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Défis de couple

Chapitre 21

Divers
Les TP continuent
J’ai quitté l’appartement du vieux et suis descendue chez Schuller pour qu’il continue mon dressage comme il le souhaitait. J’ai descendu lentement les étages. J’ai sonné à sa porte et il m’a ouvert.« Entrez ! Il m’a téléphoné ; il est content de votre prestation et il dit que vous êtes une sacrée salope, une vraie pute. Au moins, là, vous avez fait ce qu’il faut pour ne pas me décevoir. Ceci dit, mettez-vous en position de correction sur le fauteuil. A genoux, jambes écartées, reins creusés. » Il avait la cravache en main. Je suis allée vers le fauteuil et m’y suis installée pour attendre ma correction. Il s’est approché de moi et a retiré les pinces qui ornaient mes petites lèvres. « Un nouveau tour de vis s’impose au sens propre comme au figuré! » Il parlait durement. Quand il les a remis en place, j’ai crié de douleur puis il m’a frappé avec la cravache. Les coups de cravache, la pression des pinces, c’était insupportable. « Ferme là ! C’est compris, en plus, tu aimes cela !»« Oui, monsieur ! »
Mes cuisses brûlaient. Mes petites lèvres étaient en feu. J’avais vraiment mal mais je savais que si je n’obéissais pas, ce serait encore pire. Il a commencé à me frapper à coups de cravache, calmement, méthodiquement du bas des mollets au creux des reins. Je serrais les dents pour ne pas crier et mes ongles griffaient le fauteuil. Je pleurais. Après les 10 premiers coups, j’ai arrêté de compter. Il a dû m’en asséner au moins vingt-cinq, trente peut-être plus. Je ne pouvais plus bouger. Il a saisi le martinet. J’ai pris une nouvelle correction avec cet ustensile. Il a cinglé mon dos, mes reins, mes mollets, mes cuises…Je gémissais à chaque coup. Il soufflait de plus en plus fort. Cet effort l’épuisait.« Debout, face à moi ! Devant le fauteuil. Ce n’est pas fini ! »Je me suis relevée. Mes mollets, mes cuisses et mes fesses me faisaient mal et mon sexe était en feu. Je marchais difficilement mais je me suis mise face à lui.
Il s’était assis dans son fauteuil. Il me regardait. Il regardait sa soumise pleurer. « Alors, vous avez bien compris le message ? »J’ai ravalé mes larmes. « Oui, monsieur ! »« Vous obéirez désormais ? »« Oui, monsieur, j’obéirai ! »« Redressez-vous, cambrez-vous, mains dans le dos, jambes légèrement écartées. C’est la position que vous devez toujours adopter pour vous adresser à moi ou à ceux à qui je vous confierai. »J’ai fait comme il le commandait. Il s’est levé. Il avait deux nouvelles pinces en main et me les a placé sur chacun des tétons. Elles étaient très serrées. J’ai gémi. « C’est bon, n’est ce pas ? »
« Oui, monsieur ! »« Vous allez garder ces pinces toute la soirée et vous ne les retirerez qu’une heure après être rentrée chez vous. » « Oui, monsieur ! »
Il s’est affalé dans son fauteuil après avoir retiré sa veste d’intérieur. Il me fixait et regardait ma poitrine décorée des pinces dorées ornées de fines chaînettes et de perles de métal. « C’est très joli, cela vous va bien ! »« Merci, monsieur ! » Je devais tout faire pour lui plaire et éviter de subir une nouvelle correction.« Racontez-moi ce que LARDOIS vous a fait faire ! »De bout devant lui, les mains croisées derrière mon dos, comme une élève au tableau récite sa leçon, j’ai ravalé mes larmes et je lui ai relaté ma visite chez le vieux LARDOIS et la manière dont je m’étais appliquée à le satisfaire. Il écoutait avec attention et sa main droite caressait son menton recouvert de poils drus.« Vous avez fait de votre mieux mais la prochaine fois, il faudra faire encore mieux, vous « défoncer » encore plus, comme on dit maintenant. » « Oui monsieur ! » Il a ricané.
« C’est bien ce que je pensais ! En réalité, vous êtes une pute, une salope. En fait, vous êtes certainement encore plus une pute qu’une soumise, ou bien les deux et il va falloir que je vous trouve des « clients », des cas hors normes. Cela vous conviendra parfaitement, compte tenu de vos petits fantasmes ! Vous allez donc éponger gratuitement tous les vieux débris que je vais trouver pour vous : hommes ou femmes, peu importe, je crois. C’est bien cela qui vous convient ? Vous êtes d’accord et je sais que vous allez prendre votre pied ?» « Oui, monsieur ! » J’étais effondrée mais je devais reconnaître que ce programme m’excitait. Il fallait que j’en parle à Arnault. Qu’en pensera t-il ? Sera-t-il d’accord pour que le vieux me fasse faire cela ? Le vieux me regardait. Il percevait mon trouble, j’en suis certaine. « A quatre pattes sur la table, retirez le plug, posez le au sol, juste à côté de la table. Je vais voir si vous avez fait des progrès malgré vos oublis coupables ! » Il avait pris deux gants de chirurgien et les enfilait. J’ai retiré le plug et l’a posé debout sur sa base juste à côté de la table puis je me suis mise à quatre pattes sur la table.« Je mets des gants car vous m’avez bien dit que LARDOIS a tout lâché en vous, n’est ce pas ? »« Oui, monsieur ! »La tête sur les avants bras comme exigé par mon maître, j’ai attendu. Il a lubrifié mon anneau et a mis deux puis trois doigts en profondeur puis il a versé du gel sur ses gants. Je le regardais faire en jetant un œil sous mon bras.
Les pinces m’écrasaient les petites lèvres et les bouts de mes seins. La douleur était permanente. Surtout ne rien faire conte sa volonté. Eviter qu’il ne décide de les serrer à nouveau !Il est venu contre moi, a écarté mes fesses de la main gauche puis il a introduit, très lentement, tous les doigts de sa main droite. Celle-ci, fine, longue, élastique a, peu à peu, forcé mon anneau qui s’est ouvert lentement et il a pu, comme il le voulait, enfoncer sa main entière en moi. J’ai gémi. Il l’a laissée en position au moins cinq bonne minutes. Puis il commencé un lent et profond va et vient. Il avait mis son appareil photo sur un trépied et de l’autre main, il a pris plusieurs photos avec la commande à distance.« C’est bon ? Cela vous plaît de vous faire fister? » Je gémissais sans discontinuer. C’était bon ! Il me pénétrait avec sa main entière, me fistait comme on dit, et je découvrais que j’aimais cela ! J’étais, au sens strict de ce vocable, comblée. J’ai hoché la tête.« Bien, voyons voir avec la gauche maintenant ! » Il a retiré sa main droite, lentement et j’ai gémi encore plus fort. Je l’ai sentie glisser hors de moi, comme une sorte de gros serpent visqueux. Il m’a laissée en position. « C’est parfait ! Comme vous êtes bien dilatée, essayons celle là! »
J’ai senti son gros index me pénétrer facilement, à fond. Puis il a mis deux doigts, sans difficulté. Il a ensuite mis trois doigts : index majeur et annulaire, comme il me l’avait annoncé. C’était supportable car mon anneau était ouvert et bien lubrifié. Il a vrillé ses doigts en moi longuement et j’étais prête à jouir. Une autre photo.Il s’est retiré pour enfiler quatre doigts, l’auriculaire s’étant ajouté aux trois autres et cela est presque rentré. J’ai encore gémi. C’était trop bon ! Puis, je l’ai vu mettre son pouce dans la paume de sa grosse main et peu à peu, il l’a poussée en moi. Lentement, sa main gantée et lubrifiée s’est enfoncée et j‘ai crié. Mon anneau était tendu à l’extrême. J’avais peur qu’il se rompe. Surtout ne pas me contracter !
Malgré un dernier effort, sa grosse main n’est pas totalement entrée en moi. Je gémissais et mordais ma main. Il a cependant fait quelques va et vient lents et profonds et j’ai joui, tout en pleurant silencieusement, sous l’emprise de la main énorme qui essayait d’envahir mon cul. Il l’a retirée. « Bien, il y a de gros progrès, comme je le souhaitais, mais il faut poursuivre la dilatation ! Pour l’instant, allez vous laver et revenez vite car vous allez devoir vous occuper de moi convenablement si vous voulez que je décide de desserrer quelque peu vos pinces. »
Il s’était assis dans son fauteuil. Je me suis levée pour me rendre dans la salle de bain et là, assise sur le bidet, j’ai soigneusement lavé ma chatte et mon anneau qui déjà s’était refermé. Il me faisait un peu mal et j’y ai mis de l’eau froide puis un peu de pommade pour me soulager. J’ai aussi pensé à ma lubrifier à nouveau.J’ai retiré mon masque, me suis lavée la bouche et les dents, me suis séchée puis maquillée.
Chaque fois que je vais chez le vieux, j’amène un petit sac à main avec tout ce qu’il faut pour rester propre, parfumée et belle.Je me suis regardée dans le miroir. J’étais très belle ainsi et le masque que je venais de remettre en place mettait mes yeux en valeur. Le vieux m’attendait dans son fauteuil. J’ai marché vers lui, lentement, juchée sur mes hauts talons.
Redressée, cambrée, les mains dans le dos, je suis venue me mettre devant lui, jambes légèrement écartées.
(à suivre)
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