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Déjeuner avec Céline

Chapitre 2

Hétéro
Il est onze heures. Fraîchement sortie du bain, j’étais tout à ma préparation pour l’arrivée d’Éric prévue à midi. J’enfilai les lingeries achetées la veille : porte-jarretelles rose et déshabillé qui portait bien son nom, puisque totalement transparent. Je me regardais dans le miroir, pivotant pour me voir de profil. J’étais satisfaite de ce que je voyais. J’imaginais que mon étalon allait aimer aussi.
Le plan de la journée était bien défini. Eric allait me baiser au moins deux fois avant l’arrivée de Céline vers 14 heures. Elle ne se doutait pas que j’allais lui présenter Éric qui, j’en étais certaine, n’allait pas refuser de nous prendre toutes les deux.
J’entendis frapper à la porte arrière. Ce ne pouvait être qu’Éric. J’enfilai rapidement un peignoir et allai l’accueillir. Il était en avance, mais j’étais prête à le recevoir. Mon excitation monta d’un cran en l’apercevant au travers de la fenêtre de la porte. Je le fis rapidement entrer et l’embrassai tendrement sur la joue, lui exprimant ma joie de le voir.
— J’ai une surprise pour toi !
J’ai alors ouvert mon peignoir pour qu’il me voit dans ces lingeries. Ses yeux s’illuminèrent, sa bouche ouverte témoignait de l’effet désiré.
— Whouaah Mary, comme c’est beau de te voir ainsi !
Je me félicitai d’avoir acheté ce déshabillé ultra-transparent qui laissait voir mes seins et ma toison. À n’en pas douter, cela l’excitait et se voyait à la bosse de son pantalon. Il tendit la main pendant que je me débarrassais du peignoir en me retournant pour offrir une vue sur mon cul, que sa main caressa doucement. Je voulais le rendre fou de désir, mais aussi faire durer ce moment érotique à souhait, l’exciter davantage. D’humeur joueuse, je me suis cambrée pour faire ressortir mes fesses et me suis retournée, mettant un doigt dans la bouche et caressant mes seins de l’autre main.
— Tu aimes ma surprise n’est-ce pas ?! Et là, tu veux me baiser directement ou tu veux que je m’occupe de ta bite qui me semble déjà bien dure ?— J’ai envie de tout ça et j’aimerais bien te bouffer la chatte, elle doit être bien trempée.— Oh oui, viens me la bouffer, là, ici tout-de-suite, répondis-je en prenant place sur le sofa.
J’ai placé mes deux pieds sur le sofa pour ouvrir mes cuisses et offrir mon intimité à ce jeune mâle. Bien assise sur le sofa, ma chatte suintait. Il s’est agenouillé devant le trésor que je lui offrais, sa bouche allant à la rencontre de mon sexe. Il se mit à embrasser mes grosses lèvres, sa langue s’insinuant vers l’intérieur.
Je gémissais, mes yeux se révulsaient. Il travaillait ma chatte de manière efficace et m’amenait petit à petit au bord de l’orgasme. Sa langue lapait bruyamment, augmentant mon plaisir. Je saisis l’arrière de sa tête et me frottai sur sa bouche en bougeant mon bassin. Je me léchais déjà les lèvres à imaginer sa bite qui allait plus tard exploser dans ma bouche. J’y étais, la jouissance me provoqua des spasmes incontrôlables. Comme la dernière fois, mon amant combla mon intimité me faisant connaître ce moment de pur bonheur. Je criai toute ma joie, bruyamment, le repoussant de mes mains tellement la sensation était insoutenable.
Il me regardait, obnubilé par cet instant, souriant avec fierté de cette jouissance qu’il venait de m’offrir.
— Donne-moi vite ta queue !
Il se leva alors, dégrafa son pantalon et en sortit son mandrin qu’il offrit à mes yeux. Je le pris dans ma main, le décalottant en de lents mouvements. Des traces de pré-sperme suintaient et ma bouche s’approcha du liquide pour le goûter de la langue. Je suçai d’abord son gland puis léchai de haut en bas sa hampe, prenant enfin ses couilles dans ma bouche. Il était chaud. Mes ongles ratissaient doucement sa peau glissante. Le pauvre garçon appréciait en regardant bien ce que je lui prodiguais de ma bouche avide. Je retirai ses pantalon et slip, les laissant tomber sur le sol carrelé. Il était surexcité et je le pompai comme une dingue. Il a crié :
— Oh ! Que c’est bon dans ta bouche ! Je veux jouir !!!
Je me suis mise à genoux, le poussant à s’asseoir sur le sofa, sa bite dure fièrement dressée. Je le suçai comme une déchaînée, lui me forçait à cogner le fond de ma gorge. Je me régalai, le suppliant des yeux de déverser son jus dans ma bouche sans se retenir. Il gicla abondamment après quelques minutes, plusieurs jets que je voulus garder en bouche pour m’en régaler.Je le regardai, il était en extase et soufflait pendant que je continuais à lui prodiguer mes caresses buccales, voulant tout lécher, voulant l’amener possiblement à un plaisir supplémentaire et inédit.
— Qu’est-ce que j’aime ton jus mon bel étalon, comme j’aime ta queue ! J’ai pour toi une autre surprise tout à l’heure, vers quatorze heures !
Il m’interrompit aussitôt pour me dire qu’il devait faire des courses importantes. Éric s’occupant temporairement des 65 vaches laitières de Monsieur Ruby convalescent, il m’expliqua que son camion était rempli de bidons de lait qu’il devait impérativement livrer à des clients. Il m’assura qu’il allait repasser dès que possible après ses livraisons, sans doute vers seize ou dix-sept heures.
Mon plan venait de dérailler, mais ce n’était que partie remise à plus tard.
Avant de partir, il me demanda quelle était donc l’autre surprise que j’avais mentionnée plus tôt.
— Je veux te présenter à une amie. Elle est jolie, a un corps splendide, de magnifiques gros seins, et est en manque de sexe. Elle vient me visiter pour te rencontrer.— Whouhaa, je pars tout de suite, pour revenir le plus rapidement possible.
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