Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 132 J'aime
  • 13 Commentaires

Déguisement trop efficace

Chapitre 1

Travesti / Trans
C’est le jour du carnaval dans mon établissement, j’ai décidé de jouer le jeu à fond. De base, je m’habille de manière plutôt féminine, et carrément en femme quand je suis avec mes amis proches, en soirée ou autre. Mais là, c’est différent, je me suis dit que personne ne trouverait ça si bizarre que je m’habille en femme pour une journée déguisée.
J’en profite donc pour être sexy, je veux que les gens au bahut réagissent à mon costume, je choisis donc une tenue que je n’ai jamais osé sortir, de secrétaire sexy, un chemisier à manches longues avec un soutif rembourré en dessous, des bas transparents accrochés à un porte-jarretelles, une jupe noire très courte et serrée, fendue, avec une ceinture marron dessus pour me faire une taille de guêpe, et une paire de talons en daim avec une fermeture éclaire. Je me suis maquillée et en touche finale, j’ai un petit choker noir autour du cou. J’ai un sac a mains pour prendre mes affaires de cours, le masque cache mon visage, et avec mes longs cheveux noirs lâchés, les gens dans la rue ne voient qu’une femme sexy, élancée, avec des jambes interminables, la jupe me fait un petit cul rebondi, et la fente dévoile mon porte-jarretelles.
Je fais des pas plutôt serrés et je cache mon entrejambe avec mon sac à mains, et mine de rien, cette tenue est plutôt courte, je ne peux pas me pencher en avant sans que l’on voie ma culotte, je me sens hyper-sexy, confiante, mais néanmoins stressée d’attaquer cette journée.
Quand j’arrive ça ne loupe pas, malgré les déguisements des autres les plus fous les uns que les autres, je fais mon effet. Quelques filles me regardent bouche bée, et des mecs me matent carrément les fesses, notamment un mec de ma classe que je connais vite fait. J’en joue, je fais mine de faire tomber un truc de mon sac pour me baisser et ramasser un objet, en gardant mes jambes bien tendues, histoire de montrer un peu mes fesses aux plus curieux. La journée continue, je vais aux cours un par un, je suis très amusée par les déguisements que je vois, et je continue de chauffer des mecs pour le délire. Puis vient le moment de la journée que j’avais complètement oublié, j’ai un cours de sport, et je n’ai aucun change. Je me présente devant le prof, toute honteuse, je lui dis que j’ai oublié ma tenue, il me regarde et me dit :
— C’est très grave tu sais, c’est loin d’être la première fois, quand il s’agit de dandiner ton petit cul là tu trouves de la motivation, mais pour le sport, plus rien, tu vas t’assoir à côté de moi pendant le cours et on en reparle après.
Je ne lui réponds pas malgré sa remarque déplacée et je m’assois à côté de lui, je garde une posture très féminine, cambrée, les jambes croisées, alors que je m’apprête à enlever mes chaussures, car nous sommes dans un gymnase, il m’arrête.
— Ah non bah garde ça, ça serait dommage maintenant, et puis puisque tu veux jouer la secrétaire, va me chercher un café tiens, avec deux sucres.
Il me tend une pièce, je le regarde interloquée, mais je m’exécute, je lui ramène son café et il me remercie d’une claque sur les fesses, je sursaute et avant que je dise quoi que ce soit, le prof me fait signe de m’assoir en claquant des doigts. Je dois avouer que cette histoire commence à m’exciter un peu. Je vois le mec de ma classe venir, je m’assois pour ne pas l’interrompre, c’est un grand blanc plutôt beau gosse, il est en marcel et ça laisse apparaître ses muscles.
— Je peux aller récupérer ma bouteille d’eau dans les vestiaires Monsieur ?— Bah nan écoute, c’est notre petite secrétaire qui va s’en charger.
Je rougis de honte, le mec en profite.
— Et roule un peu du cul pendant que t’y es !
On ne s’aime pas spécialement, mais de là à lâcher ça devant le prof, je n’y crois pas. Cependant je le fais quand même, je me prends à leur petit jeu. Je reviens avec sa bouteille d’eau.
— Tiens... dis-je honteusement.
Le prof nous interrompt.
— Tiens, tu vas venir après la classe toi aussi, tu vas m’aider à lui apprendre l’importance de mon cours à cette jeune fille. J’étais plutôt flattée qu’il m’appelle jeune fille, surtout pour un homme de son âge, il avait une barbe grisonnante, était massif, une vraie armoire à glace.
A la fin du cours, tous les élèves partent, sauf moi et le mec qui est dans les vestiaires en train parler à ses potes. Le prof m’engueule, en gros, il m’explique que si le peu de fois où je viens, je suis habillée comme une pute, ça lui transmet un message particulier. Je lui demande :
— Comment ça ?— J’ai l’impression que c’est pas anodin, tu viens habillée court comme ça, tu sais que j’vais te faire asseoir à côté de moi toute la séance, et tu sais très bien qu’après, je vais devoir te convoquer personnellement. Mais peut-être que t’as fait ça pour me chauffer ?— Qu’est-ce que vous voulez dire par-
Il me prend par la hanche et me rapproche de lui.
— Tu sais très bien ce que je veux dire, je te vois dandiner ton petit cul devant moi pour m’exciter, suce-moi et je te mettrais une bonne note, il y a pas de mal entre adultes. Tu crois que j’ai pas remarqué ta petite bite en érection sous ta jupe ?
Je suis abasourdie, mais en même temps, il a raison, je suis excitée et je l’ai un peu chauffé. Il me regarde et me dit :
— Allez, je sais que t’aimes te faire dominer par des vrais mecs, ça se voit dans ton regard.
Il enlève son pantalon et s’assoit. Il claque des doigts et pointe vers le sol, je me mets à quatre pattes et j’avance vers lui. Sa queue est à moitié dure, on croise nos regards et il me dit :
— Suce maintenant salope.
Ca me donne un frisson, mais ça commence à vraiment me plaire, je sors ma langue et je mets ma tête entre ses jambes, je lèche de bas en haut son sexe, et je l’embrasse sur le gland, puis je redescends et me concentre sur ses couilles, je les lèche presque amoureusement, tout en tenant sa queue que je sens durcir, je remonte mes lèvres sur son gland et j’enfourne sa bite lentement jusque dans ma gorge, je sens toute sa chair me remplir la bouche, ça me rend folle, puis je le suce lentement en faisant toute la longueur à chaque fois, j’adorais sentir sa bite faire l’aller-retour dans ma bouche. Il est bien dur maintenant, je me félicite de l’effet que je lui procure.
Alors que je viens d’enchaîner plusieurs gorges profondes, au moment où je suis sur le point de me retirer, il m’appuie sur la tête et mon nez touche ses poils pubiens, il me fait avaler un peu de liquide préséminal, je n’arrive pas à me retenir de gémir de plaisir quand ça arrive. Ca le fait marrer.
— Alors comme ça on aime sucer petite tafiole, ça te plaît de te mettre à quatre pattes pour sucer ma bite ?
Il me parle mal, mais ça m’encourage à continuer, j’ai toujours voulu être soumise à un homme comme ça, je voulais lui faire la meilleure fellation possible, j’étais prête à le sucer des heures s’il le voulait. Je continue de le sucer goulûment, en mettant sa bite au fond de ma gorge et en sortant ma langue pour essayer de lui lécher les couilles en même temps, tout en restant bien cambrée pour qu’il profite de la vue.
— Oh putain, c’est mieux que ma femme, sans oublier que t’es bien plus bonne.
Il me caresse les cheveux, ça me fait de l’effet, j’adore quand il me caresse comme sa petite chienne. J’ouvre les yeux et je le suce en maintenant le regard, je le branle en même temps et j’aspire bien son gland.
— Ca vous plaît Monsieur ? Ca vous plaît quand je vous suce ?— Oh ouais putain t’arrête surtout pas, j’ai tout mon temps.
Je continue ma tâche avec beaucoup d’attention, je malaxe ses boules, je les embrasse en le branlant bien de haut en bas, et je remue mon petit cul pour lui, je me dévoue complètement à son plaisir, comme si j’étais vraiment sa secrétaire en train de passer sous son bureau. Je continue une dizaine de minutes, je me sentais à ma place à genoux, c’est ce que j’avais fantasmé toute la journée.
— T’es vraiment une petite putain hein ? Mais je crois que t’as oublié un truc.
Je le suce toujours en le branlant, mais je le regarde avec un peu d’incompréhension ? Puis j’entends la porte du vestiaire s’ouvrir, c’est mon camarade de classe, je sors la bite de ma bouche de surprise, j’avais complètement oublié qu’il lui avait dit de rester.
— Vous vouliez me voir monsi- ah ouais carrément tu le suces quoi, tu joues la secrétaire salope jusqu’au bout.
Le prof lui dit alors :
— Allez viens, on va profiter d’elle dans le vestiaire, on sera plus à l’aise.
Je savais que c’était son élève favori, mais de là à me partager avec lui comme un vulgaire bout de viande, je ne m’y attendais pas. Je me relève, il me claque le cul et on rentre vers le vestiaire. Mon camarade remarque mon érection dans ma petite jupe serrée, il faut dire que sucer mon prof m’a beaucoup excitée.
— Ah bah je vois que t’aimes ça en plus, je vais pas perdre de temps.
Il sort sa queue, encore plus grosse que celle du prof, et me met à genoux. A peine le temps de tirer la langue qu’il me la met en bouche en gémissant de plaisir, je gémis à mon tour, étouffée par sa queue, je me sentais utilisée et j’aimais ça. De l’autre main, je branle le prof, et j’alterne entre les deux hommes.
— Je regrette pas d’être resté.— T’as vu elle sait y faire la salope.
Je suis beaucoup trop excitée par la situation, je suis à genoux dans le vestiaire des hommes, habillée en secrétaire, minijupe et talon, en train de sucer et de branler deux mecs, dans le seul objectif de leurs donner du plaisir, et j’aimais ça autant qu’eux voir plus, je m’occupais de leurs queues de manière très attentionnée, je voulais qu’il voit que j’étais une vraie salope, une chienne bonne à sucer et que je voulais leur donner du plaisir, je les suçais un par un, parfois j’ouvrais la bouche, je claquais leurs queues sur ma langue, ou carrément sur mon visage.
— Oh putain tu m’excites trop, petite chienne va.
Mon camarade prend ma tête à deux mains et me baise la bouche sans me prévenir pendant presque deux minutes, je gémis de plaisir à chaque fois qu’il tape le fond de ma gorge, il voit que j’adore ça, puis quand il s’arrête et me dit :
— Demande-moi de continuer.
Tout essoufflée, je lui réponds en le regardant :— Baisez-moi la bouche s’il vous plaît.— Encore.— S’il vous plaît j’ai envie de sentir vos queues au fond de ma gorge.— Ah ouais ? T’es tant une pute que ça ?— Oui, je suis votre petite pute...
L’un d’eux me prit la tête pour me baiser la bouche, si fort que j’ai failli jouir uniquement de ça, puis quand il a arrêté pour me laisser respirer, c’est l’autre qui s’y est mis, encore plus fort, encore plus profondément pendant de longues minutes, je bavais beaucoup, mais j’adorais ça, je faisais en sorte de bien encaisser pour qu’il continue le plus longtemps possible. Et c’est ce qu’ils ont fait. Pendant presque 10 minutes sans interruption, ils me baisaient la bouche à tour de rôle, me traitant comme leurs vides couilles, en m’insultant et en m’humiliant, le jeune a même pris une photo de moi qui le regardait avec sa queue tout au fond de ma gorge.
— T’aimes ça hein p’tite pétasse, t’aimes ça quand j’te baise la bouche.
J’étais aux anges, deux mecs se servaient de ma gorge pour leur plaisir personnel en me traitant de tous les noms et moi je me laissais faire. Je n’en pouvais plus, tout ce que je voulais, c’était sentir leur semence bien chaude sur ma langue.
— S’il vous plaît, donnez-moi votre foutre.
Je ne contrôlais plus rien de ce que je disais, je n’étais plus que l’esclave de mes désirs.
— Tu veux qu’on te jouisse dessus ? Tu veux qu’on se vide les couilles dans ta bouche ?— Oui, s’il vous plaît videz vos couilles en moi. Servez-vous encore de moi.— OK ouvre bien la bouche.
Je me suis bien cambrée, j’ai tiré la langue, d’une main je me tenais au sol, et de l’autre je me frottais à mon sexe, j’étais beaucoup trop excitée pour ne pas me toucher, j’avais en face de moi deux hommes qui se branlait en me regardant. Au bout de quelques minutes, le jeune prend mon visage et me baise de nouveau, dans un râle, il décharge son foutre chaud au fond de ma gorge et continue de me baiser sans prendre la peine de savoir si je m’étouffais ou pas. Sans même me regarder, il me dit :
— Oh putain, vas-y avale tout...
Il me plaque contre son ventre et reste le temps que j’avale bien toute sa semence, ce que je fis bruyamment. Une fois terminé, le prof me prend par les cheveux pendant qu’il se branle :
— Ouvre bien grand salope.
Je tire la langue et je le regarde avec beaucoup de désir, tout ce que je voulais, c’était avaler ce qu’il allait me donner, au bout de quelques secondes, il m’a joui dans la bouche et un peu sur le visage, c’est ça qui m’a fait jouir a mon tour dans ma culotte, en tachant par conséquent ma jupe. Mon prof me tenait les cheveux, je le regardais avec la langue encore sortie et le sperme au fond de ma gorge.
— Avale tout ça salope.
J’ai tout avalé avec gourmandise.
— Nettoie bien nos queues maintenant.
Je me suis exécutée, j’ai passée quelques minutes à les nettoyer avec ma langue pendant qu’ils parlaient. Puis le prof me demande :
— Alors ça t’a plu ?— Mmhmmh. Dis-je avec une queue dans la bouche.
Tu veux qu’on remette ça ?
— Mmmh, j’acquiesce comme je peux en le regardant avec son sexe entre mes lèvres.
Une fois leurs queues bien propre je me relève. Ils se sont rhabillés, et le prof m’a dit “la semaine prochaine, viens directement à la fin du cours, dans une tenue sexy, si tu me suces aussi bien qu’aujourd’hui, peut-être que je te prendrais le cul. Pendant que mon camarade me prenait en photo, du sperme sur le coin de la bouche, dans ma jupe, et les cheveux en bataille.
— J’envoie ça à mes potes, histoire qu’ils voient la salope que j’ai trouvée, si tu veux pas que je diffuse des photos de toi qui suce des queues dans le vestiaire, t’as qu’à venir chez moi demain, on va regarder le match, tu viendras nous servir des bières et nous tailler des pipes. Je suis sûr que ça te plaira.
J’ai hâte, je réfléchis déjà à ce qu’ils vont me mettre.
Diffuse en direct !
Regarder son live