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Délices liégeois...

Chapitre 1

Divers
Il est presque 15 heures, en ce beau jeudi de printemps ! Je m’attarde sur la terrasse ensoleillée du restaurant, perdu dans mes pensées, n’écoutant plus du tout les discussions animées des autres convives. Nous en sommes aux desserts depuis déjà un moment... Le reste des boules de glace de mon café liégeois finissent d’ailleurs de fondre dans leur coupe de cristal... mais peu importe, je ne suis déjà plus là depuis longtemps ! Tout mon être, tout mon esprit ont pris la route vers Liège et ses rues pavées de la vieille ville.
Non, je n’y étais encore jamais allé avant aujourd’hui, à Liège ! C’est la première fois que j’arpente les rues de la Cité ardente, que je foule ses pavés... mais je me sens tout de suite bien, accueilli dès mes premiers pas par des notes aux tonalités "jazz" qui inondent l’espace, chaque ruelle, chaque recoin, chaque porche de maison... Cette première soirée est consacrée aux voies féminines, avec en ouverture l’intimiste et brûlante introvertie Mélanie DE BIASIO... Je me délecte déjà d’écouter cette jeune chanteuse belge à la voix suave, telle une mise en bouche exquise à trois jours de liesse musicale.Je suis comme un gamin qui trépigne en attendant de voir sa pop-star préférée...
Alors que je déambule en attendant de rentrer dans la salle de concert, j’ai l’impression de me retrouver vingt ans en arrière, quand je parcourais les festivals au gré de mes coups de cœur, avec juste en poche de quoi m’offrir le précieux sésame, ainsi qu’une folle et irrépressible envie d’aventure et de surprises ! Une seconde jeunesse, en quelque-sorte... la quarantaine bien entamée.
Avant le plaisir des notes... celui des yeux ! Je regarde la faune féminine qui m’entoure et que la chaleur de cette fin d’après-midi a particulièrement dévêtue, me surprenant à rêver de ces jeunes corps aux courbes fines et arrondies, délicates et suaves... chauffés par ce beau et brûlant soleil de mai. Tout ce qu’il faut pour me mettre dans un état d’excitation intense pour le concert de tout à l’heure ! D’ailleurs, mon pantalon a du mal à contenir mon érection et je préfère m’assoir sur un banc public plutôt que d’attirer l’attention des gens qui m’entourent, sur ce signe évident de ma virilité exacerbée... Je poursuis malgré tout mon plaisir véniel de vieux voyeur pervers, ce nouvel angle de vision me permettant même d’apercevoir quelques trésors à peine cachés et particulièrement alléchants pour le mâle que je suis !
Que les temps ont changé, me fais-je d’ailleurs la réflexion ?! Après la liberté sexuelle de l’après "soixante-huit", ma génération était revenue à un puritanisme puant qui n’avait rien à envier à celui de ces cons d’amerloques ! Mais là, ces gamins, nos enfants, semblaient avoir retrouvé l’amour de leur corps, l’envie de le montrer, d’en faire profiter les autres, de partager leur beauté pour notre plus grand plaisir des yeux... sans aucun tabou, sans aucune retenue mais aussi sans aucune vulgarité !
Ces jeunes liégeoises, à quelques mètres de mon banc, sentent d’ailleurs qu’elles sont l’objet de nombreux regards d’hommes, moi y compris… car elles en rajoutent, se baissent outrageusement pour dévoiler l’une une jolie petite culotte noire en dentelles, l’autre un string violet mettant en valeur deux magnifiques globes de chair, la troisième...La troisième... je n’en crois pas mes yeux et préfère attendre un autre mouvement de sa part qui fasse se lever la fine et courte robe à fleur qu’elle porte ! L’attente est de courte durée et, malgré la vision furtive de son entre-jambes, j’ai confirmation de ma première impression. Elle est nue sous sa robe... son sexe juvénile offert aux douces caresses de la brise printanière.
Je reste figé face à ce spectacle des plus érotiques, espérant ardemment le prochain mouvement de la jeune femme qui offrira de nouveau son intimité à mon regard devenu inquisiteur et lubrique... Mes belles liégeoises semblent d’ailleurs avoir remarqué mon intérêt pour elles et mon émoi face à leur plastique irréprochable, puisque la plus grande, celle avec la culotte en dentelles, se penche de nouveau les fesses dans ma direction, sa jupe légèrement relevée pour ne laisser aucune ambiguïté quant à sa volonté de m’exciter. Ses deux copines, elles, me jettent des regards aguicheurs tout en riant entre elles de mon trouble devenu clairement perceptible.
Ces gamines qui doivent avoir à peine plus de vingt ans, m’excitent comme rarement je l’ai été auparavant... et moi, au lieu de m’avancer vers elles et d’engager la discussion, je reste là, assis sur mon banc tel un vieux con, sans savoir quoi faire ! Comme si toute mon expérience et mon assurance de quadragénaire s’étaient envolées, me laissant aussi embarrassé qu’un adolescent lors de son premier flirt ! Et pourtant, c’est bien à moi qu’elles adressent maintenant des mimiques on-ne-peut-plus explicites tout en poursuivant leur danse lascive et sensuelle, me montrant tour à tour leur intimité à peine voilée voire même complètement dénudée pour l’une d’elles ! Malgré le nombre de personnes de plus en plus important sur la place de l’Europe, rien ne semble les perturber dans leur balai corporel.
Bien au contraire, elles se caressent maintenant mutuellement, l’une effleurant les seins de l’autre alors que la main de cette dernière s’est insidieusement glissée sous la jupe de sa copine... La troisième, la plus grande, me fixe d’un regard malicieux tout en suçant l’un de ses doigts, sa langue jouant avec ses lèvres comme pour m’inviter à poser les miennes sur sa délicate bouche. De son autre main, elle caresse le bout de ses généreux seins à travers la fine étoffe de son chemisier.Mon excitation est à son comble et toutes les pensées les plus perverses traversent mon esprit...
Après avoir respiré un grand coup pour me donner du courage, je décide enfin de me lever de mon banc, essayant tant bien que mal de cacher la bosse que provoque mon érection. D’ailleurs, les trois filles fixent tout de suite d’un regard gourmand la protubérance qui se dessine au niveau de ma taille, probablement persuadées qu’elles profiteraient rapidement de l’objet de leur convoitise !
Je m’approche lentement d’elles, paniqué intérieurement de ne pas savoir comment aborder ces belles inconnues. Mais mon malaise est vite dissipé, la plus petite des trois, une brune menue avec de superbes yeux bleus, prenant les devants...
"Salut, beau gosse ! Ça te dit de venir voir les concerts avec nous et que nous poursuivions ensuite la soirée ensemble ? Tu nous sembles tout perdu comme si tu n’étais pas du coin ! Nous ne pouvons pas laisser un bel homme comme ça, tout seul dans les rues de Liège !— Et puis notre copine, elle aime bien les vieux et elle a envie de câlins ! Elle n’ose pas te le dire mais elle a craqué pour toi !... rajoute la troisième, celle nue sous sa robe.
La copine en question, la plus grande qui en l’occurrence me dépasse en taille, fait une grimace à l’encontre des deux autres... ce qui ne les empêche pas de continuer à la taquiner. La petite brune, se tournant de nouveau vers moi, en rajoute d’ailleurs une couche... malgré que l’autre essaye de lui mettre la main devant la bouche.
— Tu sais, elle adore... elle adore se faire prendre par des hommes d’expérience, qui savent... allez, arrête... qui savent trouver son point G rapidement... oh ouiii !...— T’es trop conne !...— Oh ouiii... elle aime les vieux avec de belles grosses queues !... Allez, avoue que tu rêves de sentir sa grosse queue dans ton petit minou, à notre bel inconnu ?!— Et puis, comme elle est gentille avec ses copines, elle nous laisse aussi profiter de ses conquêtes ! Tu verras, tu aimeras Liège comme jamais tu n’as aimé une autre ville !
En disant cela, la rouquine sans culotte m’agrippe le sexe à travers le tissu du pantalon et me tire vers elle, m’embrassant tendrement le lobe de l’oreille... puis elle rajoute :
— Bon, on va le voir, ce concert !?... BelleRondeSexy, tu auras le droit de commencer à t’amuser avec lui pendant le concert car il est déjà prêt pour l’arrimage, notre bel inconnu... Je sens que le monsieur est un vrai petit cochon et qu’il se fera un plaisir de laisser balader tes mains et même peut-être ta langue où il ne faut pas...— BelleRondeSexy ?!— Oui, elle aime bien se faire appeler comme ça... et, d’ailleurs, n’est pas vrai ?— Euh... oui ! Effectivement !...
Je n’arrive plus à détacher mon regard de ce corps aux courbes appétissantes, de ces belles grandes jambes que je rêve maintenant de remonter avec ma bouche, avec ma langue, avec mes mains... Quant à ses seins... saisi d’un coup de folie, j’avance droit vers la belle autochtone et tends mon bras droit pour venir poser délicatement ma main et recouvrir l’un des tétons qui pointent à travers le tissu du chemisier. Tout de suite, je sens la douce chaleur de ce corps juvénile...
— Enchanté, BelleRondeSexy ! Effectivement, cela vous va à ravir !...— Eh ben, dis-donc ?!... Même s’il paraissait timide et emprunté tout à l’heure sur son banc, il ne passe par quatre chemins, le coco !... Ma grande, je crois que t’as tiré un sacré numéro !?...— Je...
Alors que je m’apprête à retirer ma main et à m’excuser pour mon effronterie, presque étonné de ne pas m’être pris une paire de claques sur la figure, la jeune femme ne m’en laisse pas le temps et la possibilité, me saisissant par le bras et venant poser ses lèvres sur les miennes pour un baiser fougueux et ravageur ! Instinctivement, j’ouvre ma bouche et laisse nos deux langues s’enlacer... pour un moment d’éternité !Ses deux bras se sont maintenant glissés dans mon dos pour rapprocher nos deux corps brûlants d’excitation l’un contre l’autre, ses mains caressent ma nuque et mes épaules... et je ne peux m’empêcher de poser les miennes sur ses fesses, jouant avec sa courte jupe comme si nous n’étions plus que les deux, seuls ! D’ailleurs, plus rien n’existe autour de moi, hormis cette fabuleuse BelleRondeSexy que même dans mes rêves les plus fous, je n’aurais jamais osé imaginer !
— Bon, les amoureux ! On vous laisse là faire vos cochonneries ou vous venez voir le concert avec nous ?!
BelleRondeSexy s’écarte légèrement de moi et, les yeux pétillants comme si elle avait atteint l’empyrée du bonheur, elle répond :
— Rien n’empêche de continuer à s’embrasser et même de baiser dans le noir en écoutant de la bonne musique ?!...
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