Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire vraie
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 133 J'aime
  • 14 Commentaires

Défis de couple

Chapitre 4

Divers
Quatrième défi : Femme amoureuseLe temps a passé, plusieurs semaines se sont écoulées. Notre voisin a dû être hospitalisé en urgence. Il a été opéré puis il est parti en maison de convalescence. Il semble que sa santé ne s’améliore que lentement et, à sa demande, une partie de ses livres coquins et ses albums photos ont été déposés chez nous par l’un de ses amis.Nous attendons son retour Arnault et moi, et nous sommes inquiets.Un soir, Arnault, qui était rentré de mission depuis quelques jours et était parti se promener en ville, m’a téléphoné pour m’inviter au restaurant. Il tenait à me récupérer en bas de notre immeuble, une demi-heure plus tard. J’avais donc juste le temps de me doucher et de m’habiller. A l’heure prévue, j’étais en bas de notre immeuble et j’ai vu sa voiture se garer juste devant la porte d’entrée. Il est descendu pour ouvrir et tenir ma portière et je me suis installée. Il m’a dit que j’étais très belle et qu’il avait beaucoup de chance de m’avoir épousé. J’avais mis une petite robe claire et légère, une paire d’escarpins assortis et je m’étais parfumée avec son parfum préféré pour lui faire plaisir. Dans la voiture, sa main s’est naturellement posée sur la mienne et il a joué avec mes doigts tout en conduisant. Je ressentais des fourmillements dans mon bas ventre. Profitant d’un petit embouteillage, j’ai posé sa main sur ma cuisse en ouvrant un peu les jambes. « Tu sais, j’aime bien quand tu fais cela! » Il m’a regardée avant de répondre : « Alors, je vais le faire plus souvent, d’accord ? » Il attendait maintenant ma réponse. J’ai avalé ma salive et là, j’ai répondu d’une voix mal assurée. « Oui, je trouve cela sympa. » Nous étions arrivés au restaurant, celui où nous sommes allés pour notre première sortie en amoureux, et il a garé la voiture puis nous sommes descendus pour rejoindre notre table : une belle table décorée à l’ancienne avec des chandelles et située sur la grande terrasse ombragée de tilleuls qui offre un point de vue magnifique sur le fleuve, la ville et ses lumières. Nous avons passé une très belle soirée et lorsqu’il s’est levé pour déposer un petit baiser sur mes lèvres, j’ai trouvé son petit geste très romantique. J’étais aux anges, folle amoureuse de lui et j’avais hâte d’être à la maison et de me donner avec fougue. Il est revenu s’asseoir et il m’a servi un verre de vin, un Graves exceptionnel, pour trinquer à notre amour. J’ai levé mon verre et l’ai remercié. Il tournait son verre entre ses doigts. « Dis, ça te dirait de relever un petit défi, pour nous exciter un peu avant que l’on rentre à la maison, ce soir ? » Il me fixait à travers son verre couleur de rubis et je voyais son visage déformé et les jolis reflets irisés du vin sur la nappe. En fait, je crois que je n’attendais que ça, ce genre de proposition: « Oui, si tu veux !» Il faisait tourner son verre. Je regardais sa main et le reflet des chandelles sur le verre. C’était très beau. « Le défi est très simple : tu fais tout ce que je dis. Tant que ce petit jeu t’amuse, on continue, mais si tu es gênée, si cela t’ennuie, on arrête tout de suite, bien évidemment. Alors qu’en dis-tu ? Ca te dit de tenter le coup?» Je le regardais. Il était visiblement excité, je le voyais bien à son regard et moi, je l‘étais autant que lui ; peut-être plus, je crois bien.
J’ai quand même un peu rougi avant de répondre : « D’accord, je veux bien. » Après tout, qu’est ce que je risque et puis c’est effectivement très coquin, très excitant, ce genre de petit jeu. J’étais même ravie qu’il ait osé me proposer de jouer ce soir là. J’y voyais une reconnaissance de notre complicité amoureuse et j’en étais flattée. Il a dit, d’une voix bien posée, parfaitement calme: « Dégrafes deux boutons de ta robe, en haut. » Il me regardait, d’un air un peu inquiet, certainement pour voir comment j’allais réagir à cette première injonction mais j’ai immédiatement dégrafé deux boutons pour jouer le jeu. J’ai regardé mon mari : « Comme ça ? » « Oui, et maintenant écarte un peu que je vois ton soutien gorge. » Il me souriait. Cela devenait de plus en plus excitant et là encore, j’ai fait ce qu’il m’a dit. En plus, notre table était isolée des autres et nous ne risquions pas grand chose. Nous étions entre nous et nous vivions une très belle soirée. Mon col était désormais très ouvert et en penchant juste un peu ma tête vers mon assiette, j’ai très nettement vu la dentelle de mon soutien gorge et le lien renforcé entre les deux bonnets. « Un autre! » Je lui ai souri et ma main est venue dégrafer ce bouton.Arnault a attrapé son téléphone et a pris plusieurs photos. J’étais trempée, je sentais une goutte de sueur couler le long de mon dos, mon cœur battait bien plus vite.« Tu portes une petite culotte ? Réponds en m’appelant monsieur !» Cela devenait de plus en plus excitant et j’ai répondu immédiatement. « Oui, monsieur ! » « Bon, poses la sur la table, là, juste devant ma main. » Waouh ! Enfin, je vivais mon rêve interdit avec une intensité inégalée ; un moment de pure magie, un peu comme si je jouais dans un film érotique. Je n’avais aucune réticence à faire ça mais un petit problème technique se posait quand même. Là, nous n’étions pas à la maison ou dans le parking de notre résidence: Comment allais-je faire ? Je n’avais pas du tout envie que l’on nous surprenne. J’ai jeté un coup d’œil inquiet aux alentours et, bien vite, j’ai été rassurée.La nuit était installée et il faisait sombre sur la terrasse. En plus, la première table occupée était à plusieurs mètres de nous. J’ai donc relevé ma robe sous la nappe, je me suis un peu redressée comme si je voulais me lever et mes mains sont prestement allées sous le tissu pour attraper mon string et le faire glisser jusqu’à mes chevilles. Je suis parvenue à le dégager en me contorsionnant un peu, puis je l’ai posé sur la table, juste devant sa main. Il m’a remercié et l’a empoché. J’étais satisfaite, fière de ce que j’avais fait, soulagée en tout cas. « Tu es excitée ? » « Oui, monsieur ! » « Bien, alors caresse-toi sous la table. » J’avais envie de faire cela, moi aussi, vraiment, et je mesurais que j’allais faire quelque chose que je n’aurai jamais imaginé faire un jour dans un lieu public et, en plus, personne ne pourrait voir mon petit manège. Le plaisir sans véritable risque, pourquoi se priver ?« Oui monsieur.» Mes doigts ont atteint ma fente pour la caresser. « Alors ? Dis-moi, ça te plait de faire ça? » « Oui, monsieur ! » « Alors, maintenant, écarte tes jambes que je prenne des photos sous la table ! » J’ai fait comme il le demandait et il a pris quelques photos avec son téléphone. Sous les douces caresses de mes doigts, j’ai fermé mes yeux à demi mais je voyais quand même qu’il me regardait faire, qu’il ne me quittait pas des yeux.J’étais de plus en plus excitée, presqu’au bord de la jouissance, lorsqu’il m’a dit que je pouvais relever ma main. J’ai ressenti le besoin de reprendre mon souffle. Il m’a tendu le téléphone. « Tiens, regarde les photos ! » J’ai pris le téléphone posé à côté de ma main et j’ai regardé les photos. C’était très excitant et parfaitement anonyme, en tout cas pour les plus hards. « Laisse tes mains sur la table et répond à une question ? J’ai bien envie de t’emmener voir un copain. Tu sais, le vieux Pierrot, celui dont je t’ai parlé souvent. Celui-là, j’ai envie qu’il voit comme tu es belle. Si tu es ok, tu te lèves et on y va ? » J’avais le feu aux joues et aussi une grosse envie de faire pipi. « Bon je vais te donner ma réponse mais je vais d’abord aux toilettes.» Je me suis levée pour aller, comme on dit dans ces cas là, me refaire une beauté. Devant le miroir, après m’être lavée les mains, je me suis remaquillée et j’ai réfléchi. « Que devais-je répondre ? Oui ou non ?» Je savais que j’avais le choix d’accepter ou de refuser car, là, de toute évidence, on allait certainement aller plus loin dans le petit jeu de ce soir. Lorsque je suis revenue à table, Arnault avait déjà payé l’addition et nous étions prêts à partir. J’ai risqué le tout pour le tout, et je me suis levée. « C’est bon, je suis prête. On y va. » Nous avons regagné la voiture, main dans la main, en amoureux. J’étais comme épuisée par toute cette tension sexuelle accumulée et ma tête s’est posée sur son épaule. Il m’a embrassé du bout des lèvres.« Tu es sûre ? Tu veux y aller?» J’avais envie de lui et aussi, je ne le cache pas, de continuer à jouer ce jeu et j’ai répondu rapidement : « Oui, on y va ! » « Ok ! Il habite à 10 minutes en voiture, à peine. » Il a pris son téléphone portable et a appelé son copain qui a décroché rapidement. « Salut Pierrot, alors, comment tu vas ? Dis, je suis dans le coin avec ma femme, on sort du resto et on a eu l’idée de passer te voir. C’est bon ? On ne te dérange pas au moins ? Ah bon, t’es pas encore couché, ca tombe bien, on va te tenir compagnie une petite heure. Allez, à tout de suite, on arrive ! »Il a pris une petite route de campagne et nous sommes arrivés chez son copain, une belle maison en pierres de tailles entourées de vignes au fin fond d’un chemin de terre bordé de tilleuls. Il a garé la voiture juste devant la maison. Il faisait sombre mais une lanterne suspendue au-dessus de la porte d’entrée s’est allumée pour éclairer la cour. Il m’a regardée. « On y va ? »Je tremblais un peu de peur, bien sûr, car je ne savais pas vraiment ce qu’il allait me commander de faire en présence de son copain mais j’étais tellement excitée par ce petit jeu que je m’étonnais moi-mêmeJe transpirais et je mouillais. Je le sentais. J’avais envie qu’il me prenne, là, de suite, pour en finir avec toute cette tension accumulée. J’ai répondu, d’une toute petite voix : « Oui, c’est d’accord! » Je sentais l’adrénaline monter encore en moi et une formidable sensation m’envahissait totalement. Il est venu ouvrir ma portière et je suis descendue de la voiture ; mes jambes tremblaient. La porte s’est ouverte et nous sommes entrés. Pierrot a salué mon mari qui m’a présentée. « Pierrot, je te présente Lisa. Je lui ai souvent parlé de toi. Elle avait envie de te connaître. » Pierrot, un vieux type aux yeux gris bleus, habillé d’une manière quelconque, en noir et gris, un peu comme un paysan, sec et noueux comme un ceps et peut-être un peu plus petit que moi, m’a serré la main. Mon mari a rigolé. « Allez, oh ! Fais lui la bise voyons, on est entre nous ! » Pierrot est venu plus près de moi et m’a fait la bise puis il nous a emmené dans la salle à manger salon, une pièce assez grande et meublée à l’ancienne avec, au fond, une grande cheminée en vieilles pierres. Il régnait, dans cette pièce, une atmosphère de calme et une odeur agréable de cendre, de bois, d’encaustique, de café, de tabac. Il avait d’ailleurs préparé un café et nous a fait asseoir sur son grand canapé de velours râpé tandis que lui s’est assis dans un fauteuil, en face de nous, de l’autre côté de la grande table basse en chêne ciré. La cafetière était posée sur cette table. Mon mari, m’a demandé gentiment de faire le service. Je me suis levée et j’ai dû me pencher un peu pour verser le café dans les trois tasses. Ce faisant, j’ai mieux compris pourquoi il m’avait demandé de servir le café car j’ai de suite ressenti le regard de Pierrot sur mon buste. Il faut dire que l’échancrure de mon haut devait lui permettre de mater mon soutien gorge et la naissance de mes seins sans problème. Ensuite, j’ai servi à chacun un petit verre de marc puis je me suis assise à côté d’Arnault. Malgré mes efforts, je ne parvenais pas à ralentir les battements de mon cœur qui cognait bien trop fort dans ma poitrine. Les deux hommes, eux, semblaient calmes et parlaient tranquillement, puis Pierrot s’est levé pour aller chercher son paquet de cigarettes. Je tremblais de tout mon corps. Arnault s’est adressé à moi en chuchotant.« Deux boutons en bas ! » J’ai frissonné puis, sans réfléchir, j’ai répondu : « Oui, monsieur. » Pierrot avait le dos tourné et fouillait dans le tiroir de son buffet à la recherche de ses cigarettes. J’en ai profité et me suis dépêchée de faire ce qui m’avait été demandé. Ma cuisse était maintenant bien découverte. « Un autre! Vite ! » « Oui, monsieur ! » Pierrot avait trouvé son paquet et revenait vers nous. J’ai retiré un autre bouton et là, toute ma cuisse était offerte. J’ai mordu ma lèvre inférieure. J’ai réalisé qu’il ne fallait surtout pas que je bouge ou que je décroise mes jambes, sauf à risquer le pire.Pierrot s’est tranquillement assis en face de nous et a allumé une cigarette. Il a regardé mon mari en lui tendant son paquet. « T’en veux une ? » « Eh bien oui, tiens, pour une fois, je veux bien ! Ton marc est tellement bon.» Je buvais ma tasse de café, assise au bord du canapé, jambes croisées, pour me donner une contenance mais mon état d’excitation ne faiblissait pas, loin de là, et je devais faire de violents efforts pour contenir le tremblement de mes mains et les vagues de frissons qui parcouraient mon corps. Arnault fumait sa cigarette en buvant son petit verre de marc. Il s’est adressé à Pierrot et j’ai ressenti comme une vague glacée puis, dans la foulée, une lame de feu qui ravageait mon corps.« Tu sais Pierrot, Lisa et moi on a fait un petit pari, ce soir, et elle a perdu. Elle doit donc, en gage, faire tout ce que je lui dis de faire et j’ai pensé à toi pour partager ce bon moment. » A la fin de cette phrase, il a cligné de l’œil mais Pierrot, interloqué, le regardait et semblait ne pas bien comprendre.Arnault a ajouté : « Viens t’asseoir à côté de moi, tu vas tout de suite piger. » J’ai frissonné et j’ai même ressenti un spasme violent dans mon bas ventre, comme une vague qui déferlait en remontant. Arnault me regardait en souriant. « Va te mettre dans le fauteuil, Pierrot va prendre ta place ! » Nous y étions. A ce moment là, je me suis demandée ce qu’il allait bien pouvoir me demander de faire mais, pour être sincère, j’étais tellement excitée, moi aussi, que je m’en moquais bien. Finalement, aussi surprenant que cela puisse paraître, je me sentais prête à tout. Pierrot s’est levé en même temps que moi ; il a contourné la table basse, moi aussi. Nous nous sommes frôlés sans le vouloir et je me suis assise dans le fauteuil, un peu de côté, les jambes soigneusement croisées. J’ai ajusté de mon mieux les deux pans de ma robe car je devais vraiment faire très attention. Le vieux copain d’Arnault, doit avoir dans les 70 ans. Il a une peau burinée, le cheveu ras, poivre et sel, une barbe de deux jours et des mains noueuses de vieux paysan, des mains certainement dures et calleuses, rêches : deux râpes à bois, comme dit mon beau-père en parlant des siennes« En fait, mon Pierrot, c’est tout bête puisqu’en gage, elle doit faire ce que je lui dis de faire. Regarde bien! » Arnault a attendu quelques secondes puis sa voix est venue rompre le silence qui devenait pesant.« Ouvre bien ton haut qu’on voit ton soutien gorge ! » « Bon, » ai-je pensé, « il me demande juste de montrer mon soutien gorge et sur la plage, je fais bien plus. Alors, pourquoi pas ? En tout cas, ça, ce n’est pas trop difficile à faire. » En regardant le sol, j’ai retiré les deux derniers deux boutons et ouvert des deux mains, le haut de ma robe pour dévoiler ma poitrine mise en valeur par la fine dentelle blanche de mon soutien gorge. Je retenais le tissu des deux mains. « Redresse-toi bien ! Voilà, allez ! Mieux que ça ! Bien !» Je me suis redressée et cambrée comme pour défier mon chéri et son copain. Les deux hommes me regardaient avec une incroyable intensité dans le regard et Pierrot avait les yeux fixés sur ma poitrine. Chose étrange, bien loin d’être gênée, je ressentais un incroyable sentiment de plaisir à m’exhiber ainsi devant un parfait inconnu, à faire cela, un truc normalement inconcevable pour moi. « Alors, mon Pierrot, qu’est ce que t’en penses ? Elle est belle, hein ? » Pierrot s’est retourné vers mon mari. « Ah oui alors !» « Ca te dirait d’en voir un peu plus ? » Pierrot était ailleurs. Il fixait ma poitrine et ne me quittait pas du regard, un regard de braise. Il s’est retourné vers mon mari. « Tu crois qu’elle va vouloir ? »« On va bien voir ! »Mon cœur s’est mis à battre encore plus fort. « Baisse ton haut, retire ton soutien gorge et puis redresse toi bien ! » J’ai frémi. Il voulait maintenant que je dévoile ma poitrine devant son ami. A vrai dire, je m’y étais un peu attendue et, pour être parfaitement honnête, j’avais moi aussi envie de continuer ce petit jeu, tant cela m’excitait. Je réalisais que je prenais plaisir à me dénuder ainsi, à m’exhiber devant cet homme qui me regardait fixement, la bouche entrouverte, les doigts noueux crispés sur l’accoudoir de son canapé. J’ai répondu : » Oui, monsieur !», tout en baissant le haut de ma petite robe. J’ai ensuite dégrafé mon soutien gorge et je l’ai retiré, en retenant mon souffle, avant de le poser sur l’accoudoir de mon fauteuil. Mon cœur cognait violemment dans ma poitrine. J’avais les joues et le ventre en feu mais je me suis ensuite redressée, comme il m’avait été demandé. J’étais quasiment en transe et j’ai réalisé, à cet instant là, qu’il pourrait maintenant tout me demander tant j’étais excitée. Tout, je dis bien tout, et cela m’étonnait car jamais, je n’aurais pensé être capable de faire ce genre de chose un jour. Je dois même avouer qu’en faisant ça, je me sentais bien et que j’appréciais de jouer à ce petit jeu de dingue.Les deux hommes m’admiraient. Je me savais belle, bien sûr, mais là, c’était tout à fait autre chose qui retenait leur attention. Pierrot a sifflé d’admiration. Arnault a ricané avant de dire : « T’as vu ça? Ca te plaît? » J’ai regardé Pierrot d’un œil en coin. Il était assis à l’extrême bord du canapé, sa main toujours crispée sur l’accoudoir, il transpirait et j’ai cru voir une goutte de sueur dévaler le long de sa tempe. Il a relevé instinctivement une petite mèche de cheveux poivre et sel qui était tombée sur son front. « Ah oui alors, on continue ? » Arnault a ri de cette réponse en forme de demande.« T’en veux plus, mon Pierrot ? Allez, vas-y ! Dis-moi ce qui te ferait plaisir, maintenant ? » Il regardait Pierrot qui passait et repassait sa main gauche dans ses cheveux d’un geste machinal. « Eh bien, voir le bas, c’est possible ? » Il s’était retourné vers mon mari avec un air anxieux. Arnault a souri et m’a regardé.« Je ne sais pas ; on va voir.» J’avais écouté ce petit dialogue avec le cœur qui cognait dans ma poitrine. Mon cœur battait à tout rompre ; je ne le maîtrisais plus du tout car j’avais atteint un état d’excitation inouï. « Tu as entendu ? Maintenant, il veut voir le bas. Alors, vas-y, ecarte tes jambes !» J’ai lentement écarté mes jambes et mon cœur allait exploser. J’ai même eu peur de m’évanouir tellement c’était fort. Pierrot s’est penché en avant pour mieux voir puis il s’est rapproché de mon mari et lui a parlé à l’oreille. « Ok ! D’accord ! Après tout, si tu veux, on peut tenter le coup.» Il s’est adressé à moi d’un ton presque détaché. « Bon, écoute moi bien. Tu débarrasse la table, tu mets le plaid dessus puis tu t’allonges juste devant nous. Après, tu vas bien écarter tes jambes, les relever et poser la semelle de tes chaussures sur la table pour nous montrer ce qu’il veut. Ensuite, quand on te le dira, tu te mettras à quatre pattes qu’il en profite de cette façon là. Allez ma belle, on attend !» Je n’étais même pas surprise par ces demandes qui, finalement, allaient dans l’ordre des choses au regard de ce qui venait déjà de se passer. Bien sûr, je pouvais refuser de le faire, de faire ça, de m’exposer et de m’exhiber totalement, mais j’étais tellement excitée que j’en avais envie, moi aussi. Moi, la timide, j’avais vraiment envie, aussi étonnant que cela puisse paraître, de m’exhiber de cette façon devant eux, de leur dévoiler mon intimité de manière obscène, de continuer ce petit jeu érotique qui me rendait complètement folle. Alors, je me suis levée et, en état second, j’ai débarrassé la table basse puis j’ai soigneusement disposé le plaid qui recouvrait le fauteuil. Ensuite, je me suis avancée vers les deux hommes qui me regardaient faire, tendus et silencieux. Pierrot ne me lâchait pas des yeux et fixait mes seins et le collier de grains noirs qui pendait entre eux. Je me suis assise sur le bord de la petite table puis je me suis allongée, lentement. Je frémissais et mon cœur battait fort dans ma poitrine. Je transpirais et sentais la moiteur dans le creux de mes reins et sous mes aisselles.En plus, je mouillais, je le savais et le sentais intimement. J’avais même un peu peur que cela se voit. J’étais désormais allongée sur cette table basse et j’ai fait comme il avait été commandé. Lentement, j’ai levé mes jambes, l’une après l’autre, pour poser les semelles de mes escarpins sur le plateau de la table puis j’ai écarté mes jambes, lentement, mais aussi largement que je le pouvais. Ma robe était totalement ouverte et Pierrot s’est penché pour mieux voir. « Nom d’un chien, elle est toute lisse ! » J’ai frissonné de désir en entendant son commentaire graveleux. « C’est super, hein! Dis, ça t’embête si j’prends des photos ? » Mon mari lui a répondu : « Non, au contraire, comme ça, tu me les balanceras demain et ça me fera un petit souvenir de la soirée!» Pierrot a répondu dans la foulée avec un débit rapide : « Pas de problème ! Tu les auras, c’est promis. » Il s’est levé d’un bond pour aller fouiller dans un tiroir. Arnault s’est adressé à moi : « Ouvre ta fente et caresse toi un peu. Il faut que tu sois plus excitante que ça, voyons. Pense aux photos !» Je n’ai pas répondu mais, de deux doigts en fourche, j’ai ouvert un peu mon sexe et j’ai entrepris de me caresser lentement, très délicatement. Pierrot est revenu avec son appareil et il a pris plusieurs photos de moi dans cette position. Il était ravi, bien évidemment. Les deux hommes ont bu un nouveau petit verre de marc tandis que moi, je gardais cette position très érotique. Je mouillais, je peux le garantir, et j’attendais la suite en espérant, eh oui, que l’un d’eux, maintenant, n’importe lequel, et je dis bien n’importe lequel, et pourquoi pas les deux, l’un après l’autre, vienne se mettre sur moi pour me prendre. Je n’attendais plus que cela tellement j’étais excitée. Je ne me reconnaissais plus. J’étais devenue folle. « Bon, maintenant, met toi à quatre pattes. Pierrot veut te voir et prendre des photos comme ça.» Je me suis redressée puis mise à quatre pattes sur la table, comme commandé, j’ai posé ma tête sur mes avants bras et attendu que les deux hommes me matent à loisir et, surtout, que le vieux prenne toutes les photos qu’il voulait. Pierrot s’est longuement extasié sur ma rondelle, comme il a dit, et, a-t-il ajouté, sur ma fente toute lisse, comme celle des filles des films pornos. Il s’amusait bien et je sentais l’excitation grandir encore en moi. J’attendais maintenant que l’un d’eux décide enfin de me prendre. Je le voulais. Oui, je ne voulais plus que cela maintenant et je n’avais même pas honte de ressentir ce désir. J’ai découvert ce soir là que m’exhiber de cette façon totalement impudique, obscène, et devant un inconnu en plus, m’excitait de manière incroyable. Arnault a rompu le silence.« Bon, c’est pas qu’on s’ennuie, mais on doit y aller. Demain, on a du boulot, mais la prochaine fois qu’elle perd un pari, je vais te l’envoyer. Je suis certain que cela te plaira et que cela lui plaira aussi d’après ce que j’ai vu. » J’étais déçue, oui déçue, mais il a ajouté. « Alors, dis nous, cela te plairait de revenir voir Pierrot? » J’étais en train de me redresser et de me rajuster comme je le pouvais. J’étais en nage et je tremblais en claquant des dents comme si j’avais la fièvre. J’avais mis mon soutien gorge dans mon petit sac à main de soirée. « Oui, monsieur ! » J’ai reboutonné ma robe comme je pouvais ; je ne mentais même pas. « Parfait, on y va. Bon, Pierrot, merci pour la compagnie, le café et la goutte. A un de ces jours et, surtout, fais-moi passer les photos. » Pierrot nous a raccompagnés jusqu’à la voiture. Il m’a fait la bise. Il avait les yeux brillants et moi, j’étais comme ailleurs, comme déconnectée du monde réel. Arnault et moi sommes partis et immédiatement ma tête s’est posée sur son épaule. J’étais épuisée à force de tension et d’excitation, mais dès que sa main est venue sur ma cuisse, mes jambes se sont ouvertes et il a garé la voiture dans un petit chemin de terre et là, il m’a déshabillée presque brutalement puis caressée jusqu’à me rendre folle, à me faire crier de plaisir. Après, je l’ai sucé jusqu’à ce qu’il éjacule dans ma bouche et j’ai tout avalé avec un grand plaisir, ce que je ne fais pas à chaque fois, loin de là. Nous sommes repartis et à la maison nous avons fait l’amour à nouveau et pour la première fois, il m’a pris comme il a voulu, par derrière, ce que je n’avais pas accepté de faire jusqu’à présent par peur d’avoir mal, mais là, j’ai vraiment aimé cela et depuis, nous le faisons régulièrement. En fait, ce petit jeu d’un soir a débloqué beaucoup de choses en moi. Il m’a permis de changer et de découvrir que je peux faire des choses osées, que j’aime particulièrement m’exhiber, ce dont je ne me prive plus. Maintenant, j’attends avec impatience de relever un nouveau défi.
Diffuse en direct !
Regarder son live