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Défis de couple

Chapitre 11

Divers
Défi 10: Partie de poker
La semaine, de fait, m’a permis de récupérer de ces émotions, de reprendre pied avec le quotidien, de me concentrer sur mon travail, même si chaque soir, avant d’appeler Arnault, je visionnais longuement les photos pour m’exciter et relisais mes récits, découvrant à chaque fois des éléments nouveaux qui me révélaient des facettes de mon corps, de ma personnalité, de ma sexualité profonde, de ce que finalement j’étais capable de faire, quoi que j’en pense.Bien évidemment, chaque soir, j’enfonçais un gros gode dans mon anus et le laissait en place au moins une heure de temps pour me dilater, pour obéir au vieux, pour satisfaire celui qui est devenu mon maître avec mon accord et celui de mon homme. Les photos que je savourais, mes textes que je relisais me démontraient, chacune et chacun, que j’avais été loin, très loin ! Trop loin, peut-être car j’avais été capable, en tout cas, et en peu de temps, de devenir la chienne de ce vieux porc au point que celui-ci voulait maintenant faire de moi une sorte de pute ou de vide couilles comme je l’ai lu sur un site particulier. J’imaginais aussi Arnault en train de me contempler sur les photos et de se masturber en les visionnant ou en savourant mes écrits. J’espérais juste que ma sincérité, ce que j’étais devenue, n’allaient pas le rebuter, le dégoûter de moi. Je mesurais que mon goût de l’obéissance m’avait permis de dépasser toutes les limites et de me livrer corps et âme à un individu pourtant répugnant, à un être si laid qu’il déclenche une réaction de peur viscérale quand on le voit et ma seule volonté de plaire à Arnault, de ne pas le décevoir ne pouvait tout expliquer. Je devais le reconnaître, je n’avais vécu que ce que je voulais vivre.Nos échanges par caméras interposées ont été torrides mais un soir, j’ai fondu en larmes, d’autant qu’il venait de m’annoncer qu’il était dans l’obligation de prolonger son séjour de trois longues semaines supplémentaires, compte tenu de ce qui se passait là-bas. Il m’a consolé et promis tant de belles choses qu’en rêve, je me suis endormie dans ses bras, après avoir joui devant la caméra à son grand plaisir.Un dernier constat, que je me promettais d’avouer à Arnault en lui adressant le questionnaire: j’avais hâte de retrouver le vieux ! Mon corps et mon esprit le réclamaient, réclamaient celui qui était devenu mon maître et voulaient se confronter à ses exigences insensées.Hélas, en milieu de semaine, le vieux Schuller a de nouveau été hospitalisé et son absence s’annonce longue. Un matin, juste avant de partir au travail, j’ai entendu l’ambulance et les pompiers, et j’ai vu les médecins du SAMU arriver chez lui. Je suis descendue, la concierge était là, elle aussi. Schuller était inconscient et son était semblait inquiétant ; le médecin ne nous l’a pas caché.La concierge m’a confié les clés de l’appartement du vieux. Il lui avait donné des instructions en ce sens et elle m’a également remis une enveloppe fermée sur laquelle il avait écrit : « Pour M et Mme H »Nous prenons régulièrement de se nouvelles mais, parfois, seule une infirmière du service où il est hospitalisé répond et toute visite est interdite pour le moment. Il est déjà hospitalisé depuis 3 semaines et son état ne s’améliore pas réellement.Ma vie me semble vide malgré les petits défis quotidiens qu’Arnault me lance, malgré nos contacts téléphoniques ou skype, trop rares à mon goût.Je le lui ai dit, nos derniers petits jeux me semblent insipides comparés à ce que je vivais avec notre voisin.Dans sa lettre, le vieux Schuller nous confiait son appartement, nous laissait de quoi payer toutes ses factures en lien avec son agence bancaire, nous destinait sa collection de livres, films et photos et tout son matériel en cas de décès. Il nous assurait, enfin, de son amitié.Nous en avons été touchés. Depuis, trois fois par semaine, je vais chez lui pour aérer, faire un peu de ménage et vérifier que tout va bien, je relève son courrier et paye ses factures, j’arrose ses plantes et, en cas de difficulté, je contacte sa banque.J’ai encore attendu deux longues semaines et puis un soir, Arnault est revenu et le ciel s’est immédiatement éclairci.Il savait que les passages chez Schuller m’avaient manqué.Quelques jours plus tard, il m’a annoncé qu’il avait pensé à quelque chose de sympa et de différent pour animer l’une de nos soirées. Il m’a expliqué son idée en quelques phrases. Si j’étais d’accord, il allait inviter trois types pour une partie de poker et de mon côté, je devais les accueillir dans une tenue sexy puis, très vite, partir me coucher en prétextant un emploi du temps chargé le lendemain.
Il m’a exposé la suite du jeu qu’il avait imaginé et je l’avoue, j’ai rapidement accepté cette proposition.Alors que nous préparions la soirée, il m’a suggéré de porter une petite jupe noire, des bas autofixants et des mules à hauts talons. Il fallait que je sois en tenue sexy pour accueillir et émoustiller ses partenaires de poker. Pour compléter cette tenue, il m’avait offert un haut en coton blanc léger qu’il a demandé de bien échancrer. J’étais hyper sexy ainsi, très attirante et le miroir me renvoyait l’image d’une parfaite petite coquine. Ce soir là, je n’ai presque pas mangé ; j’avais l’estomac noué tellement j’étais excitée et j’ai aidé Arnault à installer la table et le tapis vert pour la partie de cartes. Il y avait des bières au frigo et tout de qu’il fallait pour passer une bonne soirée. Je sentais monter en moi un sulfureux mélange d’appréhension et d’excitation que j’apprécie particulièrement. Un quart d’heure après, le premier de ses copains est arrivé et je suis allée lui ouvrir. Je tremblais en me dirigeant vers la porte.C’était Albert, un homme dans les 60 ans passés et qui les portait bien: cheveux rares et pas trop nets, court sur pattes, mal fringué, pas rasé, trop bedonnant. Après l’avoir débarrassé de sa veste de chantier, Arnault m’a demandé de lui faire la bise. Son copain, qui portait de gros verres presque opaques à force d’être sales, ne me quittait pas du regard à travers ses hublots. Les deux autres sont arrivés peu après, l’un après l’autre: un surnommé « Chaboune », un grand type de 35 ans carrément obèse, 150 kgs pour 1,80 environ, à la peau mate, presque olivâtre, un gros mou au souffle court et Alfred : 67 ans, dont Arnault m’avait déjà parlé : un maigre, un nerveux, un agité, un tatoué qui a fait de la prison dans sa jeunesse avant de se ranger et qui a la réputation de « sauter sur tout ce qui bouge », selon l’expression de mon chéri. Je ne voulais pas savoir ni où ni comment il avait connu ces mecs là. Arnault me surprend toujours, de toute façon et cela ajoute à son charme. Il est à l’aise partout et dans tous les mondes.J’ai servi des bières aux hommes, juste le temps de bien me rendre compte que nos trois « invités » me mataient sans aucune gêne et échangeaient des coups de coudes et des sous-entendus graveleux en ricanant, du style,: « T’as de la chance ! C’est du tout bon tout ça, hein ? On ne doit pas s’ennuyer avec ta p’tite femme ? J’suis sûr que c’est une chaude du fût !» Les deux autres ont ricané encore plus fort. Alfred a ajouté : « Ma main entre les caisses, mon doigt dans le trou du fût… »Les autres, y compris mon homme ont éclat é de rire. Lorsque j’ai compris cette fine plaisanterie, j’ai rougi et je me suis retournée mais je sentais leurs regards égrillards comme autant de limaces glissant sur mon corps. Je frissonnais d’excitation, c’est tout ce qui comptait ; le petit jeu produisait déjà son effet.Au signal convenu avec Arnault, j’ai demandé la permission d’aller me coucher et il m’a fait un petit baiser du bout des doigts. En allant vers la chambre, je l’ai entendu dire aux autres : « Elle bosse demain, elle doit aller se coucher !» Alfred a lancé une plaisanterie : « Eh, on pourra aller lui faire la bise au lit à ta p’tite femme? » Les autres se sont esclaffés en approuvant cette proposition salace et mon homme a répondu en plaisantant : « Bon, on verra, mais faut pas me la réveiller avec vos conneries ! Une marmotte, ok, avec le cachet qu’elle prend, mais il ne faut pas qu’on la réveille ! » Malin, il avait évoqué la prise d’un cachet pour les rassurer quant à la qualité de mon sommeil qui allait leur autoriser bien des choses, dès qu’il leur aura donné le feu vert pour aller faire un tour dans la chambre.Sur ce, j’ai refermé la porte de ma chambre et je me suis préparée pour la nuit comme Arnault et moi, après en avoir discuté, avions décidé: une nuisette noire en ultra courte, un string noir et une paire de bas noirs à jarretières. En me regardant dans le miroir du dressing, je me suis dit que j’étais habillée en parfaite coquine et la règle du jeu m’est revenue à l’esprit, juste assez fort pour bien me chauffer le ventre et me faire frissonner car dans quelques instants, l’un après l’autre, ces trois types vilains et peu séduisants, c’est le moins que l’on puisse dire, allaient venir me mater et faire de moi ce qu’ils voulaient en profitant de mon sommeil feint. La coquine endormie allait se faire tripoter par ces affreux. J’en frissonnais de plaisir et ce petit jeu m’excitait à mort.Je me suis parfumée puis je me suis couchée sur le drap léger, un bras au-dessus de ma tête, comme chaque soir, et une jambe repliée. Dans cette position, je le savais, j’étais totalement offerte et livrée aux regards et aux envies de celui qui allait entrer. Un quart d’heure plus tard, le grincement des gonds de notre porte de chambre a fait battre mon cœur plus fort, d’un coup. Mon premier visiteur du soir a pris soin de refermer la porte derrière lui, tout doucement. Le silence régnait dans l’autre pièce ; les hommes devaient attendre le retour du premier pour savoir à quoi s’en tenir. J’ai entendu le bruit caractéristique de la clenche, un grincement léger. Je ne devais pas bouger. J’avais la gorge nouée, serrée. « Lequel est là ? » me suis-je demandé. J’ai nettement perçu senti une odeur corporelle lourde, celle du tabac mélangée à celle de la bière arriver au dessus de moi. L’homme qui était entré respirait fort. Il s’était arrêté et devait profiter du spectacle que je lui offrais. Ses doigts ont parcouru la dentelle de ma nuisette puis dénoué en tremblant les trois petits lacets pour l’ouvrir. Je frissonnais d’excitation. Ce petit jeu était vraiment très érotique, Arnault avait eu une bonne idée de me lancer ce défi.Un doigt a touché mon aréole et le téton en cercles ; frissons garantis, puis la main est descendue tout au long de mon torse et de mon ventre. L’ «homme » respirait de plus en plus fort, comme s’il était essoufflé et j’ai compris que c’était CHABOUNE, l’asthmatique gros fumeur. Ses doigts ont lissé le rebord de mon string puis se sont promenés avant de plonger entre mes cuisses ouvertes pour effleurer ma vulve et le sillon que la dentelle dessinait plus qu’elle ne le recouvrait. C’était intenable et je voulais qu’il aille plus loin, qu’il ose le faire, qu’il me donne du plaisir pour évacuer cette tension sexuelle qui m’envahissait et devenait insupportable. Je sentais la moiteur au creux de mes aisselles.Le gros doigt a appuyé sur le tissu de manière plus nette avant de se retirer, générant en moi une sensation de frustration et de dépit. « Il a déjà fini ? Ah, non, alors! », … mais immédiatement, j’ai senti qu’il baissait son pantalon et qu’il était sur le point de sortir sa bite. J’ai osé entrouvrir un œil pour percevoir que sous son gros ventre, il avait effectivement dégagé un sexe court, circoncis et épais qui commençait à bander un peu. J’ai refermé l’œil ; il ne devait se douter de rien, sinon le jeu risquait de se terminer avant même d’avoir commencé. J’ai senti sa main se poser sur mes cheveux pour attirer ma tête vers le bord du lit. Je me suis laissée faire, comme une poupée de chiffons. Il tenait sa queue de l’autre main. Il gémissait déjà et j’ai senti son gros ventre dénudé juste au dessus de moi avec une odeur violente, animale, poivrée, lourde et humide qui trahissait son envie sexuelle. Le gland boursouflé s’est posé sur mes lèvres et s’est promené sur ma bouche entrouverte, lentement, longuement. CHABOUNE prenait son temps et devait profiter de ce spectacle. Du bout d’un doigt à l’odeur de tabac blond, il a appuyé un peu sur mon menton pour l’abaisser et sa queue est venue en moi. Le gland s’est posé sur ma langue ; c’était très excitant. Il a commencé à faire des petits allers et retours dans ma bouche, doucement, pour ne pas me réveiller et sa main caressait mes seins aux tétons durcis de désir et d’excitation glauque, car le côté plus que sordide de la situation me plaisait particulièrement, je dois le reconnaître. Ma langue se prêtait au jeu et il a fait encore quelques va et vient tout en se branlant puis il s’est retiré pour jouir dans son mouchoir. Je l’ai vu s’essuyer en gémissant après avoir secoué sa bite dégoulinante d’une main ferme. J’ai refermé les yeux ; il est sorti après s’être rajusté en soufflant comme un phoque. J’ai repris ma position initiale mais ma nuisette est restée totalement ouverte. J’étais plus qu’excitée maintenant et j’attendais qu’un autre arrive pour aller plus loin et, pourquoi pas, me donner un peu de plaisir à moi aussi.Au tour de la Boule :Quelques instants plus tard, la porte de la chambre s’est de nouveau ouverte, d’un coup, sans faire de bruit. J’ai ressenti le déplacement d’air et j’ai retenu mon souffle en me disant. « A qui le tour maintenant ? » Il en restait deux : Alfred, le vieux « tatoué », et la « Boule puante ». A l’odeur qui a immédiatement envahi la chambre, j’ai compris que c’était au tour d’Albert de profiter de l’occasion. Il s’est approché de la tête de lit et a immédiatement et tranquillement posé ses paluches sur mes seins découverts. Il tâtait la marchandise, la palpait en propriétaire puis l’une de ses mains est venue se plaquer sans management sur ma fente. Il a massé ma motte avant d’écarter le fond de mon string pour glisser un doigt et mater un peu. Son gros doigt râpeux est ensuite venu caresser mes lèvres et s’est fourré dans mon sillon. C’était intenable, physiquement et nerveusement totalement intenable. Son doigt m’a pénétrée, a fait quelques allers et retours peu profonds, et je sentais que ce gros malodorant se tripotait tout en me faisant ça. J’ai entrouvert un œil. Il avait effectivement ouvert sa braguette et extirpé sa bite molle qu’il branlait d’une main. Il s’est retourné vers moi d’un coup et j’ai refermé mes yeux. Il a avancé son gros ventre vers ma tête et j’ai senti son odeur violente, acide ; une odeur de transpiration aigre et d’urine mélangées. Ma tête était tournée vers lui, il s’est encore avancé un peu en cambrant ses reins et j’ai senti le bout de sa queue toucher mes lèvres. Il a promené son gland malodorant sur mes lèvres et en bas, ses gros doigts fouillaient tranquillement ma fente. Il allait me rendre folle avec ce genre de truc. Il bandait ferme maintenant. Il a retiré son pantalon et son slip, a remonté son haut et est venu se mettre à genoux entre mes jambes. Il les a relevées et est parvenu, après s’être couché ou plutôt affalé sur moi et en s’aidant de la main, à me pénétrer. Il ahanait. Il a fait quelques va et vient profonds et son gros ventre m’écrasait. Il a joui rapidement mais s’est retiré à temps puis il s’est relevé pour essuyer sa bite avec son grand mouchoir à carreaux. Après, il s’est rhabillé et a quitté la chambre dans un raclement de gorge. J’ai pu me reprendre un peu et réfléchir à ce que je venais de faire. « Comment puis-je faire ça et pire, y prendre du plaisir ? Prendre du plaisir à me laisser baiser comme ça par ce genre de mec cradingue et poisseux, même en faisant semblant de dormir ? » Je me suis vaguement rajustée. J’étais comme ivre, honteuse aussi, incrédule.Dans l’autre pièce, les hommes riaient, se congratulaient et tapaient le carton. L’anguille électriqueJ’ai encore attendu un bon quart d’heure. J’avais repris mes esprits quand la porte s’est ouverte ; le nerveux était là. Je l’ai senti à une espèce tension électrique qui a envahi la pièce. Il est venu à ma hauteur et a ouvert totalement les deux pans de la nuisette pour bien dégager ma poitrine, puis il est allé en bas du lit et a attrapé mes chevilles pour bien écarter mes jambes. J’avais maintenant les jambes totalement ouvertes. Il les a relevées l’une après l’autre, puis il est allé ouvrir la porte de la salle de bains pour admirer ma fente à loisir. Il ne s’en est pas privé puis j’ai senti que l’un de ses doigts me pénétrait lentement mais bien à fond. Il a fait quelques va et vient puis son doigt mouillé est venu se poser sur mon anneau et il l’a glissé en moi bien profondément ; j’ai dû me retenir pour ne pas gémir sous cette intrusion. Heureusement, j’avais pris soin de bien me lubrifier, avec un gel spécial, au cas où. Cela m’avait paru plus prudent d’autant que ce gel a des propriétés bactéricides. C’est plus prudent.« J’vais t’lubrifier un peu pour qu’ça passe et je vais bien t’doigter, salope ! Dommage que tu dormes, ma pute ! T’inquiète ! Bientôt, toi, tu vas me d’mander de t’faire ça avec ma bite, j’ le sais ! » Il disait cela à voix basse, pour s’exciter et j’ai senti ses doigts enduits de gel s’enfouir en moi. Lui aussi avait prévu le nécessaire.« Ca t’botte, hein pouffiasse ! Hein, salope ! T’aimes la bite hein! Ca se voit rien qu’à ta petite gueule de suceuse! Je vais t’en donner moi ! Plein le cul, salope ! Plein le cul, j’te dis ! Tiens prends ça dans ton p’tit cul serré de bourge! » Il parlait ainsi, à voix basse, pour bien s’exciter puis il s’est mis à genoux sur le lit après s’être dénudé le bas du corps et a présenté son gland sur mon anneau. « Tiens, prends ça, salope! » Il a appuyé, s’est enfoncé lentement, d’abord, puis plus profondément en moi. Je veillais à ne pas me contracter. Me faire traiter de salope par lui, par cet excité, ne m’a pas déplu. J’ai adoré ça en fait.Comme j’étais bien lubrifiée, sa queue m’a pénétrée à fond et il m’a limée tout en me traitant de salope et de pouffiasse. Je devais me retenir pour ne pas gémir à chaque coup de rein. Il a finalement joui en moi et s’est retiré d’un coup tout en disant. « Ton mec est un vrai pote ! J’vais lui demander de t’envoyer chez moi, un de ces soirs, et je vais te tringler comme je veux et autant que je veux et tu vas en redemander, j’te jure! Je vais te mettre au pas, moi et ça va pas rigoler. » Il est sorti de la chambre et moi, j’ai foncé dans la salle de bain pour une toilette intime.Un peu plus tard, Arnault est venu voir comment j’allais. « Ca va ? Alors, ça t’a plu ou pas? Tu veux arrêter pour ce soir, coquine, ou tu préfères continuer un peu ? » Il me caressait en m’embrassant. J’ai hésité avant de donner ma réponse. « Je ne sais pas ! J’ai envie de toi ! Toi, tu veux continuer ? Comment ? » Il me souriait. « Eh bien, soit on peut continuer comme tout à l’heure ou bien je leur dit que tu commences à émerger un peu et que tu me parais bien chauffée. Je peux leur dire que tu en veux et que comme tu es encore dans les vapes, tu feras tout avec eux comme si c’était avec moi ! Tu piges, comme ça, si ça te dit, tu vas en avoir autant que tu veux, ma jolie coquine ! Alors, ça te dit de tenter le coup ou pas ?» Il me souriait tout en me caressant. « Tu crois qu’ils vont marcher et croire ce que tu vas leur dire ? » Il a ricané : « Ne t’inquiète surtout pas pour ça, un mec qui a envie de tirer un coup est toujours prêt à croire n’importe quoi ! » Il m’a souri, comme pour m’encourager.« Bon, d’accord, je veux bien ! Mais cela ne t’embête pas, tu ne vas pas le prendre mal ? » Il a répondu : « Mais non, au contraire ! On joue ensemble, ou pas ? » « Oui, mon chéri ! » Il avait l’air content et a dit, sur le ton de la plaisanterie: « Bon, installe toi et je te les envoie un par un, enfin ceux qui veulent ; je ne vais quand même pas les forcer !» Lequel allait profiter de l’occasion ? Lequel ou lesquels plutôt ? J’ai attendu quelques instants puis la porte s’est ouverte et mon cœur s’est mis à battre la chamade. C’était Arnault. « C’est bon pour toi? Ils voulaient juste que je vérifie si tu es toujours dans le colletard avant de venir un par un. Ils ne veulent pas que tu te rendes compte que c’est eux, tu comprends ? Je peux les rassurer, c’est bon ? Si tu es OK, je t’envoie le premier ! Tu dois juste faire comme si c’était moi et lui, s’il te parle, il t’appellera chérie ou ma chérie ! Je leur ai dit de faire comme ça. C’est bon? » « Oui, mais embrasse-moi d’abord ! Je t’aime, tu sais!» Il m’a embrassée puis s’est relevé : « Allez ! Au premier de ces messieurs ! Amuse-toi et prend ton pied, coquine ! Tu sais que tu me plais quand tu fais ça !»J’ai entendu les hommes parler dans le salon et, quelques instants plus tard, la porte de la chambre s’est ouverte. Bien que j’attende cela, j’ai failli sursauter.« Lequel était là ? Alfred, l’obèse, la boule puante ? Que vont-ils me faire, me faire faire maintenant ? » Je devais faire de violents efforts pour me contrôler. L’odeur d’Albert a envahi la pièce. Il se déshabillait, en père peinard, et retirait son pantalon, son slip et sa chemise. J’ai murmuré d’une voix ensommeillée : « C’est toi mon chéri ? » Il a répondu : « Oui, ma chérie ! J’ai envie d’toi ! » Il avait changé sa voix et essayait d’articuler distinctement. J’ai joué la comédie et murmuré d’une voix pâteuse, comme ensommeillée : « Tes copains sont partis ? » Le gros s’est approché de moi. « Ouais, tous ! Tu vas pouvoir m’sucer, ma chérie, prend ma queue, vas-y ! » Il m’a retournée vers son gros ventre, sans efforts, et m’a présenté sa bite. « Tu veux que je te suce? » « Oui ! C’est ça ! » J’ai balbutié quelque chose comme : « Alors viens près de moi! » Ce petit jeu m’excitait de manière incroyable puisqu’il m’amenait à avoir envie de sucer la bite de cette boule puante d’Albert. Il a posé sa queue sur mes lèvres et je l’ai bien sucée, la main serrée sur la hampe. Il me parlait : « Allez, suce, ma chérie, suce bien ! Voilà ! A fond, comme ça ! Bien à fond ! Montre-moi qu’t’aimes ça et lèche moi la tige, maint’nant ! Oui, comme ça ! C’est bon comme ça ! Suce bien ! Lèche-moi les couilles ! Voilà ! Comme ça ! C’est bon! Continue !» Son gros doigt me fouillait la fente ! « Ecarte moi ça, ma chérie, mieux que ça ! Allez ! » J’ai fait ce qu’il demandait. Je devais jouer le jeu à fond et je l’avoue, cette situation étrange m’excitait de plus en plus. Je dévorais sa queue et léchais ses couilles velues et humides de sueur. « J’vais tout larguer dans la bouche, tu veux? » J’ai hoché la tête pour lui faire part de mon assentiment et quelques secondes après, il est venu jouir sur ma langue. Une coulée de sperme a envahi ma bouche. « Avale! Avale bien ! Voilààà ! Comme ça, c’est bien ! Dis à ton p’tit mari que c’est bon! Allez, dis le, ma chérie !» J’ai dégagé un peu ma tête pour répondre : « Oui mon chéri ! C’est bon, j’aime ça avec toi ! » Le gros malin a insisté : « Et avec un autre mec ? » « Je ne sais pas ? Cela te ferait plaisir? » « Ben ouais, avec un d’mes copains ? Avec Albert, pourquoi pas, tiens? » Il a remis sa queue humide de foutre dans ma bouche. Il l’a laissée un instant pour que je la suce encore un peu. « Alors, dis, tu feras ça avec lui ou pas ? » Il a retiré sa queue et j’ai pu répondre. « Tu veux que je fasse ça avec lui, c’est vrai ?» Il a replongé sa bite dans ma bouche et ma langue a tourné lentement autour de son gland.« Ouais, ça m’excite de penser à ça, à l’idée que tu le suces, le copain! » Il s’est relevé et est parti de la chambre. J’ai avalé le sperme qui stagnait dans ma bouche et bu une gorgée d’eau pour tout faire passer avant de reprendre ma position. Alfred est arrivé quelques minutes plus tard. « Alors ma chérie, tu dors ? » J’ai répondu en frissonnant : « Non, je t’attendais ! » « Ca tombe bien ! J’ai très envie de te fourrer la chatte et le reste, ma petite chérie ! » J’ai légèrement relevé la tête avant de répondre d’une voix volontairement pâteuse : « Oui, mon chéri, prend-moi comme tu veux ! Tes copains sont partis ? » « Ouais, t’inquiète, on est peinards! Viens me sucer, donne-moi ta bouche de petite salope ! » Il est venu près de mon torse, m’a obligée à me retourner et a fourré sa queue dans ma bouche. « Suce la bien, mieux que ça ! Voilà ! Tourne bien ta langue tout autour et branle moi en même temps, voilà ! Touche mes couilles ! Elles te plaisent, hein ? Dis le moi qu’elles t’plaisent ! » J’ai dégagé ma tête pour lui répondre : « Oui, elles me plaisent, mon chéri ; elles sont bien dures ! » « Alors vas-y salope ! Suce les, voilààà! Comme ça ! C’est bon ça! Hein ? Ca te botte quand je te traite de salope, pas vrai ?!» « Oui mon chéri, ça m’excite, continue ! » « Dis salope ! Ca te plait d’exciter mes potes avec tes tenues de pouffe ? Hein ? Je l’ai bien vu, tu sais ! » « Oui mon chéri, ça me plaît. Si tu veux que je recommence, il faut me le dire. Je le referai si tu veux ! » Pendant que je le suçais, il fouillait ma fente de deux doigts. « Ca te plairait que je te demande de te foutre carrément à poil devant eux, un de ces soirs? Tu piges le coup, un petit strip-tease avant de les laisser te tripoter et s’amuser un peu ! Alors, ça te dit de faire ça ou pas ? Dis-moi ! » Il me rendait folle, ce jeu, et la façon de parler de ce mec aussi. « Mais pourquoi toutes ces questions ? Ils se sont passé le mot pour savoir jusqu’où je pouvais aller ou bien ? » J’ai hésité avant de répondre et de toute façon, cela ne m’engageait à rien : » Je ne sais pas mon chéri ; on verra, là, je suis fatiguée ! » Il a été de suite plus brutal : « Tu feras ce que je te dis de faire salope ! D’accord ? » « Oui, mon chéri ! Comme tu veux, si cela te fait plaisir, je le ferai ! Tu le sais bien! » « Bien ! Allez, à quatre pattes, ma chérie ! » Il a lourdement insisté sur ces deux derniers mots puis dès que j’ai été en position, il m’a prise comme il le voulait et il m’a fait gémir sous ses coups de boutoir violents. « Tiens prends ça ! » Je ne disais plus rien. Je ne pouvais plus rien dire. Je gémissais à chaque coup de rein Il a fini par jouir en moi et a quitté rapidement la chambre après s’être essuyé le sexe et rajusté. Je me suis affalée à plat ventre. Arnault est arrivé dans la foulée. « Ca va ? Pas trop dur avec Alfred ? C’est une brute ce mec là ! » « Non mon chéri, ça va, l’autre va venir aussi ? » « Oui, il arrive mais il se sent fatigué. Les autres s’en vont. Je ferme la porte, je lui dis que c’est bon et il te rejoint. » Il a quitté la chambre et l’autre, l’obèse est arrivé 5 minutes plus tard. Je l’ai entendu baisser et retirer son pantalon et se branler puis il est venu tout contre mon visage en poussant son gros ventre en avant pour que je le suce longuement. Lui aussi a joui dans ma bouche.. « Ca t’a plu mon chéri ? » « Oui, tu suces vraiment bien, chérie! » Il est reparti et Arnault est arrivé dans la chambre un peu plus tard. J’étais dans la salle de bain. « Attend moi, mon amour, j’arrive ! Je me fais belle pour toi ! »Une toilette intime, un bon brossage de dents, un coup de peigne, un peu de rouge aux lèvres, un peu de parfum et je suis revenue dans la chambre.Arnault, nu, m’attendait sur le lit. « Viens là! » Je me suis lovée contre lui. Il me caressait les cheveux et moi je caressais doucement sa queue déjà bien érigée. « Alors dis-moi, ça t’a plu cette petite soirée ? » « Oui, c’est vrai, ce jeu m’a bien excitée ! » Je lui ai prouvé de toutes les façons possibles que je ne disais que la vérité. Bien sûr, je n’avais pas retrouvé le niveau d’excitation que je connaissais à chacun de mes passages chez notre voisin Schuller mais c’était déjà ça et j’avais envie, faute de mieux, de continuer à relever ce genre de défi, rien que pour faire monter l’adrénaline et le désir en nous et bien en profiter ensuite.
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