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Défis de couple

Chapitre 18

Divers
(La suite) Une aire de reposLe lendemain soir, je me suis préparée pour aller, comme le vieux l’avait commandé, sur une aire d’autoroute. Il fallait que je sois très sexy dans un style pute alors je me suis habillée d’une petite jupe noire très courte avec des bas autofixants et un string en résille noire. J’avais choisi de mettre un haut en lamé sous un blouson de type perfecto en skaï et je portais des bottines à hauts talons. Je m’étais maquillée de façon très appuyée et en me préparant j’ai senti que l’adrénaline montait et que des tremblements incontrôlables me secouaient. « Comment allais-je pouvoir franchir ce pas, faire ça? » Je mesurais là, maintenant devant mon miroir, en me maquillant, où j’en étais arrivée. Le vieux avait laissé un message sur mon portable : « 2ème aire de repos, autoroute de l’ouest, direction Province : vous ferez ça avec 2 hommes, je dis bien 2, et l’un après l’autre. Restons simples !». Il en rajoutait puisque maintenant je devais faire ça, faire la pute, en clair, avec deux hommes. Mon dos a été secoué par un frisson plus violent que les autres.J’ai pris ma voiture et je suis allée sur l’autoroute de l’ouest et j’ai facilement trouvé l’aire d’autoroute que le vieux m’avait indiquée. Je me suis garée et j’ai longé une kyrielle de semi remorques. Des routiers allaient à la boutique ou bien fumaient tranquillement leur cigarette, dehors autour des tables. J’ai jeté un coup d’œil sur ces personnages et j’ai aperçu, près d’un distributeur de café, un homme vêtu d’un jean et d’un polo, petit, édenté et d’un certain âge. Je me suis approchée de lui et mes épaules ont été secouées de frissons. Il faisait un peu frais, c’est vrai.Je n’ai eu aucun mal à lui faire comprendre qu’il pouvait m’emmener dans la cabine de son camion pour obtenir, gratuitement, de moi ce qu’il voulait. Il parlait à peine le français, en fait, mais dans la cabine où régnait une odeur de tabac et de transpiration, il m’a parfaitement fait comprendre, après avoir tiré les rideaux, que je devais me déshabiller, garder mes bas, m’exhiber un peu, le sucer, puis me laisser enculer. Il a pu tout faire et obtenir de moi et j’ai ressenti le poids de son regard lorsque je me sui dénudée et exhibée devant lui. J’avais tout de suite remarqué qu’il n’avait pas pris sa douche et le laisser me toucher intimement et me pénétrer de ses doigts, le sucer n’a pas été facile. « Toi ! Bien ! » C’est tout ce qu’il m’a dit avant de me libérer après avoir joui deux fois : une fois dans mon cul et une fois dans ma bouche. Je suis allée dans les toilettes de la boutique pour me laver un peu avant de faire ce que j’avais à faire avec un 2ème homme. Je me sentais bizarre, en fait, un peu comme si je vivais un film, comme si j’étais totalement extérieure à moi-même, déconnectée du réel. Dans la boutique, j’ai bu un gobelet de café et non loin du distributeur, un homme me regardait. « Pourquoi pas lui, après tout ? », me suis-je dit. Je lui ai souri et il est immédiatement venu vers moi. Il a vite compris que j’étais disponible et a sauté sur l’occasion : une pute à l’œil, c’est rare.Je l’ai suivi vers son camion, garé tout au fond du parking. Je suivais un homme bedonnant, mal habillé lui aussi, qui sentait fort à cause de son eau de toilette dont il venait se d’asperger. « Au moins, celui-là sort de la douche. » ai-je soupiré.Il portait une casquette comme celles que personne ne porte plus et une salopette bleue en coton par-dessus un tee-shirt blanc pas trop net. Il m’a fait monter dans sa cabine. Il y avait des revues pornos sur le siège passager. Il a fermé les rideaux et a retiré ses chaussures et sa salopette, sans me regarder. « R’tire ton blouson et montre tes nichons ! » Je devais faire ce pourquoi j’étais là et j’ai fait comme il a demandé. Il est venu vers moi et a tripoté mes seins de ses grosses pattes calleuses puis il a pris ma main pour la poser sur sa bite à demi tendue. L’une de ses mains a appuyé sur ma tête et je me suis penchée vers lui pour le sucer de mon mieux. Je me suis appliquée et je e me disais que si je faisais ça bien, je serais tranquille rapidement. Il bandait bien et il m’a demandé de m’allonger sur la banquette et d’écarter les jambes ; J’ai remonté ma jupe jusqu’à ma taille et écarté le fond de mon string qu’il ne voulait pas que j’enlève. Il est venu sur moi et m’a pénétrée, d’un coup, en s’aidant de la main. Il était lourd et tout son poids reposait sur moi. J’étouffais. Mes mains se sont posées sur le bas de ses reins. Il me besognait en ahanant et après quelques coups de reins plus violents, il a joui en grognant. Il s’est dégagé sur le côté et m’a demandé de lui sucer la bite. Je me suis de nouveau penchée vers lui pour lécher sa queue et le sperme qui la recouvrait. Il caressait mes cheveux. « Bien, suce bien, oui, comme ça ! C’est bien, encore! Continue.» J’ai du le sucer ainsi longtemps puis il a bandé à nouveau et est revenu s’installer sur moi pour me prendre comme la première fois. Là, il n’a pas pu jouir car il a débandé peu à peu, et il m’a finalement laissé partir. Après un rapide passage aux toilettes, je suis remontée dans ma voiture avec, toujours, cette sensation étrange de vivre une espèce de rêve éveillé. A peine rentrée chez moi, sur mon portable, un message du vieux : « C’est fait ? » Je lui ai répondu par un court message: « Oui, monsieur ! » , puis je me suis douchée et couchée immédiatement tant j’étais épuisée. La nuit, j’ai revécu ces épisodes et mon sommeil a été agité.Arnault n’a finalement reçu mon message que le lendemain pour me dire, en un court message en réponse, de bien profiter de cette chance que j’avais de vivre pleinement mes fantasmes sans autre danger qu’une petite fessée, une sortie nocturne et des petites séances d’humiliation en privé ou en cabine.J’étais déçue car j’aurai voulu le voir, lui montrer mes bijoux, lui faire plaisir en m’exhibant devant lui tout en lui racontant mon passage sur l’are d’autoroute et j’espérais, surtout, recueillir ses instructions, ses exigences car je ne voulais pas être seulement la soumise du vieux mais surtout celle de mon mari. Le jeudi soir, la connexion skype a finalement été possible mais brève et j’ai pu voir mon homme et tout lui raconter. Il était en pleine forme ; je lui ai montré les présents du vieux et me suis mise à sa disposition la plus totale après avoir évoqué à nouveau le déroulement de la soirée au restaurant et la suite. Arnault a trouvé les bijoux très jolis et à sa demande, j’ai mis le plug et les pinces en place pour qu’il profite de la vision de ces objets sur moi et en moi. Il était très content de moi. Il savait déjà que j’irai à la soirée chez le vieux et il m’a juste demandé de bien faire la chienne et d’en profiter. (A suivre)
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