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Demande en union charnelle

Chapitre 1

Erotique
Mon ami ! Enfin, si tu veux bien que je t’appelle ainsi. Nous avons partagé tant de choses et si peu à la fois. Tu n’as jamais été mon confident et je n’ai jamais été le tien. Hier, nous avons passé des moments chaleureux dans la montagne enneigée, discuté de longs instants de tout et de rien sans jamais nous livrer vraiment. Nous nous sommes succédé dans les bras des mêmes femmes. Nous avons tu ce que nous savions des débauches de l’autre. Nous nous sommes protégés mutuellement sans jamais en parler. Nous étions ravis de nous voir et muets tout à la fois. Nous nous sommes soutenus en silence dans certains moments si difficiles. Et jamais je ne m’étais demandé pourquoi. Puis, un jour de pluie dans la forêt poitevine, j’ai eu soudainement cette révélation : tout en toi me plaît et me rassure. Au-delà de ce lien fraternel solide, il en existe un autre plus subtil, moins avouable : tu me plais.
Oui, tout me plaît chez toi : ta discrétion, ton humour, ta gentillesse, tes valeurs ; mais aussi ton corps petit, musclé et harmonieux, ton visage empreint de douceur et, pardonne-moi, ton cul rebondi qui attire mon regard. J’ai viscéralement envie de te toucher, te caresser, te peloter. Je n’ai d’autre ambition que de t’être accouplé.
Rassure-toi, mon ami, pas d’être ton amant ; mais un objet sexuel à jamais disponible prêt à s’écarteler pour t’accueillir en lui. A cette évocation, déjà mon cul s’enflamme, ma bite se redresse et mes seins se durcissent. Je rêve de te voir me penser en lopette et me traiter ainsi en toute circonstance. Déjà, je me tortille excité et ravi de penser à ces prudes amis qui pourraient imaginer ton sexe dans ma bouche ou fiché dans mon cul prosterné et soumis. Si tu veux, maintenant, je jetterai au feu tout mon linge de corps et ne revêtirai plus que de frêles cotonnades couvrant à peine ma peau. Je viendrai te rejoindre ainsi presque exhibé, rempli de l’impression de me déplacer nu, mes sens tendus vers toi, le corps creusé, ouvert et prêt à l’indécence. Je crois que j’aimerai ces repas entre amis ou, placés côte à côte, nous pétrirons nos sexes, conversant avec tous sans avoir l’air de rien.
Mais aussi ces baisers furtifs, corps à corps dans la cave, sous prétexte de trouver une exquise bouteille...
Et puis, il y aura ces rendez-vous d’enfer où ton sourire moqueur nous servira d’antienne et une claque sur mon cul de geste de bienvenue. Par la suite, un baiser réveillera nos sens, ta langue envahira ma bouche courtisane, enlacés corps à corps, sexe à sexe bandés, une main sur les fesses. De caresse en caresse, nous ne contrôlerons plus rien. Fiévreusement dénudés, vêture semée partout, nous voici au verger à nous rouler dans l’herbe, fébrilement occupés à caresser nos peaux et à branler nos sexes. J’aime ta fine queue d’une taille honorable et tes bourses pendantes d’une douceur sans pareille. Je m’imagine lascif, à genoux tête au sol, te présentant mon cul, les fesses bien écartées. Quant à toi, tu t’occupes à lécher ma rosette, à détremper ma raie, à faire entrer ta langue dans mon intimité, qui pour toi se dilate et s’écarte à souhait. Je veux que tu m’embroches et de toi accepter les tout derniers outrages. Je n’ai plus de pudeur, me tortille sans retenue.
Je veux être ta chose et me livrer à toi sans craindre ton mépris. Sans être ton amoureux, je veux être ton galant.Bientôt, je sentirai ton gland entrer en moi, doux prélude d’un plaisir sans pareil ! Sans violence, ta bite s’enfonce par à-coups et envahit mon corps. Alors que tu t’agites, je m’effondre face à terre et t’emmène avec moi vers l’herbe grasse. En croix de Saint-André, mon corps se positionne pour bien te recevoir. Tu t’agites et toujours plus profond, tu t’enfonces. Mes boyaux ne sont plus qu’une zone érogène soumise à l’incendie d’un plaisir sans pareil. Tu ahanes et je hurle de bonheur et d’extase, sentant ton foutre chaud me remplir de ta vie. Tu bouges encore, moins vite, t’arrêtes. Tu te laisses tomber de tout ton poids sur moi, verrouillé dans mon cul et nous restons ainsi. Je suis béat, heureux et te suppose ravi.
Et puis après, je rêverai de toi ! Je ne penserai qu’à toi ! Il n’est de nuit où je me réveillerai soudain, transpirant, le corps rempli de désir, la tête en désordre. Je ne pourrai me passer de toi. Souvent, je saisirai les moments où ma maison est vide pour t’inviter à faire exulter les corps. Parfois, je te surprendrai dans la tienne, solitaire. Lorsque ta famille sera là, nous trouverons de bonnes excuses pour nous rendre dans le jardin, à l’atelier où à la cave et, nus comme des vers, nous faire jouir mutuellement. Toi aussi, tu m’offriras ton cul et me suceras sans cesse. Je t’aimerai sodomite, tu me plairas avaleur de foutre. Mes mains savoureront ta peau douce, exciteront tes tétons, envahiront ta raie, branleront ta queue.
Parfois, nous nous rencontrerons à l’écart de la ville dans ce petit bois si bien aménagé. Nous nous cacherons dans le taillis pour nous défoncer le cul, au risque d’être surpris par quelques promeneurs. Le plaisir de transgresser et l’angoisse d’être découvert décupleront nos plaisirs indécents. Je remplirai mes yeux de tes beautés cachées. Je te dirai combien je succombe à ton charme. J’éduquerai ma gorge à avaler ta queue au plus profond d’elle-même. Je caresserai ta peau de tes pieds à ta tête et récidiverai, tant mon plaisir est grand. Je te laisserai me câliner, peloter, caresser et sans cesse en moi faire monter le désir. Toujours, je hurlerai le bonheur de l’orgasme, sans crainte.
Et puis, l’été, nous nous rejoindrons en bord de mer. Je connais des endroits, dans la dune, où nous pourrons nous exhiber tout à notre aise. Nous le ferons secrètement si tu le souhaites. Si tu en as envie, nous choisirons des lieux de drague où de nombreux spectateurs obsédés de sexe viendront nous contempler dans l’action ; nous encourager à l’indécence et à la sodomie ; se branler en nous voyant et recouvrir nos corps nus de leurs sécrétions. Aimerais-tu en convaincre un de nous prêter ses fesses et sa bouche pour nous exprimer en un érotique et pénétrant trio ? Nous irons ensuite nous laver dans la mer. Nous nous exhiberons sur la côte sauvage et nous pourrons nous y caresser sans entrave. Quelquefois, il serait magnifique de nous aimer discrètement dans l’eau.
Le matin au gite, le premier levé ira réveiller l’autre de quelques caresses et, si nécessaire, de quelques coups de queue. Nous y vivrons nus et sans entrave. J’admirerai ton corps dénudé, occupé à jardiner, se contorsionnant de mille manières notamment tes fesses musclées se creusant d’agréables fossettes et ton sexe ballottant à chaque mouvement. Lorsque nous ne serons point seuls, l’arrière-cuisine et la cabane de jardin seront les refuges de nos amours et de nos pratiques indécentes. Ici aussi, quel plaisir de jouir dans l’urgence en pensant à tout moment pouvoir être découverts en pleine action !
De retour à la ville, que dirais-tu de nous organiser pour retrouver le plus souvent possible ces amusements indicibles ? Pourrions-nous créer le lieu de notre relation qui nous permette de pratiquer tous nos fantasmes ? Une chambre de bonne, une cabane de jardin, équipées de grands miroirs pour exalter notre plaisir. Je veux contempler ton petit cul s’agiter et tout ton corps bouger en cadence quand tu me baises en lotus. Je veux voir ta bite dressée quand je t’encule en crabe ou en l’air. Je voudrais aussi te donner ce plaisir !
Dis-moi, mon ami, ce que tu penses de tout cela. Dis-moi que ton désir rejoint le mien, que tu veux te livrer sans entrave à toutes ces turpitudes. Dis-moi que mon cul te plaît, que ma bite te paraît jolie, que tu aimes mon grain de peau, que tu veux désespérément me caresser, me toucher et te livrer sur moi à toutes les pratiques immorales dont tu rêves. Dis-moi que tu désires que je t’embroche, te lèche et te fasse jouir. Oui, dis-le-moi !
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