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Défis de couple

Chapitre 6

Divers
6ème défi : Nouvelle série de photos.Arnault a attendu deux semaines pour me lancer un nouveau défi car il ne pouvait me joindre facilement et moi je n’avais pas du tout la possibilité de le faire. Je ne pouvais même pas lui faire passer mes photos du jour.Un matin, un court message d’Arnault sur mon téléphone : « Tout va bien ! Défi : Tu te débrouilles pour provoquer une nouvelle séance photo chez le voisin pour enrichir notre album de photos coquines ou + hard, si tu veux. JTM ! A + »Il allait bien, c’est tout ce qui compte pour moi. Le défi ? Oui, j’allais le relever, mais je n’avais qu’une hâte, pouvoir parler avec Arnault par skype et le voir.Le jour même, j’ai avisé notre voisin de ma disponibilité pour poser pour lui le lendemain soir, s’il le souhaitait. Il a bien évidemment accepté.Comment m’habiller ? J’ai décidé, après réflexion, de mettre une petite robe droite claire et des dessous blancs très fins et doux au toucher, des escarpins blancs à lanières.Je voulais être très belle. Pour qui ? Pour moi ? Pour Arnault ? Pour le vieux, pour exciter ce vieux pervers? Le soir, j’étais à l’heure au rendez-vous. Qu’allait-il exiger de moi, maintenant? Nous en avions parlé avec Arnault et, à son avis, il allait certainement aller loin, très loin, bien plus loin que la dernière fois et ne plus se satisfaire de quelques photos et attouchements légers, même ciblés. C’était évident et j’étais aussi effrayée qu’excitée à l’évocation de ce qui pouvait m’attendre et que nous avions envisagé, décrit, soupesé pour nous exciter l’un et l’autre. Le vieux Schuller a ouvert la porte, m’a salué puis m’a guidé jusqu’au salon. Là, il m’a fait asseoir et m’a offert une coupe de champagne et je me suis installée sur le canapé en essayant de me tenir le plus correctement possible. Le vieux portait une chemise blanche défraichie au col élimé et ouvert sur un tee-shirt de coton. Son pantalon de couleur marron foncé mal repassé tenait avec une ceinture trop fine qui passait sous son ventre énorme et semblait le couper en deux. Il portait des chaussures d’intérieur usées jusdqu’à la corde. Il s’est affalé dans son fauteuil, pesamment. Il parlait peu et ne me quittait pas des yeux. J’essayais de garder les miens baissés ; je ne voulais pas croiser son regard ou subir trop violemment le choc de l’épouvantable apparence physique de mon hôte. Je buvais ma coupe pour me donner une contenance.« Je vais vous faire profiter sur écran des quelques souvenirs photographiques de notre dernière soirée. Un exemplaire de ce montage vous en est réservé, bien évidemment. »Il a pris la télécommande, et a déclenché le diaporama. Je frissonnais d’appréhension. Comment allais-je réagir à la vue de mon corps, livré à l’excès, sur cet écran ?Les photos étaient techniquement superbes ; il avait dû les retravailler, une à une. Je me contemplais, et je restais sans voix.
Lui, il était debout, son gros ventre ostensiblement calé sur le dossier d’une chaise.« Alors, n’êtes-vous pas magnifique ? »J’ai répondu en biaisant : « Les photos sont très belles ! »Quelques photos plus tard, il est venu s’asseoir à côté de moi en laissant lourdement tomber sa masse sur le divan. « Puisque vous le souhaitez, nous allons en prendre d’autres ce soir. »J’ai acquiescé d’un léger, très léger signe de tête. Il a insisté. « Cela vous fait plaisir, même si j’envisage de monter d’un cran dans la difficulté ? » Comme c’était là le défi du jour, j’ai acquiescé de manière plus nette et il a paru satisfait.-« Parfait ! »Sa main s’est posée sur mon genou. « Hum ! D’évidence, cette jolie petite robe ne demande qu’à s’ouvrir. » J’ai fixé l’écran de la télé pour échapper à la réalité qui de nouveau allait me rattraper. Sur la photo, j’étais assise dans l’escalier, les jambes totalement écartées et j’avais le regard fixé sur le petit triangle blanc, à la fourche de mes jambes. C’était torride! J’avais hâte qu’Arnault voit ces photos avec moi et déjà, je me promettais de le sucer pour recueillir son plaisir sur ma langue.« Voyez comme vous êtes belle, très excitante. Allez très chère, pour me faire plaisir, ouvrez les pans de votre robe, juste un peu ! »Impossible de lui refuser ça, alors j’ai procédé lentement ; pour lui plaire ou pour gagner encore un peu de temps ? Son souffle s’est immédiatement fait plus court. De toute évidence, il appréciait le spectacle que je lui offrais et la sensualité de ma lenteur en la matière. Il m’a aidé à soulever le tissu plus haut et à faire tomber les pans de chaque côté pour mieux profiter de la vision de mes cuisses dénudées puis sa main s’est faufilée entre mes cuisses, les a écarté sans rencontrer de résistance, et s’est promenée à sa guise sur ma peau pendant de longues minutes, puis s’est relevée.Il a soupiré. « Je vais prendre quelques clichés, dès maintenant. Posez votre verre. Ce soir, j’ai installé le matériel dans ma chambre.»Délicatement, j’ai posé mon verre encore à demi plein sur la table basse avant de me lever, de me rajuster un peu et de le suivre. Mon cœur battait la chamade.Il nous a fallu traverser le couloir encombré d’étagères. Je le suivais et sentais son odeur corporelle, mélange appuyé de transpiration, d’eau de toilette, de tabac. Jamais, pourtant, il n’avait fumé en ma présence.Sa chambre était assez grande. Un lit en fer de 160 assez haut, un grand placard mural avec des portes miroirs, quelques tableaux au mur, une étagère pleine de livres et, face au lit, un appareil photo sur son trépied et un petit projecteur.« Ce soir, vous l’avez noté, changement de décor, ce lit sera votre écrin. Suivez les instructions du metteur en scène et ce sera parfait. Cela vous convient-il ? »Je l’ai regardé, en belle ingénue aux yeux clairs, pour répondre : « Oui monsieur, tout à fait ; je vais faire selon vos instructions ! »Il me fallait tenir le coup et gagner du temps en faisant que cette séance photo s’éternise et éviter qu’il ne veuille aller plus loin. Je voulais l’inciter, par ma coopération, à prendre un maximum de photos pour qu’il se fatigue.Tout en réfléchissant à cette stratégie, je me tenais à côté du lit recouvert d’un drap bleu ciel. En claudiquant et en se tenant au mur pour assurer son équilibre, le vieux s’est installé derrière son appareil, a procédé à quelques réglages. Il a installé et orienté le projecteur puis m’a demandé de venir sur le lit.« Gardez-vos escarpins, redressez-vous un peu et calez votre dos avec les oreillers. Là, oui, comme ça, c’est parfait ! Je vais régler le projecteur, ne bougez surtout pas. »J’avais pris soin de faire que ma robe recouvre bien mes cuisses, en un dernier et inutile geste de pudeur. J’ai ajusté mon collier de perles pour obtenir un arrondi esthétique. « Parfait ! C’est bon pour la lumière ; vous n’aurez donc pas à subir la violence répétée du flash.» Il s’est mis en place derrière l’appareil photo. Le projecteur dégageait autant de lumière que de chaleur. Il m’a expliqué comment il comptait procéder.« Ma chère, je vais commencer par une série de photos statiques puis je prendrai l’appareil en mains pour une deuxième série de clichés. Ne vous inquiétez pas, je vous donnerai, pour chaque cliché, des instructions précises. Soyez juste très attentive, comme vous savez le faire ! « -« Oui, monsieur ! »La séance a commencé : première photo, dans la position que j’avais adoptée. Puis, ses instructions ont été plus précises, de plus en plus marquées, et cliché après cliché, je me suis pliée à toutes ses exigences, livrant peu à peu mon corps à ses directives techniques et à ses fantasmes de voyeur. Pour l’un des derniers clichés de cette longue séance, et alors que j’étais intégralement nue, il m’a commandé de me retourner, de m’agenouiller, de tenir de mes deux mains la barre de fer transversale de la tête de lit puis d’écarter aussi largement que possible mes cuisses et de cambrer mes reins afin de mettre mon sexe en pleine lumière. J’ai ressenti la chaleur du projecteur sur mon intimité ainsi découverte, totalement offerte. J’imaginais Arnault en train de découvrir cette photo.La position était tellement difficile à tenir que les muscles de mes cuisses étaient comme secouées de spasmes. Il a pris tout son temps, alors même qu’il devait percevoir l’inconfort de cette pose et avant qu’il ne prenne le cliché, sa main est venue appuyer sur le creux de mes reins pour m’obliger à accentuer ma cambrure puis elle a parcouru ma fente d’un doigt furtif avant de glisser vers le doux anneau de mon anus. Il peut faire de toi ce qu’il veut, c’est la règle du défi ! J’ai donc gardé cette position extrêmement inconfortable, et pendant quelques instants, il a profité de cette offrande totale puisqu’un doigt a fini par pénétrer mon anus d’une phalange. Qu’ai-je réellement ressenti, à cet instant, je préfère de pas l’avouer tant cela me gêne. En tout cas, je me suis mordu la lèvre pour ne pas gémir sous cette intrusion. A l’issue de cette séance photo, il m’a offert de profiter de la salle de bains pour me rhabiller et j’ai pu me rafraîchir le corps. La chaleur du projecteur et le côté torride de la séance m’avaient mise en nage et j’étais physiquement et nerveusement à bout.De la salle de bain, je l’entendais ranger le matériel photographique puis il s’est éloigné vers le salon. Pour moi, la fin de la soirée s’annonçait logiquement. Parfaitement rhabillée, maquillée, rafraîchie, je l’ai rejoint dans cette pièce et j’ai attendu qu’il me donne le signal du départ mais une coupe m’attendait. Il me l’a tendue puis m’a fait asseoir sur le canapé où lui-même s’était installé aussi confortablement que possible compte tenu de sa corpulence. Son gros ventre reposait sur ses cuisses et sa veste d’intérieur, ouverte à demi au niveau du thorax, découvrait son tricot de corps auréolé de sueur au niveau du torse et de l’abdomen.Je sentais les forts effluves de sa transpiration ; il n’était pas allé se rafraîchir, lui. Il semblait satisfait de la séance puisqu’il m’a dit en souriant, véritable grimace :« Vous avez été parfaite, vraiment parfaite ; très attentive, véritablement soucieuse de bien faire selon mes instructions ; un modèle professionnel n’aurait pu faire mieux.»Son compliment m’a fait rougir.Un temps de silence ensuite, d’hésitation peut-être ; de sa main droite, il se caressait le menton. Moi, je ne disais mot, sagement installée sur le bord du coussin, juste à sa droite, attendant qu’il me donne le signal du départ libérateur. Il a posé sa coupe de champagne et a esquissé un mouvement du corps comme s’il allait se lever, puis un autre mouvement identique. En fait, il essayait de s’installer le plus confortablement possible.Peut-être entendait-il me libérer ? En tout cas, il avait chaud et transpirait abondamment.Il a remonté, en la roulant, la manche droite de sa chemise et dégagé son bras jusqu’au dessus du coude et j’ai cru voir le membre gris d’un insecte blafard ou de crabe araignée des profondeurs, une patte décharnée et trop longue, recouverte de poils raides. Il a fait de même avec sa manche gauche pour dégager un bras énorme aux chairs boursouflées et parsemées de plaques marbrées et violacées. J’ai écarquillé les yeux, comme frappée par l’horreur de cette vision. Heureusement, il était comme absorbé par sa tâche.Comment cela est-il possible ? Comment un homme peut-il avoir deux membres supérieurs aussi différents ? J’étais littéralement fascinée par la laideur extrême et la totale dissymétrie du visage et du corps de cet homme sans cou et tassé dans son fauteuil, par cette espèce de gargouille de chair aux yeux globuleux, à la bouche trop large et aux lèvres rouges et trop charnues qui dénudait la chair de ses bras devant moi. Comment avais-je pu me livrer ainsi à son appétit de photographe amateur, à ses exigences de voyeur, et surtout, à ses mains baladeuses ?Allait-il enfin me laisser partir ? Il a pris la parole après s’être raclé la gorge.« Bien!» Ca y est, il allait me libérer….Au lieu de cela, et là, j’ai cru m’évanouir : « Je vais vous demander une faveur, très chère ! » J’ai ressenti comme une coulée de glace au creux de mon dos. J’avais envie de partir ; j’étais fatiguée.« Laquelle ? » ma réponse a été immédiate, angoissée, non calculée. Il a répondu de sa voix rauque : « Venez quelques instants sur mes genoux! »Comment pouvais-je refuser si je voulais jouer le jeu? Je n’avais pas le choix et devais me contrôler pour rester dans la partie ou bien abandonner, exhiber mon joker et demander à sortir. « Pas question, », me suis-je dit, « ce serait trop facile ! » Je crois que je m’en serais voulu toute ma vie.Je me suis donc levée pour venir à lui, le cœur battant et la tête en vrac. Il a sollicité ma main et son long bras en pince de vieux crabe au bout de laquelle évoluait une main aux doigts étranges, noueux et décidément trop longs, me fascinait : horreur et excitation mélangées.Cette main répugnante a pris la mienne et m’a guidée sur les genoux du vieux crapaud. J’étais désormais assise sur sa cuisse gauche et je ne bougeais pas. Arnault avait vu juste ; le vieux cochon m’avait effectivement fait venir sur ses genoux pour me caler contre lui et, ensuite, il allait me tripoter autant qu’il le voudrait.Déjà, sa main gauche, passée dans mon dos, allait et venait tout au long de ma colonne vertébrale, de ma nuque à la naissance de mes fesses et je ressentais un long frisson à chaque passage de cette espèce de battoir. Je me tenais très droite, je ne voulais surtout pas m’appuyer sur lui car son odeur corporelle, son haleine et son eau de toilette bon marché m’indisposaient franchement. Il sentait fort.« Alors, ma chère ? »Je ne savais plus quoi répondre, quoi faire.Sa main droite aux longs doigts en forme de pattes d’araignée s’est approchée de mon buste en volutes aériennes,. Comme hypnotisée, je la regardais évoluer tel un insecte prêt à se poser et je retenais ma respiration. « Ma vieille amie peut-elle ouvrir le haut de votre robe? » Une voix aussi rauque que doucereuse.Je n’étais pas en mesure de répondre quoi que ce soit. D’une part, j’étais effrayée par cette perspective, mais, d’autre part, je ressentais également une excitation anormale née de tout ce que j’avais déjà fait ce soir là, du son de sa voix, de sa manière de parler et de son aspect physique. L’un de mes fantasmes s’imposait violemment à moi, me rattrapait. Déjà, les premiers frissons caractéristiques de plaisir, issus de la contrainte physique et psychologique que je subissais, m’envahissaient. Il a ajouté : « Mais peut-être préférez-vous procéder vous-même à cette opération ? » Je me suis retournée vers lui, l’espace d’un instant et la proximité de son visage m’a révulsée. C’était pire que dans mon pire cauchemar. Il avait la tête enfoncée dans les épaules et sa langue passait et repassait sur sa lèvre inférieure, un tic immonde. Il ressemblait à JABBA le Forestier, c’était JABBA et je m’étais livrée à cet immonde alien, à ses pattes et peut-être bientôt à sa langue épouvantable que je voyais passer et repasser sur sa lèvre inférieure.Au bord de la panique, la gorge nouée, je ne pouvais prononcer le moindre mot. J’ai secoué la tête en signe de dénégation. Sa fausse prévenance de vieux pervers constituait, bien sûr, une épreuve supplémentaire mais, paradoxalement, elle contribuait à me faire baisser mes dernières défenses et à m’exciter de manière évidente. Ce vieux répugnant allait donc s’amuser avec ma poitrine et cela avec mon parfait consentement, je le savais. Je voulais donc vivre ça ? Sentir ses mains sur moi ? Mais pourquoi ? Comment expliquer ça ?C’est cela qui me faisait peur à cet instant précis. Mon état de nerfs était indescriptible et mes sentiments partaient dans tous les sens. Je ressentais tout à la fois : fatigue, plaisir et dégoût car j’étais en train de me livrer pieds et poings liés à un monstre de laideur qui allait jouer avec mon corps et profiter de mes peurs et de la répulsion que je ressentais. C’était bien plus difficile que de poser pour un objectif dont on finit, finalement, par rapidement oublier qui le tient.Mon silence éloquent a ouvert la voie à sa main glacée qui est venue frôler ma joue, mes lèvres et mon cou, avant de jouer quelques secondes avec les perles de mon collier. Après, elle est descendue et a tranquillement défait le premier bouton de mon haut. A chaque frôlement, un frisson viscéral parcourait mes reins et mon bas ventre. L’araignée, elle aussi, tremblait un peu et faisait doucement, lentement, pour procéder à ses investigations. Un deuxième bouton et le dos de ses doigts a lissé ma peau à la lisière de mon collier. Ne pas me cabrer, ne pas bouger ! Un troisième bouton a été délicatement ouvert et trois longs doigts ont effleuré le rebord de dentelle de mon soutien-gorge, déclenchant un mouvement réflexe de recul de ma part. Ne pas réagir ! Je dois rester concentrée et si possible immobile. Un autre bouton et ses doigts aux ongles en forme de griffes jaunâtres ont écarté le devant de ma robe. Peu après, sa main s’y est introduite pour emprisonner mon sein et le palper par-dessus le bonnet de dentelle. J’ai frémi de dégoût à subir ce contact glacé. Le vieux respirait de plus en plus fort ; il était très excité, de plus en plus excité et son odeur corporelle s’accentuait au point de m’obliger à respirer par la bouche tellement c’était épouvantable.L’araignée froide a totalement pris possession des lieux et a glissé deux de ses pattes sous la fine dentelle pour atteindre l’aréole, déclenchant en moi un tourbillon de plaisir purement épidermique. L’haleine du vieux frappait mon visage et je ne pouvais plus lui échapper.« Voyez, ma chère, vous appréciez mon amie et ses petites évolutions. »Comme je ne réagissais pas, l’araignée a poursuivi son petit bonhomme de chemin. Afin d’aller plus loin, elle est venue ouvrir un autre bouton avant de remonter dans le tissu et de se poser sur mon épaule, à l’intérieur de ma robe, pour faire glisser la bretelle de mon soutien-gorge. Elle y est allée doucement puis est redescendue vérifier que le chemin vers sa proie était désormais libéré ; de fait, elle s’est totalement glissée dans le bonnet relâché pour prendre possession de mon sein mis à nu et le palper longuement. J’ai eu la sensation d’un insecte glacé ou d’une espèce d’arachnide qui s’apprêtait à violenter une belle captive ligotée au fond d’une grotte. Ce film de série B passait en moi comme sur un écran géant.L’araignée, au bout de plusieurs minutes, a libéré sa proie pour se glisser vers le bas, vers mes jambes, pour entreprendre une autre quête.Je la regardais faire, pétrifiée, et retenais mon souffle. Le pire était donc à venir ?Elle est venue se poser sur l’ourlet de ma robe pour le parcourir de deux pattes légères tandis que la main gauche du vieux poursuivait ses allers et retours sur la ligne médiane de mon dos en petits gestes circulaires. Comment réagir, comment me comporter ? Laisser faire ou bondir hors de cette pièce ? A la fin, la main s’est relevée, comme pour admirer son œuvre.-« Ecartez ces pans de tissu ! » Un ordre direct, impérieux, jeté d’un ton inhabituel. J’ai sursauté. Pourquoi ne le fait-il pas lui-même? Pourquoi m’obliger à faire cela ? Pour vérifier ma disponibilité, mon obéissance à son moindre désir ? Mes mains sont venues ouvrir et séparer les deux pans de ma robe et les disposer de chaque côté de mes jambes. Le vieux a avalé sa salive après avoir raclé sa gorge. Il jouissait de ma servilité. J’étais devenue une espèce de docile poupée de chair dont il allait se régaler. J’ai baissé les yeux et aperçu la soie de mon string. « Ouvrez vos jambes ! » Il s’amusait bien en testant ma docilité. Je le percevais parfaitement au ton de sa voix. Il allait maintenant vouloir vérifier jusqu’où il pouvait aller. Doucement, pour limiter ma gesticulation sur sa cuisse gauche, pour ne pas l’exciter davantage, j’ai écarté mes jambes en tentant de limiter l’espace ainsi ouvert à ses entreprises. Il a ricané en grasseyant. Il exultait. « Un peu plus, voyons ! » et sa main qu’il venait de glisser dans le sillon entrouvert a appuyé fermement sur ma cuisse pour m’obliger à aller jusque là où il le voulait.Il devait être satisfait puisque j’avais maintenant les jambes écartées au maximum. « -C’est mieux mais il faut être plus accueillante avec ma vieille amie, ma chère, sinon, la pauvre vieille sera déçue!»J’avais tellement envie que cela finisse : « Oui, monsieur, excusez-moi. » Pourquoi ai-je réagi ainsi ? Cette réaction de servilité totale m’a consternée. J’ai senti qu’il allait en abuser immédiatement. « C’est très bien, ma chère ! » Le revers de sa main a lentement parcouru tout l’intérieur de ma cuisse.« Ma vieille amie peut donc aller se poser quelques instants sur votre douce intimité ? C’est bien ça ? » J’étais au bord des larmes à force de retenir mon souffle et mes émotions. J’ai pu répondre, difficilement : « Oui, monsieur ! » « Alors, guidez-là, je vous prie, elle en sera ravie ! » J’avais raison, il m’obligeait au pire et ses exigences me fascinaient, je dois le reconnaître, un peu comme dans mes fantasmes les plus sordides où je prenais plaisir à me livrer à des êtres effrayants, ignobles et pervers.Il voulait donc que je prenne sa main et que je la guide vers mon sexe offert ?Epuisée, j’ai pensé à cet instant : « qu’on en finisse pour ce soir ! » Afin d’aider à la quête de l’araignée qui visait ma fente, j’ai un peu basculé mon bassin vers l’avant pour dégager mon sexe et j’ai obéi ; de la main, j’ai attrapé le dos de cet animal répugnant qui s’est laissé faire et j’ai posé l’araignée froide sur mon string. Il avait obtenu de moi que j’abdique toute défense et, je le sentais, mon ventre était en feu et en eau.« Bien, voyez, quand vous voulez ! Tenez, pour confirmer votre désir de faire plaisir à ma vieille amie, levez votre jambe gauche et posez la semelle de votre escarpin ici. » Il me désignait sa cuisse droite en la tapotant. Le vieux saligaud fait de moi ce qu’il veut et je ne cherche même plus à faire semblant de résister. En fait, à vivre ce qu’il me faisait subir et accepter l’inacceptable, mon plaisir physique allait en augmentant. J’ai donc fait ce qu’il a exigé, lui ouvrant un accès total à mon intimité. Les longs doigts de l’araignée que je ne quittais pas des yeux, ont d’abord joué avec le tissu trop fin et les bords de mon string, puis ils l’ont écarté, se sont glissés dessous et l’ont finalement repoussé pour dégager ma vulve. Il m’a demandé de tenir le tissu dans cette position et mes doigts lui ont obéi pour écarter largement le fond de ce petit bout de dentelle moite. Les pattes de l’araignée se sont installées dans l’espace ainsi offert et se sont régalés. Elles ont pu y faire tout ce qu’elles voulaient et, un instant, j’ai préféré fermer les yeux. J’imaginais qu’une véritable araignée était en train de s’installer sur ma fente et cette image a déclenché un long frisson tout au long de ma colonne vertébrale. Une longue patte m’a pénétrée lentement et s’est incrustée en moi. Elle allait et venait. Une deuxième patte est venue rejoindre la première et je me retenais pour ne pas gémir de plaisir. Cela a duré longtemps, évidemment, puis l’araignée s’est retirée.« -Très bien ma chère, ma vieille amie en a fini pour ce soir et est satisfaite de vous ! Levez-vous ! »Ca y est, j’étais libre et j’allais pouvoir rentrer chez moi. J’étais épuisé nerveusement et, à cet instant, heureuse de pouvoir m’échapper.-« Avant que je vous rende votre liberté, et cela ne tardera pas, vous allez me confirmer que nous allons bientôt poursuivre cette conversation, lorsque vous si pourrez vous libérer, bien sûr. »Je me suis rajustée en lui promettant tout ce qu’il voulait. Après tout, une promesse n’engage jamais que celui qui y croit. Je devais faire le point avec Arnault le plus vite possible, car je mesurais à cet instant tout ce que j’avais accepté de faire, de subir sans réagir autrement qu’en ressentant du plaisir physique au contact de ce vieux et de ses membres déformés au point d’en devenir obscène. Oui, je m’étais comportée de manière obscène et je pèse mes mots. Il m’a raccompagnée jusqu’à sa porte. Là, il a pris ma main comme pour me la serrer, mais l’a guidée, par-dessous son gros ventre, jusqu’à sa braguette et l’a posée sur le tissu.« Touchez ! » Il bandait un peu et de la main, j’ai massé la protubérance de ses parties intimes. Pendant que je faisais cela, il a déboutonné ma robe et l’a fait tomber à mes pieds. Je l’ai laissé faire.Il m’a ensuite demandée de me retourner et de poser mes mains sur sa porte. Je frémissais de désir sexuel, un désir purement animal et c’était violent.Il a caressé mes fesses, les a pétries, a joué avec la ficelle de mon string et a fouillé mon sillon, profondément. J’ai gémi sous cette intrusion et il a pu faire tout ce qu’il voulait puisque les pattes de l’araignée ont pénétré mon sexe trempé pour le fouiller, longuement, en va et vient aussi lents que profonds. Il s’est enfin écarté, satisfait, et m’a libérée. J’étais dans l’escalier, quasi nue.« Votre robe reste avec moi ; je vous la rendrai lors de votre prochaine visite. Désormais, lorsque vous quitterez mon appartement, vous serez nue ou presque, si vous revenez bien sûr. Mais je le sais déjà, vous reviendrez, n’est-ce pas ? » Il a refermé la porte. Qu’allait-il désormais exiger de moi si je revenais chez lui ? Il jouait habilement avec mes nerfs et ma frustration. Avait-il pour dessein de faire monter le désir physique en moi ? A en croire mes réactions, son calcul était juste puisqu’il me rendait folle. Il aurait pu me pénétrer debout devant sa porte et s’il l’avait demandé, j’aurais même facilité son entreprise, je le sais. A sa demande, je lui avais même donné mon n° de portable. Pourquoi le voulait-il ?J’ai couru dans les escaliers. Et si un voisin m’avait vue ainsi ? Etais-je devenue folle ?Dès mon retour, j’ai contacté Arnault pour lui relater dans le moindre détail tout ce que j’avais fais, accepté et subi. Je me suis épanchée ; j’étais à bout de nerfs, en pleurs. Il m’a laissée parler et m’a écouté avec patience, malgré ou à cause de ma nervosité et de mes larmes. Je le sentais, mon discours partait dans tous les sens. J’ai insisté sur le fait que ma main avait accepté de guider celle du vieux vers mon sexe et je lui ai de nouveau, longuement, fait part de mes craintes, de mes interrogations, de mes sentiments de tout ce que j’avais ressenti. Je lui ai avoué que je me dégoûtais, que ma servilité me dégoûtait.Il m’a alors et de nouveau, fait remarquer que j’avais accepté sans difficultés de poser pour le vieux de subir tous ses attouchements, que je les avais largement favorisés et, qu’à la fin, j’avais ressenti du plaisir. Selon lui, il fallait accepter ce constat brutal et faire avec.J’étais attentive et consternée car il ne faisait qu’énoncer la vérité. Confrontée à cette situation, c’est exact, j’avais ressenti du plaisir à subir les exigences de ce vieux porc et j’avais pris mon pied pendant toute cette soirée. Nous avons longuement parlé et à force de revenir sur les détails, sur ce le vieux m’avait fait, sur la description de ce que j’avais ressenti en obéissant à ce pervers et en guidant sa main crochue vers mon intimité, nous nous sommes tellement excités que nous nous sommes, l’un et l’autre, face à face, masturbés devant nos caméras respectives. Le lendemain j’ai récupéré la clé USB dans ma boîte aux lettres et ai balancé les meilleures photos à Arnault. Elles étaient superbes. En le faisant, je sentais que le prochain défi serait crucial et que tout risquait de basculer. Est-il raisonnable de ma part de prendre ce genre de risque, d’accepter de le relever ?
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