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Défis de couple

Chapitre 9

Divers
Défi n° 8 (la suite d’une longue soirée) Schuller a souri en caressant mes cheveux.« Bien, tu as raison, et pour le prouver, pour me prouver que tu es une salope, comme tu dis, tu vas retirer ta jupe et ton corsage et descendre au sous-sol pour déposer ma poubelle dans le container du parking souterrain. Bien évidemment, tu vas descendre par l’escalier, et lentement. » « Oui monsieur.» J’étais perdue, complètement perdue.Un ordre qui claque : « Vas-y !» Je me suis relevée et j’ai retiré ma jupe et mon corsage. « Tu n’as plus besoin de ton soutien-gorge, n’est ce pas ? » J’ai fait tomber mon soutien gorge. « Allez ! Ne perdons pas de temps.»J’ai récupéré le sac poubelle dans sa cuisine et je suis descendue par les escaliers. J’ai ressenti la peur de ma vie, mon cœur battait et le sang cognait violemment à mes tempes. J’étais étourdie et j’ai même dû me retenir aux murs.A tout moment quelqu’un pouvait me surprendre et la traversée du parking m’a semblée interminable ; je suis entrée dans le « local poubelles » et j’ai refermé la porte le plus silencieusement possible. Le moindre bruit me faisait sursauter et mes jambes tremblaient. J’étais à la limite du malaise et je ne savais plus où j’en étais : « Tu es devenue complètement folle ou quoi ? Tu te rends compte de ce que tu fais ? Tu te promènes, complètement nue, dans un lieu où n’importe qui peut passer. Tu trouves ça normal ? » J’ai jeté le sac poubelle dans le container puis j’ai ouvert la porte du local pour vérifier que je pouvais traverser le parking sans me faire surprendre.J’ai rejoint l’escalier le plus rapidement possible et je suis remontée. A cause de mes talons, je devais faire attention à chaque pas. Je titubais ; j’avais l’impression de ne plus avoir le contrôle de mes jambes. Je suis arrivée devant la porte du vieux. Elle était fermée . J’ai toqué à la porte puis j’ai attendu ; j’avais mal au ventre, j’étais morte de peur et je me tortillais sur le paillasson, guettant le moindre bruit. Il m’a laissée ainsi cinq bonnes minutes puis il a entrouvert sa porte, la chaine de sécurité était en place.Il ricanait.« Vous désirez ? » « Laissez moi entrer, je vous en supplie, j’ai peur que quelqu’un vienne et me surprenne et puis j’ai envie d’aller aux toilettes ; je ne peux plus me retenir. »Il jouait avec moi. « Si je vous laisse entrer, vous ferez quoi ? »J’ai fondu en larmes. J’avais perdu tout contrôle.J’ai murmuré en sanglotant : « Tout ce que vous me direz de faire, monsieur, tout ce que vous voudrez ; je suis une salope, je vous l’ai dit. » Je pleurais et hoquetais. Il a fait durer le supplice.
« Quoi, par exemple ? » Il avait les yeux pleins de malice.« Je vais vous caresser et vous sucer, vous pourrez faire de moi ce que vous voulez. » Je l’implorais du regard.Il jubilait. « Et quoi encore ? » Je tremblais de tout mon corps. « Je vais vous lécher le sexe. Je vais être très gentille avec vous. Je vais tout faire pour vous plaire et vous satisfaire, vous verrez. » Il a encore ricané : « Et plus précisément ? » « Vous pourrez jouir dans ma bouche si vous voulez. Vous pourrez aussi me prendre comme cela vous plaît. S’il vous plaît ? » Je l’implorais du regard. Il a attendu encore un peu.« Entre et va te soulager !»« Merci monsieur. »Je suis entrée chez lui et il a refermé la porte. J’ai foncé aux toilettes puis après m’être lavée, je suis revenue au salon. Il m’y attendait, bien évidemment.« Viens et reprenons là où tu en étais tout à l’heure. Alors, dis-moi, tu es prête à faire quoi ? »Il est allé s’asseoir dans son fauteuil et je me suis mise à genoux devant lui ; au moins, j’étais à l’abri.« Tout ce que vous voudrez monsieur, tout ce que vous voudrez. »Il a ricané : « Une belle déclaration de politique générale qui ne veut rien dire, en fait. Je n’aime pas ce genre de déclaration de principe. Il faut m’éclairer à partir d’exemples précis, chère voisine. Allez, laissez parler votre imagination ; éclairez-moi un peu ! »Il me prenait au dépourvu et m’incitait à me livrer à lui encore plus en jouant sur le registre de mes fantasmes et de mes mots.« Je vais vous sucer, vous caresser, vous lécher et je vais bien m’appliquer pour vous satisfaire. Vous me direz comment faire et je vais être obéissante. Vous verrez, je serai une petite salope très obéissante, c’est ça que vous voulez ? » Il a hoché la tête puis a ricané.« Bon, décidément, je crois que je ne vais pas pouvoir obtenir d’autres précisions aujourd’hui ; peut-être êtes-vous sotte finalement? Cela serait dommage, moins amusant en tout cas. » J’avais pris sa queue flasque entre mes doigts et il m’a laissé le branler lentement, du bout des doigts, tout le temps de cette conversation. « Essayons encore pour voir ! Mais encore ? »Je ne voulais pas lui déplaire alors j’ai répondu de mon mieux. « Je vais m’exhiber pour vous, me caresser devant vous, pour vous, comme vous me direz de faire. Je vais faire comme tout à l’heure ; je vais obéir à vos instructions, même s’il faut prendre des risques. »« Bien ! Comme nous en revenons toujours au même point, je vais vous poser quelques questions, une ou deux, pas plus, pour mieux percevoir vos capacités. » Il me regardait et ses yeux se sont baissés pour contempler mes doigts et la manière dont je caressais le gland boursouflé de son sexe.« Aimeriez-vous que je vous donne pour instruction d’aller satisfaire une personne que je vous désignerais ? » Il a souri avant d’ajouter : « Bien évidemment, je saurai tenir compte de vous goûts particuliers et de votre appétit de soumission. Alors ? »J’ai levé le regard pour croiser le sien : « Oui monsieur ! » Il a plissé les yeux de satisfaction : « Même s’il est plus laid, plus vieux, plus répugnant que moi ou encore bien pire, pourquoi pas, si je trouve ? Après tout, rien n’est impossible en ce bas monde. » Il s’est esclaffé ; il jouait de moi et j’avais l’impression de m’enfoncer de plus en plus, d’être disséquée.« Oui monsieur ! »« Votre réponse m’ouvre des horizons intéressants. Je vais pouvoir libérer mon imagination et m’exprimer, tel un artiste, pour faire de vous ce que vous méritez d’être. Bien évidemment, il faut que vous en parliez à votre mari. Il ne doit pas rester dans l’ignorance. C’est la moindre des choses, ne pensez-vous pas ? »Il avait raison. Je devais tout avouer à Arnault, je n’avais plus le choix ; je devais tout lui avouer, lui faire part de tous mes fantasmes, de mon goût pour la soumission à des hommes vieux et surtout très laids. A cet instant, comme extérieure à la scène, je regardais mes doigts aller et venir sur le sexe du vieux, et je me suis demandée d’où provenait cette perversion sexuelle, cette attirance très spéciale ; viendrait-elle de mon enfance ? Pourtant, je n’ai jamais été agressée sexuellement.Il a rompu ma réflexion. « Aidez-moi à m’installer de manière confortable. Vous allez poser chacune de mes jambes sur les poufs mais d’abord retirez mon pantalon de pyjama et aidez moi à écarter mes jambes. Je ne peux le faire seul. »Je me suis empressée de faire selon ses désirs, l’aidant d’abord à se débarrasser de son bas de pyjama humide de sueur puis, selon ses ordres, j’ai posé son pied droit sur un petit pouf en cuir un peu plus haut que le siège du fauteuil. Sa jambe droite, à la peau sèche, était presqu’atrophiée, très poilue. Sa jambe gauche, par contre, était lourde, violacée, variqueuse, d’un aspect immonde. J’ai dû m’y mettre à deux fois pour la soulever et la placer sur le deuxième pouf qu’il m’avait demandé d’installer de l’autre côté du fauteuil.Tout le bas de son corps était désormais dénudé : un corps parfaitement repoussant et totalement asymétrique ; une jambe grêle à la limite de l’atrophie et l’autre, énorme de la hanche au pied, un véritable poteau. Comment cela est-il possible ? Je ne savais pas que cela puisse exister.J’étais réellement fascinée par ce spectacle hors norme qui dépassait de loin les images maintes fois ressassées de mes fantasmes les plus fous et mon cœur battait à tout rompre.Il était là, à 50 cm de moi, jambes relevées et écartées, les parties intimes exposées sous mes yeux, le ventre entièrement dégagé, car son tricot de corps était remonté dans la manœuvre. Un ventre gras et blanchâtre, poilu du torse au bas-ventre ; un ventre de vieillard, avec une longue cicatrice qui allait du sternum au pubis, s’offrait à moi et le sexe flacide reposait sur des bourses pendantes qui formaient une espèce de longue sacoche plissée, molle et velue. Ce spectacle était hallucinant et, de nouveau, j’étais à la limite de la panique mais il a soufflé bruyamment avant de racler sa gorge et cela m’a ramené à la réalité que je devais assumer. « Tu vas faire ce que je dis ? »« Oui monsieur, je vais bien m’appliquer, vous verrez. »Je me suis effectivement appliquée à ne plus penser, à l’écouter et faire selon ses ordres exigeants : d’abord de doux effleurements des doigts de la main droite sur son sexe flasque, puis, de ceux de la main gauche, j’ai eu ordre d’effleurer la peau de ses bourses, les plis des aines et la partie interne de ses cuisses recouvertes de poils gris. Je découvrais avec horreur ses parties intimes, très différentes de celles de mon homme dont la plastique fait que les femmes se retournent sur lui, que je sois là ou pas d’ailleurs, cela ne les gène en rien.Le vieux, lui, a une chair immonde, blanchâtre, granuleuse avec, de part en part, des sortes de verrues, des excroissances de chair, et un poil trop abondant, dru et gris avec lequel je devais jouer du bout des doigts.Comment pourrai-je jamais dépasser la sensation de dégoût qui me tordait le ventre?Il a bougé un peu, a avancé encore son bassin pour soulager un peu plus ses parties intimes. Il s’est de nouveau raclé la gorge et, à sa demande, je l’ai aidé à s’installer encore plus confortablement dans le canapé en disposant un coussin sous ses reins, ce qui a eu pour effet de surélever son bassin. Ce ne fût pas facile, tant sa masse est imposante. Il transpirait, je voyais trop bien où il voulait en venir et cela m’effrayait. Comment allais-je pouvoir faire ça avec lui, tenir le choc ?« C’est très bien ! Parfait ! Maintenant, mains dans le dos et lèche ma bite que je vérifie si tu es vraiment obéissante ; fais-moi apprécier ta technique et ton application ; une jolie femme est insipide et décevante si elle ne maîtrise pas certaines techniques amoureuses. » Pour lui obéir, j’ai croisé mes mains dans mon dos, puis je me suis penchée et ma langue s’est posée sur le sexe qui pendait sur la sacoche velue de ses bourses. Il m’a ensuite présenté ce sexe trop mou de deux longs doigts et je l’ai léché, et selon ses instructions, la pointe de ma langue devait se poser sur le bout de peau cachant le gland, jouer un peu avec lui puis remonter vers le pubis. Il a fait durer ce petit jeu autant qu’il l’a voulu. Je savais déjà qu’il aime prendre son temps, faire durer son plaisir.« Reprenez vos caresses et de vos doigts si fins, descendez jusqu’au périnée puis effleurez mon anus et son pourtour, j’aime particulièrement cette caresse subtile. »Que me demandait-il là ? Comment répondre à cet ordre qui constituait le comble de l’insoutenable ; il exigeait de moi, ce vieux porc lubrique, que je touche son anus. Comment m’échapper ? Toute porte de sortie m’était fermée, bien évidemment. C’était trop tard.Mon index gauche, hésitant, a parcouru ce chemin redouté, du bas de la verge jusqu’à l’anus, sans appuyer, en essayant simplement de dégager les derniers poils pour, à la demande du vieux, agacer la muqueuse sensible. Il a gémi de plaisir. « Continuez et appuyez vos caresses, si vous l’avez pour agréable ! » Toujours ce langage suranné, pervers mais terriblement excitant eu égard au contexte.Son sexe flasque avait un peu grossi entre mes doigts. Je m’occupais pourtant de mon mieux de cette bite et de son gland violacé en forme de champignon.Il y avait beaucoup de poils à la base et ils envahissaient en partie le pénis, ce qui ne me facilitait pas les choses et ajoutait au violent sentiment de répulsion qui m’habitait. Pourtant, mes doigts se sont fait un peu plus inquisiteurs, plus agiles aussi. Ils s’étaient comme détachés de moi car j’essayais de ne plus réfléchir.Mon index a appuyé un peu à la base de son pénis, puis, du pouce et de cet index, j’ai délicatement palpé ses bourses dont la peau plissée se rétractait sous mes attouchements puis j’ai parcouru le périnée, exerçant même une pression un peu plus forte entre les couilles et l’anus. Il a gémi et son bassin s’est soulevé puis il a repris sa position initiale et mon doigt, pour répondre à son instruction ferme et renouvelée, s’est délicatement enfoui entre ses fesses grasses pour se poser sur son anus. Avait-il perçu mon appréhension et mon dégoût, ne voulait-il pas profiter de l’excitation née de mon désarroi ? En tout cas, il s’efforçait désormais d’écarter ses fesses en s’aidant de ses mains. Sa gesticulation était claire. « Alors ! Qu’attendez-vous ? Ne me dites pas que vous hésitez ! »Son anus était devenu plus accessible et je ne pouvais délayer davantage. Il fallait me débarrasser de cette écœurante corvée le plus rapidement possible, alors, délicatement, du bout du doigt, j’ai écarté sa toison pour atteindre la muqueuse anale qui s’est déplissée au contact de mon index.Mon doigt s’est positionné à l’entrée de ce pertuis aux contours boursouflés, sans que j’ose aller plus loin ; j’avais déjà dépassé mes limites physiques et mentales…du moins, je le croyais alors. A sa demande, car il veillait à ne pas relâcher la pression qu’il exerçait sur moi, j’ai répété cette manœuvre à plusieurs reprises. Il gémissait de plaisir et ne parvenait pas à se rassasier. Son sexe avait enfin pris un peu de volume dans ma main droite qui ne cessait de le caresser en va et vient, de la base au gland plus tendu ; un gland épais dont je percevais l’odeur tenace.« Cela vous plait? »-« Oui, Monsieur. »-« Beaucoup ou un peu ? »-« Beaucoup monsieur ! »Plus tard, en revivant mentalement cette scène pour la décrire à Arnault, je me suis demandée si, en faisant cette réponse, j’avais menti ou, plus vraisemblablement énoncé une vérité qu’alors je tentais encore de me cacher.En réalité, j’avais la gorge serrée et je comprenais que mes hésitations, mes répulsions étaient extrêmement excitantes pour lui. Il a ajouté, logiquement : « Pénétrez-moi de votre doigt, je suis certain que vous en mourrez d’envie, petite salope. » Ce vieux porc voulait mon doigt en lui et jouait de moi, très habilement, et mes peurs et répulsions ; mes réticences l’excitaient visiblement, pas de doute.Mon index s’est positionné à l’entrée du pertuis pour, délicatement, le pénétrer d’une demi-phalange. J’ai ressenti la douceur et la chaleur de la muqueuse interne, la contraction réflexe de son anus et son plaisir non dissimulé. J’ai retiré mon doigt pour le réintroduire à nouveau et pendant quelques instants, à la demande du vieux, j’ai poursuivi cette manœuvre. Il me livrait son cul, ce vieux cochon. « Plus profondément  ! » a-t-il exigé. Mon doigt à chaque va et vient s’est donc introduit un peu plus profondément. J’attendais sa réaction, elle n’a pas tardé.« Caressez-moi le ventre et le bas ventre de la bouche et de la langue, je suis sûr que cela va vous plaire. Vous n’attendez plus que ça, je le sais. »Caresser un homme comme lui de la main est une chose mais procéder de la bouche et la langue constitue une épreuve bien plus pénible encore. Il m’obligeait à repousser encore une fois mes limites, les barrières du supportable et du dégoût. Je me suis penchée vers lui, malgré l’odeur que son bas ventre dégageait ; une odeur de transpiration aigre pour, enfin, poser mes lèvres au contact de cette peau humide de sueur, grasse, trop blanche et tavelée, recouverte de poils grisâtres. C’était écœurant et en bas, mes doigts poursuivaient leurs explorations obscènes.Selon ses ordres, j’ai entrepris de parcourir sa peau de mes lèvres et de la pointe de la langue, en allers et retours délicats. Il bougeait son bassin de plaisir et sa graisse était agitée de tremblements à chacun de ses mouvements.« Continuez, du nombril à la base de mon sexe. »« Oui, Monsieur ! »« -Cela vous plaît ? »-« Oui, Monsieur ! »-« Un peu ou beaucoup ? »Que répondre d’autre dès lors que je me vautrais dans la réalisation de mes fantasmes sordides ? « Beaucoup, Monsieur ! »« Alors, ne faites pas semblant. »Quel salaud ! J’ai alors redoublé d’efforts, en bonne petite chienne docile, et me suis appliquée à parcourir de la bouche et de la langue cette vieille peau flasque, tous ses replis adipeux, la longue cicatrice et le nombril, y enfonçant même ma langue, selon son ordre. Une évidence me faisait horreur : je prenais un indescriptible plaisir à me soumettre et à me livrer ainsi, soyons claire. Comment serais-je parvenue à faire tout ça ? Une de mes mains s’est glissée furtivement entre mes jambes pour vérifier ce que je pressentais ; je mouillais abondamment.Il a fait durer ce petit jeu à loisir. Cela n’en finissait pas et j’avais l’impression, à la fin, d’avoir entièrement léché son gros ventre à plusieurs reprises. Comment pouvais-je faire cela ? Obéir à ce vieillard répugnant m’excitait donc vraiment ou bien ne voulais-je en réalité que plaire à mon chéri en relevant un défi extrême ? N’étais-je pas en train de prendre mon pied à vivre librement mon fantasme de soumission avec l’homme le plus laid que j’avais vu ? Pourtant, Arnault ne risquait pas la prison et je ne pouvais justifier ma soumission par les exigences d’un odieux maître chanteur. En réalité, je faisais tout cela librement, et parce que j’en avais envie.« Mon sexe est offert à votre langue. Profitez-en ! » Nous y étions enfin. « Il a dit la langue, pas la bouche. » ai-je immédiatement remarqué.Je me suis installée juste au dessus de son bas ventre, ma main droite a décalotté son gland violacé et de la pointe de la langue, juste de la pointe, j’ai entrepris d’obéir à cette injonction obscène. Ma langue est venue titiller et lisser le gland, puis, selon les commandements précis du vieux, j’ai passé la pointe de la langue sous le chapeau de ce champignon violacé totalement décalotté, l’ai glissée sur le frein, dardé sur le méat. Il savait précisément ce qu’il voulait et me faisait tout faire, certainement pour évaluer ma technique amoureuse en m’obligeant aussi à la parfaire et à me surpasser.A de nombreuses reprises, car bien sûr il ne se lassait pas, j’ai recommencé ce type de périple tout en continuant les va et vient de mon doigt introduit dans son cul.Je n’en pouvais plus ; J’étais épuisée et il fallait que je me reprenne un instant. J’ai dégagé ma bouche. « Comme cela, monsieur ? » Une petite voix ingénue fait toujours de l’effet et surtout, j’ai pu avaler ma salive et reprendre mon souffle. Une belle salope, j’étais devenue une belle salope, une vraie chienne, et maintenant, j’en rajoutais pour complaire à ce vieux porc. Je le constatais et cela m’enfonçait encore un peu plus dans mon plaisir.« Oui, comme cela ; pour l’instant, c’est très bien. » J’ai repris mon ouvrage, très appliquée, il ne se rassasiait pas et appréciait visiblement mes efforts. Ses fesses désormais bien installées et parfaitement ouvertes, il avait libéré ses mains et ses doigts sont venus agacer mes pointes de seins, les pincer et les tordre.« Auriez-vous plaisir à prendre mon sexe en bouche ? »Au moins, pensais-je dans la foulée, je vais maintenant pouvoir hâter sa jouissance et être tranquille pour ce soir.J’ai répondu en ouvrant simplement la bouche pour avaler son sexe toujours trop flasque malgré tous mes efforts. J’y suis allée doucement, pas de pressions excessives, de la douceur, de la lenteur, pas trop de salive. Il a apprécié mon application. Le goût de son sexe était supportable, juste un peu plus fort, un peu plus âcre que celui de mon homme. J’avais maintenant dépassé la sensation de dégoût à force de concentration technique sur les caresses commandées, et puis je voulais en finir, car j’étais de plus en plus fatiguée.« Continuez de caresser mes couilles comme vous le faites depuis tout à l’heure. »A genoux devant cet homme, je faisais tout ce qu’il me demandait de faire, sans plus aucune retenue. J’avais compris qu’il ne fallait plus penser à rien sauf à devenir folle, sauf à considérer que je me comportais comme la dernière des dernières.J’avais très soif. J’ai finalement pris une initiative, j’ai attrapé mon verre, j’ai bu une gorgée et j’ai repris le sexe en bouche. Comment allait-il réagir ? La sensation de fraîcheur l’a fait gémir et son bassin s’est avancé en un geste réflexe. Ce geste a enfoncé le sexe plus profondément dans ma bouche. Sa queue a tapé tout au fond et j’ai entrepris de la sucer par un long va et vient, une aspiration plus appuyée et des mouvements de langue, avec plus de vigueur. Une petite pompe aspirante au vin blanc s’était mise en action.Il appréciait visiblement ce traitement buccal et ses doigts ont de nouveau pincé mes aréoles. Ce fût douloureux et j’ai gémi de douleur ; ne pas réagir. Il a continué à les malaxer tandis que je le pompais lentement, m’appliquant à parfaire chaque va et vient.« Je vais jouir, gardez mon sexe en bouche!» J’ai pensé : « Arnault, mon chéri, regarde ce que je suis capable de faire ! » J’exultais tant j’étais excitée et par l’esprit, je tentais de communiquer avec mon homme pour lui faire partager ce moment érotique intense ; j’imaginais notre état lorsque j’allais lui relater tout ça.Le bassin du vieux s’est soulevé, puis il s’est contracté, a appuyé sur ma tête et a joui dans ma bouche en plusieurs giclées. Sa semence liquide et peu abondante roulait sur ma langue. Je me suis dit que je goûtais au sperme d’un autre homme, pour la première fois, et que je l’avalais. J’avais été capable d’en arriver là, de faire tout ça : victoire, ou défaite en forme d’asservissement total? J’espérais en avoir fini, mais j’avais tort puisqu’à sa demande, j’ai gardé son sexe en bouche tout le temps de sa jouissance, ma langue faisant, selon son exigence, des cercles délicats autour du gland puis j’ai avalé le sperme avant, toujours selon son désir, de lécher son sexe, longuement, méticuleusement, prenant de temps en temps une gorgée de vin frais pour accentuer son plaisir et faciliter mes déglutitions.Son anus s’était contracté spasmodiquement autour de mon doigt au rythme de sa jouissance puis, profitant de son relâchement, j’avais lentement dégagé mon index. A la fin, il gisait sur le canapé comme un cheval mort et il lui a fallu un peu de temps pour se remettre de ses émotions et me remercier à sa façon.« Vous êtes vraiment très obéissante. Vous n’avez pas menti concernant votre orientation sexuelle. »J’étais toujours agenouillée devant lui, les yeux fixés sur le gros crapaud que j’avais fait jouir. Il a sollicité mon regard, et m’a demandé de prendre à nouveau son sexe en bouche et de le fixer des yeux, de mes beaux yeux bleus, a-t-il précisé, pendant que je le savourais d’une langue et d’une bouche aussi gourmandes que douces, «faites donc comme la jolie fille du film, celle qui vous ressemble tant. »Il voulait là s’assurer de ma soumission totale, c’était clair !Je me suis exécutée et mes yeux bleus n’ont pas quitté son regard pendant les quelques minutes pendant lesquelles son sexe m’a été offert comme une friandise à déguster langoureusement: un sexe redevenu flasque, humide et aux poils collés de salive et de filaments de sperme.J’avais fait de mon mieux pour lui plaire et le satisfaire, puis il s’est enfin retiré.« Ce sera tout pour ce soir, vous pouvez partir mais d’abord, aidez moi à me relever. »J’ai fait ce qu’il fallait pour l’aider pour quitter les lieux avant qu’il ne change d’avis. Je l’ai suivi du regard pendant qu’il s’éloignait vers la salle de bain : un corps difforme, grotesque, asymétrique, un ensemble effrayant, le corps d’un repoussant vieillard. Et pourtant, j’avais fait tout ce que je venais de faire et ce n’était peut-être pas fini. Comment ai-je pu faire ça avec lui ?Alors que j’allais ouvrir la porte de son appartement, j’ai entendu sa voix. Un ordre impérieux.« Demain, même heure ! »Je suis partie sans aucun de mes vêtements du jour.Il m’a interpellée. « Vous monterez l’escalier lentement ! » « Oui monsieur.»Il était sur le pas de sa porte et me regardait monter l’escalier. J’avais peur d’être surprise mais je devais obéir. Dans l’escalier, j’ai murmuré : « Arnault ! J’ai tant de choses à te raconter, à partager avec toi. J’ai hâte que tu reviennes. Tout ce que j’ai fait ce soir, tout ce que je vais devoir faire encore si cela se trouve, c’est pour toi, pour te dire que je t’aime. »Désormais, je le savais, le vieux pourrait s’en donner à cœur joie, faire de moi ce qu’il voulait. Je devrai tout faire, tout supporter de lui mais une évidence m’a fait frissonner de dégoût : Je reviendrai, je le savais déjà, pour trouver mon plaisir en obéissant servilement à cet être repoussant. Je me dégoûtais. J’étais donc devenue cela ? L’exploration des mes bas-fonds me révulsait mais j’avais ressenti une intense excitation à me livrer ainsi et des larmes me sont venues aux yeux.Cette nuit-là, j’ai longuement et dans le moindre détail, relaté à Arnault tout ce que j’avais fait, mais surtout tout ce que j’avais ressenti et ce n’était vraiment pas à mon avantage. Cette expérience avait fini par révéler au grand jour mes pires appréhensions concernant ma nature profonde, et il a dû me consoler en me faisant remarquer qu’il ne faut jamais avoir honte d’être ce que l’on est. Il m’a parlé, parlé, consolé et je me suis endormie sans m’en rendre compte comme si j’étais dans ses bras et au matin l’ordinateur était toujours ouvert. Au matin, un message d’Arnault dans le droit fil de son discours de la veille : « Je suis fier de toi, de ton courage et de ta quête. A mon sens, il est important que tu continues cette aventure jusqu’au bout mais si tu veux l’interrompre, je le comprendrais parfaitement car je ne veux pas que tu te sentes obligée de faire quoi que ce soit et de même, je ne veux pas que tu te sentes en danger. Ton seul maître, c’est toi ! Jtm ! Arnault ! »Sous la porte, le lendemain matin, un message, un ordre impératif du vieux : « 20h ! »Je n’avais pas besoin de réfléchir concernant la décision à prendre car, depuis la veille au soir et avant même que je quitte l’appartement du vieux pervers, je savais que j’y reviendrai pour me soumettre encore à ses désirs pervers quels qu’ils soient, en finir, et me confronter définitivement à ce que je suis, à cet aspect trop longtemps refoulé de ma personnalité, à mes craintes, à mes répugnants fantasmes aussi.Je voulais y aller pour savoir ce que je suis vraiment et en plus, Arnault approuvait mon choix et mon courage.
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