujours ma cuisse, sur le tissu de ma robe, en effleurements légers dont les cercles lents déclenchaient, que je l’accepte ou non, des frissons irradiant jusqu’au creux de mes reins puis, devant ma passivité, sa main a pris position de manière plus ferme et a dégrafé, un à un, plusieurs boutons de ma robe. Ensuite, elle a soigneusement rabattu les pans de tissus de part et d’autre. Puis il s’est penché vers moi et à sa demande, j’ai dû décroiser et écarter mes jambes pour faciliter son entreprise.Sa main est de suite venue se caler le plus haut possible, entre mes cuisses, pour tenter d’atteindre mon intimité. Pour relever le défi, je devais le laisser faire à sa guise.Le vieux s’est encore penché vers moi pour coller sa bouche contre mon oreille : « Ecartez un peu ! » J’ai senti son haleine et retenu mon souffle. Il devenait exigeant, ce vieux cochon !J’ai obtempéré et ouvert mes jambes. L’un de ses doigts a immédiatement entrepris de savourer, délicatement, le tissu soyeux de mon string. Il en était revenu au même point que la dernière fois. Manière d’assurer sa maîtrise de la situation ? A cet instant, j’ai ressenti une sensation de panique et une goutte de sueur a dévalé la ligne de mon dos. De toute évidence, il allait bien plus vite que chez lui. Il était plus incisif. J’avais peur de ne plus pouvoir contrôler la situation. Pourquoi ce sentiment de panique, alors qu’il ne faisait rien de plus que ce qu’il avait déjà fait chez lui. Parce que nous étions en public, dans un restaurant ? Parce que j’étais parfaitement lucide ?Il fallait surtout que je me calme un peu. Ne pas réagir et supporter cette main, supporter ces doigts, supporter tout, pour réussir ce défi.« Après tout, il ne te fait pas mal, ma fille et ce n’est qu’un petit jeu! En plus, avoues-le, la situation et ces petits attouchements sous la table sont très excitants, non ? », me suis-je dit. Cela a duré quelques instants, jusqu’à ce que la serveuse revienne avec la carte du menu. Sa main s’est alors retirée.-« Si vous le permettez, je vais choisir pour vous, très chère ! »-« S’il vous plaît ! » De toute façon, j’étais dans un tel état que faire autrement était impossible.La commande enregistrée, sa main est vite revenue sous la table. Bien évidemment, mes jambes avaient par réflexe, pendant ces quelques instants de répit, repris une position plus confortable.Sans que je réfléchisse et à la seule sensation du poids de sa main, elles se sont écartées à nouveau. Cette réaction instinctive et servile me fît peur : « Quelle conne, je suis ! Pourquoi avoir fait cela ? »Il a apprécié et il m’a remercié: « Merci, très chère ! »Son doigt insistait sur le triangle de soie, appuyait même un peu sur la fente, y enfonçait le tissu trop fin et désormais trop humide à mon goût, et déclenchait des frissons réflexes de plaisir corporel et j’ai dû me retenir pour ne pas me cabrer. -« S’il vous plaît ! Cela devient gênant. »Il m’a répondu : « Je comprends, mais puisque voulez que j’arrête un peu, il faut me promettre de retirer bientôt votre minuscule et inutile culotte ! Avant le dessert, vous vous rendrez aux toilettes pour vous en libérer et vous la glisserez dans la poche de ma veste. »J’ai marqué une hésitation assez longue qui l’a amené à réagir. « Alors ? »-« Je ne sais pas. Je n’ai jamais fait cela, monsieur. Nous sommes dans un restaurant et je suis mariée. » Il a ricané en tapotant le dos de ma main posée sur la table : -« Là ! Là ! Allons ! Ne faites pas l’enfant ! »Il a insisté : « Acceptez ce que ma vieille amie vous supplie de faire et elle sera parfaitement sage d’ici là. Elle le promet. »D’un timide signe de tête, j’ai acquiescé. De toute façon, je n’avais pas le choix et j’avais limité les dégâts, au moins pour le moment et sans sortir du jeu. J’ai remarqué qu’il faisait de sa main, cette espèce d’araignée glacée aux longues pattes crochues, un personnage indépendant et, dans mon esprit, cela contribuait à rendre la situation plus trouble encore. A la fin du plat de résistance, il s’est extirpé difficilement de son siège pour me libérer le passage. « Ne vouliez-vous pas vous faire une beauté ?»Sans rien dire, je me suis levée. Je ne pouvais fuir cette épreuve.Ce passage aux toilettes m’a permis de me rafraîchir le visage, de reprendre un peu mes esprits, de parfaire mon maquillage, de retirer mon string et de le ranger dans ma pochette et, surtout, de prendre le temps de passer une lingette sur mon sexe humide et brûlant. Mon ventre se tordait. D’angoisse ou de plaisir ? Je n’ose le dire. Je en savais plus trop où ‘en étais en fait. Cette situation me rendait folle.Je suis revenue vers la table, une boule chaude nichée au creux de l’estomac. Il s‘est levé, j’ai repris place et sous la table, comme il l’avait commandé, j’ai glissé mon string dans la poche de sa veste. Ma main tremblait en exécutant cette demande. Il m’a remerciée et sa main est passée sous la table. Elle n’a pas eu le temps d’aller loin puisque la serveuse a amené le dessert. A peine cette femme est-elle repartie que la main du vieux a repris possession de son territoire. Mes jambes se sont de nouveau écartées sous la pression de l’araignée: geste de vaincue ou geste d’offrande, d’excitation ? J’ai préféré ne pas creuser cette question.Ses doigts ont pris plaisir à effleurer ma peau, du genou jusqu’à la fente de mon sexe et, par réflexe, j’ai basculé légèrement mon bassin pour leur ménager un passage plus aisé. Pourquoi avoir fait cela ? Je me suis rendue compte de la stupidité de cette réaction physique. Il ne m’avait pourtant rien demandé. De son côté, il a apprécié et d’un index volontairement délicat, pendant que je mangeais mon dessert, comme il l’avait promis, il a procédé par doux effleurements sur l’intérieur de mes cuisses, mes lèvres et ma fente, sans jamais cherché à pénétrer plus avant. La douceur même de ses gestes devenait difficile à supporter et mon bas ventre appelait, à la fin, une gestuelle plus directe. J’avais honte de ressentir cela. La chair, surtout la mienne, est décidément très faible !Comme je terminais mon dessert, il a relevé sa main, comme il l’avait promis promis. Je me suis rendue compte que je ne m’étais pas précipitée pour manger, loin de là. « Une femme bien élevée ne se goinfre pas, » me suis-je dit.Cette réflexion m’a fait rougir un peu plus. Il s’est tourné vers moi.« Nous allons en terminer pour ce soir, mais je vous attends très bientôt chez moi autour d’un verre. Je vais régler l’addition. »J’ai rapidement rajusté ma robe en remettant trois ou quatre boutons en place. Il a appelé la serveuse, puis a demandé la note, a payé et nous avons quitté ce restaurant. « Si Arnault m’interroge sur le menu », me suis-je dit, « je vais avoir bien du mal à lui répondre. »Dehors, sr le parking, il a croché mon bras. Un taxi nous attendait déjà. Le retour a été silencieux. Un répit bienvenu car j’avais hâte de rentrer chez moi, de me reprendre un peu et de relater tout cela à Arnault. La main droite du vieux s’est posée sur mon genou découvert puis, plus haut, sur le tissu de ma robe pour y jouer un peu, sans plus, et un doigt agile s’est faufilé entre deux boutons pour parcourir ma peau en cercles délicats qui déclenchaient en moi des frissons de l’ensemble du corps.Je l’ai aidé à descendre de voiture et à regagner l’ascendeur de notre résidence. Il m’a demandé d’appuyer sur le bouton correspondant à mon étage. Profitant de mon dos tourné et de l’étroitesse de l’ascenseur, il a laissé ses doigts parcourir ma nuque et descendre jusqu’au bas de mes reins. J’avais l’impression qu’un insecte s’amusait à parcourir la ligne de mon dos et j’ai physiquement réagi, ce qu’il a évidemment remarqué, puisqu’il a recommencé à plusieurs reprises, jusqu’à ce que la porte de l’ascenseur s’ouvre devant moi. Sa main en griffe s’était finalement posée sur mes fesses comme si elle voulait s’immiscer dans le sillon à travers le tissu. Il respirait fort et son haleine emplissait l’espace de la cabine. Je me suis dégagée lentement en dégageant mon bassin d’un geste souple de danseuse en lui disant au revoir, puis je me suis dirigée vers la porte de mon appartement. Je lui tournais le dos, n’osant plus le regarder. Je sentais le poids de son regard au bas de mes reins. Je cherchais ma clé. Evidemment, elle était enfouie au fin fond de mon sac à main.Il m’a interpellée d’un ton sec, impérieux : « Relevez votre robe ! » J’ai sursauté car je ne m’attendais surtout pas à cela. Je me suis reprise. Le jeu n’était pas encore fini, c’est vrai et le défi continue.Je tremblais de peur, de honte et d’excitation, aussi. « Et si quelqu’un arrivait ? » mais, des deux mains, j’ai relevé ma robe jusqu’à ma taille, et l’ai maintenue ainsi, du mieux que j’ai pu. Je n’osais pas bouger et retenais le tissu du bout des doigts. J’ai attendu qu’il réagisse, en tremblant. « Qu’allait-il me demander de faire, après cela ? » Il en a bien profité, a pris des photos avec un petit appareil numérique puis, après qu’il ait pris tout son temps, il m’a demandé de me retourner, robe relevée. Il a pris de nouveau deux photos puis m’a salué d’un air narquois et la porte de l’ascenseur s’est refermée sur sa silhouette. Je tremblais bien sûr, mais surtout, je mouillais et mon ventre appelait un sexe, «n’importe lequel » me suis-je dit. « Même le sien ? » En état second, j’ai finalement laissé retomber le tissu et, après avoir retrouvé la clé de mon appartement, j’ai ouvert la porte. Mon cœur battait trop vite, comme emballé et je n’arrivais pas à me calmer. Que d’évènements à raconter à Arnault !Je lui ai longuement relaté la soirée, je lui fait part de mes sensations et de ms interrogations et il m’a juste fait remarquer, à juste titre, que mon corps et mon esprit avaient accepté les attouchements et les exigences du vieux et avaient même appelé des gestes plus directs. Ce qu’il disait là était parfaitement vrai. Il m’a fait confirmer que j’avais mouillé lorsque le vieux cochon avait exigé que je relève ma robe devant notre porte, pour mater mon cul et plus encore.Pendant une bonne heure, nous avons fait le point et il en ressortait que confrontée à ce défi, j’avais ressenti un plaisir très intense à accepter les exigences de ce vieux cochon et à les satisfaire, même lorsqu’il m’avait demandé de relever ma robe.Au regard de mon chéri, juste avant qu’il ne coupe la communication, j’ai compris que d’autres défis m’attendaient déjà. « Toujours avec notre ignoble voisin ou avec d’autres ? » « L’avenir me le dira. » Ai-je pensé avant de m’endormir.
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