Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire vraie
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 251 J'aime
  • 14 Commentaires

Déflorée par mon frère

Chapitre 3

Inceste
Bien que de niveau correct, le repas fut toutefois assez ordinaire. Bon sans être raffiné, de quantité suffisante sans être copieux. Et même si personne ne nous connaissait, au cours du repas, mon frère et moi ne parlions pas de ce que nous venions de faire seulement quelques minutes plus tôt. Je me souviens encore que lors de l’arrivée des boissons, je craignais un peu de trouver le goût différent, ayant peur que celui-ci se mélange au goût du sperme fraternel. Mais ce ne fut pas le cas.
Après le repas, mon frère alla à la caisse et paya l’addition en liquide. Puis lorsqu’il revint vers moi, nous échangeâmes un nouveau baiser. Nous prîmes nos affaires et retournâmes à notre chambre. Après avoir mis sa langue une nouvelle fois dans ma bouche, mon frère m’amena jusqu’au lit où nous nous asseyâmes.— Tu veux que nous passions à l’autre étape tout de suite ou tu préfères que nous digérions un peu avant ?— Si ça ne te dérange pas, je préfère attendre d’avoir digéré. Ne sachant pas à quoi m’attendre, j’ai peur que tes va-et-vient contre mon ventre fassent remonter le repas.
Mon frère esquissa un sourire et m’embrassa. Cette fois, ce fut notre plus long baiser de toute la soirée. Après quelques secondes avec sa langue dans ma bouche, mon frère me fit m’allonger avec lui, tout en continuant à m’embrasser. Ne cherchant pas à me déshabiller mais n’hésitant pas à passer ses mains sous mon pull, mon frère caressa ainsi mon corps pendant au moins cinq bonnes minutes, tout en continuant à échanger ce long mais savoureux baiser.
Ce fut finalement moi qui entama le déshabillage de mon frère en retirant d’abord en même temps tous ses vêtements au-dessus de la ceinture. Puis mon frère fit la même chose. Mais cette fois, il ne s’arrêta pas pour attendre un accord ou un refus. Après avoir retiré mon haut, il commença à retirer mon bas et je ne l’interrompis pas. Cette fois, c’était moi qui fut nue avant mon frère. Mais cette situation ne dura pas plus de quelques secondes, voire une minute, car mes mains s’occupèrent rapidement des derniers vêtements de mon frère et lui aussi se retrouva nu, le sexe déjà au garde-à-vous. Mais au lieu de chercher à me brusquer en tentant de me convaincre de passer maintenant à l’étape suivante, il se contenta de continuer à m’embrasser, attendant que ce soit moi qui lui donne mon feu vert.
Pendant notre long échange de baisers, nos mains explorèrent le corps de l’autre et de façon assez instinctive, je refermai ma main autour du sexe fraternel et je maintenais son excitation en le masturbant lentement. De son côté, mon frère parcouru ma zone vierge avec ses doigts sans jamais me pénétrer. Mais ses caresses à cet endroit me procurèrent énormément de plaisir et je ne pus me retenir de gémir à plusieurs reprises. Après environ trente ou quarante minutes de caresses et de baisers qui me firent bouillonner plus que jamais auparavant, j’étais enfin prête. Prête à recevoir un sexe masculin en moi pour la première fois de ma vie de femme. Prête à recevoir mon frère au plus profond de mon corps.— Je suis prête, lui annonçai-je durant l’un de nos nombreux baisers.— Tu es sûre ? me demanda-t-il.— Oui !
Mon frère interrompit nos baisers le temps de saisir la boîte de préservatifs. Je le regardais faire et il retira le film protecteur sous mes yeux avant d’ouvrir la boîte en carton. Rapidement, un détail m’interpella.— On avait dit qu’on ne le ferait qu’une fois, rappelais-je à mon frère en remarquant que la boîte contenait plusieurs préservatifs.— Je sais, mais il y en a toujours plusieurs dans les boîtes. Pour être honnête avec toi, je ne sais même pas si on peut en trouver à l’unité.— D’accord, finis-je par lui dire.— Tu veux essayer de me le mettre ? me demanda-t-il.— Je ne sais pas. Si je ne le mets pas correctement ?— Comme tu l’as constaté, il y en a plusieurs, donc tu auras d’autres essais possibles.— OK.
Mon frère me tendit l’emballage que je déchirai assez facilement. Je pris l’objet en latex et je fus un peu surprise par la texture. Je pensais que ce serait sec, mais mon frère m’informa qu’il s’agissait de lubrifiant. Je déposai le bout du préservatif sur l’extrémité du sexe fraternel et je fis glisser ma main sur cette barre de chair pour dérouler le contraceptif. Une fois que ma main eut atteint le pubis de mon frère, il vérifia que je nous avais bien protégés. Puis, au lieu de me pénétrer, il vint à nouveau mettre sa tête entre mes cuisses. Cette fois, je savais à quoi m’attendre et je ne fus pas stressée lorsque je sentis sa langue chercher à me donner du plaisir.

Je ne sais pas si mon frère cherchait simplement à bien lubrifier ma fente avec sa salive ou s’il cherchait à me faire jouir une nouvelle fois, mais suite à l’excitation de nos baisers et caresses, il me fallut moins d’une minute pour exploser une nouvelle fois.
Mon frère se redressa, la barre toujours bien droite. Il s’approcha de mon entrée encore inexplorée et je sentis son membre atteindre les portes de mon palais.— Au début, je comptais te prévenir, m’annonça-t-il. Mais finalement, je pense que si je te dis quand je vais te pénétrer, tu risques d’avoir un sursaut d’appréhension et de te contracter au dernier moment. Donc je préfère t’embrasser et ne pas te dire quand j’irai en toi.— Si tu penses que c’est le mieux à faire, je te fais confiance.— Je ne sais pas, je n’ai jamais fait ça avant toi.
Je n’aurais jamais la réponse de savoir s’il n’avait jamais défloré une fille ou s’il n’avait jamais essayé de procéder de cette manière pour faire perdre sa virginité à une femme afin d’éviter de lui faire trop mal. Tout en gardant son mât à l’entrée de mon couloir humide, mon frère se pencha sur moi et m’embrassa. Suite à ce qu’il venait de me dire, je pensais qu’il allait me pénétrer après une minute ou deux, mais après seulement cinq ou dix secondes, je sentis mes parois s’élargir et une douleur semblable à une grosse piqûre dans ma cavité. Pourtant, en dehors de ça, je n’eus pas aussi mal que ce à quoi je m’attendais. Je venais de perdre ma virginité et c’était mon frère qui eut la faveur d’être le tout premier homme dans ma vie sexuelle.
Après un ou deux aller-retour en moi, Christophe se retira.— Ça y est, tu as déjà fini ? demandai-je à mon frère.— Non, mais je veux laisser ton corps se remettre de la douleur avant de continuer.
Il se releva et se dirigea vers la salle d’eau. Il en ressortit seulement quelques secondes plus tard avec un peu de papier toilette dans la main. Il s’approcha de moi et m’écarta les cuisses en douceur. Puis, je suppose qu’il essuya la trace de sang laissée après son passage dans mon intimité qui fit rompre le sceau de pureté. Et sans me montrer l’ampleur de la tache ensanglantée, il retourna dans la salle d’eau et tira la chasse. Lorsqu’il revint, il s’allongea à mes côtés et caressa mes lèvres intimes avec ses doigts. C’était bon, c’était doux, mais j’ignorais combien de temps il comptait attendre avant de continuer. Même si officiellement je n’étais plus vierge, tant que mon frère n’avait pas éjaculé dans le préservatif, j’avais toujours la sensation d’être vierge tant que l’acte n’était pas terminé.
Après deux ou trois minutes pendant lesquelles mon frère laissa mon corps se reposer pour récupérer de la douleur pourtant moins importante que je ne l’imaginais, il passa à nouveau sa tête entre mes cuisses. Cette fois, je ne fus pas aussi rapide pour atteindre l’orgasme, mais mon frère sembla vouloir rester à cette place tant que je n’atteignais pas le septième ciel. Et lorsque son but fut atteint, il se releva. Et cette fois, sans m’embrasser pour détourner mon attention, il s’introduisit en moi. Il avança sans interruption jusqu’à ce que nos pubis entrent en contact. Il était maintenant entièrement en moi.
Il resta quelques secondes sans bouger puis se pencha pour m’embrasser. Il m’avait dit qu’il aimait embrasser pendant qu’il faisait l’amour, mais je ne m’attendais clairement pas à ce que ce soit autant. Mon frère lécha et embrassa toutes les parties de mon corps qu’il pouvait atteindre sans sortir de mon conduit, c’est-à-dire qu’il descendait jusqu’à mes seins qu’il semblait beaucoup aimer embrasser. Mais sa langue se retrouva la plupart du temps dans ma bouche où pour la première fois, nos baisers servirent également à étouffer les bruits de nos plaisirs mutuels.
Je ne sus pas vraiment combien de temps dura ma première fois. À vrai dire, elle fut tellement mieux que tout ce que je pouvais imaginer qu’elle me parut trop courte. Mais probablement après une dizaine de minutes, mon frère commença à gémir de plus en plus fort en continuant d’étouffer son plaisir avec nos baisers. Son rythme s’accéléra et dans un ultime à-coup, il resta planté au fond de moi tout en semblant plus soulagé.— Merci, me dit-il.— C’est moi qui t’aies demandé d’être mon premier. Ce serait plutôt à moi de te remercier.— Crois-moi, tu mérites amplement mes remerciements. Pour un homme, c’est toujours un honneur d’être le premier. Et tu m’as donné énormément de plaisir.— C’est vrai ?— Jamais je ne te mentirai sur ça.
Il se retira de moi et il approcha de mon visage son sexe ramolli mais toujours protégé. Au bout de la protection en latex, une importante quantité de liquide blanchâtre me prouva que mon frère avait éjaculé et que son sperme avait été contenu dans le préservatif. Maintenant je ne me sentais plus vierge.
Christophe retira lui-même le préservatif et fit un nœud au bout puis le reposa au sol. Il me prit dans ses bras et nous nous embrassâmes. Même si nous nous étions mis d’accord pour qu’il m’offre ma première fois, il me parut naturel de passer cette nuit avec lui. Même si je n’étais plus vierge, je ne cherchai pas à quitter la chambre, ni même ses bras dans lesquels je me sentais si bien. Et progressivement, je finis par m’endormir nue dans les bras d’un homme nu lui aussi pour la première fois.
Le lendemain matin, je me réveillai sans vraiment savoir l’heure qu’il était. Tout ce que je savais, c’est qu’il faisait déjà jour dehors. J’étais nue et j’avais l’un de mes seins enveloppé dans la main d’un homme. Je me remémorai rapidement ma soirée et je pus deviner ainsi que cette main était celle de Christophe. Pourtant, je ne cherchais pas à la retirer de son emplacement. Je refermai les yeux en attendant que mon frère finisse par se réveiller. Cinq minutes, puis dix, puis je finis par me rendormir paisiblement. Et sans savoir depuis combien de temps je m’étais rendormie, je sentis des baisers sur ma clavicule. Moi-même j’ignorais que j’étais sensible à cet endroit, mais je découvris que ces petits baisers me faisaient frissonner de plaisir.
Je me retournai et sans chercher à savoir si mon frère voulait prolonger notre nuit, je mis mes bras autour de son cou et je vins mettre ma langue dans sa bouche. Puis une main quitta son cou et passa sous les draps pour venir s’emparer de son sexe déjà bien dur. Je le masturbais lentement tout en écartant les cuisses. Mon frère compris assez rapidement le message et commença à me procurer du plaisir avec ses doigts. Puis après seulement une minute ou deux, il vint se positionner entre mes cuisses et me pénétra sans attendre afin d’assouvir notre envie matinale.
Je savais que ce n’était pas mon chéri. Et je n’étais plus vierge, donc nous n’avions plus besoin de recommencer, surtout que nous nous l’étions promis mutuellement. Pourtant, à cet instant, c’était bel et bien de Christophe dont j’avais envie et pas d’un autre homme. Lorsque nous ne nous embrassions pas pendant que nous faisions l’amour, je ne cherchais pas à dissimuler mon plaisir et je gémissais à son oreille afin de lui faire savoir tout le bien qu’il me faisait. Je ne cherchais pas non plus à me contenir quand il me procura un orgasme durant cette pénétration. Et après un moment qui me parut à nouveau trop court en raison du plaisir que j’aurais aimé continuer à ressentir, mon frère resta planté au fond de moi.— Merde, on n’a pas utilisé de capote, me fit-il savoir.— T’es sérieux ? Tu veux dire que tu viens de te vider en moi ?— Désolé.
Pour me prouver que nous avions tous les deux omis de nous protéger, il se retira et je pus constater, outre une goutte de sperme qui perlait au bout de son sexe, la trace blanchâtre des sécrétions de mon plaisir qui s’était déposée sur son membre pendant notre moment si intense. J’aurais dû m’en vouloir, mais ce ne fut pas le cas. J’étais simplement stressée à l’idée de tomber enceinte de Christophe. Mais je ne regrettais pas notre réveil. J’en avais sincèrement envie à cet instant.
Nous nous regardâmes pendant plusieurs minutes, un peu paniqués par l’éventualité que ce moment d’inattention se termine par des plus gros problèmes. Puis nous nous rendîmes à l’évidence. C’était trop tôt pour paniquer. Si cela se trouvait, je n’allais pas tomber enceinte.— Tu veux qu’on aille prendre la douche ensemble ou tu veux la prendre séparément ? finit par me demander Christophe.— On peut la prendre tous les deux.
Pour être honnête, je ne voulais pas rester seule à réfléchir et à m’imaginer une infinité de choses suite à l’oubli du préservatif pendant que nous faisions l’amour. Donc être ensemble sous la douche allait me permettre de penser à autre chose.
Nous allâmes sous la douche ensemble. Sur le chemin, Christophe ramassa le préservatif laissé sur le sol la veille au soir et il le jeta dans la poubelle. Arrivés dans la salle d’eau, mon frère fit couler l’eau et je vins me serrer contre lui et l’embrasser. J’étais bien contre lui. Nous restâmes un temps indéterminé dans cette position, tout en ayant l’eau qui coulait sur nous. Puis après un long baiser, mon frère prit l’un des petits savons et commença à me laver en appliquant directement le savon car nous n’avions prévu aucun linge de toilette. Il passa ses mains partout sur moi avec une grande delicatesse. Déposa des baisers dans mon cou, sur mes seins, mon ventre, mon pubis, en profita pour goûter mon fruit pendant quelques secondes puis embrassa ensuite mes jambes, mon dos et mes fesses. Il me rinça et ce fut à mon tour de le laver. Tout du moins, cela se fit naturellement sans qu’il ait eu besoin de me le demander. Je pris le savon de ses mains et je l’appliquai sur tout son corps. Tout comme mon frère, ma bouche fut attirée par son corps et je déposai de nombreux baisers partout où je pus. Arrivée à hauteur de son anatomie, je ne pus résister à l’envie de le sentir une fois de plus dans ma bouche. Christophe ne m’interrompit pas et il me caressa même la tête pendant que je suçais cette barre que je désirais. N’écoutant plus que mon désir, je me relevais et avec ma main, j’orientais le sexe fraternel à l’entrée de mon antre. Il ne mit pas longtemps à comprendre mes intentions et prit le relais. Il orienta son membre vers la cible et me pénétra une fois de plus, oubliant à nouveau de nous protéger.
Christophe allait et venait en moi avec vitalité. Il dû me retenir à plusieurs reprises car le plaisir qu’il me donnait me rendis parfois fébrile, ne tenant donc plus aussi facilement sur mes jambes.— Désolé Estelle, c’est trop bon d’être en toi. Je ne vais pas pouvoir me retirer, m’annonça-t-il lorsque son plaisir s’intensifia.— Pitié non, pas encore. Essaie !— Désolé, me dit-il. Désolé. Dé...
Puis il resta planté au fond de moi. Cette fois, je savais qu’il était en train de remplir mes entrailles. Pourtant, je ne parvenais pas à lui en vouloir. Comme pour le rassurer sur le fait que je ne lui en voulais pas d’être resté en moi pendant qu’il me remplissait, je l’embrassai.
En sortant de la douche, mon frère m’essuya chaque partie de mon corps et je fis de même. Puis nous nous habillâmes et Christophe regarda son téléphone.— Onze heures et demi. Tu veux qu’on mange ensemble ou tu veux que je te dépose chez ton mec et que tu manges avec lui ?
Après cette nuit inoubliable, j’en oubliais que j’étais en couple. Pendant toute la soirée qui a suivi le retour dans la chambre après le restaurant et même après le réveil, je n’ai pas pensé un seul instant à mon copain. Pendant plusieurs heures, il n’y avait personne d’autre que mon frère dans mes pensées. Je ne m’étais pas simplement laissée déflorer, je lui avais fait l’amour.— On peut manger ensemble. Nous ne sommes pas pressés.
Après nous être rhabillés, je regardai machinalement mon téléphone. Un message de Clément m’était parvenu pendant que j’étais sous la douche. Pendant que je faisais l’amour avec mon frère.[SMS,Clément]< C’est le grand jour. Tu arrives à quelle heure ?
— Par contre, je n’ai plus assez de liquide sur moi pour payer le restaurant aujourd’hui, me dit mon frère. Ça te dérange si on va acheter des sandwichs au magasin pour ce midi ?— Non, c’est bon. Aucun problème pour moi.
Avant de quitter la chambre, Christophe me plaqua contre la porte avec tendresse. Il approcha sa bouche de la mienne et nous échangeâmes un baiser passionné. Nous fûmes interrompus par la femme de ménage qui toqua à la porte avant d’entrer pour faire le ménage. Après s’être excusée, elle commença à refermer la porte. Mais nous sortîmes et lui laissâmes le champ libre.
Dans la voiture, je regardai le message de mon chéri. Je n’avais pas envie de répondre. Je n’avais même plus vraiment envie de le voir. Mes sentiments pour lui s’étaient estompés en une soirée passée dans les bras de mon grand frère. Je commençais à comprendre ce que Christophe avait tenté de me dire lorsque j’étais venue chez lui pour lui demander d’être mon premier. "Tu n’as aucune idée de ce que tu es en train de me demander" m’avait-il dit. Effectivement, je n’en avais aucune idée. Car quand je lui avais fait cette demande, je ne pensais pas que cela ferait naître en moi des sentiments nouveaux pour lui. J’étais maintenant tiraillée entre le désir pour mon frère et ma relation que je devais maintenant honorer comme je l’avais promis. Je pris mon téléphone et je répondis à Clément.
[SMS,Clément]> Je pense arriver vers quatorze heures.< J’ai hâte...
Et pour agrémenter le tout, il m’envoya une photo de son impatience. J’avais toujours refusé de recevoir ce genre de photo et il avait toujours respecté mon choix. Mais là, comme si la promesse de me donner à lui changeait totalement ma vision des choses sur ce type de message, il ne chercha pas à savoir si j’acceptais qu’il m’envoie cette photo.
Mon frère s’arrêta sur le parking d’un supermarché et m’invita à descendre. Il posa sa main sur mes fesses et je mis ma langue dans sa bouche. Tel un vrai couple, nous allâmes acheter un sandwich chacun ainsi que des boissons que mon frère paya avec le restant de sa monnaie.— On est d’accord, me dit mon frère.— À propos de quoi ?— Nous ne devrons parler de ça à personne et ne plus jamais recommencer.— Oui, dis-je avec une profonde tristesse.
Même si c’est mon frère et que nous n’étions pas en couple, j’avais l’impression que nous étions en train de rompre. Je tentais de ne rien montrer, mais je n’avais jamais connu de peine aussi lourde lors des autres ruptures que j’avais connues auparavant. Car je n’avais jamais fait l’amour avec un homme avant lui. 
Après avoir rapidement englouti notre sandwich, nous remontâmes en voiture.— Tu peux t’arrêter sur le parking ? demandai-je à mon frère après quelques kilomètres.— Qu’est-ce qui ne va pas ? Tu ne te sens pas bien ? s’inquiéta-t-il.
Je ne voulais pas que les choses se terminent ainsi avec mon frère. Je le désirais encore et vu qu’il s’était laissé aller avec moi plus de fois que ce que nous avions prévu, je savais que tant qu’il ne m’avait pas déposée chez Clément, les choses n’étaient pas totalement terminées entre nous. Je déboutonnai son pantalon et mon frère ne fit aucun geste pour me stopper. Il se contenta de répéter qu’il ne fallait pas continuer, mais il me facilitait quand même la tâche en se relevant légèrement pour que je puisse baisser un peu son pantalon. Rapidement, je libérai la bosse qui se trouvait coincée sous le tissu de son boxer et son sexe se mit à jaillir sous mes yeux. Je l’enveloppai avec ma main dans un premier temps, avant de rapidement le faire coulisser dans ma bouche.
Mon frère ne chercha pas à m’interrompre et se laissa complètement aller. Il n’était pas question que nous repartions de ce parking sans avoir obtenu ce que je voulais. Je le savourais et je voulais avoir son goût une dernière fois. Mon frère m’encouragea à continuer sans m’arrêter. Et après plusieurs minutes, il se crispa et se laissa aller dans ma bouche. J’avalais sa semence et après m’avoir embrassée, Christophe répartit sans remettre son attirail à l’abri, comme pour me laisser la possibilité d’en profiter jusqu’à la dernière minute. Je pris son sexe dans ma main, même si celui-ci avait perdu toute sa vigeur. Et à environ deux-cents mètres de chez Clément, il s’arrêta pour remettre son boxer et son pantalon, mais il me laissa toutefois la possibilité de garder ma main au même endroit jusqu’à ce que nous soyons arrivés.
Une fois que mon frère s’arrêta devant chez Clément, je retirai malgré moi ma main de son emplacement. Puis en sortant de la voiture, je sentis la main de mon frère caresser délicatement ma cuisse. Je me retournai une dernière fois en refermant la portière et j’allai sonner chez Clément. Il m’ouvrit et m’embrassa sans se douter que je venais tout juste d’avaler le sperme d’un autre homme quelques minutes auparavant.
Diffuse en direct !
Regarder son live