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Délicieuse Ève

Chapitre 1

Erotique
Je viens de me séparer, une séparation un peu houleuse, et mes amis m’ont proposé de m’héberger. J’acceptai volontiers pour, d’une part, me laisser le temps de me retourner, et d’autre part, avoir le plaisir de les voir plus souvent. J’ai connu Max à l’armée et on y a vécu de nombreuses péripéties. C’est ce qui a forgé cette grande amitié. Eve, sa femme, est une jolie brune, petite trentaine à l’époque, aux formes généreuses, mais délicieuses, à la poitrine presque indécente tant elle est attirante. Elle travaille dans la restauration et lui est dans le gardiennage, il bosse la nuit. Cela fait déjà plusieurs années que l’on se côtoie, et avec mon fils que je récupère tous les week-ends, on forme quasiment une famille. On se croise essentiellement la semaine, vu les horaires de chacun, je profite pleinement de mon célibat. Le week-end, on fait pas mal de bringues, barbecues, etc.
Bref, nous sommes heureux et la vie suit son cours. Un dimanche, je dois ramener mon gosse à sa mère, je vais à la salle de bain pour prendre ses affaires.
En ouvrant la porte, je tombe sur Eve qui sort de la douche. J’ai été hypnotisé par ce superbe corps, avec quelques formes, c’est vrai, mais pas disgracieux du tout. Je dirai très appétissant plutôt. Et cette poitrine !! Quelles divines sphères !! Agrémentées d’aréoles finement dessinées et terminées par de délicieux tétons. Je marque un très sérieux temps d’arrêt avant de réagir et de me confondre en excuses. Je commence à tourner les talons quand elle m’interpelle en souriant, tout en se drapant de sa serviette.
— Je n’ai pas fermé la porte pour que tu puisses les récupérer. Je me doutais bien vu l’heure que tu en aurais besoin.— Merci Eve, c’est très gentil. Je suis vraiment désolé. À plus tard.— De rien Tom. À plus tard.
La vie a repris son cours normalement, même si j’ai cette douce vision en tête. Mais c’est mon amie, il faut que je me ressaisisse. Plusieurs semaines sont passées et tout était rentré dans l’ordre. Un soir, je reçois un message d’Eve qui me demande de venir la chercher à son travail. Il y a un type au bar qui la drague lourdement, et comme elle rentre à pied, elle ne veut pas qu’il la suive. J’arrive donc au restaurant, et à la vue de son sourire, je sens son soulagement.
— Bonsoir mon chéri ! me dit-elle avec un grand clin d’œil.
Elle pousse le jeu jusqu’à me faire un bisou sur la bouche. Je suis devenu l’espace d’un instant son homme. Elle ferme le bar, l’homme part de son côté en grommelant et en titubant. Nous rentrons à la maison et, la sentant perturbée, je lui propose un petit remontant.
— J’ai bien cru que je ne m’en sortais pas. J’ai pensé à toi et à ce stratagème. Tu ne m’en veux pas ?— Bien sûr que non ! Tu as bien fait avec tout ce qui se passe de nos jours. Je vais te faire couler un bain, tu es toute pâle.— C’est gentil, Tom, je ne dis pas non.
Pendant que je lui prépare le bain, elle nous ressert un verre. Je le sirote tandis qu’elle se prélasse dans l’eau. Vautré dans le canapé, je m’assoupis et c’est une caresse sur la joue qui me réveille. Je la vois dans son peignoir, elle est superbe.
— Tu veux bien dormir avec moi ce soir s’il te plaît, j’ai un peu la touille.— Pas de soucis Eve, je dormirai sur les couvertures.
Je la suis un peu vaseux en me demandant ce qui se passe. Elle prend la direction de la chambre d’amis dans laquelle je dors habituellement. Elle entre, allume la petite lampe de chevet, retire son peignoir et glisse dans le lit. J’ai eu le temps d’admirer une magnifique nuisette en mousseline très séduisante. Je m’allonge tout habillé sur la couette à ses côtés.
— Tu vas réussir à dormir comme ça ? Sois pas bête, mets-toi sous les draps.
Je me déshabille, penaud, et je la rejoins sous l’édredon. J’ai quand même gardé mon boxer par pudeur, moi qui dors nu habituellement. Elle vient se coller à moi, son dos contre ma poitrine, et son joli fessier contre mon bas-ventre. Sentant poindre une érection, je décide de me reculer légèrement afin qu’elle ne la sente pas. Elle attrape mon bras et le passe par-dessus ses hanches, bloquant ma main sur son sein droit. Elle replaque ses fesses contre mon sexe bien bandé maintenant.
— Reste comme ça, s’il te plaît.— OK Eve, comme tu veux.
J’ai serré légèrement son sein, mon membre bien dur appliqué sur son derrière, j’ai sombré dans le sommeil. Lorsque mon réveil sonne, je n’ai pas bougé de position. Je dépose un baiser sur son épaule et sors du lit sans la réveiller. Les questions s’entrechoquent toute la matinée. Je ne sais plus trop quoi faire. Je reçois un message d’Eve me souhaitant une bonne journée. Je lui réponds à l’identique. Je suis excité et effrayé à la fois. Très étrange comme sensation. Je décide de traîner avec des collègues après le boulot. Je rentrerai bien après Eve pour éviter la confrontation. Finalement, vers 22h00, Eve m’appelle en larmes.
— Tom, j’ai trop mal au ventre, tu peux m’emmener aux urgences ?
Mon sang ne fait qu’un tour.
— J’arrive tout de suite...
Je la récupère à la maison et fonce aux urgences.
— Je ne sais pas ce que c’est, j’ai eu mal tout le service, même le cachet n’a rien fait.— Pourquoi tu n’as pas appelé plus tôt ?
On arrive aux urgences et par chance, il n’y a pas trop de monde. Elle est rapidement prise pour une batterie d’examens. Pendant ce temps, je préviens Max de la situation. Eve revient enfin, blanche, on peut rentrer.
— Alors qu’est-ce qu’ils ont dit ? — Les résultats sont bons, pas d’infections. Rien à l’échographie. Ils pensent à un gros coup de fatigue et de stress. Ils m’ont donné des comprimés.— Bien, tu sais ce qu’il te reste à faire... J’ai prévenu Max, tu devrais l’appeler pour le rassurer.— Oui merci Tom.
Elle appelle Max pendant que je nous ramène à la maison. Je me perds dans mes pensées. Arrivée à bon port, Eve se dirige vers la salle de bain. Je lui annonce que je monte me coucher. Je me brosse les dents au petit lavabo qui se trouve dans la chambre, puis je me glisse dans le lit, nu. Mes yeux se ferment. Je me suis endormi, je crois, je sens Eve se faufiler sous les couvertures. Elle vient se coller à moi dans la même position qu’hier. Une petite différence pourtant, la nuisette n’est pas de rigueur ce soir. Le contact de sa peau électrise la mienne. Je passe mon bras sur elle et elle attrape ma main pour la poser sur son sein. Je l’empoigne et le masse légèrement. Évidemment, mon sexe ne tarde pas à gonfler. Je ne bouge pourtant pas, et je m’endors ainsi.
Max m’appelle au boulot le lendemain pour me remercier et me dire qu’il a posé 3 semaines de congé. Je sais que Eve en a besoin, j’aurais préféré m’en occuper moi-même. Fini les nuits à deux. C’est certainement mieux ainsi.
15 jours après notre dernière nuit, mon ex m’apprend qu’elle retourne vivre dans son département natal. Si je veux continuer à voir régulièrement mon fils, je n’ai d’autres choix que de suivre le mouvement. C’est un vrai déchirement.
Max m’emmène en soirée, il me dit que ça fait longtemps qu’on n’est pas sorti entre mecs, ce qui est vrai. Pendant la soirée, il me parle d’Eve. Il la trouve bizarre en ce moment, distante, et sexuellement, c’est le calme plat, ce qui n’est pas dans ses habitudes. Je lui dis que je n’ai rien remarqué d’anormal hormis le fait que je la trouve exténuée. Je ne suis pas très à l’aise, du coup, j’enchaîne sur ce que m’a annoncé mon ex. Il n’a pas vraiment l’air surpris. Je soupçonne qu’ils se voient de temps en temps. Je suis sûr qu’il y a eu anguille sous roche la fois où il était venu passer un week-end pour une concentration de bécanes. Mais bon, c’est du passé. Je n’ai pas le temps de prévenir ma belle, je reçois un texto de sa part plutôt sec. "Lâcheur !!" OK, ça ne va pas être simple cette histoire. D’après mes calculs, il ne reste qu’une nuit où nous serons seuls avant mon départ. Rien qu’une...
Je décide de lui acheter des dessous, comme ça, elle m’aura près d’elle parfois. Je pars faire le tour des boutiques.
J’hésite entre un ensemble en dentelle pourpre très beau et une nuisette très très sexy. J’opte pour le premier.
Eve me prévient par message que Max travaille le surlendemain, trois jours avant mon départ. Elle souhaiterait que l’on passe cette soirée ensemble comme des amoureux. J’accepte bien évidemment, en lui promettant une petite surprise. Le jour J arrive enfin, je la récupère au taf et direction la maison. Je lui sers un verre, et lui tends le paquet. Elle me regarde, hébétée, et l’ouvre. Le sourire qui illumine son visage me conforte dans mon choix.
— C’est vraiment très joli, merci Tom.— Merci à toi ma belle... Tu penseras à moi quand tu le porteras.
Une longue discussion s’installe, un peu grave, mais vu la situation, c’est logique. L’heure passe très vite, Eve s’absente dans la salle de bain, tandis que je monte dans la chambre. Je me mets au lit, et bientôt Eve me rejoint. En ôtant son peignoir, je découvre l’ensemble que je lui ai offert. Il lui va à merveille, la couleur, la forme, tout. Elle se glisse à mes côtés et je commence à la caresser lentement en effleurant juste sa peau, mais sur tout le corps. Ses jambes, son ventre, ses seins à travers la dentelle, ses épaules, ses bras. Je lui prodigue ces caresses pendant plusieurs minutes. Je passe ma main sur son sexe que le tanga protège. J’agrémente maintenant mes caresses de baisers doux partout. Mes mains s’attardent un peu plus sur ses magnifiques globes, mais aussi sur son minou que je trouve brûlant. Je cherche son téton à travers la matière de son soutien-gorge. Ma succion le fait se darder, sa respiration change, je sens ses mains sur mon dos.
Je joue un moment avec ses tétons, passant d’un sein à l’autre.
Tout en la couvrant de baisers et de caresses, je descends lentement vers son sexe, en m’attardant un peu sur son délicieux ventre. Je bande comme un fou. Son minou est à portée de bouche, seul le tissu m’empêche de sentir sa chair. J’aime le parfum qui s’en dégage. Je passe ma langue sur la dentelle au niveau des lèvres. Je fais plusieurs aller-retour et je sens son abricot s’entrouvrir. Elle soupire et me caresse la tête. Je m’enhardis et écarte légèrement le tanga et là...!! Ce doux contact sur ma langue m’emmène ailleurs. Je goûte son antre, quel délice ! Je fais une pause le temps de faire glisser sa culotte le long de ses jambes. Une fois celle-ci retirée, je remonte lentement en embrassant ses mollets, ses cuisses, avant de revenir vers l’objet de mon désir. Je l’observe et le caresse du bout des doigts. Je m’aventure entre ses lèvres, effleure son clitoris, découvre enfin l’entrée de sa grotte.
J’immisce ma langue à l’intérieur, c’est doux comme du velours, chaud et humide, délicieux.
Mes mains se baladent sur son ventre, puis bientôt sur sa poitrine. Je sens le contact du tissu et décide de libérer ses seins qui me fascinent depuis l’épisode de la douche. Je glisse mes doigts sous son dos jusqu’aux agrafes que je défais rapidement. Je retrouve cette poitrine généreuse, insolente, avec des aréoles pas trop larges et des tétons saillants. J’en gobe un et le suce, le tête même comme un bébé. Elle soupire doucement, tandis que ma main prend la direction de son sexe bien humide maintenant. Je change de sein pour lui infliger le même sort, alors que mes doigts découvrent son minou entrouvert. J’y glisse l’index. Elle se cambre légèrement, je sens son bassin onduler au rythme de mes allers-retours. Elle bloque mon mouvement et me pousse énergiquement sur le côté. Je la regarde d’un air interrogateur.
— Moi aussi je veux participer !!
Elle grimpe sur moi en 69 et m’offre sa coupe. Je n’en perds pas une miette. Ses lèvres, son clito, son antre et son petit trou sont à portée de langue. Divin !! Je sens sa langue sur ma verge bien bandée. C’est ensuite la chaleur de sa bouche qui m’envahit. Je fonds littéralement. J’excite son clito tout en glissant un doigt dans sa grotte. Sa bouche fait des merveilles sur mon pénis enflammé. Je lèche son sexe jusqu’à sa petite rondelle que je titille du bout de la langue. Ses mouvements de bassin réguliers et insistants. Je glisse un second doigt dans son minou, puis je les ressors en frottant son clito. Mon manège attise ses ondulations. Eve s’active sur ma verge en alternant masturbation et coups de langue. La pression monte et c’est terriblement bon. J’attrape un sein de ma main libre et le pétris fermement. J’ajoute un troisième doigt pour fouiller son intimité. Je cesse ces mouvements pour y insérer ma langue. Eve se plaque sur ma bouche en se redressant un peu.
Ses déhanchés sont très appuyés maintenant.
Je sens son jus dans ma bouche, j’adore. Elle accélère la masturbation de ma queue, elle gémit doucement, presque pudiquement. Elle se frotte sur ma langue, sa sève se répand sur mes lèvres, je déguste avec joie. Dans un dernier mouvement de poignet, j’explose enfin. Mon foutre se déverse sur mon ventre et ses mains. Nous nous caressons longuement sans rien dire. Elle se redresse en m’embrassant, et nous descendons à la salle de bain.
— Je ne peux pas te donner plus Tom...— Je prends ce que tu me donnes, Eve. Et c’est déjà beaucoup plus que je n’osais espérer.
Nous nous sommes lavés mutuellement, lentement, faisant durer l’instant, tout en sachant qu’il n’y en aura certainement plus d’autres. 
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