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Défis de couple

Chapitre 13

Divers
Deuxième visite chez la Boule puante :Quelques jours plus tard, sur mon portable, j’avais un message. « Retourne chez la Boule et défonce toi, coquine. Gros défi en perspective, il est en forme et excité comme tout, un vrai clébard! Après, t’iras te faire plaisir chez ton petit vieux si tu veux ! RDV demain 18 h. Biz ! Tu me raconteras. J’ai hâte de t’entendre et de te voir. » Le soir même, j’ai reçu un message vocal d’Albert: « Dis, j’ai acheté des d’ssous, des godes et pis d’la bière aussi ! J’ai envie d’fourrer ma queue dans ta bouche. » Le son chuintant et vulgaire de sa voix m’a fait frissonner et j’ai soupiré ; son message me donnait une petite idée de l’épreuve que j’allais vivre : un gros défi à avaler, comme m’avait dit Arnault en plaisantant. Depuis quelques jours, il avait bien compris que mon premier passage chez la Boule m’avait revigorée, que j’avais pris un réel plaisir à faire ça avec ce type dont l’apparence repoussante, avec un côté cradingue, et des exigences très différentes de celles de Schuller, bien moins cérébrales, avaient contribué à faire monter en moi une excitation sexuelle particulièrement élevée.Je le reconnaissais volontiers et lorsqu’il m’a interrogé sur ce point, je lui ai dit que j’étais prête à renouveler cette expérience maso avec ce gros « dégueulasse. »En plus, nous n’avions toujours pas de nouvelles rassurantes concernant notre vieux voisin. Bien sûr, il avait survécu à son malaise puis à son opération mais son séjour en maison de convalescence allait se prolonger et le service social de cet établissement ne pouvait nous en dire plus, sinon qu’il était encore faible, ne souffrait pas et ne manquait de rien. Il récupérait doucement.Une fois, il m’a fait parvenir une carte de visite par la poste pour avoir une photo coquine par retour de courrier. J’ai quand même pris soin de flouter mon visage. Depuis, je n’ai plus eu de contacts avec lui alors Albert constituait une alternative idéale pour continuer à vivre mes fantasmes en l’absence de mon mari.Pour aller me livrer à Albert, j’ai choisi de mettre une petite robe noire de soirée, assez courte, un ensemble de dessous noirs hyper sexy avec un porte-jarretelles, un string minimaliste et des bas gris fumés à couture. Je portais une paire de hauts talons noirs, très fins, et je me suis maquillée avec soin. Je me suis préparée comme se prépare une actrice avant de monter en scène, dans le secret de sa loge, face à son miroir, et je me concentrais pour endosser au mieux le personnage de « Lisa, la petite chienne » et tout en me préparant, j’appréhendais la suite car ce gros type excité comme tout à l’idée de faire de moi tout ce qu’il veut, pue atrocement et en plus, il est incroyablement grossier. Son image, son odeur envahissaient mes pensées et ce phénomène incontrôlable s’est encore accentué pendant le trajet.20 minutes plus tard, je me suis garée devant son immeuble et savoir que j’allais bientôt me soumettre à ses désirs et fantasmes, faire la salope avec lui m’excitaient mentalement. Des papillons grouillaient dans mon ventre et pour dire vrai, je mouillais en imaginant le scénario de la séance à venir. « Bon ! Ok, 7ème étage gauche. » J’ai parlé à voix basse en appuyant sur le bouton, comme pour me rassurer, et arrivée au 7ème, je suis sortie de l’ascenseur poussif pour aller à l’appartement d’Albert. Ca puait toujours le graillon, l’aérosol, le tabac, la pisse dans ce long couloir sombre et un peu inquiétant qui menait à sa porte mais ces odeurs tenaces avaient au moins le mérite de me mettre peu à peu dans l’ambiance.J’ai sonné après avoir pris une bonne inspiration ; il a ouvert, tout sourire. Il portait la même salopette de travail que l’autre jour et une espèce de polo vert sale par-dessus un marcel à trous et, volontairement, ce doit être mon côté maso, j’ai examiné son visage de gros débile à la peau grasse, le poil qui recouvrait son cou, sa poitrine, sa barbe rase et drue et ces poils partout, dans les narines, sur le nez, dans les oreilles, ses gros sourcils en broussaille et sur le crâne rougi au soleil, par contre, ses cheveux rares, longs et filasses, d’une couleur indéfinissable. « Bon », me suis-je dit « monsieur ne fréquente pas les salons de coiffure et d’esthétique. »Je me suis quand même efforcée de faire bonne figure avant de le saluer d’un « Bonjour Albert!» et il a ouvert sa bouche en un large sourire : point de vue imprenable sur ses chicots pourris. J’ai soupiré de consternation. « Tiens regarde bien où te mène l’envie de mettre en scène tes petits fantasmes et profite du spectacle, ma fille ! » Albert lui n’a pas d’états d’âme. Imagine t’il que je puisse en avoir ? Pas sûr.« Entre ! J’t’attendais ! Retire ton imper et pis, vas t’mettre dans l’salon, moi j’arrive ; juste l’temps d’me passer un p’tit coup d’gant d’t’toilette» J’aurai préféré qu’il parle de prendre une bonne douche, mais bon, à l’impossible nul n’est tenu. « Tiens, r’garde l’paquet d’sus la table, l’est pour toi, et j’vas pouvoir t’prendre en photo, c’coup là,. T’as vu, j’ai acheté un appareil, exprès pour ça !» Il m’a laissé dans l’entrée et je suis allée dans le salon tout en retirant mon imper que j’ai finalement posé sur le dossier d’une chaise en formica pas trop sale puis je suis venue vers la table de salon pour ouvrir le grand sac plastique noir.
Dedans, trois godes flexibles, veinés et parfaitement réalistes, de différentes longueurs, dont un vraiment énorme, noir, long, avec une ventouse à la base et deux autres, plus petits, dotés de ventouses eux aussi ; plus petits certes, mais toujours trop impressionnants à mon goût. J’ai également sorti une revue porno où des filles s’enfilaient des godes du même genre et un ensemble sorti droit de la vitrine d’un sex-shop : un truc en vinyle, avec jupette moulante et bustier assorti. « Bon, je vois le genre de la séance photos qui m’est réservée. Je vais déguster, c’est sûr ! », me suis-je dit, et j’ai soupiré en reposant, un à un, les godes sur la petite table puis je me suis concentrée sur le bouquin ; les filles étaient jolies et semblaient apprécier ce qu’on leur demandait de faire avec des engins de toute taille. Dans la salle de bain, il se passait un coup de gant, comme il dit, et j’entendais l’eau couler. « Alors, qu’est ce t’en penses ? Ca t’plaît ? » J’ai préféré ne pas répondre. Il a ajouté : « Bon, j’pisse un coup et j’arrive ; T’as vu l’appareil ? » Sur la table, il y avait effectivement un petit appareil numérique. « Oui ! Il a l’air super !» J’ai entendu un flot d’urine bouillonner dans la cuvette des WC puis celui de la chasse d’eau et il est revenu vers moi en reboutonnant sa braguette. « Il ne s’est bien évidemment pas lavé les mains et quant au reste, ne rêvons même pas ! », ai-je pensé en soupirant. Il s’est essuyé la main droite sur son pantalon. Bingo, j’avais vu juste.« Alors ? T’as vu les godes ? Y t’ plaisent ? » Il souriait, bouche grande ouverte comme un demeuré. J’ai tenté une réponse pour montrer que j’étais quand même réticente, lucide sur mes capacités: « Euh ! Oui, ils sont beaux, mais pas un peu trop gros ? » Il a ricané. « Meuh non, t’inquiètes, c’est chouette à enfiler comme ça, ma poule! Et la t’nue, a t’plait ? » « Elle est belle, vraiment ! » Je commençais à frissonner d’appréhension. Il m’a cligné de l’œil comme pour me rassurer un peu avant d’ajouter :« Et pis, t’sais, j’t’ai aussi acheté des bouteilles de bière, pisque t’aimes ça ! Faut dire que d’puis l’autre fois, au boulot, j’pense qu’à ça, alors! » Il a encore souri à évoquer ça et j’en ai eu un long frisson ; une vague de froid a déferlé en moi et secoué mon dos. « Et pis, t’sais pas, eh ben, Arnault m’a dit qu’tu viendras passer la nuit ici, de temps en temps, maintenant, et y m’a bien dit que tu s’ras ma gonzesse à chaque fois que tu viens. »Un long silence a suivi et une chape de plomb s’est abattue sur moi. « Ca te plait c’t’idée là qu’il a ? Dis-moi, allez, met-toi dans l’canapé, répond ! Ca t’plaît c’t’idée qu’il a ? Et paraît que si tu fais comme ça, t’auras droit à ta récompense ! Sinon, tintin qu’y dit. J’ai pas tout compris, mais bon, j’m’en fous, c’est vos oignons ! Alors hein, ça t’plaît ou pas ?» J’étais comme scotchée, liquéfiée. Arnault et lui avaient dû se mettre d’accord sur ce coup là et Albert me faisait la surprise pour, certainement, me déstabiliser et pimenter un peu plus le défi du jour.J’ai répondu en ravalant toutes mes angoisses : « Oui ! » Il a souri en clignant de l’œil et en disant, pour me taquiner: « Oui quoi, ma poule ? » Je n’avais plus le choix et j’ai soupiré avant de dire « Oui, cette idée me plaît. » Il a encore cligné de l’œil : « Et paraît qu’t’as intérêt à être gentille avec moi, ma poule, sinon je dois l’dire à Arnault et tintin pour toi, qu’y m’a dit! » J’étais effondrée : « Oui, Albert, j’ai bien compris!» « Ah ouais ! C’est super, ça, ma poule ! » J’étais assise sur le bord du canapé et je le regardais manipuler son appareil photo avec ses grosses paluches à manier des briques. « La soirée s’annonce pénible ! », me suis-je dit. « Bon ! Ben, on va s’y coller, alors tu vas m’faire un p’tit strip comme dans les films de cul et bien, hein! Et après, t’enfileras ta tenue qu’j’t’ai payée pour continuer la séance de photos! Ca te va comme ça ? T’es cotente ?» Il a ajouté : « Tiens, regarde un peu l’téléphone pendant que j’m’occupe d’mon appareil : c’est l’message d’ton bonhomme ! » Il m’a tendu son téléphone et j’ai lu le message de mon chéri : « Salut gros ! Bon, je t’envoie Lisa ! Elle est OK, tu piges ? Ca veut dire que chaque fois qu’elle vient chez toi, elle est ta gonzesse, alors amuse toi bien avec elle! Tu lui dis bien qu’elle viendra maintenant passer la soirée et la nuit une fois la semaine chez toi à partir de mardi prochain! Surtout, si jamais elle n’est pas sage, tu lui dis que pour sa récompense, c’est tintin ! A plus ! Amuse-toi bien gros, elle aimera ça !» Le message était parfaitement clair. Arnault m’offrait à Albert dont je devenais la « gonzesse », une fois la semaine, et pour la nuit. Après tout, pourquoi se serait-il gêné avec moi. N’étais-je pas devenue une salope, maintenant ? « Alors, t’as lu ? » « Oui, j’ai lu le message d’Arnault! » « Alors, comme ça, t’es ma gonzesse maint’nant; je peux faire tout c’que j’veux avec toi, c’est ça ?» « Oui, c’est ça ! » « Sinon, tintin pour toi, c’est ça ? Hein !» Il était plus malin, et surtout encore plus rusé, plus vicieux que je ne le pensais. Mon ventre se tordait d’angoisse et je sentais venir comme une espèce de vertige, mais j’ai trouvé la force de répondre. « Oui, c’est ça ! » « Dis, ma poule, alors t’aimes ça qu’on t’prenne en photo, des photos de cul, je veux dire ? » Il me fixait et attendait ma réponse. J’ai repris ma respiration avant de répondre : « Oui, on peut commencer quand vous voulez ! », et par bravade, je me suis levée en faisant coulisser lentement la fermeture éclair de ma petite robe mais j’étais au bord des larmes.Il me regardait faire, un peu étonné par mon initiative mais pendant que je me déshabillais en essayant de reprendre le contrôle de mes nerfs, il a commencé à prendre des photos. Ma robe est tombée sur le tapis ; je l’ai ramassée prestement et posée sur le dossier de la chaise.Il a ensuite pris des photos, autant de photos qu’il voulait de mes dessous, dans toutes les positions, toutes celles qu’il a voulues et commandées. Je m’appliquais à le satisfaire sur ce point.Il transpirait à grosses gouttes. « Allez ! Vas t’mettre sur l’canapé que j’prenne ta chatte en photo maintenant, et pis écarte bien tes jambes, hein! » J’ai fermé les yeux et suivi ses instructions. A sa demande, je m’écartelais, m’ouvrais et quand il m’a donné un gode, j’ai fait tout ce qu’il a voulu avec cet engin. Heureusement pour moi, il avait choisi le plus petit des quatre, je crois ; je ne portais plus que mes bas et mes escarpins et tout en procédant comme il le souhaitait, je me suis dit que les photos seraient parfaitement obscènes ; de belles photos de cul, les belles photos de cul d’une parfaite salope défoncée pa un gode. Depuis mes passages chez Schuller, j’ai découvert que ce genre de séance ne me gène pas et que cela peut même devenir extrêmement excitant pour moi.Il a soupiré bruyamment : « Allez ! On s’fait une p’tite pause, j’fatigue moi ! Va chercher d’la bière au frigo, fait soif! » Je me suis levée, j’ai posé le gode sur la petite table et me suis rendue dans la cuisine pour prendre les bières au frigo. Je les ai décapsulées et suis revenue vers le salon où, assise dans son fauteuil, « la boule puante », m’attendait. Son odeur corporelle envahissait la pièce. C’était atroce car dans cette pièce régnait une puanteur insoutenable et l’excitation le faisait transpirer encore plus. Je voyais de grosses gouttes couler sur son front, son cou et ses bras et son polo était complètement trempé. Je lui ai tendu une bouteille de bière, une bouteille plus grosse que celles de l’autre jour, une 50 cl. « J’bois un coup et pis on va continuer not’séance photo. » Il a bu une longue rasade au goulot : » Ah ! Putain, ça fait du bien par où qu’ça passe !» J’ai bu un peu de bière, moi aussi, car j’avais la gorge sèche. Cette gorgée de liquide glacé m’a fait un bien fou.Lui buvait de grandes rasades et rotait en me souriant à chaque fois qu’il retirait le goulot de sa bouche. « Ca va ma poule ? Alors, comme ça, t’es cotente de v’nir m’voir? » Il ne peut pas prononcer un mot sans l’écorcher ; par exemple il ne dit pas contente mais « cotente. » « Dis, j’ai pensé à un truc ; un de ces soirs, je vais inviter un ou deux potes à boire l’apéro ! Ca t’dit ? Ca s’ra sympa, pas vrai ? » Et allez donc : une partie à quatre !? « Oui, pourquoi pas, si cela vous fait plaisir!» Il avait entrepris de retirer le papier doré qui ornait le goulot de sa bouteille vide. Je voyais où il voulait en venir et ce geste anodin m’a remué le bas ventre.« Allez, viens d’sus mes genoux. Faut qu’on cause un peu, nous deux, pas vrai! » Je me suis avancée vers lui. Il puait, il n’y a pas d’autre mot : une odeur chaude et violente de transpiration me montait à la gorge, un peu comme l’odeur d’un fauve. J’ai tenté le coup. « Vous n’avez pas chaud. Vous ne voulez pas vous mettre à l’aise et prendre une douche ? On a le temps ! » « Non, j’vas juste m’dessaper et boire ta bière pisque t’en veux pas ! Allez bouge toi d’là que je r’tire mes fringues et après tu r’viens d’ssus mes genoux !» Je me suis levée et il a retiré ses vêtements devant moi, en soupirant sous l’effort, se dénudant peu à peu. Il était d’une laideur, épouvantable: une barrique poilue et à la peau blafarde marbrée de plaques rouges. Il a juste gardé ses chaussettes trouées.« Allez, r’viens par là, ma poule! » Je suis revenue m’asseoir sur ses genoux et j’ai fixé le plafond en soupirant pour tenter d’échapper à cette puanteur étouffante; son corps était poisseux, collant. « Dis, t’as aimé faire les photos avec moi? T’sais, p’têt bien que j’vas acheter une p’tit’ caméra ; ça te dit ? Comme ça on pourra s’faire des films de cul! » Il m’avait collé contre lui et de sa main calleuse, il a ouvert mes cuisses et il a avancé le goulot de sa bouteille vide vers la fourche de mes jambes. Je sentais sa peau velue contre la mienne et la masse de son corps poisseux contre le mien.« T’as aimé ça l’autre jour, que j’te fourre la bouteille ; hein, pas vrai ? T’as pas envie de recommencer ! Hein ? Pour avoir ça en photos ! Ca t’dit ?» Il clignait de l’œil en posant le goulot sur ma fente, un contact lisse et froid. J’en ai fermé les yeux.« Tiens, branle moi la tige, y a pas de raison que je sois le seul à bosser dans c’t affaire. Faut t’bouger un peu ! » Il a pris ma main et l’a posée sur son sexe humide de sueur puis il a bu une gorgée de bière et a entrepris de me téter le sein. De nouveau, cette sensation inouïe procurée par le froid de sa bouche, cette grosse ventouse avide et mouillée à la bière, sur mon sein, m’a tiré un gémissement. « Alors, t’en dis quoi ?» Son haleine était épouvantable et j’ai détourné la tête pour tenter d’y échapper. « Alors, j’vas t’mettre ça dans la chatte et pis j’vas regarder un coup comment qu’tu fais et après j’vais t’prendre en photo. Tiens, regarde c’te gonzesse là, comment qu’a fait.» Il me montrait maintenant le magazine porno ouvert sur la petite table. « Ca donne des idées ! Hein ? Pas vrai ? Et ben, t’vois, tu fras juste comme ça pour les photos!» Il avait pris possession de ma fente et ma main branlait sa queue, doucement. Il me regardait faire en souriant d’aise. « Dis, tu veux pas m’faire un bisou ? T’es ma gonzesse, pas vrai ? » J’ai frissonné et eu une sorte de haut de cœur mais il m’a attrapé la nuque pour attirer ma tête vers lui et, au dernier moment, j’ai réussi à poser mes lèvres sur sa joue râpeuse dans un geste de pur réflexe.Il a rigolé. « Eh ! Oh ! Pas comme ça, t’es conne ou quoi, c’est une pelle que j’veux pisque t’es ma gonzesse !! Alors ? » Il a de nouveau appuyé sur ma nuque, bien plus brutalement, cette fois-ci et sa bouche humide est venue écraser la mienne. Il avait une haleine fétide : bière, tabac, relents de charcuterie et cette odeur caractéristique des dents gâtées… mais sa langue a forcé le passage et envahi ma bouche pendant que ses doigts fouillaient ma fente. Il a écarté sa tête. « Eh ! T’sais, j’aime ça, les pelles ! Faut pas qu’t’ oublies. Hein ? D’accord ? Sinon j’raconte à Arnault qu’tu veux pas. » J’ai hoché la tête en signe d’assentiment. « Allez, vas-y, roule m’en une, juste pour voir comment qu’tu fais. » Je n’avais plus le choix alors, j’ai avancé mon visage vers le sien et ma bouche est venue se poser sur la sienne. Je l’ai embrassé, comme il voulait, puis, satisfait, il s’est reculé et m’a repoussée du plat de sa main pour se lever de son fauteuil et il a posé la bouteille vide sur la table basse. « Viens t’enfiler ça! J’veux t’voir faire ça et prendre des photos ! » Il m’a montré la bouteille. « J’prends l’appareil et toi vas-y donc, met toi dessus ! » Je me suis tournée vers lui et j’ai tenu le goulot de cette bouteille pour le présenter entre les lèvres de ma fente aussi doucement que possible puis j’ai plié les jambes tout en contrôlant la bouteille qui s’est enfoncée en moi, lentement, au fur et à mesure que je fléchissais mes jambes : un contact froid, lisse, surprenant irradiait en moi. Albert jubilait : « Ouais ! C’est ça qu’y faut faire ! C’est bien ! Cor’ un peu, ma poule ! » (Il ne dit pas encore mais « cor’ » et je dois l’avouer sa façon de parler, d’une incroyable vulgarité, constitue un puissant facteur d’excitation pour moi.)Il prenait photos sur photos, changeait sans cesse de position et j’ai préféré fermer les yeux pour fuir le spectacle de son apparence physique. J’ai coupé l’image. Le son et le reste suffisaient.« Encore, faut qu’ça entre plus! Vas-y ! Voilà, cor’ un peu ! Ouais, tu y es ! » La bouteille, bien enfoncée en moi, m’emplissait le sexe. Il jubilait : « Bouge ton cul ! » J’ai fait des va et vient, comme je pouvais, pour lui faire plaisir. « Ouais ! Cor’un peu ! » Ce va et vient commençait sérieusement à me faire de l’effet et j’ai mordu ma lèvre inférieure. Il s’en est aperçu.« Alors, ma poule ! T’aimes ça, pas vrai, hein? » J’ai continué le mouvement. Il a pris d’autres photos puis s’est lassé. « Allez ! On passe à autre chose, tu t’la mets où j’pense maintenant ! Vas y donc, ça va bien t’plaire, ce truc là !» Je me suis relevée pour retirer la bouteille de mon sexe, doucement, et l’ai présentée sur mon anneau. « Ouais ! Mais mouille là d’abord un coup, sinon, ça va pas passer ! » J’ai pris la bouteille et ai sucé le goulot, comme il voulait. Il a pris des photos pendant que je suçais et mouillais le goulot de salive.J’ai léché le goulot, les humeurs de ma chatte, puis le verre, plus bas consciencieusement. « c’est bon maint’nant, vas y, tu t’la fourres dans l’cul ! » J’ai de nouveau posé la bouteille sur la table et me suis assise dessus, tout doucement pour que le goulot se présente bien sur mon anneau puis le pénètre un peu et, enfin, force le premier passage étroit, sensible. Tout en faisant cela, j’imaginais la scène comme sur un écran et je me voyais en train de faire ce truc pas possible pour ce gros débile effarant ; une scène proprement hallucinante et révélatrice de mes fantasmes et de mon état d’esprit actuel. Comment est-il possible de faire des trucs comme ça, pour ce mec ? Je suis devenue complètement folle ?Le gros, lui, transpirait de plus en plus, jubilait et prenait photos sur photos. Lentement, je m’affaissais en gémissant et la bouteille entrait de plus en plus profondément en moi mais mon anneau se dilatait difficilement ; il était au bord de la rupture.J’ai dû m’y reprendre à plusieurs reprises et mes jambes tremblaient sous l’effort violent. « Vas-y, faut qu’ça entre mieux qu’ça ! ! Cor’ un peu ! Cor’ ! Vas-y ! A y est presque ! Ouais, tu vois qu’ça entre ! Vas-y encore un coup ! T’aimes ça, hein ? Ca t’fais du bien par où qu’ça passe, hein ? » Je gémissais, de douleur, bien sûr, un peu, mais surtout de plaisir à avaler cet enfin froid et lisse, de cette façon là, devant cet homme là et pour cet homme là. Je prenais plaisir à subir cette humiliation extrême et à le voir prendre des photos de cette scène.« Ca, ça va bien plaire aux copains, que tu fasses c’truc là c’est sûr ! » J’ai fait des va et vient, en gémissant, sur cette grosse bouteille qui me dilatait le cul. Le gros n’en pouvait plus et il est venu devant moi, ventre en avant, pour me donner sa queue à sucer. « Suce moi et viens m’dégorger l’poireau. » Il a pris ma main, m’a entraînée vers le fauteuil et s’est avachi dessus en écartant ses jambes. La bouteille était tombée sur le tapis. Je me suis agenouillée devant lui et j’ai pris le gros gode de couleur chair qu’Albert me tendait. A sa demande, je l’ai bien sucé et lubrifié de salive pendant qu’il prenait des photos et je l’ai positionné en dégageant le tapis de telle façon qu’il soit bien calé et collé au sol par la ventouse puis je me suis empalée dessus, en gémissant sous cette lente et énorme intrusion anale. Il était plus gros que la bouteille.« Ca te plaît ça ? Hein ? »« Oui, ça me plaît! » J’ai répondu en hoquetant et en gémissant sous cette intrusion car ce gros gode, heureusement pas le plus gros des quatre, me remplissait le cul, le ventre et c’est vrai que c’était bon, cette sensation d’être remplie par cet engin. « Tu f’ras ça d’vant les copains? Hein, r’garde moi ?» « Oui, Albert, si vous voulez! » « Suce moi maintenant et pis j’vais t’faire essayer les autres godes ! On a l’temps, pas vrai ? Et puis t’ta l’heure, tu vas enfiler ta tenue. J’veux t’voir fringuée comme ça. » « Oui, je vais faire ça tout à l’heure! » Mon bassin bougeait et ondulait sur ce gros truc qui me défonçait le cul et je gémissais tout en suçant Albert. Je suçais et léchais son sexe humide et malodorant et prenais mon pied à faire ça avec lui. « Je suis une chienne, une salope, puisque même avec ce mec épouvantable, je vais prendre mon pied. » Je pensais, en faisant ça, qu’Arnault avait eu raison de m’envoyer chez lui puisque plus ils sont gros, déjantés, moches, plus ils puent, plus je prends mon pied à me donner à eux. « Lèche moi la tige, voilà, comme ça, continue et pis les couilles aussi! Ouais ! Comme ça ! » Il appuyait sur ma tête de ses grosses pattes pour donner le rythme et ma main est venue toucher ses grosses couilles velues pour les effleurer et les parcourir du bout des doigts tandis que je les léchais avec application. Tout en faisant cela de mon mieux, je continuais de faire onduler mon bassin pour bien profiter du gros gode en moi puis mes doigts sont allés se promener sur le périnée, à la base des couilles, lieu sensible et plein de poils collés par la sueur. Albert gémissait et visiblement il appréciait mon initiative mais je n’ai pas osé faire plus, tant je craignais qu’il exige le pire. « Suce-moi encore un peu et pis après, j’vas t’baiser!» J’ai repris sa queue en bouche et l’ai branlée doucement. Il a fini par me repousser : « Va t’mettre sur le dos, sur le tapis et r’monte tes guibolles! »Je me suis allongée comme il voulait et j’ai relevé mes jambes pour l’accueillir en moi. Il m’a pénétrée et tout en me baisant, comme il dit, affalé sur moi, son gros ventre écrasant le mien, il me suçait un sein.Il a joui en gémissant et en contractant son corps et j’ai tout reçu en moi puis quelques secondes après, il s’est retourné sur le dos et a appuyé sur ma tête. J’ai de suite compris ce qu’il voulait et je suis venu au dessus de son bas ventre pour prendre son sexe en bouche et faire tourner ma langue autour de son gland et de la tige. Il gémissait et arquait ses reins. J’ai continué en cherchant son regard comme Schuller m’avait appris à faire et il a ouvert les yeux alors que je suçotais doucement son gland.Cela a duré longtemps mais il a fini par se relever. Tout mon corps me démangeait à cause du tapis.« R’viens d’sus mes genoux ! » Je me suis levée et assise sur ses genoux, contre son gros ventre humide, son torse mouillé au poil collé par la sueur. « T’es une sacrée foutue salope, toi! Dis, tu f’ras ça aux copains l’soir d’ l’apéro ? »Il avait mis son gros index entre les lèvres de ma fente mouillée de sperme et la lissait doucement. « Oui, je leur ferai ça si vous voulez! » Son doigt cherchait maintenant mon bouton mais entretemps, il a pris ma main et l’a posée sur sa queue encore maculée de salive et de foutre mêlés. Elle était encore palpitante de plaisir, bien chaude, et très poisseuse. « T’aimes ça, baiser, pas vrai? » « Oui, Albert, c’est vrai !» Ma main a joué un peu avec ses couilles velues, doucement, avant de remonter vers la tige humide.« Alors, ça t’plait que j’fais venir des potes, pas vrai ? Mais d’abord une nuit tranquille avec toi et pis après on verra . Hein, ma poule ! » Il titillait mon bouton et cela me faisait plus que du bien. J’ai craqué à force de sentir l’excitation monter en moi. « Vous voudrez que je fasse quoi, à vos copains, que je m’habille comment, par exemple ? » Il a souri et ses lèvres ont découvert ses horribles chicots. « Ben, en maîtresse d’école, j’ai d’jà pensé à ça, avec des bas et pis aussi des lunettes, ça s’ra super. » « Oui, je vois ce que vous voulez dire, je vais m’habiller comme vous voulez, et puis je devrais leur faire quoi exactement? » Cette conversation me chauffait sérieusement et lui aussi car sa queue reprenait peu à peu du volume dans ma petite main de salope experte. « Eh bien, tu f’ras l’service pour les bières et l’apéro, pis tu viendras t’mettre sur mes genoux qu’y voient bien qu’t’es ma gonzesse et après, j’vas t’faire t’dessaper devant eux et pis tu vas les sucer pendant que moi, j’vais prendre des photos. Après, y vont t’baiser comme y veulent et moi, j’t baiserai après, tranquillement, quand y seront partis! Ca t’va ?» Ma main branlait doucement sa tige redevenue bien dure maintenant et lui avait ciblé mon bouton. « Oui, monsieur Albert, ils sont comment vos copains ?» J’étais plus qu’excitée, peut-être parce que j’imaginais déjà le pire avec ces mecs tordus. « Ben, j’ai pensé à Tonio, un grand tout maigre avec une longue bite et pis aussi à la « boussole », un vrai connard qu’a une queue plus épaisse. P’tet ben à Broucke, aussi, enfin si l’autre peut pas et pis p’tet au Milou! On verra ! En tout cas, faut pas leur en promettre ! Ca va t’plaire ! » Je voyais le tableau. J’ai ajouté : « Ils sont jeunes et beaux ou plutôt vieux ? » Il se grattait la tête.« Ouais, euh, ben pas trop jeunes, comme moi quoi! Le Tonio, un peu moins vieux que moi ! Broucke pareil ! Mais on s’en fout, pas vrai ? C’est pas ça qui compte !» « Et vous voudrez que je les suce comme je le fais avec vous ou d’une autre façon, autrement ?» « Ben, comme avec moi mais y vont venir à deux autour de toi alors faudra t’occuper de deux bites à la fois, tu vois ? »J’étais de plus en plus excitée. J’ai insisté : « Et vous voudrez que je sois gentille avec eux et que j’avale leur foutre à eux aussi ? Cela vous fera plaisir si je fais ça ?» J’allais craquer ; son doigt qui lissait mon bouton me rendait peu à peu au point de rupture. Il s’en est bien rendu compte et lui aussi avait envie de passer aux choses sérieuses. « Ouais, T’as intérêt à être gentille avec eux et t’aval’ras leur jus de couille puisque t’aimes ça ! Tiens, fous-toi à quat pattes que j’passe par ton petit trou, c’coup là ! » Il m’a repoussée, s’est levé et je me suis mise à genoux devant le fauteuil et coller mon torse dessus. Il était ignoble et malodorant, ce fauteuil, mais je préférais ça au tapisAlbert est venu derrière moi et m’a pénétré l’anneau sans douceur. J’ai gémi mais j’ai continué à parler pour bien l’exciter.« Vous voudrez qu’ils me prennent comme ça, eux aussi, vos copains ? » Il s’est enfoncé en moi sans trop de difficulté car j’étais bien dilatée. « Ouais, y vont t’faire ça ; ça te plaît de te faire enculer, pas vrai ? Je vais leur dire aux copains ! T’inquiètes, y vont t’enculer à fond, c’est sûr. »Il me besognait en ahanant et je gémissais à chacun de ses coups de reins. « Vous allez leur dire que je suis une salope, c’est ça, qu’ils peuvent se faire sucer et m’enculer comme ils veulent? »Il a soufflé un bon coup avant de dire : « oui, j’vas leur dire ça, que t’es une salope, un vide couille et que t’aimes ça sucer et t’faire enculer comme une salope ! » Après, cela a été très vite et il a joui en moi avant de s’effondrer sur le tapis. J’étais épuisée, moi aussi, mais je me suis de suite levée pour aller aux toilettes et me rafraîchir un peu. J’ai pensé à prendre mon sac à main, ma petite trousse de toilette et aussi l’ensemble en vinyle pour le porter car j’étais curieuse de voir comment ce genre de tenue très spéciale pouvait bien m’aller. Dans la salle de bain, j’ai pris une douche rapide en évitant de toucher les parois de la douche puis tout en me séchant, je me suis regardée dans le miroir situé au dessus du lavabo. J’avais les yeux cernés et j’ai fait ce que j’ai pu pour me refaire une beauté, puis j’ai enfilé l’ensemble qu’il avait acheté pour moi. Je n’avais jamais essayé ce genre d’ensemble et le contact du vinyle m’a agréablement surpris. J’ai trouvé ça très érotique.« Ouh là ! Une vraie tenue de salope professionnelle! Ca va lui plaire, pas de doute ! »Je suis revenue dans le salon. Il m’a regardée venir à lui et a immédiatement pris des photos. D’abord, il a voulu des poses de mannequin puis des poses de plus en plus hards, au fur et à mesure. Après, il a tendu la main et je suis venue sur ses genoux. « Alors, tu r’viens m’voir quand est-ce ? » « Mardi, je serai là vers 18h30, et pour la nuit, comme promis ! » Il a souri et a attiré ma tête pour un baiser : une pelle et allez donc. Je me suis laissée faire car c’était surtout le signal du départ et de la délivrance. « Bon, moi, j’vais roupiller un p’tit coup ! Cette semaine je vais penser à tout c’qu’on va faire mardi ! On aura tout l’temps, pas vrai, puis que t’es ma gonzesse, c’est toi qui l’a dit, pas vrai ?» « Oui, on aura le temps de faire comme vous voulez ! » Je me suis levée et suis allée dans la salle de bain pour me rhabiller. En passant, je suis allée jeter un rapide coup d’œil dans la chambre du gros. « Ouh là ! Ca va être difficile de passer la nuit ici, avec lui ; c’est tellement sale. », me suis-je dit. Quand je suis revenue vers le salon, il dormait à poings fermés sur son fauteuil, nu et la bouche grande ouverte sur ses chicots pourris. J’ai regardé ma montre ; j’avais le temps de descendre et de bien m’occuper de mon petit vieux et de recevoir ma récompense.
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