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La délicieuse Alice se délisse

Chapitre 2

Avec plusieurs hommes
C’est dans la nuit qu’elle passa à la seconde étape de son plan. Trop excitée pour dormir, elle attendit patiemment d’entendre son beau-père se lever. Quand ce fut le cas, elle se leva discrètement à son tour et lui tendit une embuscade devant les toilettes où il se rendait. Thierry ne mit pas longtemps à comprendre les intentions d’Alice quand il la vit arriver d’une marche lascive. Elle était de plus vêtue d’une fin nuisette quasi-transparente.
— Non, on ne devrait p..., tenta-t-il tandis que la jeune fille posait ses lèvres sur les siennes.
La jeune langue s’engouffra dans sa bouche et il ne pu s’empêcher de prendre du plaisir à ce contact. Malgré lui, il se mit directement à bander. Ce n’était pas tous les jours qu’une jeune femme magnifique de dix-huit ans vous faisait des avances.
— Chut, laissez-vous faire beau-papa, dit Alice en lui flattant l’entrejambe.
La tentation était trop forte et Thierry ne réagit donc pas en voyant la jeune femme s’agenouiller devant lui et lui descendre son boxer. Sa bite pointa alors vers le visage gourmand d’Alice qui ne tarda pas à goûter au fruit de sa vengeance. Elle s’engouffra goulûment la longue tige dans la bouche tout en lui flattant les bourses. Sa langue vint admirablement titiller le gland sensible de Thierry. Visiblement, ce n’était pas sa première fellation, Alice avait de l’expérience. Thierry ne put que se laisser aller à cette douce caresse buccale. Sa volonté l’avait totalement abandonné. Il n’avait pas su résister.
Alice pompait ardemment la bite de son beau-père. Ses petits doigts vinrent lui masser le clitoris qui avait gagné en volume d’excitation. Elle n’en revenait pas, encore une fois, de ce qu’elle était en train de faire. Elle ne s’était jamais imaginée sucer ainsi Thierry. Finalement, après mûre réflexion, elle crut se souvenir d’un rêve érotique qui la mettait en scène avec son beau-père. Peu importe, aujourd’hui elle était en train de lui lécher le sexe sans aucune honte et elle appréciait bien plus que ce qu’elle avait prévu.
Elle sortit ses deux magnifiques seins de sa nuisette et positionna le sexe masculin au milieu pour le branler doucement. Elle jeta un regard pervers à son beau-père et sourit devant sa réaction. Thierry n’en revenait pas, la copine de son fils était une vraie bombe. Il ne pouvait absolument pas lui résister. Elle allait bientôt provoquer son explosion si elle continuait sur cette voie.
Il voyait son sexe coulisser entre ces deux extraordinaires nichons qu’il s’était plusieurs fois surpris à rêver de caresser. Son gland venait taper sur le menton de la jeune femme et était parfois accueilli par une petite langue coquine. Puis Alice reprit finalement la bite en bouche pour la déguster jusqu’au grand final. Elle fit encore des merveilles avec ses lèvres et sa langue tandis qu’elle reprenait en parallèle les caresses sur son bouton d’amour. La respiration de Thierry était de plus en plus forte et irrégulière. Le plaisir l’avait vraiment submergé. Il ne se retint pas plus longtemps et libéra plusieurs jets saccadés de semence dans la bouche d’Alice. Cette dernière accueillit ce sperme comme un cadeau et l’avala sans en laisser une goutte. Elle venait de faire jouir le père de son petit-ami. Ça y était, elle s’était vengée de Jonathan. Pourtant, elle n’était pas encore rassasiée. Il lui en fallait plus. Elle voulait le détruire complètement.
— Pourquoi ? L’interrogea Thierry qui cherchait encore une explication au changement de comportement d’Alice.— Cela faisait longtemps que j’en avais envie, mentit-elle. Et d’ailleurs je ne suis pas la seule.— Comment cela ? — Vous vous souvenez de mon amie Melissa. Vous ne la laissez pas indifférente et je suis sûre qu’elle aurait aimé être à ma place ce soir. Mais chut, ne lui dites pas que je vous l’ai révélé.
Alice inventait encore une fois. Qui sait, avec un peu de chance cela pourrait mettre un peu plus de bordel dans les vies de Jonathan et Melissa.
C’est en allant se coucher, qu’Alice sut qu’elle serait la prochaine étape de sa vengeance ; l’anniversaire de Jonathan devait avoir lieu la semaine suivante. C’était une occasion inespérée. Jusque là, elle s’amuserait à répandre diverses rumeurs sur le compte de Melissa pour lui pourrir sa réputation en attendant de décider quoi entreprendre concrètement contre elle.

***

C’était le grand soir : l’anniversaire de Jonathan. Alice avait attendu impatiemment toute la semaine. Elle s’était préparée pour le bouquet final de sa vengeance contre Jonathan. Elle était surexcitée et avait dû se masturber de nombreuses fois pour calmer ses ardeurs.
La fête devait avoir lieu chez Jonathan. La maison était libre car ses parents n’étaient pas là. Jonathan n’avait pas invité beaucoup de monde, quelques potes, Alice et Melissa. Mais Alice s’était assurée que cette dernière serait absente. Elle ne voulait pas qu’elle gâche ce qu’elle avait prévu pour la nuit, et puis elle comptait s’occuper de son cas plus tard. Ainsi, elle s’était assurée de faire ingurgiter à Melissa des laxatifs. La pauvre fille s’était donc retrouvée avec une violente diarrhée et avait dû annuler sa soirée.
Alice se retrouvait donc être la seule fille à cette fête. En comptant Jonathan, la voilà au milieu de six garçons. Cette idée la fit frémir d’excitation. Elle avait revêtu une courte robe d’un vert profond qui se mariait bien avec ses yeux. La robe moulait aussi admirablement bien son corps. De plus, comme cela devenait son habitude, elle ne portait rien en dessous. Alice avait déjà repéré le regard admiratif des garçons.
Elle n’attendit pas trop longtemps pour mettre son plan à exécution. Elle libéra le contenu de gélules de somnifère dans un verre. Un fois fait, elle servi le verre à Jonathan. Un quart d’heure après celui-ci s’était endormi sur le canapé.
— Vous avez vu ça, il pionce, se moqua Franck un petit brun assez costaud.— On fait quoi, on le réveille ? Demanda Étienne, un grand blond.— Non, laissez-le dormir, fit Alice. S’il s’est endormi c’est qu’il est fatigué. — Ouais je parie que tu l’as encore épuisé toute la nuit, plaisanta Damien, un brun à l’allure ténébreuse.— Mais c’est dommage de le laisser dormir, lança Fred. C’est quand même son anniversaire qu’il loupe. Il ne va pas pouvoir en profiter.— Bah écoute, reprit Alice. S’il a besoin de sommeil c’est son problème. En attendant, nous nous sommes assez en forme pour en profiter.
Et pour relancer la soirée, Alice remplit les verres des garçons et trinqua avec eux. Les verres se suivirent, les blagues s’enchaînèrent tandis que Jonathan avait toujours l’œil fermé.
— J’ai une idée, lança Alice guillerette. On va filmer la soirée comme cela Jo ne ratera rien.
Elle sortit donc une caméra et l’alluma pour filmer les garçons les uns après les autres. L’alcool les avait déjà tous échauffés. Elle confia ensuite la caméra à Fred et se jeta sur l’ordinateur pour changer la playlist. Elle mit quelques morceaux qui bougeaient plus et commença à danser dessus. Elle remuait lascivement sur la musique et remarqua rapidement que ses mouvements ne laissaient pas indifférents les garçons. Fred avait l’objectif planté sur elle.
Alice fit signe aux garçons de venir la rejoindre. Franck et Étienne vinrent l’entourer et elle se mit à danser sensuellement entre les deux. Étienne avait les yeux plongés dans son décolleté, Franck sur son cul moulé. Fred tournait autour avec la caméra afin d’admirer Alice sous tous les angles. Les deux autres garçons, Damien et Allan dansaient un peu plus à l’écart mais ne rataient rien de la scène.
Plus les musiques s’enchaînaient et plus les garçons se rapprochaient de la jeune fille qui ne faisait rien pour les repousser. Les mouvements d’Alice étaient bien au contraire de plus en plus sensuels, érotiques et chauds. Les gars avaient vraiment bien du mal à cacher leur émois. Et pendant ce temps là, Jonathan continuait de dormir sur le canapé à quelques pas.
Alice fit encore monter la pression des garçons d’un cran en venant se frotter le long de Damien sous l’objectif de la caméra. Elle montra ainsi clairement ses intentions. Franck fut le premier à réagir et vint se frotter lui aussi sur la jeune fille. Cette dernière ne tarda pas à sentir des mains se poser sur son corps. Elle les laissa parcourir ses courbes et venir caresser ses cuisses, ses fesses, son dos, son ventre et ses seins. Elle posa ensuite ses lèvres sur celles de Damien et lui roula une belle galoche, puis enchaîna avec Franck, puis les autres. Fred voulu poser la caméra mais elle lui fit comprendre de continuer à filmer quoi qu’il arrivait. La seconde d’après, Alice faisait glisser sa robe et se retrouvait nue au milieu de cinq garçons.
Les choses s’accélérèrent. Les garçons encerclèrent Alice et la pelotèrent sans ménagement. Les lèvres d’Alice passaient d’une bouche à l’autre tandis qu’elle sentait les mains glisser sur son corps et des doigts lui pénétrer le sexe et le cul. Elle s’agenouilla finalement devant Fred et vint libérer son sexe comprimé dans son jean. Le jeune homme ne manqua pas de filmer la bouche de la petite-amie de son pote lui emboucher le gland. Alice pompait avec gourmandise et envoyait des regards de braise à la caméra. Trop excité, Fred ne tint pas longtemps et dans un râle, se libéra dans la bouche d’Alice. Cette dernière montra à la caméra sa langue baigner dans la crème juteuse de Fred et puis avala.
Alice quitta le cercle et vint s’appuyer sur l’accoudoir du canapé en tendant sa croupe en signe d’invitation. Ce fut Franck qui se jeta le premier sur l’offrande. Ses affaires avaient rapidement volé au loin et il pénétra sans préliminaire la chatte désireuse d’Alice. Damien vint sur le côté et tendit son sexe près du visage de la jeune blonde. Cette dernière n’attendit pas pour le gober et sucer sa deuxième bite de la soirée. Étienne et Allan continuaient pendant ce temps là de la caresser tout en se branlant, et Fred filmait.
Franck la baisait comme un forcené et lui faisait pousser des cris de joies. Elle avait d’ailleurs du mal à garder le sexe de Damien en bouche. Ce dernier bien excité par la scène jouit à son tour et plusieurs jets de sperme vinrent s’écraser sur les lèvres et la joue d’Alice. Après que le jeune homme se soit retiré, Étienne prit la relève et enfonça sa bite dans la gorge d’Alice tout en lui maintenant la tête. Dans un dernier assaut frénétique, Franck se libéra à son tour dans le con d’Alice et laissa la place à Allan.
Alice était heureuse. Elle consommait enfin sa vengeance. Jonathan avait voulu la tromper avec sa meilleure amie, elle le trompait à son tour avec cinq de ses amis, et son père avant ça. Il lui avait fait mal mais elle frappait bien plus fort. Il avait cru pouvoir garder Alice tout en allant voir ailleurs, il allait maintenant regretter son geste.
Étienne et Allan jouirent à leur tour tandis que Fred repartait à l’assaut du corps d’Alice. Mais c’est son cul qu’il choisit de pénétrer. Damien profita pour la prendre par la chatte et c’est ainsi qu’Alice eut son premier orgasme de la soirée, prise en sandwich par deux garçons juste à côté de son petit-ami qui dormait. Elle laissa échapper un cri de joie tandis qu’on lui défonçait la chatte et le cul. C’était maintenant Franck qui était chargé de filmer la scène, Fred étant trop occupé.
La soirée continua comme cela encore un bon bout de temps. Alice perdit le compte du nombre de fois que les garçons avaient joui en elle. Les garçons transportèrent Jonathan dans son lit et firent un peu de ménage pour cacher les ébats qui avaient animés la soirée. Alice leur promit de mettre la vidéo en sécurité et alla se coucher aux côtés de Jonathan après un brin de toilette. Elle ne mit pas longtemps à s’endormir trop épuisée par sa folle soirée.
Le lendemain, Jonathan se réveilla et fut étonné de s’être endormi si tôt. Il questionna ses amis sur le déroulement de la soirée mais ces derniers évitèrent de lui parler de certaines choses. Quoi qu’il en soit, mal à l’aise après ce qu’ils avaient fait, ils ne furent pas long à laisser le couple dans leur intimité.
— Au fait, je ne t’ai pas offert ton cadeau, déclara Alice à Jonathan quelques minutes après le départ du dernier ami.
Elle fouilla alors dans un meuble et sortit la caméra qu’elle tendit à Jonathan en arborant un fier sourire. Ce dernier la prit et regarda Alice sans comprendre. Jonathan sentait que quelque chose n’allait pas. Pourquoi sa copine lui tendait une caméra ? C’était étrange comme cadeau.
— Vas-y, l’encouragea-t-elle. Regarde la vidéo.
Jonathan obéit et lança la vidéo enregistrée la veille. Il vit d’abord l’image montrer un à un ses amis. Alice avait donc filmer la soirée, conclut-il, mais pourquoi lui offrait-elle cette vidéo en cadeau ? Son cœur se serra quand il vit Alice onduler sur la vidéo au rythme de la musique. Son malaise s’intensifia quand il vit ses amis entourer sa petite-amie. Il fut pris de dégoût quand il vit cette dernière retirer sa robe et s’agenouiller devant Fred pour le sucer.
— Alors, ça te plaît ? Demanda-t-elle moqueuse. C’est dommage, la vidéo ne montre pas ce que j’ai fait avec ton père.— Pourquoi ? Fit-il au bord des larmes.— Pourquoi ? Vociféra-t-elle. Tu croyais vraiment que je ne découvrirais rien ? Que je te laisserais m’humilier sans rien dire ? Tu as voulu jouer, tu as perdu.— Quoi ? Mais de quoi es-tu en train de parler ?— Ne te moques pas sale petit enfoiré de merde, je sais très bien ce que tu as fait avec Melissa.— Mais non, c’est faux. Je n’ai rien fait.— Ah oui, et c’est quoi ça alors ? Dit-elle en cherchant sur son téléphone la photo que Karios lui avait envoyée.
Mais quelque chose clochait : elle ne parvenait pas à remettre la main sur cette photo. Il y avait bien une photo, mais celle-ci n’avait rien à voir. Tandis qu’elle cherchait à comprendre, elle sentit soudain une présence dans son dos.
— Mais t’es qui toi putain ? Lança Jonathan. Et qu’est-ce que tu fous chez moi ?
Karios venait de faire une apparition. C’était bien lui, le type de la dernière fois, dégageant la même aura surnaturelle et envoûtante. Alice le vit lever une main, prononcer quelques mots dans une langue incompréhensible et Jonathan tomba à terre inconscient.
— Ne t’inquiète pas pour lui, laissa-t-il échapper de sa voix ténébreuse. Je ne l’ai qu’endormi, comme tu l’as toi même fait cette nuit. Sauf que je n’ai pas eu besoin de somnifères.— La ph...la photo ? Balbutia-t-elle. Elle a été remplacée.— Non, elle a toujours été telle quelle ! C’est juste toi qui la voit vraiment aujourd’hui. J’ai levé l’illusion.— Alors Jonathan est resté fidèle ? fit-elle prise de panique.— Bien évidemment, ce jeune homme était éperdument amoureux de toi et toi tu l’as trompé sans aucun remord. Ha ha ha, tu as été au delà de mes espérances.— Non ! Non ! Vous m’avez manipulée ! Vous avez tout détruit. Tout est de votre faute. C’est vous ! C’est vous qui avait mis ces désirs en moi. Vous m’avez poussée à baiser avec ces types.
Oui cela ne pouvait qu’être que ça ! Il l’avait hypnotisée. Il avait prétendu lui donner le pouvoir de se venger mais il avait dû faire naître toutes ces perversions en elle. Jamais elle ne s’était comportée comme cela avant. C’était forcément lui le coupable.
— Oui, je t’ai manipulée, avoua-t-il. Je t’ai fait croire à une trahison de cette vermine pour t’attirer à moi. En revanche, petite idiote, ne croit pas que je suis responsable de tout. Je n’ai ancré aucune perversion en toi, tout y était déjà fermement installé. Je n’ai eu qu’à briser tes barrières morales, les cadenas qui t’empêchaient de laisser échapper ton potentiel. Je n’ai pas fait de toi la salope que tu es devenue, je ne lui ai laissé que l’occasion de se libérer. Et pour ma défense, cela a été très facile.— Pourquoi...pourquoi m’avez-vous fait ça ?— Comme je te l’ai déjà affirmé j’ai senti un grand potentiel en toi et j’avais besoin de ce potentiel pour échapper de ma prison. Alors je t’ai attiré à moi, je t’ai marqué et je me suis arrangé pour que tu laisses s’exprimer ton potentiel. Je me suis nourri de l’énergie que tu as libérée lors de tes rapports pour briser le sort qui me séquestrait. Ha ha ha ! Ces maudites sorcières m’ont clairement sous-estimé. Elles ont vraiment cru pouvoir me garder prisonnier mais elles ont eu torts car grâce à toi, je suis libre. — Des sorcières ? Mais qui êtes vous au juste ? — Ce que je suis tu n’as pas vraiment besoin de le savoir. Tout ce que je peux t’affirmer, c’est qu’à partir d’aujourd’hui je suis ton maître. Tu n’as plus besoin de ces misérables humains. Ta vraie vie commence aujourd’hui, à mes côtés.
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