Je m’avance vers la porte pour la fermer à clef et le bruit de la serrure est masqué par la musique qui résonne dans toute la pièce, mais je sais qu’elle ne traversera pas les murs qui empêcheront aussi ses cris et gémissements de passer. Elle est là, belle, calme, allongée sur ce lit, nue. Ce lit, le nôtre, idéal par ses baldaquins et sa résistance à toute épreuve. Recouvert de draps de satins noirs, ils créent avec sa peau d’une pâleur divine, un contraste sublime. Elle est allongée en totale soumission, attachée pieds et poings au barres d’aciers du lit qui trônait au centre de la pièce éclairée uniquement par des bougies. -« Viens ! » Sa voix est suppliante et tremblante de désir.-« J’arrive ma belle, sois patiente. »Je vois alors son corps se détendre malgré l’impatience qui grandit au fond d’elle. J’aime tellement la voir ainsi, soumise à mes moindres désirs. Cependant, il manque quelque chose… Je saisi son t-shirt, qui traînait part terre après que je lui ai sauvagement enlevé ainsi que le reste de ses vêtements. Une fois le haut attrapé, je le déchire dans un bruit qui nous est très familier pour en faire un bandeau que je noue délicatement derrière sa tête pour cacher ses yeux.-« Non ! Je veux te voir !-Proteste encore une fois et je te laisse là sans rien te faire ! » Elle s’est alors tut, impuissante. Ses jambes forcées par les liens à rester écartées, laissaient voir son intimité que j’aime tant et dont le seul souvenir d’y avoir un jour plongée ma tête et de l’avoir découverte avec ma langue me fait mouiller.Je m’approche d’elle doucement avant de poser un baiser délicat sur l’un de ses seins qui se dressa aussitôt. Tout son corps frissonna et sa respiration s’accéléra. Je recule. Il faut que je prenne mon temps ou le plaisir ne sera pas assez intense, ni pour elle, ni pour moi. Mes vêtements me gênent et je décide de m’en débarrasser. Je m’approche d’elle et je pose mes mains sur son cou avant de serrer légèrement, elle est haletante, ça m’excite. Elle a peur mais dans le bon sens du terme et je lui ferais mal comme elle aime tant ça.Je m’assoie à califourchon sur son ventre avant de saisir la bougie posée sur la table de chevet. Je l’éteins sachant que la lumière des autres bougies suffirait. L’odeur de la bougie désormais éteinte parviens jusqu’à elle et je sens son corps se tordre d’attente sous moi. Je laisse alors quelques gouttes de cire chaude tomber sur son ventre, sa réaction est immédiate et un gémissement discret s’échappe de ses lèvres. Je passe ensuite ma langue sur les gouttes pour soulager sa peau et retirer la cire maintenant durcie. De jolies traces rouges commencent à apparaitre. J’aurais aimé tenir plus longtemps mais son parfum, ses gémissement, son corps, me font perdre le contrôle et je fonce vers son ventre pour le mordre sauvagement. Un cri s’échappe de sa bouche puis de puissants gémissements. Le goût du sang commença à arriver dans ma bouche signe qu’il est temps de s’arrêter. La trace est magnifique, on peut y voir toutes les dents imprimer sur sa peau rougie et quelques gouttes de sang perlent. Mais ce n’est que le début. Je me lève alors pour me placer entre ses jambes en prenant garde de ne pas la toucher. Je la vois alors chercher où je suis. Je ne fais plus de bruit et me rapproche doucement de son entre-jambes. Je sais qu’elle attend et qu’elle se demande ce que je vais faire tout en me cherchant. Je décide donc de le lui montrer et au moment où elle semblait le moins s’y attendre je plonge deux de mes doigts dans son sexe déjà trempé. Elle mouille tellement vite et en telle quantité ! J’aime ça. Elle gémit si fort que tout son corps en trembla. Je commence alors quelque va et vient sous ses gémissements qui s’accélèrent. Je rapproche mon visage de son bas ventre avant de déposer des baisers de son nombril en direction de son clitoris sur lequel je m’arrête pour commencer à le suçoter doucement. Mes gestes d’abord lent et doux s’accélèrent. Ma deuxième main se dirige vers ses seins dont les tentons durcies par l’excitation sont dressés. Je prends alors l’un d’eux entre mes doigts avant de le tourner et de le serrer et je la sens se tordre sous cette délectable douleur.Sa respiration atteint une vitesse incroyable et ses gémissements et cris sont si puissants qu’ils couvrent la musique. Je la vois venir et passe alors au stade supérieur. Ma main droite continue à caresser doucement son corps. De ma main gauche j’enfonce deux doigts dans son vagin et ce que je fis de mon dernier doigt la surprise mais lui arracha un puissant gémissement. Je stimulais toutes les zones érogènes de son corps même l’endroit de son corps qu’elle n’aurait jamais offert à quelqu’un d’autre qu’à moi, le « trou interdit » comme elle l’appelait. Ma langue continue ses mouvements circulaires autour de ce bouton de plaisir. Après seulement quelques instants elle fut secouée par un orgasme si grand que son corps tout entier se souleva, un cri profond sorti de sa bouche avant que la source de tout plaisir se mette à couler. Je retire alors mes doigts avant de rapprocher ma langue de son vagin afin de recueillir un peu du divin liquide de cette femme fontaine. Sa respiration se calme et son corps retombe lourdement sur le matelas. Je me rapproche de son visage pour lui offrir un baiser long et langoureux lui permettant ainsi de « se gouter ». Elle est encore haletante et je lui retire son bandeau de fortune. Elle me regarde alors droit dans les yeux et son regard transmet une excitation intense. Je remonte vers le haut du lit à genoux pour poser mes jambes de chaque côté de son visage en les posant contre ses bras toujours attachés. -« Tu veux de ça avoue le !-Oui j’en ai très envie…— Supplie-moi de te laisser faire !-Je vous en supplie, laissez-moi y goûter ! »Je descends alors mon corps vers sa bouche lui laissant alors libre accès à mon vagin. Je n’ai pas le temps de me rapprocher qu’elle avance déjà sa tête impatiente. Je saisi alors ses cheveux pour la tirer en arrière et lui dire d’attendre. Je recommence alors ma descente plus lentement mais en maintenant ses cheveux pour garder sa tête contre le matelas. Mon entre-jambes rejoint alors sa bouche et elle se mit alors à lécher, suçoter, mordiller comme si elle était affamée. Je profite alors de ce moment et une boule de chaleur commence à naître dans mon bas ventre. Au fur et à mesure de ses mouvements la boule chaude mais agréable grandie. Elle plonge alors sa langue dans mon vagin faisant exploser cette boule et créant en moi un tsunami de sensations. Un cri de bonheur m’échappe et des contractions commencent à secouer mon bas ventre. Le liquide commença alors à couler dans sa bouche et comme je l’avais fait elle commença à le recueillir. Une fois calmée, je me suis levée. Elle essaya elle aussi, oubliant ses entraves. -« Tu vas où ?? »Son ton agressif lui aurait valu une punition normalement mais l’orgasme qu’elle m’avait offert était si puissant que j’étais prête à lui pardonner. Je m’approche alors du coffre ou je range nos jouets et quand elle le vu un sourire satisfait perla sur son visage. Je saisi une cravache avant de lui montrer et à sa vue elle frissonna. Je lève alors la cravache vers elle et avant de la rabaisser je dis « Le jeu ne fait que commencer ma belle, il faudra t’accrocher ! ».
