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Défis de couple

Chapitre 16

Divers
Schuller de retour. Invitation au restaurant. La semaine qui a suivi a été une semaine de repos forcé pour moi car je n’étais pas en état physique d’honorer mes rendez-vous avec qui que ce soit. Albert était parti en déplacement, ça tombait bien, et toute cette semaine là, j’ai essayé de me faire plaisir : shopping, esthéticienne, coiffeur, gym. Je suis arrivée à contacter Arnault presque tous les jours mais à chaque fois, nos conversations éteint brèves car il était sur le terrain. Lors d’un RDV skype, j’ai vu un paysage de dunes et de rochers avec des camions et des pick-up militaires. Ce genre d’arrière plan ne me rassure pas du tout.Le vendredi après-midi, au bureau, j’ai reçu un coup de fil du service social de l’établissement où Schuller poursuivait sa convalescence.Selon la dame, il allait mieux et son retour à domicile était programmé dans les dix jours. Je lui ai confirmé que son appartement était en état et que je veillerai à ce qu’il ait tout ce qu’il faut pour que son aide-ménagère lui prépare ses repas.Le soir même, j’ai annoncé cette nouvelle à mon chéri. « Puisqu’il est de retour, tu devras te remettre à sa disposition, coquine ! Tu en meurs d’envie, je le sais. »
Effectivement, quelques jours plus tard, notre voisin est revenu chez lui, amaigri, fatigué, la marche plus difficile, le pas plus lent mais l’esprit vif et la voix ferme. Lorsque je l’ai eu au téléphone, il m’a juste dit d’un ton péremptoire: « Vendredi, 20h dans le hall ! » puis il a raccroché. J’en tremblais de tout mon corps. Schuller était bel et bien de retour.Le vendredi, bien évidemment, j’étais prête à l’heure fixée pour le contenter et le questionnaire dont il attendait le retour était glissé dans une enveloppe disposée dans ma pochette de soirée. Arnault en avait été destinataire prioritaire mais il ne m’avait pas livré ses réflexions et j’attendais maintenant les réactions du vieux. Pour satisfaire à la demande de notre vieux voisin, sous un ensemble jupe portefeuille et corsage de soie clairs et discrets, j’avais revêtu des bas noirs très simples mais fixés par un porte-jarretelle qui faisait partie d’un ensemble en dentelle noire acheté pour l’occasion. Cet ensemble était un choix de mon homme qui me l’avait indiqué sur un site internet de vente par correspondance. Les deux pinces étaient posées et pendaient entre mes cuisses. Pas très élégant, ce dispositif, mais très excitant, finalement.J’avais reçu mon ensemble la veille et j’avais pu l’essayer devant la caméra et Arnault l’avait trouvé magnifique. Selon lui, il mettait mon corps en valeur et c’était vrai. J’étais hyper-sexy et je me suis longuement contemplée devant mon miroir.A 20h, j’étais dans le hall de notre immeuble. Schuller fût lui aussi exact. Il avait emmené un appareil photo. Le taxi nous attendait ; le même que lors de notre première sortie. Pendant le trajet, le vieux a passé sa main entre les pans de ma jupe et a joué avec mes bas et mes jarretelles.il a également exigé que j’écarte mes jambes quelques secondes pour vérifier que mes pinces étaient bien en place puis le taxi nous a déposés devant un restaurant très chic du centre ville et on nous a guidés vers un boudoir privé comme seuls certains établissements un peu particuliers le proposent à leur clientèle, des couples légitimes ou non en recherche de discrétion et de sensations.Un boudoir bien décoré, dans un style ancien et une petite table ronde, avec une nappe allant jusqu’au sol, bien sûr, nous attendaient. Dans le coin de la pièce, une desserte assez grande sur laquelle était posé un vase de cristal contenant un magnifique bouquet de rose. Sur l’autre mur, un grand miroir dans un cadre ancien passé à la feuille d’or. Rose, feuille de rose, feuille d’or ! Ces allusions m’ont fait rougir. Je repensais à ce que le vieux m’avait fait faire, avait exigé de moi, à tout ce que j’avais du dépasser pour parvenir enfin à enfoncer ma langue dans son anus de vieux porc, pour la faire aller et venir dans ce cloaque. J’en avais le feu aux joues.Le maître d’hôtel nous a installés. Une coupe de champagne nous a été servie. Installé à ma gauche, le vieux a posé son appareil photo sur la table. Il jouait avec la sangle. Il a ouvert la bouche pour la première fois de la soirée.-« Vous avez rempli le questionnaire ? »
De nouveau, l’angoisse a envahi mon abdomen, un phénomène incontrôlable.-« Oui, monsieur ! »-« Posez-le sur la table ! »J’ai sorti l’enveloppe de mon sac à main et l’ai déposée juste à côté de la main droite de Schuller. L’araignée s’en est prestement emparée puis Schuller a calé ses lunettes aux verres floutés sur le haut de son nez ; son visage luisait déjà de transpiration.« Bien, nous allons voir cela, le temps que l’entrée que j’ai commandée arrive. Vous avez constaté, ce n’était pas difficile. Il vous suffisait d’être sincère. D’autre part, vous l’avez certainement apprécié, aucune de ces questions ne traite directement de votre vie de couple ! »-« Oui, monsieur. Je vous en remercie. »-« Voyons donc vos réponses ! »Il lisait le document, prenant son temps pendant que je dégustais mon champagne. Il a soupiré. « Je vais devoir synthétiser pour aller à l’essentiel. Vous avez connu une relation homosexuelle. Vous me ferez bientôt le plaisir de me la relater dans le détail, bien évidemment, ce sera très excitant. Vous n’avez jamais connu qu’une relation sexuelle avec deux partenaires, jamais avec plus de deux partenaires. Vous êtes très attirée par les hommes âgés, voire très âgés, et surtout ceux qui sont laids, voire très laids, sans parvenir à expliquer l’origine de cette attirance que vous qualifiez de surprenante et que le visionnage d’un film pornographique a révélé au grand jour récemment. Vous n’avez jamais vraiment pratiqué le sexe de manière violente, le « rough sex », selon l’expression anglo-saxonne et cette pratique vous effraie « un peu », selon votre expression. » Il a souri, une grimace en fait, puis de nouveau remonté sa paire de lunettes.Jamais jusque là, on ne vous avait proposé des pratiques sortant, disons, de l’ordinaire imaginaire érotique bourgeois, mais votre orientation sexuelle vous incite à considérer que vous pourriez, finalement, selon votre degré d’excitation, satisfaire toutes les demandes de votre partenaire. Je dis bien toutes. » Il s’est retourné vers moi. Je retenais ma respiration.« C’est exact, nous l’avons vérifié ensemble ! Les pratiques qui vous font peur et que vous pourriez refuser : pour répondre à cette rubrique, vous avez indiqué : tout ce qui créé scandale public, blesse ou fait vraiment mal et là, vous distinguez la fessée sensuelle ou amoureuse, même appuyée, et l’application franche du martinet ou du fouet qui marque la peau et peut blesser. Compte tenu de votre goût pour l’obéissance, vous êtes cependant disposée, de manière générale, à faire tout ce que votre partenaire commande et à le laisser faire ce qu’il veut et vous appréciez particulièrement d’être humiliée. Est-ce bien cela ? Ai-je bien résumé ? Une petite correction au martinet, à l’occasion, vous conviendrait donc ! De fait, l’application de quelques coups de spatule vous a plu, n’est ce pas ? Du moins c’est ce que j’ai personnellement constaté. » -« Oui, monsieur, c’est bien cela ! »J’avais les yeux baissés. Je ne pouvais surtout pas mentir.« Et la cravache ? » J’ai de nouveau baissé les yeux avant de répondre : « Je ne sais pas monsieur ; je n’ai jamais été corrigée avec ce type d’instrument !»-« Bien ! Je continue. Comment réagiriez-vous si je vous demande d’aller satisfaire une autre personne en vous mettant à sa disposition totale, comme vous le faites si bien avec moi ? Une personne, homme ou femme que je choisirai, pour son âge, son apparence physique extrême ou disons, son expérience, son imagination, sa perversité, compte tenu de votre fantasme particulier? »J’ai baissé les yeux avant de répondre d’une voix mal assurée: « Je le ferai, Monsieur ! »« Cela confirme ce que vous avez écrit. Et, pour revenir là-dessus, si je vous livre à des inconnus, dans une cave ou ailleurs ? »Il insistait du regard, ma réponse a été rapide. Elle a jailli. « Je le ferai, monsieur ! »-« Bien ! J’avais également prévu une question concernant la pratique zoophilique. Vous n’y avez pas directement répondu et votre réponse mérite éclaircissements même si, de toute évidence et je vous en remercie, vous avez entendue être sincère ! Vous dites : « Je ne sais pas ! ». Qu’entendez-vous exactement par cette réponse ? Répondez, je vous prie, de manière plus précise que j’y vois plus clair sur ce sujet ! »Comment répondre, il m’était impossible de manifester un refus catégorique compte tenu de la règle posée ? Dire oui d’emblée m’était également impossible sur le plan mental. Comment admettre, en effet, que je pourrais aller jusqu’à accepter d’être livrée aux assauts d’un animal ? Ma réponse a été aussi peu claire que possible puisque je me souviens avoir répondu : « En fait, jamais cette possibilité ne m’a été proposée. Je sais que cela existe, et que certaines personnes y prennent du plaisir parce qu’un soir avec mon mari, nous avons été sur un site qui propose le téléchargement de petits films très explicites. Nous avons été intéressés, notre curiosité a été sollicitée, comme s’il s’agissait d’un documentaire sur des pratiques extrêmes, mais sans plus. La mise en œuvre de cette pratique ne nous est jamais venue à l’idée. Je crois que me connaissant mieux maintenant, tout dépendra du contexte et de mon état d’excitation. En fait, je sais que désormais, je suis capable de faire beaucoup pour satisfaire les désirs de celui qui me commande. Mais, pour l’instant, je ne m’imagine pas faire cela avec un animal. En plus, j’ai peur des chiens !»Il a relevé la tête pour croiser mon regard. «La petite chienne obéissante et bien apprivoisée a donc peur des chiens ! » Il a ricané. « Bien, passons, l’entrée arrive ! » Le garçon a posé les assiettes devant nous.« Après cette entrée, je vous ai réservé une surprise, un petit extra ! J’espère que cela vous fera plaisir ! »« Merci, monsieur.»« Mais d’abord, mettez ceci. » Il avait disposé devant moi deux écrins que j’ai ouvert avec délicatesse. Le premier contenait une fine chaîne de cheville en or et brillants, le second un collier ras de cou en cuir noir avec, sur le devant, un carré de brillants : de petits éclats de diamant apparemment. Je l’ai remercié. Ces deux bijoux étaient superbes. Bien sûr, le collier était d’un goût un peu spécial, un peu trop clairement SM pour dire vrai, mais finalement, compte tenu de ce que j’étais devenue, pourquoi pas ! « Ces petits diamants vont vous aller à merveille ! Chaque fois que vous viendrez répondre à mon invitation, vous devrez les porter tout comme vous devrez porter les pinces que je vous ai offert ! Au fait, les porter est-il douloureux ?»« Oui, monsieur. Elles font mal !»« Les avez-vous desserrées un peu ? »« Non monsieur ! » Il souriait. « C’est très bien ! Sachez que si vous êtes sage et obéissante, je les desserrais peut-être à la fin de la soirée avant de les remettre en place. En cas de désobéissance, je devrais au contraire les serrer un peu plus ! »« Oui, monsieur. Je serai obéissante ! » J’ai commencé par retirer mon collier de perles, le ranger dans ma pochette puis j’ai mis le collier noir qui était parfaitement à ma taille. Ensuite, après qu’il m’ait à nouveau complimenté et que je l’ai vivement remercié, j’ai mis la fine chaîne en or à ma cheville. Elle m’allait à ravir. Depuis longtemps, je rêvais d’un tel bijou dont je percevais toute la dimension sensuelle. Il l’a admirée et en profité pour caresser ma cheville que j’avais, à sa demande, posée sur ses genoux.Il a savouré le soyeux de mon bas de la cheville à la jarretelle et en a profité pour aller plus haut, jouer avec les pinces qui étiraient mes petites lèvres et glisser un doigt habile dans ma fente. Je l’ai laissé s’amuser à sa guise ; je lui devais bien cela, puis nous avons savouré l’entrée, parfaitement délicieuse, en buvant du champagne. Nos assiettes ont ensuite été desservies et le maître d’hôtel s’est retiré. Ce double présent m’avait apaisée, « apprivoisée », comme il venait de me le dire en souriant. Il a ensuite voulu prendre quelques photos ; je prenais la pose selon ses instructions et j’étais bizarrement détendue. Bien évidemment, il a profité de ma docilité pour exiger de moi des postures très érotiques, très particulières, pour enrichir sa collection, selon son discours.« Ah, voici venu le moment de votre surprise ; j’espère qu’elle va vous plaire ! » Les bijoux n’étaient donc pas la surprise promise ? Que me réservait-il encore ? J’étais intriguée. Il a agité une petite clochette et un maître d’hôtel est entré.« Faites venir ma commande, je vous prie ! »« Bien monsieur !» Puis l’homme a quitté la pièce. Quelques instants plus tard, il était de retour et portait sur son avant-bras une fine écharpe de soie noire. Il s’est approché de moi puis avec un ton très respectueux a déclaré : « Si Madame veut bien me permettre ? » J’ai acquiescé et il a noué ce foulard en bandeau sur mes yeux. Je ne voyais plus rien mais je ne ressentais aucune forme d’angoisse ; j’étais étrangement calme. « De toute façon », me suis-je dit : « C’est normal puisque ce soir je sais que je ne suis qu’un jouet à la disposition du vieux. »« Parfait, préparez la surprise commandée pour madame ! »La main du vieux s’était posée sur ma cuisse en un geste d’apaisement.« Vous êtes prête ma chère ? »« Oui, monsieur ! » C’était vrai ; j’avais hâte de vivre ce qu’il allait me proposer. Mon cœur battait simplement de plus en plus vite à cause de ce sentiment d’excitation qui allait en grandissant. J’ai perçu que l’on déplaçait quelques objets, qu’une nappe était disposée sur une table. « Puis-je disposer, Monsieur ? »« Certainement et puisque tout est en place, faites venir l’extra, je vous prie ! »« Bien monsieur ! »Le maître d’hôtel est sorti puis quelqu’un d’autre est entré. Un homme ; une odeur d’eau de toilette masculine m’a enveloppée. Il s’est approché de moi et a pris ma main : « Si Madame veut bien le permettre ? »Il a tiré ma chaise, m’a aidé à me lever et m’a guidée au milieu de la pièce. Le vieux a pris la parole : « Très chère, un coussin a été placée devant vous au sol afin que vous puissiez vous agenouiller confortablement. » Je me suis donc agenouillée, m’efforçant de rester immobile et aussi digne que possible compte tenu des circonstances. Obéir ! « Obéis ma belle, tu es là pour ça. » « Allez, vous pouvez commencer. » Le vieux s’adressait de toute évidence à l’homme qui m’avait aidé à me lever de ma chaise.Mes fesses reposaient sur mes talons et mes mains sur mes cuisses. Un sexe d’homme est venu se poser sur mes lèvres. Un gland épais et lourd que le vieux m’a commandé de parcourir de la langue. Ce gland avait la taille d’une petite pomme. « Voici votre surprise, très chère ! Vous plaît-elle ? » Il a pris une première photo et pendant toute la scène qui devait suivre l’appareil n’a cessé de fonctionner.« Oui, monsieur ! » C’était vrai, pour être honnête, et j’ai parcouru ce gland lisse, quasi sphérique et sec, de la langue, longuement.« Dirigez-là, cette petite chienne adore être traitée comme cela !» ordonna le vieux à l’inconnu.Celui-ci a pris les commandes du jeu et de sa main a appuyé sur la tête : « Suce ma bite, ma poule! Suce bien, il paraît que tu aimes la bite !» Le vieux a ricané. Il jubilait. J’ai obtempéré. Le sexe circoncis et propre était de taille imposante mais il allait et venait dans ma bouche sans cependant m’étouffer. L’homme devait y prendre garde. « Allez, occupe toi de mes couilles maintenant ! » Je les ai léchées et parcourues de la bouche. Dures, épilées, parfaitement épilées, il a fait durer ce petit jeu, me demandant ensuite et en complément de caresser lentement son sexe des doigts de mes deux mains. Son sexe était volumineux et j’essayais, en le manipulant, d’évaluer sa taille. Je suis arrivée à une estimation : au moins 25 cm de long et des doigts d’une seule main je ne pouvais faire le tour de la hampe. « Alors, ma queue te plaît, ma poule ? »J’entendis le petit ricanement de plaisir du vieux devant cette question parfaitement vulgaire.« Oui, monsieur ! » Il m’a laissé m’occuper de lui un moment puis : « Relève-toi, on va passer à autre chose ! » Il m’a aidé à me relever puis il m’a placée face à un mur.« Les mains au mur ; plus bas, tes mains ! Oui, comme ça ! »Je me suis appuyée sur le mur selon ses instructions et, pendant ce temps, il a remonté ma jupe.« Ecarte tes jambes, ma poule, que je profite un peu de ton joli petit cul ! » Ce disant, il a claqué ma fesse de la main droite pour m’encourager et a écarté mes fesses pour mater ma chatte, les pinces qu’il a appréciées et soupesées et mon petit trou. Le vieux a ricané de nouveau en savourant le spectacle. Il prenait photo sur photo.L’homme se préparait. Je l’entendais, il devait lubrifier son sexe. Non, pas de sodomie avec ce sexe énorme ! J’ai eu un geste de recul et de nouveau, une bonne claque m’a corrigée et guidée vers une attitude de raison et de soumission.Il a appuyé sur le creux de mes reins pour que je me cambre puis a écarté mes fesses et son gland s’est finalement présenté entre les lèvres de ma fente. J’étais soulagée et j’en ai soupiré d’aise.Il m’a pénétrée lentement, très lentement mais, malgré la douceur de son geste et le lubrifiant destiné à faciliter cette manœuvre, cela a été un peu difficile. J’essayais pourtant de ne pas me contracter, de ne pas résister. J’attendais vraiment ce sexe en moi ; Il a fini par me pénétrer entièrement et je me suis sentie empalée. Ce pieu me remplissait le ventre et je n’osais bouger. Il est resté quelques secondes dans cette position puis s’est brusquement retiré. Je n’ai pu retenir un cri et le vieux a apprécié. Il ricanait. Il va finir par applaudir ce vieux cochon !« Encore, voulez-vous ! » Il sollicitait l’inconnu au gros sexe. Celui-ci, de nouveau, s’est lentement introduit en moi puis a attendu quelques secondes, juste le temps pour moi de savourer sa présence, avant de se retirer à nouveau violemment. J’ai crié à nouveau et ce petit jeu cruel s’est poursuivi, le temps que le vieux finisse par se lasser. Un certain temps, car il appréciait ce spectacle de ma totale soumission au pilon de cet inconnu ! J’allais m’écrouler ! J’étais excitée et appelais ce sexe en moi pour qu’il me remplisse, qu’il me défonce et me fasse enfin jouir. Mon ventre appelait la présence de ce sexe énorme.« Alors très chère, votre surprise vous plaît ?» J’ai gémi avant de répondre : « Oui monsieur ! » J’étais épuisée par ce petit manège qu’il trouvait amusant et dont il se délectait! « Jeune homme, finissons-en, je vous prie ! »L’inconnu m’a de nouveau pénétré lentement puis a entrepris de me pilonner à grands coups de reins qui me défonçaient le ventre de plaisir. Il était endurant et sous ses coups de reins violents, dévastateurs, mais si bons, j’ai fini par exploser de jouissance. « Ca y est, elle jouit! » Le vieux prenait photo sur photo et je suis tombée à genoux, la tête posée contre le mur ; j’avais presque perdu connaissance. Jamais je n’avais connu un tel orgasme. L’inconnu est venue devant moi, a relevé ma tête pour retirer le bandeau, m’a retourné le buste vers lui et a mis son sexe entre mes lèvres. « Allez, lèche, tu vas adorer ! »Son sexe était toujours aussi dur, lisse, maculé de sperme. Ma vue s’est éclaircie et tout en léchant ce sexe, j’ai regardé cet homme. Il avait un visage sans grâce, épais, glabre, les cheveux courts et drus, les yeux noirs et enfoncés dans les orbites ; un corps parfaitement épilé, trapu avec juste un peu d’embonpoint et des mains courtes et puissantes. Il m’a de suite fait penser à un professionnel du sexe.J’ai longuement léché et savouré son sexe parfaitement tendu et son sperme comme cela m’était commandé, puis il m’a aidé à me relever et le vieux m’a demandé de reprendre position mains sur le mur. L’inconnu m’a guidée et a écarté mes jambes. Il a appuyé sur mes reins pour les creuser et a versé un gel sur mon petit trou. J’ai compris et frémi mais j’ai décidé de ne pas résister. Il a introduit deux doigts en moi pour lubrifier ma muqueuse interne puis posé son gland humide sur mon anneau et a insisté pour le forcer. J’ai crié sous cette poussée et mon anneau s’est peu à peu ouvert. Le gros sexe m’a pénétrée profondément. L’inconnu a écarté mes fesses et a poussé davantage. Il était en moi, à fond et je gémissais de plaisir. Il m’a longuement pilonnée. J’étais en feu et mon ventre a fini par exploser à nouveau. Il a continué jusqu’à jouir en longues giclées dans mes entrailles. Le vieux s’est exclamé : « Elle jouit encore ! Nom de nom, quelle salope !» Il en a ricané et sifflé d’admiration. L’inconnu a claqué ma fesse une dernière fois et je me suis écroulée à genoux, épuisée. Peu à peu, j’ai repris mes esprits et retrouvé la force de bouger ; l’inconnu m’a aidée à me relever puis le vieux m’a donné l’autorisation de me rendre dans le petit cabinet de toilette attenant à notre boudoir où j’ai pu me rafraîchir et réaliser une nécessaire toilette intime. J’ai attendu que tout bruit cesse dans le boudoir pour y revenir. Le vieux m’attendait à table et son appareil photo en main, il visionnait tranquillement les clichés. Devant son verre à eau, il y avait une fine cravache noire. A la vue de cet instrument, j’ai eu peur.« Vous allez adorer ces photos, ma chère, elles sont superbes ! »Je me suis assise à son côté. « Belle soirée, n’est-ce pas ? » Cette question attendait réponse. « Oui, monsieur ! »« Vous ne pouvez le nier, vous avez été comblée par cette surprise. »« Oui, monsieur ! »J’étais épuisée et je ne mentais pas puisque mon ventre était encore secoué de spasmes.« Le repas qui va suivre va vous aider à récupérer, ma chère, car cette soirée ne fait que commencer. J’attends de vous, en effet, qu’à chacune de nos rencontres, vous vous surpassiez pour me plaire et me donner du plaisir, n’est-ce pas ? Tout le plaisir que je suis endroit d’attendre de vous !»« Oui, monsieur, je vais tout faire pour vous satisfaire ! Vous pouvez compter sur moi ! »Il a posé sa main arachnéenne sur la mienne.« Je le sais, et c’est pour cela que je vais être très, très exigeant avec vous, de plus en plus exigeant. C’est très excitant pour moi, vous comprenez ? Vous vous rendez compte, le monstre physique que je suis peut satisfaire toutes ses envies, tous ses fantasmes, même les plus inavouables, avec vous si jeune, si belle, un corps parfait, si intelligente et sensible aussi. Votre intelligence et votre lucidité ajoutent à mon excitation, bien évidemment car je perçois parfaitement votre répulsion, vos dégoûts, vos efforts pour les dépasser et finalement me satisfaire et je vais bien en profiter ! Vous devrez être totalement à ma main, c’est mon désir et mon objectif. En plus, obéir vous excite et plus ce que l’on vous demande est difficile, plus l’adrénaline monte en vous et plus vous ressentez du plaisir, c’est cela ? Qu’en dites-vous ? »Sa main est venue se poser sur ma cuisse : un geste de réflexe recul de ma part puis aussitôt l’abandon physique total. Il a ricané.-« Je suis à votre disposition, monsieur et je vais faire tout ce que vous me direz de faire. » (A suivre)
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