Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire vraie
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 171 J'aime
  • 22 Commentaires

Défis de couple

Chapitre 8

Divers
8ème défi : Suite logique:Trois jours plus tard, Arnault et moi avons pu parler longuement de tout ce que j’avais vécu et ressenti lors des dernières soirées avec Schuller. Arnault n’a pas voulu décider pour moi car nous savions tous deux que si je retournais là-bas, je serais obligée de subir tout ce que le vieux déciderait de faire et là, sans aucune limite. A la fin, devant mes doutes et mes craintes, il m’a suggéré de prendre le temps de la réflexion pendant deux heures et si à l’issue de ces deux heures, je n’avais pu me décider, de m’en remettre à pile ou face : autre forme de jeu, de défi, si je voulais continuer de jouer d’une autre façon, en m’en remettant au destin, bien sûr. « Face, tu y vas, pile on arrête le jeu avec lui. » Le soir même, et bien avant que les deux heures se soient écoulées, j’ai adressé un court message à Arnault : « C’est bon, je veux y aller !», et je précise que j’ai bien écrit je veux et non je vais. Pourquoi ai-je fait si vite à ma décider? Pourquoi ai-je vouluretourner là-bas aussi facilement?Je me suis ensuite longuement posé la question et, parfois, elle revient en moi car ma réaction ne cesse de m’étonner.J’ai même appelé Svet, ma meilleure amie, pour tout lui raconter et lui demander conseil. Comme Arnault, elle en est venue à me renvoyer à mes choix, à ma liberté. « Tu es libre de vivre ce que tu veux vivre puisqu’Arnault t’en laisse la possibilité. A toi d’assumer tes fantasmes et d’en profiter si tel est ton désir. Amuse-toi bien ! Tu me raconteras que je puisse en profiter un peu moi aussi. C’est très excitant tout ça. Moi, ça me plaît bien vos petits jeux coquins.» Bien sûr, ils ont l’un et l’autre raison : je suis parfaitement libre de faire ce que je veux, mais comment puis-je, raisonnablement, vouloir me livrer à cet homme aussi laid, aussi répugnant, alors que j’ai la chance d’avoir un mari aimant et qui a un corps de rêve? Il faut que je sois honnête. Au fil de ces soirées avec le vieux, j’ai ressenti de plus en plus de plaisir à me soumette aux exigences de ce pervers et à mettre en scène mes fantasmes les plus sordides avec ce vieillard dont la laideur dépasse vraiment l’entendement. Il est plus laid et plus vieux que le maître chanteur de mon fantasme sordide et il pourrait même devenir plus exigeant mais me livrer à ce vieux pervers m’excite sexuellement au plus haut point, c’est tout, et je dois l’admettre, même si cela n’est pas facile.Le lendemain, à 20h, j’ai donc sonné à la porte de mon voisin lequel avait été informé de ma disponibilité par une petite carte de visite. Allait-il enfin conclure son avantage et faire de moi sa « poupée», sa « chienne », selon la terminologie des sites pornos? Tout ce que j’avais vécu auparavant m’incitait à le craindre, d’autant que je n’avais plus aucune possibilité de me défendre. Il avait déjà tant exigé et obtenu de moi et si facilement, je devais l’admettre, malgré des états d’âme que je dépassais finalement très vite, au fur et à mesure, que je devais craindre le pire. En fait, j’avais accepté, sous couvert de relever des défis coquins, de subir une véritable soumission sexuelle, ce que je pensais encore, il y a peu, comme totalement inacceptable. Il allait pouvoir tout exiger de moi, j’allais devoir tout supporter et je savais, pour être franche, que j’allais prendre un infini plaisir à me livrer à ses exigences, quelles qu’elles soient, et aussi répugnantes qu’elles soient.Je finissais même par admettre, en y réfléchissant bien, que plus elles seraient répugnantes, plus j’y prendrai plaisir. A cette réflexion, un long frisson de peur et de dégoût a secoué mes épaules.Cette perspective faisait surtout monter l’adrénaline en moi de manière incroyable. Je ressentais en permanence, une violente tension nerveuse et sexuelle. Il fallait que je l’évacue, d’une manière ou d’une autre ; la masturbation ne me soulageait plus, avec ou sans gode, et Arnault n’était pas là.
C’est pour cela aussi que j’étais devant la porte du vieux. J’avais revêtu, ce soir là, une jupe portefeuille bleu ciel assez courte, un chemisier de soie blanc, un collier de perles du japon, de fins escarpins bleus : un ensemble élégant et raffiné. J’étais très belle, ainsi.Dessous, par contre, et à la demande d’Arnault, tout en tenant compte des ordres du vieux, un ensemble en résille qui fait un effet très « hot » à celui qui l’admire et le parcoure. Je l’avais enfilé devant mon miroir pour le vérifier.Un ensemble d’ingénue, des dessous plus que sexy, mais pas de bas, compte tenu de la saison. Du reste, le vieux ne m’avait pas demandé d’en porter.Comment imaginer qu’une fille comme toi se prépare et se fait belle pour se donner à un être physiquement immonde et qu’elle en tire plaisir ? Qu’es tu donc ? Une folle ? Une nympho ? Une perverse ? Une salope ?J’en étais là de mes réflexions quand la porte s’est ouverte. « Entrez, chère voisine. Quelle élégance raffinée! Décidément, vous me gâtez. » Un verre de son vin blanc frais m’attendait. Il me le tendit puis me fit asseoir sur le canapé où lui-même s’était installé aussi confortablement que possible compte tenu de sa corpulence.Le moindre effort le fait souffler comme un phoque.Son gros ventre reposait sur ses genoux et sa veste d’intérieur, ouverte à demi au niveau du thorax, découvrait un ignoble « tricot » de corps blanc et un pantalon de pyjama.Oui, il portait un pyjama rayé ! Il avait osé.Je sentais les forts effluves de sa transpiration. De sa main droite, il se caressait le menton ; un geste habituel chez lui.Je ne disais mot, installée sur le bord du coussin, juste à sa droite.Il s’est adressé à moi d’un ton nouveau, différent, très sec, direct.« Reconnaissez-le ma chère, obéir vous excite au plus haut point, n’est ce pas et vous prenez votre plaisir à être dirigée, à obéir aux ordres ? Vous avez, en clair, un tempérament de soumise et j’emploie ce mot à dessein car je sais que vous en maitrisez parfaitement le sens. » J’ai reçu une douche froide ; il avait deviné et exposé ce que j’essayais de refouler depuis des années. Je devais me contrôler et répondre. J’ai finalement opté pour la simplicité la plus extrême, la vérité pure.« Oui, Monsieur ! » J’étais sous le coup de la tension nerveuse et de l’émotion, au bord des larmes. J’ai baissé la tête.« C’est bien ce que j’ai constaté. Et avec votre mari ? »J’ai levé les yeux avant de répondre : « Il ne le sait pas. Je n’ai pas osé lui en parler car ce n’est pas facile d’avouer ça. »Je ne mentais pas car Arnault ne connaissait pas encore mon goût de l’obéissance à ce point. Il devait le soupçonner, tout au plus, d’où certainement les petits jeux initiés par lui depuis quelque temps ; celui-là en particulier. J’ai frissonné. « Et s’il m’avait livrée au vieux Schuller note voisin, justement pour le vérifier, pour vérifier à quel point je pouvais me soumettre ? »« Je suis donc le seul, pour l’instant, à connaître disons, ce petit secret intime? »« Oui, monsieur ! »Mon regard cherchait le sien pour implorer sa clémence. Il se caressait le menton et avait les yeux à demi fermés.« Bien, bien ! Rassurez vous, chère voisine, ce petit secret sera désormais le mien mais, en compensation, je compte bien en profiter et être très exigeant avec vous, bien évidemment. En plus, vous y prendrez beaucoup de plaisir, j’en suis parfaitement convaincu. »J’ai baissé le regard et ajusté les pans de ma jupe pour me donner une contenance car le silence qui a suivi devenait pesant. J’espérais qu’il remettrait à plus tard ses intentions avouées. Après tout, il pouvait vouloir me libérer pour ce soir.Loin de là, il m’a demandé de m’installer sur le fauteuil de la veille. J’ai immédiatement compris que le pire m’attendait et que la soirée n’était pas terminée.Je me suis assise au bord de ce siège. Il semblait hésiter sur la conduite à tenir. Avait-il conscience d’être allé trop loin vis-à-vis de moi?Il s’est levé du canapé pour changer de siège et s’installer juste en face de moi comme hier au soir et bénéficier d’une vue directe. Je l’ai suivi du regard, il est passé devant moi à quelques centimètres. Il soufflait plus fort de d’habitude. Son odeur corporelle l’enveloppait et j’imaginais l’état de son maillot de corps. Il s’est laissé tomber comme une masse dans son fauteuil après avoir ôté sa veste, et s’y est tortillé péniblement pour s’y caler puis j’ai senti son lourd regard sur moi. J’ai levé les yeux et sa laideur m’a épouvantée. En plus, son « Marcel » était auréolé de sueur et ses deux bras étaient à l’air. Son torse, ses bras, ses aisselles ; tout cela constituait un spectacle effrayant.Il m’a fixé d’un air presque méchant, droit dans les yeux mais il a dit d’un ton très froid.« Vous allez désormais faire tout ce que je vous dis de faire, c’est clair ? » J’ai sursauté : « Oui, monsieur ! C’est clair ! » J’avais atteint le point de non retour. Il avait assis son pouvoir sur moi.« Levez-vous, mettez-vous debout devant moi et écoutez mes instructions. »En tremblant, je me suis mise devant lui. « Les mains dans le dos, voilà, les jambes et les pieds en position de danseuse, les yeux baissés, la bouche entrouverte. Cambrez-vous ! Oui, comme ça ! » Je me suis mise comme il le voulait.« Voilà la position que vous devez adopter devant moi désormais. » Il a continué : « J’exige de vous une obéissance totale, je dis bien totale. Il n’y a pas d’alternative, d’accord ?»« Oui, monsieur ! »Un ton ferme, un tutoiement, un aboiement rauque de gros fumeur. « Alors, à genoux et ouvre ton corsage ! Tu es là pour ça. »J’ai failli sursauter. Non seulement son ton de voix avait changé mais il m’avait tutoyée.Je n’avais pas le choix et, à genoux devant lui, j’ai déboutonné, un à un, les boutons de nacre de mon corsage, pour offrir ma poitrine à son regard. Il a repris son appareil photo pour prendre quelques clichés. « Vous aimez que l’on vous traite ainsi, n’est-ce-pas ? Cela vous excite ? »J’avais les yeux baissés. J’ai répondu, d’une toute petite voix : « Oui, monsieur. »« Puisque tu aimes être traitée comme une chienne, va t’asseoir sur le fauteuil, cale-toi bien au fond, écarte tes jambes et remercie moi. Je vais m’occuper de toi. »Il n’y avait plus de formule de courtoisie vieille France, que des ordres directs à exécuter. Je me suis installée comme il m’avait été commandéJe l’ai ensuite remercié. « Merci monsieur ! » Il s’est avancé sur son siège et a ajusté ses lunettes épaisses pour mieux admirer ma fente. Je tremblais d’excitation. J’étais soumise à ses caprices, comme dans mon fantasme, celui que je préfère ne pas avouer. « Bien, maintenant, caresse-toi, lentement puisque tu aimes t’exhiber ainsi.»Je me suis exécutée et il m’a interpellé d’une voix plus calme : « Cela vous excite, n’est-ce pas, obéir vous fait mouiller?» Il alternait tutoiement et vouvoiement ; je devais être écarlate. -« Oui, monsieur ! » Mentais-je à cet instant ? J’étais effrayée car désormais, je le réalisais, je ne pouvais plus espérer contrôler quoi que ce soit, compter sur sa bienveillance ou un éventuel sentiment de pitié. J’étais maintenant complètement livrée à la merci de ce vieux porc, mais en toute honnêteté, lui obéir m’excitait car je vivais là, et pleinement, mon fantasme secret de manière intense et ce que je découvrais de moi, alors, était consternant puisque j’étais effectivement capable de me soumettre entièrement aux pires exigences de ce vieux pervers.Il a fait durer le spectacle de mes doigts parcourant en cercles lents et légers le contour de ma fente et les lèvres si douces. Il prenait photo sur photo.« Caresse toi mieux que cela, ne fais pas semblant! » Soumis à ses exigences, mes doigts ont ouvert et fouillé ma fente et j’avais envie de gémir tellement c’était exquis« Bien ! C’est parfait ! Venez là, venez vous installer sur l’accoudoir de mon fauteuil et penchez votre buste vers moi. » Il a tapoté l’accoudoir droit du plat de la main.Je me suis relevée pour m’asseoir sur l’accoudoir situé à sa droite et à sa demande, je me suis légèrement penchée vers lui. Il sentait fort, une odeur de fauve.Sa main gauche, le difforme battoir, s’est posée sur ma poitrine et l’a parcourue en effleurements furtifs. C’était insoutenable. Mon soutien gorge, un cadeau d’Arnault, se dégrafe par devant et le vieux a rapidement remarqué ce détail. Il a avalé sa salive et l’a dégrafé de deux doigts boudinés mais terriblement précis.« Dégage les bonnets et pince tes aréoles que je profite de ce spectacle. »J’ai fait comme il m’a dit. J’avais les lèvres sèches et je me suis passé la langue sur celles-ci ; geste réflexe mais stupide.-« Hum, jolie petite langue ! » Son index énorme qui dégageait une odeur acide de tabac s’est posé dessus. « Laissez mon doigt en apprécier la douceur.»J’ai fait ce qu’il m’a commandé et son énorme doigt a joué quelques secondes avec ma bouche, mes lèvres et le bout de ma langue. « Suce-le! Allez !»Il a enfoncé son doigt jaune de tabac dans ma bouche et j’ai dû le sucer longuement. Je retenais mon souffle et roulais toujours les pointes de mes seins entre mes doigts.« Ecarte tes jambes maintenant. » J’ai changé ma position pour lui obéir.« Mieux que ça ! » Je les ai écartées un peu plus et sa main énorme est descendue vers mon sexe. Il a immédiatement enfoncé l’un de ses doigts dans ma fente.De son bras droit passé derrière mon dos, il me retenait car du fait de ses exigences, ma position était instable.-« Je peux tout obtenir de vous, n’est-ce pas ? »Nous y étions, j’allais vivre un cauchemar et explorer mes bas fonds les plus épouvantables.« Oui, monsieur! » « Jusqu’où puis-je aller? »« Je ne sais pas, monsieur. » Il a ricané avant d’ajouter : « Allons, qu’aimerais-tu faire pour me faire plaisir, petite chienne ? »Une réponse simple, claire, terrible a jailli. « Obéir à vos instructions, monsieur.» J’étais assommée, livrée pieds et poings liés. Plus de limites ! Obéir, en jouir, c’est tout.Il a introduit son doigt plus profondément en moi, un doigt tellement gros que j’avais l’impression d’un sexe de bonne taille en moi. « Voyons un peu! »Il a retiré son doigt boursouflé pour l’examiner: il était luisant et ses yeux m’ont fixée. Il jubilait. « Donne ta petite main ! » Il a pris ma main gauche et l’a guidée vers son ventre puis encore plus bas, après qu’il ait, de l’autre main, entrouvert la braguette de son pantalon de pyjama.J’avais observé ce manège inquiétant et retenu mon souffle, ma main tremblait et un sentiment de répulsion incontrôlable m’envahissait. J’allais devoir toucher les parties intimes de cet être physiquement immonde dans quelques secondes : le comble de l’horreur.Un long frisson a parcouru mon échine : dégoût ou excitation ? Les deux mêlés, je crois.Il a posé ma main sur sa braguette et a soulevé le tissu puis d’une main ferme, il a glissé mes doigts dans cette ouverture. Je n’ai pas cherché à résister. Il ne portait rien en dessous et de la pulpe des doigts, j’ai immédiatement senti le fouillis des poils de son bas-ventre. Un long frisson glacé m’a envahi.« Parfait ! Tu dois apprendre à faire ce qu’on te commande ; tu dois t’appliquer en tout et faire mieux que ça, compris ?»« Oui, monsieur ! »J’ai obéi, le ventre serré, et mes doigts ont parcouru la peau et la pilosité de son bas-ventre autant que ma position l’autorisait. Je m’efforçais maintenant de faire de mon mieux et cela a duré quelques minutes. J’avais mal au dos mais je ne pouvais le manifester.« Maintenant, viens à genoux, face à moi ! »J’ai obéi, presque soulagée, car mon dos me faisait vraiment mal, et me suis agenouillée face à lui. Selon son désir, j’ai penché mon buste vers son bas ventre. Il avait écarté ses jambes et retiré le bouton de la ceinture de son pantalon de pyjama en profitant de mon déplacement et l’ouverture était là, béante, à quelques centimètres de mon visage. Un sentiment de déjà vécu s’est emparé de moi : une image sortie d’une mauvaise BD pour adultes ou de l’un de ces films que je visionne avec plaisir depuis quelque temps.Une bouffée écœurante, d’urine, de sueur, mélangées, s’en est échappée et j’ai eu un geste de recul. Là, je revenais au monde réel même si la situation me faisait vivre une scène phare de mon fantasme, celle où le maître chanteur va tout exiger de moi et de ma bouche en menaçant de faire emprisonner mon mari si je ne m’exécute pas. Son odeur corporelle, tellement violente, était difficilement supportable et la béance de sa braguette me livrait la vision d’un amas de chair molles et de poils grisâtres, la plupart collés de sueur. Dans les films pornos, aussi réalistes qu’ils sont, il n’y a pas les odeurs. Avec Schuller, cette dimension est omniprésente et conjuguée à sa laideur, elle procure une sensation épouvantable. Il a bougé un peu le bas de son dos pour avancer son bassin et a baissé son pantalon autant qu’il le pouvait pour libérer un peu plus ses parties intimes. J’avais la gorge sèche devant ce spectacle hallucinant et je retenais mon souffle. Mes doigts jouaient toujours avec les poils de son pubis et sa peau humide de sueur, de la manière la plus légère possible ; je retenais mes doigts tant ce contact m’horrifiait. Il s’en est rendu compte.-« Mieux que cela, voyons ! »Des doigts de la main droite, je suis parvenue, malgré le tremblement qui les agitait, à extirper son sexe flasque et humide de transpiration du tissu qui le retenait encore un peu et j’avais maintenant sa queue molle entre mes doigts. Je n’en revenais pas d’avoir fait ça, d’avoir attrapé la queue de ce vieux type parfaitement répugnant et j’ai entrepris, selon son ordre, un lent et doux effleurement du pouce et de l’index, en forme de va et vient. En plus, je devais, selon son désir, décalotter légèrement le gland violacé à chaque fois. Ses exigences étaient terriblement précises. « Alors, ça vous plait de faire ça, chère petite salope ? »« Oui Monsieur ! »« Tu aimes que je te traite de salope ? » « Oui monsieur, j’aime ça ! »« Dis-moi ce que tu es maintenant ! » J’ai avalé ma salive avant de répondre : « Je suis une salope. »Que répondre d’autre ? En plus, n’y avait-il pas là, la plus stricte vérité, finalement ? N’étais-je pas en train de vivre là une expérience sado maso excitante dont je rêvais depuis longtemps, un remake de mes films fantasmatiques secrets ? Il a passé sa main sur mes cheveux ; la soirée s’annonçait très très rude…..
Diffuse en direct !
Regarder son live