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Déléguée de football

Chapitre 1

Avec plusieurs hommes
Depuis cinq ans, je suis déléguée d’une équipe de football, j’ai décidé de remplacer mon mari après son décès. Après avoir été la dirigeante puis entraîneur d’une équipe de jeunes, me voilà maintenant rattachée à l’équipe première.
Cette saison, l’équipe se bat pour le titre de champion de sa division et aujourd’hui, c’est l’avant-dernière journée ; en cas de victoire, ce sera la consécration et nous pourrons savourer notre titre lors de la dernière journée à domicile. Mon rôle n’est pas bien compliqué, je remplis la feuille de match et m’occupe de l’intendance. Les joueurs de l’équipe ont entre vingt-huit et trente-cinq ans et malgré la différence d’âge, ils me tutoient, me font la bise et m’appellent tous par mon prénom.
Ce jour-là, les vingt-huit joueurs du groupe ont fait le voyage. L’équipe est rapidement menée un à zéro. Les joueurs tentent de rétablir la situation, mais juste avant la mi-temps, l’équipe encaisse un deuxième but. Fou de rage, l’entraîneur donne un violent coup de pied dans le banc et se met à hurler de douleur. Le match est interrompu, les soigneurs examinent la cheville du coach et diagnostiquent une foulure ou pire une fracture de la cheville et ils décident de l’envoyer à l’hôpital. Les consignes que laissent le coach avant d’être évacué sont claires :
— À toi de gérer, Laure, je te fais confiance pour remporter ce foutu match.
Les pompiers l’emmènent à l’hôpital et me voilà seule avec l’équipe. La rencontre reprend et l’arbitre siffle la mi-temps, nous rentrons au vestiaire. La plupart des joueurs ont ôté leur maillot et je me retrouve enfermée dans un vestiaire avec quatorze jeunes hommes torse nu.Notre capitaine, Jean, prend la parole :
— Ça ne va pas, on n’arrive pas à faire la différence.
Malgré le trouble qui m’anime, je lui réponds :
— Je suis d’accord avec toi, c’est le système de jeu qui ne convient pas, il faut reprendre le milieu de terrain.— Et tu proposes quoi, madame la dirigeante ?— Ben ce n’est pas à moi à décider, je ne suis pas entraîneur.— J’ai entendu le coach te dire que c’était à toi de gagner ce match, alors on fait quoi ?
Je réfléchis un moment, puis déclare :
— Bon, on va passer à cinq milieux, les deux latéraux sortent - désolée, Jérémy et Mathieu. Patrick, tu entres troisième défenseur central, je compte sur vous trois pour tenir la défense. José, tu passes milieu central avec les deux milieux qui viennent un peu à l’intérieur, André et Maxime en pointe et pour finir Chris et Pat en soutien pour les deux attaquants sans oublier de défendre. Au coup d’envoi, je veux voir un trois, cinq, deux en place. C’est comme ça qu’on a été champion avec les cadets. Allez, jouez et gagnez !

Le match reprend et je constate que l’équipe adverse est désorientée par la nouvelle configuration de mon équipe, ils perdent un ballon au milieu de terrain et sur le contre, nous revenons à deux à un. L’entraîneur adverse tente de trouver la parade en effectuant un changement et sur l’engagement, mon équipe récupère, encore une fois, un ballon et nous marquons un deuxième but, suivi dix minutes après d’un troisième pour finir le match sur une large victoire sur le score de deux à cinq, grâce à deux buts de notre attaquant Chris, un bel athlète noir d’un mètre quatre-vingt-dix-huit.Aussitôt le coup de sifflet donné, les joueurs courent vers moi, me félicitent et m’embrassent sur les joues. Puis, nous rentrons au vestiaire, je les félicite et je quitte le vestiaire afin de signer la feuille de match. Ensuite je retourne au vestiaire, certains joueurs ont déjà pris leur douche et sont en boxer ou ont leur serviette autour de la taille, je fais mine de rien.
— Allez les gars, on a de la route à faire et la soirée n’est pas finie, ils nous attendent au stade.
Je vais pour refermer la porte. Lorsque Jean se lève et crie :
— Un ban pour notre entraîneur, les gars !
Les joueurs me font entrer dans le vestiaire et m’entourent et entonnent leur chant de victoire quand, quelqu’un crie :
— L’entraîneur sous la douche, l’entraîneur sous la douche !! Je n’ai pas le temps de réagir, que des bras m’agrippent et m’entraînent vers la salle de douche.
— Non, arrêtez, vous allez tremper mon survêtement !
Une voix me répond :
— Elle a raison, à poil l’entraîneur !
Les joueurs crient ensemble :
— Ouais, l’entraîneur à poil sous la douche !
Ils me retirent la veste, puis mon pantalon de survêtement et je me retrouve en petite tenue. Chris me prend par les aisselles et on me prend par les mollets et je me retrouve allongée ; on m’entraîne vers la salle de douche et dans la cohue la serviette que Chris porte autour de la taille tombe sur le sol et j’ai sous les yeux un énorme sexe. Sidérée et comme hypnotisée, j’arrête de me débattre et les garçons m’entraînent sous la douche ; à chaque pas la bite de Chris, qui pendouille, se balance sous mes yeux et frôle mon visage et le gland touche mes lèvres. Patrick est hilare et me lance :
— Alors déléguée, tu kiffes de voir ma queue ? Elle te donne envie ma bite, n’est-ce pas ?
Les garçons passent à côté de la table de massage, Patrick s’exclame :
— Posons-la sur la table, elle est à la bonne hauteur.
Il se place à mes côtés et pose son gland sur mes lèvres. Je vais pour protester, j’ouvre la bouche et il en profite pour me faire gober son sexe. Je commence à le sucer si bien que son sexe devient rapidement un vrai gourdin dans ma bouche. Il me baise la bouche lentement comme pour bien profiter de cette pipe. Occupée par cette pipe, j’en oublie presque les douze garçons qui nous entourent et qui nous regardent en se masturbant.
Soudain la grosse bite que je suce crache tout son jus dans ma bouche, j’en avale le plus possible avant de devoir la recracher et de recevoir les dernières giclées sur la poitrine. Un autre joueur se rapproche et dit que c’est son tour, je tourne ma tête à droite afin de le sucer, son sexe est plus fin, mais beaucoup plus long, il touche ma glotte à chaque coup de reins tellement elle est longue. À ma gauche un autre garçon se présente et j’alterne avec lui tout en branlant deux autres queues avec les mains. On m’écarte les jambes et une bouche se colle contre ma chatte : c’est Patrick qui après avoir éjaculé s’est agenouillé entre mes jambes. Je n’en reviens pas, j’enchaîne les queues dans ma bouche en me faisant bouffer la chatte comme une grosse salope que je n’ai jamais été, mon mari ayant été le seul homme avec qui j’ai eu des rapports sexuels.
Je ne sais pas si je les ai tous eus en bouche, mais j’en veux encore. Patrick se relève, sa bite est de nouveau bien raide et il me pénètre d’un seul coup, il me pilonne sauvagement, un des joueurs donne un coup de coude à son voisin :
— Ben dis donc, si on m’avait dit un jour que la déléguée serait une belle salope, je ne l’aurais jamais cru ; tu vois comment qu’elle se fait défoncer la moule ?! Et ses nichons, tu as vu comment ils ballotent dans tous les sens, je n’en reviens pas !— Sûr qu’elle est bonne ! répond son voisin, elle a dû en prendre des bites dans le con.— Pour sûr !
Les deux garçons jutent une nouvelle fois dans ma bouche tandis que Patrick donne ses derniers coups de reins, avant de se retirer à bout de souffle. À ce moment-là Jérémy entre dans le vestiaire, complètement paniqué.
— Coach, coach, le président vous demande au téléphone, qu’est-ce que je dis ?— Dis–lui que vous m’avez mise sous la douche et que je me change.
Je m’essuie le corps et le visage plein de sperme, j’enfile mon pantalon et ma veste de survêtement et après un bref regard dans un miroir afin de m’assurer d’être présentable, je sors du vestiaire et je me rends au club-house répondre au téléphone tandis que les garçons après s’être habillés m’attendent dans l’autocar. Après avoir raccroché, je les rejoins et j’annonce au groupe que l’entraîneur a déjà été rapatrié chez lui le pied dans le plâtre et que nous sommes attendus au stade pour une collation.Après le discours du président, nous buvons quelques coupes de champagne, puis le président me prend à part et me propose le poste d’entraîneur pour la saison suivante. Je lui demande un délai de réflexion et il me donne jusqu’à lundi pour me décider. La soirée se termine et juste avant de monter dans ma voiture Patrick m’interpelle :
— Coach, j’ai entendu la proposition du président, vous devriez accepter. Ce qui s’est passé dans le vestiaire reste dans le vestiaire, personne n’en saura rien.— Tu sais Jean que j’ai demandé un délai pour me décider et comme tu as pris l’initiative de m’en parler, venir en tant que capitaine, je te charge de réunir tout le groupe mardi chez moi pour que nous décidions de l’avenir.— Si je comprends bien vous allez accepter ?— Oui, j’en ai bien envie, mais à mes conditions. Bonne soirée Jean, à mardi, je t’envoie l’adresse de mon domicile.
Je monte dans ma voiture et je démarre. Je suis fourbue non pas à cause de la tension du match, mais surtout par la partie de baise.
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