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Défis de couple

Chapitre 15

Divers
Ma première nuit chez la Boule.
Chaque mardi est devenu jour de défi extrême puisque je dois me rendre chez Albert pour la nuit et devenir « sa gonzesse », comme il dit.
Plus qu’un défi, c’est une redoutable épreuve car le personnage est spécialement repoussant mais, je dois être sincère, la « personnalité d’Albert » ajoute à mon plaisir ; Arnault et moi le savons parfaitement et Arnault m’a même dit qu’il est à la recherche d’autres « spécimens rares » susceptibles de combler mes fantasmes un peu particuliers.
Je me dis souvent que j’ai de la chance car combien d’hommes accepteraient cela de la part de leur femme ou de leur compagne.
En me garant devant l’immeuble d’Albert, je pensais et repensais à tout ce que cet ignoble personnage allait certainement vouloir me faire et en refermant ma portière, en mémoire et comme dans un film, j’ai revu sa grosse main exhibant une bouteille de bière prête à s’enfoncer en moi. Les jeux inventés par Arnault et moi ont définitivement libéré mes pires fantasmes, et l’envie irrépressible de les vivre, puisque je prends mon pied à les mettre en scène ; je mesure, en plus, que le côté glauque de mes « partenaires de fantasmes » m’excite incroyablement.
J’ai soupiré et frémi de honte en traversant le hall, à cause de ce constat peu reluisant pour mon amour propre. « Celle qui il n’y a pas si longtemps se rêvait princesse de contes de fées est plutôt devenue une chienne de film de cul, » me suis-je dit, et c’est la triste réalité.
Je suis entrée dans l’ascenseur. Il puait toujours la pisse et aujourd’hui, j’ai reconnu l’odeur d’un désinfectant puissant, peut être bien celle du crésyl. « Comment un ascenseur peut-il puer la pisse ? »Arrivée au 7ème, je suis sortie avec mes bagages pour la nuit et j’ai remonté le long couloir sombre qui menait à la porte d’Albert. Le rythme de mon cœur s’accélérait au fur et à mesure que je m’approchais de cette porte. Je m’y rendais comme on se rend au supplice car je savais ce qui m’attendait et ce n’était plus le stress lié à la découverte de l’inconnu mais bien une peur viscérale qui me submergeait ; celle qui naît à l’idée d’être livrée à un gros salopard et d’avoir à faire la chienne avec lui. Elle me secouait le ventre. J’ai tenté de reprendre mon calme en respirant et je me suis jetée à l’eau ; j’ai appuyé sur le bouton de la sonnette.Albert a ouvert brusquement, tout sourire. J’ai sursauté à cause de ce geste brutal et de son aspect physique car ce soir là, il portait un pyjama informe et froissé en coton marron et mal boutonné qui laissait entrevoir son bide blafard, aussi gras que poilu.
La braguette de son pantalon de pyjama était entrouverte sur son bas ventre et un fouillis de poils.S’il sentait fort l’eau de Cologne bon marché et le tabac, il dégageait aussi l’odeur de la bière, et à plein nez. Il avait dû sérieusement commencer à picoler en m’attendant. Il avait les yeux injectés et brillants derrière ses hublots.
Ca promettait ; j’ai soupiré car je savais que de toute façon, je n’avais pas le choix.

Il a tendu la main. « Entre que j’vois comment qu’t’es fringuée! » Note de Lisa : Il parle vraiment comme un demeuré et mange la moitié de chaque mot, particularité qui ne facilite pas toujours la communication. Parfois, j’ai en effet un peu de mal à saisir ce qu’il dit ou ce qu’il veut et le côtoyer est épuisant nerveusement.
Il a refermé la porte. J’ai posé mon sac de voyage et mon sac « Ikea » avec du linge de nuit propre dans l’entrée et j’ai retiré mon imper. Il s’est approché de moi et a posé ses pattes sur mes hanches.
Toute trace de timidité s’était évanouie chez lui.« Ouah, dis donc, t’es rien belle! Et pis, ça t’va rud’ment bien c’te t’nue d’maîtresse d’école, t’es bandante comme ça ; les copains vont t’trouver super canon fringuée comme ça ; y vont avoir la trique! Tourne-toi un peu, putain, t’es rien bandante !» Il avait la voix pâteuse et il bafouillait encore plus que d’habitude.Il était déjà en nage, le gros, et bien trop chaud à mon goût, et pendant que ses grosses pattes parcouraient en propriétaire le bas de mon dos, j’ai vu de larges et répugnantes auréoles sous ses bras et son haut de pyjama. J’ai préféré ne pas regarder le bas et un frisson glacé a parcouru mon corps.« Fait soif, j’vas m’chercher d’la bière ! Tiens, assois-toi là ! »Il a désigné un tabouret de bar en bois au milieu de la pièce, face à son fauteuil et j’ai de suite compris ce qu’il voulait ; je me suis assise, j’ai repris mon souffle et croisé mes jambes. De toute façon, je devais assurer, quoi qu’il m’en coûte ; je devais tout faire pour relever ce défi.
Il est parti dans la cuisine presque en courant pour revenir avec deux bières bien fraîches. Il en a pris une et a posé l’autre bouteille sur la table basse. Il a bu une longue gorgée, s’est essuyé la bouche avec sa manche de pyjama et a pris son appareil photo. Son état général n’allait pas s’améliorer s’il continuait à picoler à ce rythme. J’étais inquiète et ne me sentais pas du tout à l’aise mais je ne devais rien laisser paraître.Il a roté sans gêne et s’est avancé vers moi. « Putain ! Ouah, ça fait du bien par où qu’ça passe ! » C’était de pire en pire ; il titubait et maintenant, il ne se gênait même plus pour roter devant moi.Il a tourné autour de moi pour prendre des photos dans toutes les positions et il s’est même mis à genoux juste devant moi. J’ai senti ses effluves monter et c’était terrible ; le lascar puait encore plus que d’habitude.« Bordel, t’es canon, j’te jure! » Je ne bougeais pas, le dos bien droit, un peu cambrée et le laissais faire ce qu’il voulait. De temps en temps, une espèce de frémissement incontrôlable me secouait les épaules, car pour la première fois avec lui, je ne me sentais pas vraiment en sécurité. Je devais le dire à Arnault dès mon retour.J’avais mis un petit tailleur noir, des bas de couleur chair, un ensemble noir en fine dentelle avec un porte-jarretelles, un tout petit string et un soutien gorge à balconnets.

Cette tenue dont il disait que c’était celle d’une maitresse d’école semblait particulièrement lui plaire. A bien réfléchir, je devais pourtant ressembler davantage à une secrétaire cochonne de film porno plutôt qu’à une enseignante mais bon, puisque cela lui faisait plaisir…Il est venu devant moi pour dégrafer un bouton de mon corsage, en a profité pour palper et malaxer ma poitrine et j’ai senti son épouvantable odeur de transpiration. Son haleine fétide sur fond de bière m’a soulevé le cœur. Il a écarté le haut de mon corsage.
« J’veux qu’on voye ton soutif, rapport aux photos. Tu piges !? » Il m’a cligné de l’œil en bon gros connard, bien lourd. Il fallait à tout prix que je l’amène à prendre une douche celui-là, sinon « ça n’allait pas pouvoir le faire ». Je risquais de vomir et je savais que je n’allais pas pouvoir tenir longtemps le coup avec cet alcoolo à l’odeur de putois qui tournait autour de moi et soufflait bruyamment à quelques centimètres de mon visage.
Il a pris d’autres photos tandis que je m’efforçais de tenir le coup en me concentrant sur les poses que je devais prendre.« Ouv’ tes guibolles maint’nant, et pis, pose le pied sur l’barreau du bas ! Là, ouais, comme ça, oui, j’vois le haut d’tes bas ! Super ! Tu m’fais bander avec c’te t’nue là, j’te jure !» Il a pris plusieurs photos de moi dans cette nouvelle position. Il s’était un peu éloigné et je respirais un peu plus aisément. Il semblait aussi s’être un peu calmé. C’était déjà ça de gagné.« Allez, viens t’met’ sur la chaise. » Il a pris une chaise en formica, l’a placée juste dans l’axe de son fauteuil et je suis venue m’y asseoir.«Met toi d’ssus, ouais, comme ça ! » Lui s’est laissé tomber dans son fauteuil, comme une masse, et le fauteuil a grincé et reculé.

Il a pris d’autres photos. Au début, j’avais les jambes sagement croisées puis il m’a demandé de me tourner sur le côté et de remonter ma jupe afin de dégager ma cuisse et tout le haut de mon bas pour dévoiler la jarretelle. Il s’amusait bien, mais je savais qu’il allait être difficile à gérer. Aussi, pour l’instant, je me pliais à ses demandes sans dire mot et cela se passait bien ; je me suis dit que je devais continuer de cette façon là, rester aussi calme et silencieuse que possible« Allez, ouv’ un peu tin ch’misier ! Ouais ! Comme ça ! Cor’ un peu, allez, cor’un autre bouton ! Ouais ! C’est bon, ça ! Là, j’vois bien ton soutif ! Pench’ toi un coup ! Ouais, comme ça ! Maint’nant, ouv’ le en entier ! Ouais, comme ça et cart’ le des deux mains ! Cart’ tes guibolles que j’voye aussi ta p’tit’culotte! Ouais ! Dis donc, les copains vont aimer les photos, putain! T’es trop bell’ toi ! C’est trop bon ! Cor’un peu ! Ouais, comme ça, t’aimes ça, hein ? Ca t’plaît d’montrer tout ça, d’ouvrir l’capot pour qu’on t’mat’! Moi, ça, en tout cas, ça m’plaît bien quant tu fais ça. » Cette séance de photos qui durait a commencé à m’exciter. De toute évidence, mes pulsions exhibitionnistes avaient, à mon corps défendant, repris le dessus.« Allez ! Va t’met’ dans l’fauteuil, on va continuer cor’ un peu à faire des photos! » Il s’est levé pour me céder la place et lorsque je suis venue vers lui pour m’asseoir dans le fauteuil, il m’a attrapé le bras et m’a attirée pour me rouler une pelle. Je n’ai même pas essayé de résister car, de toute façon, cela n’aurait servi à rien.
Il en a profité pour me pétrir les fesses, presque violemment. « T’es bandant’ ma poule ! Tiens, j’vas t’embrasser encore un p’titcoup ! J’attends qu’ça d’puis l’aut’ coup, moi, d’t’ rouler des pelles! » Il a de nouveau écrasé sa bouche sur le mienne et a encore forcé le passage pour me fourrer sa langue dans la bouche. Une puanteur ; j’affrontais une véritable bouche d’égout. « Il faut qu’il se lave les dents aussi, ce gros porc et ce n’est pas gagné d’avance! » Il a bien profité de ma passivité puis s’est essuyé les lèvres avec sa manche de pyjama et en me retournant, j’en ai fait de même mais plus discrètement, avec le bas de mon corsage. Je voulais effacer toute trace de ce baiser violent, puant et mouillé.
Son haleine de chacal était épouvantable et j’ai retenu un haut de cœur à grand peine. Son odeur envahissait encore ma bouche.Un peu chancelante, je me suis assise dans le fauteuil ; lui a pris la petite chaise en formica et s’est installé face à moi. « Cart’moi tes guibolles que j’vois tout bien ! Ouais, comme ça, c’est bon ! Vire ton ch’misier et baisse le soutif ! Ouais ! Ah ouais, belle photo, ça ! Vire le soutif ! Ouais, comme ça et écarte tes jambes ; tiens, mets en une par d’sus l’accoudoir ! Ouais ! Ca t’plaît d’faire ça ! Hein ? T’sais, j’vois bien ta moule sous le p’tit tissu maintenant ; vas-y, fous toi la main dans l’slip maint’nant! Ouais salope, t’aimes ça, pas vrai ? Branle-toi la chatte! Ouais, comme ça ! Cart’ ta culotte, montre ta chatte ! » Je suivais consciencieusement ses instructions et lui prenait des photos. Mon côté exhib ayant repris le dessus, j’ai fermé les yeux et écarté doucement le fond de mon string pour dévoiler ma fente. Juste avant, j’avais vu que le gros me fixait avec un air de poivrot allumé, yeux écarquillés ; l’excitation le submergeait. Je ne pensais plus qu’à tout faire pour qu’il ne s’énerve pas, ne devienne pas violent. « Ouais ! Fous-toi l’doigt d’dans, comme ça ! Ouais ! A quat’ pattes su’ l’fauteuil, main’nant! »

Je me suis levée et retournée pour me mettre à genoux sur le fauteuil. Il en a profité pour empoigner mes cheveux m’attirer vers lui et me « rouler une pelle ». Dès que sa bouche baveuse s’est posée sur mes lèvres, j’ai eu une nausée violente, immédiatement suivie de spasmes abdominaux.« Il aime vraiment trop ça ce gros et cela devient insupportable. » Il m’a enfin laissée m’installer et j’ai pu reprendre mon souffle. « Ecarte tes jambes mieux qu’ça et creuse moi l’dos qu’j’voye bien ta raie ! Ouais ! Comme ça ! » Il a pris des photos, autant qu’il a voulu puis j’ai senti qu’il venait derrière moi. Je n’ai pas bougé tant j’appréhendais la suite et il a brusquement tiré sur mon string, certainement pour le descendre sur mes cuisses mais celui-ci s’est déchiré dans la manœuvre.
J’ai sursauté et crié ; un petit cri de surprise. Le gros débile a ricané. « Pas solide, ton truc, dis donc ! J’vas t’en payer un aut’, t’inquiète ! Bouge ton cul ! Ouais, comme ça, et pis, fous toi le doigt par en d’ssous ! Ouais ! Comme ça ! Ouais ! Dans ta chatte, dans l’cul maint’nant ! » Doucement, j’ai enfoncé mon index dans mon anneau. Cette longue séance d’exhibition sordide commençait sérieusement à m’échauffer les esprits et le reste. « Ouais, dis, tu f’ras comme ça pour mes potes, hein ?! Ca va bien leur plaire ; y vont bander sec ! Sûr qu’y vont bien en profiter d’ton petit cul! » Il a fait encore durer cette séance puis il m’a laissée dans cette position le temps de finir sa bière, tranquillement. Il avait ouvert une autre bouteille. Il a de nouveau roté sans honte : un rot de poivrot bien long, bien lourd puis il est venu vers moi pour toucher mes fesses et les pétrir des deux mains, violemment.
Il se lâchait sur moi sans vergogne. Il n’y avait plus du tout de crainte, de retenue ou de timidité chez lui. «T’as un beau p’tit cul d’salope toi! Y a pas à dire, un beau petit cul! » Il a glissé son doigt entre mes fesses et ce geste m’a tiré un gémissement non pas de plaisir mais d’appréhension. « T’aimes ça, ça t’excite, hein qu’on t’touche le trou du cul? » Oui, bien sûr, j’étais excitée maintenant et tant mieux car cela allait devenir un peu plus facile pour moi de supporter tout ça, enfin, peut-être, parce que la brutalité inhabituelle de ses gestes m’inquiétait.
Il a parcouru ma raie des fesses entièrement de haut en bas et je sentais le bout de ses gros doigts rugueux aller et venir sur ma peau délicate. « T’aimes qu’on t’fasse ça, hein ? Moi, j’vois bien qu’t’aimes ça ! J’suis pas con ! Et pis, t’faire doigter, t’aimes aussi hein?! » Il a enfoncé et vrillé un gros doigt en moi. J’ai gémi sous cette intrusion directe et rugueuse. Heureusement, j’avais pensé à mettre un gel lubrifiant en moi avant de partir.« Ouais, t’aimes ça, j’vois bien ! Alors dis-moi, l’prochain coup, tu f’ras quoi pour les copains » Son gros doigt calleux allait et venait en moi, me fouillait lentement, se retirait avant de revenir et de s’enfoncer de plus en plus profondément. J’ai mordu ma lèvre inférieure avant de répondre. « Il faut me dire ce que vous voudrez que je fasse. Vous voudrez que je m’habille comme aujourd’hui ?» « Ouais, comme ça, c’est bandant ! Et pis t’nous f’ras le coup d’la chaise et pis sur l’fauteuil aussi, pour les copains ! Et pis après, tu vas bien montrer à mes copains qu’t’es ma gonzesse, pas vrai ? J’veux pas qu’tu m’fasses honte devant eux, hein? »
« Non, je ne vous ferai pas honte, je vous le promets ; je ferai comme vous avez dit avec vos copains.» Son gros doigt allumait le feu en moi. « Ca c’est gentil, ma poule, et pis, après tu les suc’ras bien, hein? » Il a réussi un mettre un autre doigt et j’ai gémi plus fort en l’acceptant. Il a pris une photo de ce qu’il faisait, en tenant l’appareil de sa main libre. « Oui, je vais les sucer, si c’est ça que vous voulez ! » « Ouais, et pis, après, sûr qu’ y voudront t’baiser, les copains. » Il vrillait et enfonçait ses deux gros doigts en moi de plus en plus loin, de plus en plus profondément et là, j’ai parfaitement compris pourquoi Ludo m’avait envoyée chez cet ignoble individu.
Je prenais mon pied et ressentais une incroyable excitation à subir les attouchements sordides et parfois brutaux de ce gros porc mais, quoi qu’il me fasse, je devais rester lucide pour tenter de limiter les dégâts, éviter le pire.« Oui, vos copains pourront faire ce qu’ils veulent avec moi, mais surtout, il faut leur dire d’être propres. Comme ça, je pourrai faire tout ce que vous voulez avec eux, je vous le promets ! » Il s’est gratté la tête. « Bon, alors comme ça, tu penses qu’y faut que j’leur dit d’prend’ une douche avant d’venir boire l’apéro, c’est ça ? » Ses gros doigts me faisaient du bien et je m’ouvrais à eux. J’ai retenu un soupir de soulagement ; il avait marché.
Il fallait que je poursuive dans la foulée.« Oui, c’est ça ! Vous savez, avec des mecs propres, je peux tout faire.» Il a un peu accéléré le mouvement de ses doigts et j’ai gémi plus fort encore. Je ne pouvais plus me retenir et mes reins se sont cambrés.« Et moi alors ? Par exemp’, si j’vais prendre une douche, si j’me lave les dents, et que j’sens bon, tu m’f’ras quoi, c’soir? » Il s’est penché vers moi pour recueillir ma réponse et son haleine fétide a balayé ma nuque, mon cou et mon visage. J’avais presque gagné, même si je savais que j’allais ensuite le payer cher, très cher, mais il me fallait à tout prix motiver ce gros répugnant pour qu’enfin, il fonce sous la douche puis se lave la bouche et les dents.« Si vous faites ça, je vais vous embrasser autant que vous voulez ; vous verrez.» Cela ne lui a pas suffit car il a ajouté. « Et pis quoi d’aut’ encore ? Allez, dis-moi ! » Il fallait que je l’appâte, que je le motive vraiment pour qu’il craque et fonce sous la douche. « Voilà, si vous vous lavez bien, je vais, disons, vous mettre un doigt en vous suçant ; je peux faire ça, vous savez ?» Il était de plus en plus excité et ses gros doigts se sont enfoncés au plus profond. J’ai gémi sous la puissance de ce geste.« Et pis, quoi d’autre ? Dis-moi !»
Il était à point, je le sentais bien ; j’étais sur le point de gagner, il allait craquer et aller se laver. Il me fallait juste enfoncer le clou, un dernier coup.« Et si je vous promets de bien vous lécher partout et de vous fourrer ma langue ? Vous voulez que je fasse ça? J’adore le faire si le mec est propre, vous savez ! C’est délicieux, très excitant ! » Il a retiré ses doigts d’un coup, sous l’effet de la surprise. « Alors, si j’vas à la douche, sérieux, tu m’fais ça ? Et si j’me lave les dents, j’t’embrasse autant que j’veux, c’est ça ? » J’ai tourné la tête pour bien le fixer. « Oui, c’est ça, et si vos copains sont propres, je ferai tout ce que vous me demanderez de faire avec eux, et même des trucs comme ça, si vous voulez, bien sûr ! Si vous êtes propre, et s’ils sont propres, je vais leur faire ce genre de truc, c’est promis. » « Bon ! C’est ok, j’y vas tout d’suit’! Reste là sur l’fauteuil, bois un coup d’ bière !» J’ai pris ma bouteille de bière en le regardant droit dans les yeux.« Revenez bien propre et vous allez aimer tout ce que je vais vous faire, Albert ! »

Il est parti dans la salle de bains et j’en ai profité pour boire une gorgée de bière tant j’avais la gorge sèche, et pour me reposer un peu, car faire ça avec lui est nerveusement épuisant, mais déjà, je me suis débarrassé de mon string déchiré sur le côté. Je l’ai examiné ; il était foutu, bon à mettre à la poubelle et pour la séance de mardi prochain qui s’annonçait rude, j’ai décidé acheter un ensemble sexy bon marché ; cela me paraissait bien plus sage.Du fauteuil, j’entendais l’eau couler dans la douche; un bon signe mais qui annonçait, et ça c’était beaucoup moins fun, tout ce que j’allais devoir faire avec lui pour remplir mes promesses. En entendant le gros porc se laver, la petite chienne que j’étais mesurait qu’elle allait devoir se défoncer encore plus et se surpasser physiquement.J’ai soupiré avant de me dire, à voix basse: « Bon, au moins, il sera propre maintenant et c’est déjà ça de gagné! Il puait trop et ça, ce n’était plus du tout supportable.» Je me suis reprise un peu car la suite s’annonçait sportive comme dit mon chéri.
J’avais mal à la tête et au ventre à cause du stress accumulé et j’ai pris un cachet pour tenir le coup le reste de la soirée. Cinq minutes plus tard, le gros est revenu, bedaine en avant, nu et tout sourire. Il avait même mis une eau de toilette. Pas la plus discrète, mais bon, chaque chose en son temps.« A y est ! T’as vu, j’suis tout prop’ maintenant : une bonne douche et pis j’me suis lavé les dents. Alors, ça t’plaît comme ça? Tu vas m’faire comme t’as dit alors? »
Je l’ai regardé venir à moi ; le tableau était dantesque, surréaliste. « Même dans les films pornos on ne voit pas de « guignols » de ce style » ai-je pensé. J’ai pris le temps de l’examiner : Quelle horreur ce mec ! Il ressemble à une espèce de singe obèse, hideux, court sur pattes, avec des poils partout, un bide énorme, la peau blafarde…
J’ai frissonné à la pensée de ce que j’allais devoir faire avec lui avant de répondre d’une voix mal assurée : « Oui, je n’ai qu’une parole ! » Je me suis levée comme on se jette à l’eau et je suis venue me coller à lui de tout mon corps, pour lui faire montre de ma bonne volonté et pour lui rouler une pelle, une longue pelle pendant laquelle je me suis frottée à lui. Il avait une haleine chargée à la chlorophylle maintenant, et c’était quand même plus supportable. J’ai ensuite reculé ma tête pour mesurer sa réaction. « Alors Albert, ça vous a plu? Je vous le ferai autant que vous voulez si vous vous lavez les dents, et pour le reste…» Là, en me penchant un peu, j’ai passé ma main sous son gros bide pour attraper sa queue flasque et j’ai ajouté, en le regardant ingénument dans les yeux.« Votre gonzesse va vous faire une démonstration de ses talents de petite salope, Albert ! »
Je branlais doucement sa bite à demi érigée en lui disant cela et je lui ai mordillé le lobe de l’oreille. Il en gémissait le gros ; il était à point et n’en revenait pas.« Allez vous allonger sur le canapé, je vais vous montrer, et si vous êtes propre, je vous le ferai aussi souvent et aussi longtemps que vous le voulez !»Il est allé sur le canapé. Je me suis avancée vers lui et j’ai retiré ma jupe. Je ne portais plus que mes bas, mon porte jarretelle et mes escarpins. Il s’était allongé, tête sur l’accoudoir. Je me suis agenouillée à côté du canapé, au niveau de son torse velu et j’ai posé ma bouche sur ses lèvres pour qu’il me roule une pelle, une belle « galoche », comme il dit aussi. Il fallait bien que je le récompense pour son effort de propreté. Il a apprécié, d’autant que ma main s’était délicatement refermée sur sa queue pour la branler doucement, très doucement.
J’ai relevé mon buste pour le regarder droit dans les yeux, ce gros alcoolo, et je lui ai dit d’une voix exagérément chaude.« Vous aimez que je vous branle comme ça? Je peux faire encore beaucoup plus et beaucoup mieux, vous savez ? Vous aimez que je fasse la salope avec vous ? J’aime bien quand vous me traitez de salope, vous savez. Je trouve cela très excitant.»… et je me suis de nouveau penchée vers lui pour une nouvelle pelle et là, c’est moi qui ai fourré ma langue dans sa bouche tout en lustrant délicatement son gland, cette espèce de champignon à la chair d’un bleu violet et boursouflée, du bout de l’index et du pouce. Je me suis dégagée pour poser la pointe de ma langue sur son torse velu, trop velu, et descendre, tout doucement, vers un téton que j’ai mordillé avant de l’agacer du bout de la langue. Il gémissait, le gros. Il aimait ça et je savourais, soulagée, les parfums conjugués de la savonnette et de l’eau de toilette sur son corps. « Vous sentez bon Albert, je sens que je vais bien en profiter! » J’ai fait passer le bout de ma langue sur son torse, lentement, en descendant vers son ventre proéminent et poilu pour le lécher: « Hum, c’est bon, Albert ! », tandis que mes doigts agaçaient son gland et parcouraient sa tige en l’effleurant.
Ma bouche est arrivée au niveau de son pubis, cette épouvantable broussaille poivre et sel, et j’ai posé ma bouche sur le pli de son aine juste à côté de ses couilles. « Que voulez vous que je fasse maintenant ? » Il a relevé la tête et a pris un air ahuri : « Ben, c’que t’as dis t’ta l’heure ! » J’en aurais souri si j’avais eu la tête à ça. Ma langue a suivi ce pli puis s’est posée sur la tige que j’avais plaquée de la main sur le ventre. J’ai lentement léché cette tige offerte jusqu’au gland puis suis redescendue, du bout de la langue pour bien lécher et suçoter les couilles velues de ce gros alcoolo. J’avais décalotté son gland, tiré la peau bien à fond et du pouce mouillé de salive, tout en continuant de le lécher, j’ai « lustré son casque » comme il dit.
J’aime à la folie ce genre d’expressions imagées, elles m’excitent de plus en plus ; je le reconnais. Du plat de la main, j’ai repoussé un peu sa cuisse. « Ecartez bien vos jambes, Albert et relevez les un peu que je puisse vous faire ce dont j’ai envie. » Il a écarté ses gros poteaux poilus et a posé le pied droit sur le dossier du canapé.
Il a bien relevé l’autre jambe et sa main s’est calée sous sa cuisse pour la retenir. « Voilà, comme ça, c’est mieux ! » Ma bouche est revenue vers son sexe pour avaler et sucer son gland. J’avais bien mouillé mon index pour l’expédier à la recherche de son périnée et de son anneau, de son trou du cul, de sa rondelle. J’avais tous ces termes en moi qui revenaient et m’excitaient. J’ai alors pensé, pour aller encore plus loin mentalement: « Je vais lui toucher le trou du cul, piquer sa rondelle, enculer ce gros connard avec mon doigt et tout de suite après, c’est avec ma bouche et ma langue que je vais fouiller son trou du cul et un jour je vais l’enculer avec un gode ou une bouteille de bière et le défoncer, ce gros con ! » En me disant cela, en remuant ces idées, ces images et ces mots de dingue, j’ai frissonné d’excitation et mon doigt s’est glissé sur le périnée velu de mon gros qui soupirait et gémissait de plus en plus. Son entrejambe était recouvert de poils drus, épais ; une vraie broussaille. Je les ai écarté jusqu’à sentir sa peau puis, plus bas, les premiers plis de son anneau, un anneau proéminent aux muqueuses boursouflées. Je l’ai lissé de mon doigt humide et j’ai cerné le petit trou serré jusqu’à faire gémir ce gros alcoolo.
J’ai ramené mon doigt à ma bouche et délaissé un instant le lustrage de son gland pour bien le mouiller à nouveau. « Un goût de savonnette ! Ouf ! » J’ai relevé la tête pour dire, d’une belle voix de salope bien chaude : « Vous aimez ? » « Ouais, continues ! T’es vraiment une salope, toi ; y a qu’une pute pour faire des cochonneries comme ça! Y a pas ! » Il était chaud et mes fantasmes de pute soumise me faisaient craquer : « Oui, Albert, je suis une salope et je vais vous mettre le doigt et puis après je vais vous mettre la langue ! C’est ça ? Vous aimez ça que je fasse la pute avec vous ? Dites moi que je suis une pute !» « Ouais, vas-y espèce de pute!» Mon doigt bien mouillé s’est de nouveau posé sur son anneau et je l’ai pointé et enfoncé un peu jusqu’à sentir le contact du bord de la muqueuse autour du bout de mon index. « C’est bon, Albert ? » Il avait gémi sous cette toute petite intrusion et avait arqué ses reins. « Une autre fille vous a déjà fait ça? » « Non, jamais ! Y a que toi ; Continue salope! » Mon doigt s’est enfoncé lentement, millimètre par millimètre ; je ressentais la chaleur dégagée par ses muqueuses qui se refermaient sur mon doigt qui s’enfonçait, de plus en plus profondément tandis que je suçotais son gland bien mouillé de salive et branlais doucement sa tige, ma main à peine resserrée sur cette hampe.
Mon doigt s’est enfoncé totalement en lui et ma bouche est venue lécher ses couilles devenues bien fermes. Il a gémi plus fort : « Continue ! » J’ai relevé la tête pour dire d’une voix de petite fille perverse: « Vous aimez quand je tête vos gros œufs ?» « Ouais, j’aime ça et j’vois bien qu’ça te plaît de me lécher les couilles, hein ? T’es une sacrée salope toi, une pute, pas vrai ? » J’ai de nouveau relevé la tête pour reprendre ma petite voix de petite fille perverse.« Oui, je suis une salope, une pute, et ça me plaît bien de faire la pute avec vous!» J’ai attendu sa réponse : « Comme ça, j’vas bien profiter de toi et de ton cul! », avant de replonger ma tête vers sa bite tandis que mon doigt allait et venait en lui de plus en plus vite, de plus en plus profondément. J’ai finalement retiré mon doigt, tout doucement, pour plonger la tête ente ses grosses cuisses. Je n’ose pas encore faire des gestes plus brutaux. Je me suis dit qu’il faudrait que j’essaye mais je sais que j’ai peur que cela génère chez lui l’envie de faire pareil alors qu’au niveau du poids on ne joue pas dans la même catégorie…
Il les a ouvertes un peu plus encore et relevées au maximum pour m’offrir le passage et ma bouche s’est posée sur son périnée, sur cette forêt de poils drus à explorer. J’ai sorti ma langue pour lécher le périnée et la base des couilles en remontant doucement : une belle petite langue bien mouillée.Il sentait toujours un peu la savonnette mais, déjà, de fortes odeurs de reprenaient le dessus ; il fallait que je fasse vite. Je n’avais pas le choix, alors ma langue est redescendue lentement, vers le périnée et a atteint la muqueuse sensible, gonflée de sang, pour bien la mouiller de salive et écarter les derniers poils gênants.

Le bout de ma langue s’est ensuite posé sur l’orifice, en pointe, et s’y est doucement enfoncée. Mon doigt l’avait un peu dilaté et lubrifié. Un goût acre est venu sur ma langue. Mon cœur battait à toute vitesse.Sa main libre s’est posée sur ma tête ; Il gémissait de plus en plus. « Lèche bien, salope, vas-y, lèche moi l’trou du cul ! C’est bon ça, c’est bon! Tu me le ref’ras hein, pisque t’aimes ça ! J’le vois bien qu’t’aimes ça, faire ce genre de cochonneries. » Ma langue allait et venait en lui, aussi profondément que possible et je donnais de léger coups de tête pour aider à cette pénétration. Lui appuyait sur ma tête tandis que de la main, je le branlais de plus en plus fort, de plus en plus rapidement.
Il a dégagé sa main. « Viens me prendre dans ta bouche de pute que j’lâche tout d’dans, salope ! J’veux qu’ t’avales mon jus, vas-y ! » J’ai relevé ma tête pour dire de ma toute petite voix de petite fille perverse : « Je vais tout avaler Albert, j’aime ça en avoir plein la bouche ! » Lui dire ça m’excitait à fond et me donner à lui ainsi, me livrer à ses désirs, quels qu’ils soient, devenait très bon. Je réalisais là que sa laideur, ses côtés « connard et alcoolo » m’excitaient de plus en plus, finalement, et que me livrer totalement à ce genre de mec était un puissant facteur d’excitation pour moi.Je suis venue engloutir sa queue juste à temps pour tout recevoir dans ma bouche puis j’ai avalé son sperme et sucé son gland pour en extraire les dernières goutes de sperme tout en continuant à branler doucement sa queue, mon index toujours bien enfoncé dans son cul.
Je tenais à ressentir ses derniers spasmes de plaisir. J’ai fait tourner ma langue le plus doucement possible autour de sa queue qui débandait peu à peu. Il ne gémissait plus. Il s’était assoupi. J’ai alors doucement retiré mon doigt puis je me suis relevée pour aller me réfugier dans la salle de bain. Je voulais me rafraîchir, me laver soigneusement la bouche et les mains et reprendre mes esprits. J’en ai profité pour récupérer mes bagages et les poser dans la chambre du gros et j’ai sorti ma trousse de toilette.
Tout en me faisant belle, je me suis regardée dans le miroir taché et opaque de crasse. « Comment suis-je capable de faire des trucs comme ça et pourquoi surtout cette envie de le faire que je ressens de plus en plus fortement, de me livrer à ce point, de devenir la salope de ce genre de lascar cradingue? » Je me suis fait peur tout à coup. Et si j’étais vraiment une salope ? Comment réagir ? En réprimant mes envies et fantasmes ou bien en les acceptant puisque mon mari, lui, les accepte, les exploite aussi, pour notre grand plaisir, que cela m’a permis de rencontrer Schuller et Albert et que ces hommes m’aident à les vivre, quels qu’ils soient ?
Je me suis recoiffée et maquillée. Je profitais de ce temps de répit.En fait, j’ai réalisé que j’avais maintenant plusieurs hommes à satisfaire, dont deux plus laids et repoussants que la plupart des mecs, mais que cela m’excitait à mort.
Lorsque je suis revenue vers le salon, je me sentais apaisée.
(à suivre)
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