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Délivrance ! ou ...c'est beau la bourgeoisie !

Chapitre 3

C'est quand même sympa de faire partie des "maitres du monde" !

Voyeur / Exhibition
Jean-Michel Desprin-Lejean, nu sur un transat, en milieu de matinée, occupé à se faire bronzer dans cette petite clairière inondée de soleil, regardait les dernières vidéos de sa femme. Et il devait avouer que cela l’intéressait diablement ! Après l’épisode zoophile, il était plus qu’excité !Il avait installé un "Mac" dernier cri, pas encore commercialisé grand public, qui possédait un accès direct au Web, via un satellite de la Défense Nationale Française. Il pouvait d’ailleurs aussi, si la lubie le prenait, se connecter à un faisceau issu de celui de la NSA américaine. Mais dans sa grande bonté d’âme, il décida qu’il était plus recommandable d’éviter des dépenses inutiles au contribuable américain, déjà tant traumatisé par les effets des différentes crises économiques des dernières décennies. Pour ce qu’il avait à faire, celui des “fromages qui puent” suffirait largement.

Oui décidément Jean-michel Desprin-Lejean était un homme très bien ( comme dirait ma belle-mère!)

“ Grand dieu” pensa t il , dans ce trou à merde sans aucune connections, il était content de pouvoir bénéficier de ce matériel top secret. Normal quand on fait partie des Maîtres du monde , non ?Jean-Michel pouvait tout faire, même des choses contrefaisant la loi... la seule chose qu’il désirait le plus, il ne pouvait l’avoir, ni l’acheter : faire de sa merveilleuse petite femme, la dernière des salopes... et surtout la regarder se souiller et tout filmer. Et là! Il devait avouer que la présente situation dépassait ses désirs les plus fous ! Et tout ça, grâce à cette petite conne de Céline.

Car enfin,” forcer” une De Hauteville, l’obliger à accomplir ses caprices sexuels à lui, qui n’étaient pas piqués des vers, n’était pas pensable, même avec des moyens discrets style, drogues chimiques ou reprogrammation neuronale, genre projet “ MK Ultra” de ses connaissances de la CIA… et là on lui offrait “l’occas” sur un plateau, telle Cléopâtre s’offrant nue à César, quand il déroula le tapis dans lequel elle s’était dissimulée.Car après ce qu’elle allait apprendre, et connaissant sa piété filiale et son sens du sacrifice Chrétien, la petite Marie-C serait obligée par sa propre morale et son sens des valeurs, de subir toutes les avanies sexuelles, ou SM .
Quelle dérision ! Le sens moral qui l’obligera à se placer dans des situations que la morale réprouve ! Ah ces cathos, le plus gros club de sado masochistes du monde! Il était sûr que sa petite femme se verrait bien en sainte Blandine ou Sainte Cécile, subissant avec allégresse les pires tourments de la chair; allégresse voire jouissance aussi ? Non ?

Car les “grandes oreilles “ de Jean-Michel savaient tout, il comprenait, LUI, ce qui arrivait à sa petite femme chérie. Et il allait regarder tout ça, filmer jusqu’à plus soif, la dépravation de sa petite Marie-Charlotte. Il allait la regarder se faire baiser dans toutes les situations possibles, expérimenter des trucs très glauques, se laisser avilir, trainer dans la merde... jusqu’où cela irait, il n’en avait aucune idée. “Ils” avaient de l’imagination, cela il le savait... et beaucoup de haine envers Marie-C, enfin plutôt envers sa famille; mais c’est elle qui allait payer pour leurs turpitudes. Il n’interviendrait pas... Il espérait quand même qu’ ”Ils “ n’allaient pas trop l’abîmer, il avait envie d’en faire encore usage après. Pauvre petite brebis égarée destinée à “l’Holocauste”... 

Jean-Michel aimait le théâtre tragique et les références bibliques. Il savait que sa femme allait connaître tous les délices de Sodome et Gomorrhe; allait-elle en connaître aussi le feu Vengeur ? Mystère. Il devait bien avouer que regarder sa femme se laisse “torturer” avec son plein consentement, l’excitait beaucoup. Et puis si cela allait trop loin, un petit bip sur le signal d’appel d’urgence, inclus dans le tatouage de son avant bras gauche, et le petit commando du 13ème RDP, spécialiste en camouflage et interventions en milieu difficile, sauterait tout de suite à la gorge des protagonistes. De même un hélico chargé d’un stick de 8 FU-MA-CO, atterrirait au beau milieu du village. Le risque était limité pour la petite fleur de sa vie.


Car il connaissait le lieu, les mobiles, le mode d’action, globalement ce qui allait arriver à sa femme... seul paramètre inconnu, QUAND allaient-”ils” lancer “leur” opération.Il connaissait la fenêtre temporelle d’à peu près un mois, mais pas le jour exact. Aussi est-ce pour cela qu’il avait demandé à son grand ami, le chef de cabinet du ministère de la Défense, de lancer un grand exercice militaire, dont le volet “forces spéciales” intervenait dans ce coin paumé de Dordogne; aussi les experts du “13” demeuraient dans leurs trous depuis 5 jours. sans nul doute éprouvants, mais ils allaient être agréablement rétribués par les petits spectacles érotiques qui allaient se jouer devant eux...le fait de savoir que outre “ eux”, des militaires allaient assister au dévoiement de sa femme chérie, l’excitait encore plus. Peut être que quand tout serait fini, il leur donnerait droit à une “petite prime” pour service accompli ? C’est clair que la petite Marie-Charlotte toute mignonne, toute blonde, toute innocente allait en prendre des coups de bite dans les jours suivants...

Il connaissait bien les méthodes du “13”, les yeux et les oreilles de la DGSE, en milieu “compliqué”. Il s’imaginait les soldats enfouis dans leurs trous personnels, camouflés intégralement, avec leurs objectifs longue distance et vision nocturne. Ils avaient dû se régaler de voir sa charmante petite femme se faire saillir par le chien…
Car chacun avait comme lui même, un bracelet indiquant par GPS, la position de Marie-C, grâce à la puce RFID dissimulée dans son tatouage, qui faisait le pendant de celui de son mari. Pour lui un Cupidon viril qui bandait son arc. Pour elle, son corps nu transpercé de ladite flèche d’amour. Marie-C avait râlé quand elle avait vu le projet, mais son mari pour la première fois intransigeant avec elle, le lui avait imposé. Bien sûr elle ne se doutait pas qu’elle était localisée en permanence, de même que l’existence d’un ordinateur et de caméras pirates sur sa voiture lui étaient inconnues…

Ah “c’est beau la bourgeoisie” ! Sympa de faire partie des Maîtres du monde , non ?
Et grâce à ces caméras dissimulées, Jean-Michel se repassait le film des “exploits de sa femme” de la veille.

Alors que les jeunes mataient le spectacle très sensuel, donné par une Marie-C aux seins nus, Cédric en voulant plus lui demanda “ de se déloquer entièrement !”Sur le coup Marie-C râla, mais très vite, et vu l’augmentation continue de la température dans la voiture, elle obtempéra. Dégrafant sa jupe noire, elle se contorsionna pour la retirer et la passa par la fenêtre côté passager.Puis après un dernier élan de pudeur le string rejoignit la jupe. Marie-C était à poil, et elle y prenait goût. Le fait de s’exhiber ainsi devant des inconnus, lui donnait des sensations voluptueuses, jusque là inconnues d’elle.C’est à ce moment là que le signal d’alarme se déclencha dans le bureau du Luxembourg et que son mari put filmer les événements.
Discutant à part, tandis que les autres étaient toujours rivés au pare brise, Cédric et Isidore passèrent un coup de téléphone, puis se plaçant au niveau de la vitre:
“ Bon écoute bien chérie, on a prévenu le spécialiste mécano du village, il arrive à tire d’aile , d’autant plus quand il a appris qu’il fallait délivrer un petit canon parigot à poil, de sa voiture.Comme on a bien été gentils avec toi, tu vas un peu te branler, on adore mater ça !
-Vous voulez que je ...me masturbe ? Mais je ne sais pas comment faire ! Je ne l’ai jamais fait !
-Putain mais c’est quoi cette meuf ? T’as quel age ? T’as pas de mec ?
-25 ans, et oui je suis mariée .
-Bah alors ton mec t’a jamais appris? T’as jamais maté des trucs de cul sur le net ? ( s’esclaffa Isidore .)
-Mon Dieu de la pornographie ?! Mais c’est impur ! Je ne pratique que le missionnaire avec Jean-Michel, et encore deux fois par mois. Et c’est bien parce que le pauvre ne peut réprimer ses pulsions avilissantes. Il est dit que le sexe ne doit servir que pour la reproduction, sinon l’on vit dans le péché !
-Putain on croirait entendre le Père Gédéon, pendant le catéchisme, sauf que lui il mettait sa main sous les jupes des femmes… pas vrai Camille ?
-Hein hein...il aimait bien se faire sucer aussi... mais bon il avait la décence d’attendre qu’on soit majeures...un curé très bien ce père Gédéon ( comme dirait ma belle-mère).
-Dis donc Camille tu pourrais pas lui donner une leçon de branlette à la demoiselle, j’ai envie de la voir se faire du bien moi ! Vous autres, vous laissez le capot à Camille, et vous venez mater sur les côtés. “

Sous les yeux ahuris de Marie-C, Camille s’installa à genou juste au sommet du capot, elle releva sa jupe ample, pour montrer son absence de culotte et se plaçant une main entre les cuisses, elle commença un mouvement lent de va et vient sur ses lèvres, son clitoris jusqu’à son petit trou avec ses trois doigts. Marie-C la regardait fascinée et se décida à reproduire les mouvements de la jeune femme. Elle prit rapidement du plaisir à cette caresse jusque là inconnue d’elle, et se mit à gémir en regardant Camille s’astiquer elle aussi. Les deux jeunes femmes, en proie à leur plaisir personnel, s’excitaient mutuellement. Les garçons ne pouvaient quitter des yeux la douce Marie-C les cuisses grandes écartées qui promenait ses doigts sur un sexe brillant et splendide.

En effet Marie-C était une personne très belle, à la nudité charmante. Ses seins étaient donc très beaux avec leur forme de poire, ses cuisses fuselées et bronzées juste ce qu’il fallait, son ventre plat sans abdos excessifs, et son pubis décoré d’une fine bande de poils blonds. Bref Marie-C était une jeune femme splendide, un véritable appel à l’amour et à la luxure... problème elle n’avait pas le mode d’emploi ! Au grand désappointement de son époux.

Néanmoins d’après ce qu’il visionnait , Jean-Michel se disait qu’elle était en train de suivre des cours accélérés. Marie-C vint à sa jouissance après quelques minutes, déclenchant par là-même, l’orgasme de Camille. Évidemment les garçons n’avaient pas hésité à s’astiquer le manche durant la performance des deux jeunes femmes. C’est très étonnée, que Marie-C vit ces membres dressés, qui éjaculaient en direction de la voiture. Et encore plus surprise quand elle vit les traînées de foutre projetées contre les deux vitres, qui dégoulinaient…

Entre répulsion et intérêt elle se mit à comparer la taille des ces jeunes membres, avec celle de son mari. Décidément elle en apprenait des choses en peu de temps. Puis un autre protagoniste intervint, Jacques, le “mécano” du village. Petit, gros, un pif comme une pomme de terre et de la couperose, il portait une boite à outils toute rouillée. Il tomba en arrêt quand il aperçut la magnifique créature nue, à l’intérieur.Quand on lui expliqua le problème, il trifouilla dans la boîte, en sortit un énorme tournevis et d’un coup sec, il le fit pénétrer dans la serrure de la portière. Puis en donnant un grand coup de poing dessus, cassa la serrure et put ouvrir la portière. Devant son air ahuri et vicelard, son regard porcin et son sourire édenté,  Marie-C se demanda si elle n’aurait pas, tout compte fait, préféré que la voiture restât fermée ? En tout cas il était trop tard, et c’est resplendissante dans sa nudité, en porte-jarretelles qu’elle mit un pied dehors.

Jean-Michel, sa verge à la main se demandait bien quelle allait être la tournure des événements. Dans son esprit, le doute n’était pas possible: sa femme allait se faire violer .Fallait il faire intervenir les commandos ?” Si tôt ? Ce serait dommage quand même, mais voyons plutôt comment mon petit ange va se tirer de cette situation ?” pensa t il.

Ce fut Camille qui lui donna la solution. Les hommes entouraient Marie-C, et la luxure se lisait dans leur regard, leur verge était redevenue dure et puissante. Marie-C, nue au milieu d’hommes bien membrés, nus à leur tour, essayait de se dégager de leur cercle, qui se restreignait lentement; elle évitait autant que faire se peut, d’entrer en contact avec les sexes turgescents. Jean-Michel pouffait de rire devant cette situation incongrue ...sa femme si prude, à poil, au milieu de 6 hommes la bite à l’air…

Quant tout à coup Camille s’avança vers elle, la prit par la main, l’enlaça et lui roula une pelle. D’abord interloquée par ce baiser soudain et féminin, Marie-C entrouvrit la bouche pour laisser Camille investir sa bouche de sa langue. Elle découvrit que la douceur du baiser saphique ne la laissait pas indifférente, loin de là. Elle étreignit même la jeune femme à son tour.Camille l’entraîna vers une grosse pierre et posant son pied dessus, elle enleva chemisier et jupe, pour être nue à son tour. Les hommes observant le manège des deux femmes demeuraient à distance, s’attendant à un épisode lesbien.Camille dit tout haut qu’elle désirait essayer le porte-jarretelles de sa compagne, et tout bas qu’elle devait prendre prétexte de pisser derrière le bosquet d’arbres proches, pour se sauver dans la forêt .Devant l’air interloqué de cette dernière, Camille lui asséna :
“ Cours le plus vite possible, réfugie toi dans la forêt et n’en sors plus, sinon ils vont te prendre et te violer chacun leur tour...et ce ne sera que le début de ton calvaire.  Méfie toi de tout le monde, ne vas surtout pas au village. Essaye de quitter le canton le plus vite possible. Des ”hommes” vont te chercher, ils ont la haine et la vengeance au cœur. S’ ”ils” te trouvent ils vont te faire des choses pour se venger, que tu n’imagines même pas.
-Se venger , mais de quoi ? je ne leur ai rien fait ?
-“Céline”… tais toi maintenant ; ils nous observent ! “

Marie-C défit son porte-jarretelles, et se dirigea vers le bosquet, en simulant une envie pressante. Pendant ce temps, Camille excitait les hommes, en prenant tout son temps pour enfiler bas et porte-jarretelles de façon voluptueuse. Quand plusieurs mains se furent posées, pour tester la finesse de la soie des bas et la douceur de la toison pubienne de Camille, pour faire bonne mesure, ils s’aperçurent de la fugue de leur victime .

“ C’est pas grave, elle est de la ville, à poil, elle connait pas le canton…. les rabatteurs auront tôt fait de la ramener vers le village. Et alors ! ” dit Cédric à peine courroucé.
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