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Délivrance ! ou ...c'est beau la bourgeoisie !

Chapitre 11

"Le combat des cheffes"...

Trash
Ambiance de cirque romain et de combats de gladiateurs/es...
Marie-C, en string de cuir, fut amenée, seins nus, une cagoule sur la tête, qui laissait jaillir une queue-de-cheval blonde. En face, une autre femme était devant elle, de l’autre côté de la mare de boue, “vêtue” de la même façon. Sur les côtés, une assemblée de personnes masquées et portant des capes attendaient... sur des gradins de pierre, façon amphithéâtre romaine.Il y avait deux balcons qui se faisaient face ; avec deux hommes vêtus de noir, affublés d’une cagoule de la même couleur. Un homme vêtu de la même manière parlait dans un micro, s’adressant à toute l’assemblée.
— Mes amis, nous sommes rassemblés ici pour admirer le magnifique combat qui va avoir lieu. A ma droite Messaline, la pauvre martyre qui lutte ici pour sa survie et sa liberté !
A ma gauche, Agrippine, qui va lutter, elle, pour se venger de son mari !Mesdames, que la meilleure gagne ! Musique maestro !“
Aussitôt résonna le tempo agressif et lourd de “Relax” de “Frankie goes to Hollywood”.
Alors les deux femmes tournèrent autour de la mare de boue, en position de “féline”.

Marie-C avait le cœur qui battait la chamade, elle ne savait pas se battre, et n’était nullement agressive, mais néanmoins elle savait qu’elle jouait son “va-tout”. Il lui fallait gagner ce combat à mains nues contre cette femme, qu’elle ne connaissait pas, mais qui semblait diablement agressive à son encontre.Si elle gagnait, son maître lui avait dit qu’il la libérerait immédiatement.
Prenant son élan, la brune sauta au-dessus de la mare de boue, et se précipita sur Marie-C, qu’elle fit choir dans la boue. Alors le corps à corps fut féroce. Marie-C hurla, lorsque la brune lui saisissant sa queue-de-cheval lui tira violemment la tête en arrière. Elle chercha à tâtons l’un des seins de son adversaire, et le tordit méchamment. La brune hurla à son tour et lâcha ses cheveux ! Alors Marie-C s’acharna sur les seins de son ennemie, et alla jusqu’à la mordre jusqu’au sang. Agrippine hurla derechef, et lui décocha un violent uppercut sous le menton. Marie-C tomba à la renverse dans la boue, à moitié assommée...
Alors Agrippine lui sauta dessus, se plaça à califourchon sur elle, et commença à lui gifler les seins violemment. Elle lui écarta les cuisses, arracha son string de cuir, et sans ménagement lui enfonça ses doigts dans sa fente. La pauvre Marie-C cria de surprise et reprit ses esprits. Cela fit monter une grande clameur de la part de l’assistance, qui commença à s’enflammer pour le combat des deux femmes. Agrippine, vicieusement, commençait à masturber Marie-C, sous les vivats de la foule ! Bientôt, elle ressortit ses doigts et formant un plat de la main, avec le pouce à l’opposé, commença à faire pénétrer le tout dans la chatte de Marie-C, qui commençait à se dilater.
Sur le coup, Marie-C commençait à protester contre ce quasi-viol, mais elle décida de se laisser faire, et de surjouer le truc, pour ne pas éveiller la vigilance de son ennemie, qui pensait l’avoir domptée ! La foule était en furie, des cris s’élevaient des gradins :
— Oui ! Vas-y ! Fais-la jouir cette salope ! "Fist" la ! “

Docilement, écartant les cuisses toutes grandes, elle facilitait l’intromission odieuse dans son intimité. Elle gémissait et suppliait même son ennemie de la faire jouir ! Celle-ci flattée, se concentrait sur sa main qui investissait le vagin de son ennemie, perdant tout intérêt pour le combat, et désarmant sa vigilance !Marie-C, qui jouissait à perdre haleine, releva alors le buste, et doucement approcha ses deux mains de la tête de l’autre. Ouvrant toutes grandes ses deux mains, elle frappa d’un terrible coup sec sur les deux oreilles d’Agrippine, en même temps. Le coup se répercuta sur les gradins. Tout le monde se tut ! L’adversaire vaincue s’écroula dans la boue, complètement inerte.
Elle releva son adversaire et lui arracha le string en cuir, dévoilant une belle bande de poils noirs sur le pubis. Elle amena alors sa victime, en la traînant dans la boue jusqu’au “but”, une estrade en pierre, située sous l’un des deux arbitres. Elle la souleva difficilement, puis l’ayant couchée sur le sol de pierre, elle se pencha pour récupérer un peu de boue liquide très fine, et écartant les cuisses d’Agrippine, pour dévoiler sa vulve à l’assistance, lui fit subir le même sort qu’elle avait reçu des mains de son adversaire. Mais avant, elle lui tordit les pointes des seins, pour la réveiller ; Agrippine était vaincue et accepta tout ce que lui fit subir Marie-C. Elle reçut la main de cette dernière, qui lui dilata le vagin et qui la baisa avec son poing, sous les vivats de la foule en délire, qui était restée muette jusque-là.
Agrippine ne se retint pas de gémir et de jouir, sous la masturbation brutale qui lui était infligée. Puis après le dernier cri de délivrance, Marie-C l’emmena jusqu’à une espèce de pal en pierre, de 20 centimètres de hauteur, et elle fit mettre son ennemie à quatre pattes, qui fut obligée de sucer le pal de pierre... c’était la loi, en ce bizarre endroit !Et lui écartant les fesses, face au public en délire, elle commença à introduire ses doigts dans son trou du cul. Là encore, la femme se laissa aller à une jouissance obscène et bruyante. Quand l’orifice fut bien dilaté, Marie-C la fit redresser, et lui ordonna de s’empaler elle-même sur le gode de pierre, ce que fit Agrippine sans regimber.
Alors Marie-C embrassa goulûment et profondément la vaincue, qui accompagna sauvagement le baiser d’amazone !Nue, souillée de boue, des bleus partout, Marie-C se retourna vers la foule en liesse, et dressant les bras vers le ciel, hurla :
— Je suis libre ! Vous en êtes tous témoins ! J’ai vaincu !”

Marie-C se réveilla dans son lit, un petit-déjeuner très appétissant sur la desserte à côté. N’y croyant pas, elle se mit sur son séant et laissa son visage être baigné par les rayons du soleil, qui filtraient au travers de la grande baie vitrée de la chambre conjugale.Elle n’y croyait pas... libre, elle était libre ! Le cauchemar était terminé... elle savoura l’odeur des draps de satin qui fleuraient bon la lavande. Elle sentait néanmoins des douleurs aux côtes et au genou droit, preuve que tout ce qu’elle avait vécu avant, n’était pas du domaine de l’onirique.
Peu après, son mari entra dans la chambre, et se précipita au chevet de sa jeune épouse. Il se répandit en paroles douces et amoureuses. Il se reprocha le rapt de sa femme aimée, qu’il avait crue perdue à jamais, et lui martela qu’il avait fait tout ce qui était en son pouvoir, pour la retrouver saine et sauve. Selon lui, elle avait été retrouvée dans sa Mercedes, sur une aire d’autoroute non loin de Brive-la-Gaillarde.
Une fois sous la douche, Marie-C se remémora ses derniers souvenirs et la complainte de son mari... quelque chose sonnait faux, elle le sentait. Le ton indulgent et presque plaintif de Jean-Michel ne lui ressemblait pas du tout. D’autre part, dans ces heures d’effroi et de désespérance, elle s’était toujours demandé pourquoi il n’avait rien pu faire, pour la délivrer de ses ravisseurs. Marie-C n’était pas aussi bête que pouvait le penser son mari, et elle savait que dans leur monde, de nombreux gardes fous, vigiles, gardes du corps, systèmes de protection divers auraient dû l’empêcher de sombrer dans une si vilaine affaire... alors qu’est-ce qui n’avait pas fonctionné ?
D’autre part, le commando, cet homme au blason comprenant un aigle sur un soleil, en dessous d’une couronne, que faisait-il là ? Pourquoi était-il venu lui sauver la vie ? Elle n’en savait rien, mais elle en aurait bientôt le cœur net.Elle s’imagina bientôt son beau guerrier nu, à côté d’elle, sous la douche, la caressant, le sexe en érection contre sa petite toison de blonde, et elle ne put résister à l’envie d’immiscer deux doigts dans sa grotte brûlante de désir... son plaisir vint très rapidement. Pour la première de sa vie, Marie-C s’était masturbée !
Sa petite vie de jeune femme, faisant partie des “maîtres du monde”, reprit son train-train quotidien... avec néanmoins une petite nouveauté. Où qu’elle aille, elle était toujours suivie de trois gardes du corps ! Visiblement, son mari ne voulait plus reperdre sa petite femme chérie. Marie-C reprenait goût à la vie et à ses délices de petite fille bourgeoise. Pourtant un mois plus tard, une soirée, la dernière de ce monde pourri, allait lui dessiller les yeux !Son mari lui avait dit que ce serait une soirée un peu spéciale et chaude... après tout ce qu’elle avait vécu, Marie-C était prête à toutes les turpitudes du sexe. Elle allait étonner Jean-Michel, elle en était sûre... pourtant ce fut elle qui le fut... au-delà de tout ce qu’elle avait imaginé.

Comme elle s’en doutait, la soirée était fondée sur une licence éhontée. Déjà, l’alcool coulait à flots, et les serveuses très belles et peu vêtues donnaient le ton de la soirée. Lorsque les premiers couples commencèrent à se caresser sur les divans, tandis qu’une femme masquée faisait un très beau striptease, elle n’en fut pas étonnée !
Elle n’attendait que la permission de son mari pour se joindre à un groupe de libidineux, pour donner libre cours à sa luxure. Elle sentait ses nymphes gonfler, et sa fente se répandre en liquidités délicieuses
.Pourtant, lorsque Jean-Michel s’approcha d’un couple, dont la femme avait les seins nus, caressée par un troisième homme, et que son mari lui présenta comme étant le couple leflic Prejean, Jean-Raymond et sa femme Edwige, elle eut un coup au cœur ! La femme, à moitié nue, portait de nombreux bleus sur le corps... et une impression subliminale "criait" à Marie-C qu’elle ne lui était pas étrangère... Lorsque Jean-Michel les présenta avec leurs pseudonymes, Fantomas et Agrippine, Marie-C éprouva un grand malaise... se pouvait-il que ? Néanmoins, elle se laissa asseoir entre les deux, qui commencèrent à la déshabiller et à la caresser sur tout le corps, pendant que son mari observait la scène avec intérêt, avec un regard que Marie-C ne lui connaissait pas. Elle avait l’impression d’être livrée à trois créatures des enfers ! ?
Pourtant quand Edwige la fit se baisser, et qu’elle se trouva face au sexe en érection de Jean-Raymond, sans hésitation elle emboucha le sexe et commença à pomper. Pendant ce temps, Edwige, qui l’avait débarrassée de sa robe, pour la laisser en porte-jarretelles et bas noirs, Marie-C n’ayant pas mis de string, s’était allongée sous elle et lui caressait le clitoris, tandis que sa langue agile prenait possession de sa fente.
Marie-C commença à gémir sous les caresses saphiques, en même temps qu’elle suçait l’homme de fort raisonnable façon.Celui-ci lui jouit bientôt dans la bouche, et elle avala toute la semence, tandis qu’elle-même, transformée en femme fontaine, se répandait dans la bouche d’Edwige. Le commentaire de son mari la blessa énormément, sans qu’elle en comprît le fondement :
— Eh bien, je ne sais pas ce que tu as fait durant ton absence, mais en tout cas, tu es devenue une sacrée petite salope ! — Certes, notre Messaline sait y faire, mais n’aurais-tu pas quelqu’un à lui présenter, Jean-Michel ? Eh oui, nos épouses sont de sacrées petites salopes ! “
Les paroles de Jean-Raymond étaient comme du fiel :
" Certes oui, allons lui présenter notre sémillante stripteaseuse ! Marie-C voici Céline, que tu connais déjà peut-être ? “ Le ton était goguenard et doucereux.
Alors la jeune femme nue, qui avait quitté son estrade après son spectacle érotique, retira son masque, et au bord de la folie, Marie-C reconnut la “Cape”, Céline, son ancienne servante... mais une Céline indemne, belle et jeune comme au premier jour, pas d’œil en moins, ni de scarifications dues aux coups de fouet, ni aucune autre trace de supplice. Céline était totalement indemne.
— Mais, mais que fais-tu ici et dans cet état ?? Je t’ai connue torturée et défigurée dans ce maudit château... je ne comprends plus !”
La fin de la phrase se termina sur une note hystérique, Marie-C au bord de la folie, au bord de la fureur, commençait à comprendre le monde où elle vivait, mais ce fut Céline qui apporta la dernière pierre, à sa compréhension de la corruption de cette caste.
— Désolé ma belle, ton mari et Jean-Raymond ont un petit jeu...à tour de rôle, ils mettent aux “enchères” leur femme du moment. Sur ce coup-là, c’est ton mari qui a perdu, et toi qui as été l’objet involontaire du jeu. Néanmoins, tu as gagné ! Bravo et sans rancune !
Alors Marie-C, la petite Marie-C, qui avait été torturée, “violée”, abusée, avec son consentement obtenu par des voies viciées, se révéla à elle même. La descendante de guerriers ardennais ressuscita ! Elle donna un coup de poing monumental à Céline qui s’écroula sur place, un coup de pied violent à Jean-Raymond dans les couilles, et un splendide coup de boule à son futur ex-mari... et partit toute nue, en hurlant, pour quitter leur monde de pourriture !
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Martignas sur Jalle, petite bourgade des landes en dessous de l’estuaire de la Gironde... une Mercedes noir modèle SLK attend près de l’entrée du camp de la Souge, cantonnement du 13 RDP. A l’intérieur, une superbe blonde d’environ trente ans, qui semble attendre quelqu’un. Il est 17h30 et les militaires sortent pour profiter d’une permission bien méritée. Un arrêt de bus les attend non loin de là.Bientôt, un type plutôt bien bâti, cheveux châtain clair, un grand sac sur le dos, fait son apparition... aussitôt, la jolie blonde sort de sa voiture et l’interpelle :
— Paul Dejoinville ? I°ère compagnie, deuxième section ?— C’est ça, sauf que c’est l’inverse ! (le type était très cool).— Et si je vous appelle “Aigle”, ça vous parle ? ” Le sourire du militaire se figea.— Comment savez-vous cela ? — Vous ne vous souvenez pas de moi ? Je suis “Messaline” !— “Messaline” !? Oh, mon Dieu, vous vous en êtes donc tirée. J’avais envie de gerber... je ne pouvais rien faire pour vous tirer de là...— Oh si, vous m’avez sauvée, et vous m’avez donné l’essentiel.— C’est-à-dire ?— L’espoir et l’Amour... le vrai. “
La jeune femme, Marie-C, se lova dans les bras du beau militaire, et leurs lèvres se trouvèrent naturellement.
Cette nuit là, à l’hôtel, ils firent l’amour au moins huit fois. Marie-C apprit même des trucs à Paul, que son fougueux amant ne connaissait pas. Trois jours plus tard, il se libérait de ses obligations militaires. Marie-C s’était bien renseignée... il arrivait en fin de contrat. Une semaine après, ils s’envolèrent pour l’Argentine, vers l’une des haciendas que Marie-C possédait là-bas... pour une nouvelle vie d’amour, de plaisir et de vérité.
C’était le 17 octobre 2032... une semaine après, commença le plus grand krach financier de l’Humanité... et le dernier. On appela cela " le Jour de la Grande Trahison" !Et rien ne fut plus jamais comme avant...
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