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Délivrance ! ou ...c'est beau la bourgeoisie !

Chapitre 4

Une soirée trés prisée de la "belle société"...

Orgie / Partouze
-Rapport d’observation, “aigle” pour “nid”...-Objectif repéré, en  grande difficulté.Demande permission intervention
-Réponse “ nid” pour “aigle”...-Précisez nature du danger pour objectif ?
-“Aigle”  pour  “ nid”...-Objectif en prise avec 2 pêcheurs qui l’ont capturé avec leur canne à pêche”Danger de rapt…Permission intervention ?
-“Nid” pour “aigle”-J’en réfère à autorité, ne coupez pas… terminé…

Jean-Michel Desprin-lejean lisait le rapport qui venait de lui parvenir sur son portable I-phone dernière génération. Les "dragons parachutistes" avaient une communication vidéo importante à lui faire parvenir... Ah comme il aimait la concision et la logique efficace des rapports des forces spéciales de l’Armée française !
L’appareil ne serait jamais mis en circulation grand public pour le coup. Les innovations technologiques qu’il intégrait étaient fascinantes. En réalité ce petit I-phone semblable aux autres, était un véritable téléphone cellulaire/satellite crypté, de modèle militaire. Jean-Michel aurait pu, s’il l’avait voulu avoir la Maison Blanche en direct, le bureau de Jamie Dimon,” l’adversaire“de chez JP Morgan, ou lloyd Blankfein, “celui qui fait le travail de Dieu”, ainsi qu’aimait à se présenter lui même, le tout puissant boss de Goldman Sachs.
“ Dommage pour le bouseux de base” se dit il. “ Oh et puis, ils n’auraient même pas l’argent suffisant pour se le payer…”

“Les cons, s’ils savaient “ ...  en riant Jean-Michel repensait à la fameuse répartie de Daladier, sur le tarmac de l’aéroport du Bourget, alors qu’il revenait de la fameuse conférence de paix de Munich en 1938… Cette fameuse phrase avait été adressée à son conseiller, alors qu’il voyait la foule en délire le remercier d’avoir sauvé la paix avec le III° Reich. Oh, le deal avait été simple, on laissait les tchèques se faire dépecer par l’ogre nazi… mais qu’est ce qu’on en avait à foutre en France… de la Tchécoslovaquie...
La parole d’Honneur était alors une denrée rare, les polonais allaient s’en apercevoir, presque un an après, jour pour jour .
 “ Vous aurez la guerre et le déshonneur”, Winston avait vu juste…

Toujours les mêmes peuples naïfs , candides, à qui on faisait avaler n’importe quoi. Pendant que les puissants eux, se gavaient sur le dos de la bête. Tiens il faudrait qu’il envoie avec ce même téléphone, un petit message de félicitations à son futur nouveau boss; David Salomon. Ah celui là, il n’avait pas la maîtrise au golf de Lloyd, mais il savait y faire pour enflammer une soirée: Trader le jour, DJ la nuit. Un phénomène, ce petit David !Jean-Michel se souvenait d’une fameuse soirée quelques mois plus tôt aux Bahamas. Marie-C avait dansé toute la première partie de soirée … et puis tous les invités ne faisant pas partie du premier cercle était partis; ne restaient plus que les proches conseillers de “l’hydre internationale Goldman Sachs”.

Alors des nymphettes de toute beauté, ainsi que des éphèbes du même calibre, étaient rentrés dans la grande salle, arborant des tenues très très légères, et distribuant coupes de champagne ou cocktails aphrodisiaques aux invités. Puis la scène s’illumina et arriva la sémillante Angélique Martin Des essarts, maîtresse de maison et accessoirement femme du responsable ouest-France de Goldman. Elle était accompagnée de deux beaux blacks torse nu, qui tenaient sa longue cape noire dissimulant son corps. Les deux hommes la lui enlevèrent… et Angélique apparut seins nus , un pagne en paille dissimulant encore son pubis, et faisant jaillir 2 bananes dans ses mains elle cria :“ Tout le monde sur le pont !”

Sur ce, ses deux “serviteurs" blacks lui dégrafèrent le pagne qui tomba à ses pieds, dévoilant un pubis rasé avec un petit scorpion tatoué dessus. Aussitôt un concert d’applaudissements remercia l’apparition, et les hommes tombèrent veste, chemise puis pantalon pendant que leurs épouses se laissaient déshabiller par des serviteurs, sur lesquels elles avaient jeté leur dévolu… la partouze pouvait commencer !

Jean Michel fasciné, regardait Angélique, qui ayant été soulevée par l’un des deux blacks par les épaules, fut présentée à son acolyte, qui d’abord , lui posant les jambes sur ses épaules commença à la gamahucher joyeusement. Puis descendant son bassin au niveau du sien, il la prit sauvagement, la pénétrant d’un coup sec. Angélique eut les yeux qui se révulsèrent, tandis qu’elle poussait un long soupir de contentement.  L’autre black, qui la maintenait également, lui caressait les seins et l’embrassait à pleine bouche.Jean Michel qui n’en pouvait plus devant ce spectacle érotique, fit signe à une jeune femme, qui déposant son seau à champagne sur la table devant les deux époux, se mit à quatre pattes devant lui et commença à lui descendre pantalon et caleçon… Marie-C vit avec horreur la jeune femme se saisir du sexe dressé de son mari, et l’engloutir dans sa bouche pour lui assener une douce fellation.

Puis Jean-Michel fit signe à deux serviteurs, et leur indiqua sa jeune épouse, assise sur le canapé prés de lui. Aussitôt les deux jeunes hommes s’installèrent de chaque côté de Marie-C ,et commencèrent à la caresser doucement. Cette dernière se laissa descendre le bustier de sa longue robe de soirée pour laisser ses seins à l’air, que le premier des deux hommes se mit à lécher goulument. Le second repoussa l’étoffe de sa robe jusqu’en haut des ses cuisses fuselées, recouvertes de bas couleur chair maintenus par un porte-jarretelles.. Il caressa doucement les cuisses et s’enhardit jusqu’au slip de Marie-C, qu’il commença a écarter pour y glisser un doigt inquisiteur, qui atteignit bien vite sa fente.Quand Marie-C sentit le doigt qui commençait à pénétrer son intimité, elle se leva comme mue par un ressort,
‘“Mais vous êtes  tous complétement fous ! C’est quoi cette orgie démoniaque ? Et toi Jean-Michel tu ne fais rien, tu laisserais ton honnête épouse se faire violer par ces malotrus ? En regardant toute la scène ? Je suis sûre que tu y prendrais du plaisir, tandis que cette souillon à tes pieds, t’administre un...une...enfin un acte révoltant et dégradant ! Tu n’es qu’un satyre, une vipère lubrique, un obsédé sexuel ! Je rentre, je quitte ce lupanar infâme. Je t’attends 5 minutes dans la berline...sinon je t’abandonne à tes amis libidineux !”

2 minutes auparavant, Jean-M se laissait aller à un rêve éveillé érotique, au cours duquel il admirait sa petite femme se faire caresser et déshabiller par les deux éphèbes...son fantasme devenait réalité ! Marie-C cédait aux avances sexuelles des deux hommes, et allait enfin découvrir sa part de féminité profonde et peut être sombre. Il savait que deux minutes après, Marie-C se retrouverait nue, en porte jarretelles, à quatre pattes, en train de se faire prendre en levrette d’un côté , tout en administrant une fellation à l’autre homme .Et puis après cela, Jean-Michel se voyait bien demander à la jeune femme qui s’occupait de son Plaisir, d’aller enseigner l’Art des caresses lesbiennes à sa jeune épouse.
Et puis cette petite conne avait tout cassé ! Jean-Michel sentit son sexe devenir flaccide, malgré les caresses expertes de sa jeune servante, et une rage intense l’envahir . “ Coitus interruptus ! Décidément cette petite imbécile frigide ne comprend rien à mes attentes... un jour , par Dieu, je la ferai se trainer dans la merde !” pensa t’ il alors qu’il se prenait de haine pour son épouse, chose impensable quelques semaines auparavant…

Mais Il reprit le contrôle de ses émotions, se rhabilla lentement, glissa remerciements et pourboires aux trois jeunes gens qui s’étaient occupés de leur couple, quasi en perdition…Et il traversa la grande salle, adressant clin d’œil de connivence et salutations chaleureuses à tel collègue, qui baisait son épouse en compagnie d’un éphèbe, telle responsable féminine qui se faisait rondement sodomiser par un éphèbe black à l’anatomie plus qu’avantageuse, cette directrice pour l’Asie qui se gouinait joyeusement, en compagnie de deux servantes, appliquées à lui lécher vulve et seins. Et sortant de la pièce, Jean-Michel eut un regard presque larmoyant pour Angélique Martin des essarts, qui prise en position d’Andromaque inversée sur l’un de ses jeunes amis, se faisait royalement sodomiser, tandis que l’autre la surplombant, lui pénétrait le vagin avec force conviction. Décidément la mature Angélique savait régaler les hommes, et donner de sa personne en prenant elle même son plaisir !“Mais ça n’est que partie remise ma grosse salope “, pensa Jean-Michel !

Installés sur la banquette de la berline qui les ramenait à leur hôtel, Marie-C boudait, le visage contre la vitre, tandis que son mari avait toute son attention rivée sur elle.Si elle s’était retournée, elle aurait vu un masque sur les traits de son mari, qu’elle ne lui connaissait pas. Il avait un regard perçant, presque démoniaque, soudé sur la nuque de son épouse.  Une lueur mauvaise dans les yeux, d’où suintait une haine inextinguible pour celle qui était encore quelques heures auparavant la fleur de sa vie.Des pensées de revanche, de haine, de scénarios très glauques, tordus et très trash naissaient dans l’esprit enfiévré de Jean- Michel…

Heee oui ! Parfois le doux et gentil mari pouvait être autre chose qu’un homme très bien, comme aurait dit ma belle -mère !
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