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Un déménagement imprévu.

Chapitre 2

Lesbienne
J’apprécie ce joli tableau, mais, elle, fesses offertes, jambes largement écartées, son petit boudeur frémissant d’impatience, pensant peut-être que je ne sais lequel choisir, se relève et vient farfouiller dans le tiroir avec l’expression gourmande de la petite fille devant l’armoire à confitures !Ayant rapidement trouvé chaussure à son pied (enfin, pour le prendre !), elle me le tend pour que je l’enfile (et c’est bien ce qui va lui arriver !).
C’est une culotte en latex noir, ultra-souple pas évidente à mettre qui moule bien le bas-ventre et les fesses. Il est muni d’un petit téton sur lequel se fixe un gode. Je sens ma compagne excitée de me voir trémousser toute nue pour le mettre et l’attire pour l’embrasser à pleine bouche. Elle en profite pour me fixer l’appendice, je le sens quand elle le clippe et en ai une bouffée d’excitation.
— Tu as déjà utilisé un gode-ceinture ?— Pas souvent, pas des comme celui-ci... mais j’en ai vu dans des vidéos.— Il n’est pas très esthétique, mais avec, tu seras un vrai petit mec ! Mon petit mec !

Et absolument pas gênée, elle reprend sa position obscène de levrette. Affalée sur son dos que j’embrasse, je lui caresse la fente d’une main et agace son bouton de l’autre. Ça la fait ronronner, je sens que l’on va bien jouer toutes les deux. Le sexe de latex frotte sa vulve ; mais rapidement, elle prend ma main et pousse deux doigts dans sa chatte.
— Ça va me faire mouiller plus vite, mon chéri.

Je ne relève pas, c’est amusant et une façon inattendue de me motiver. Elle a un OOOOHHHH de satisfaction et se cambre quand je la pénètre. Me redressant, doucement, je rentre progressivement mon membre, je devine sa chatte s’humidifier jusqu’à céder et s’ouvrir complètement. Les mains tenant bien ses hanches, je la besogne lentement et admire le gode qui rentre et sort avec des flocs-flocs, son cul qui s’anime, sa respiration qui commence à haleter, la mienne aussi, excitation mêlée de fatigue.
C’est que je prends mon rôle au sérieux, j’ai envie de la faire jouir comme ça et les coups de reins me chauffent le minet, car le latex laisse passer l’élasticité de ses fesses qui m’agacent le clito.
— Alors ma salope, tu es contente ? Je l‘enfile à fond, presque brutalement.— Oh oui, qu’est-ce que j’aime ta bite ! répond elle entre deux hoquets. Baise bien ta petite femme, dis, fais-moi voir comment c’est par ici ?

Et elle empoigne le gode pour se le fourrer dans le cul. Le chemin est bien préparé et l’engin bien lubrifié de cramouille force son chemin sans trop de résistance.
J’ai une nouvelle montée d’adrénaline lorsque le mandrin rentre en entier, après qu’elle l’ait enduit de sa salive avec sa main. Elle manifeste son plaisir d’un OOOOUUIII bruyant et donne des coups de cul comme une malade.J’ai beau connaître la sensation, c’est comme si je la découvrais, comme si c’était mon cul qui était profané. Là, pas de montée en puissance, elle se déchaîne immédiatement et se pourfend la rondelle à grandes ruades qui arrivent à me déstabiliser, m’obligeant à affermir ma prise sur ses hanches.
— Oh oui ! Oui ! fous-moi tout salaud, baise mon cul ! Défonce-le ! Enfonce bien ta bite ! Fais plaisir à ta femme, à ta salope de femme ! Baise bien ta pute !

Heureusement, le lit est solide, car nous formons un couple en folie, elle, donnant de grands mouvements de bassin en tous sens, moi, juchée sur son dos, dans un rodéo obscène, me tenant comme je peux les mains contre son ventre pour ne pas être désarçonnée, excitée comme rarement.Quand j’arrive à les atteindre, je lui pelote les seins, le minet, hmmm comme il est trempé, je vais me régaler tout à l’heure à le bouffer !
Quand elle se calme, les grandes claques que je lui mets sur la chatte et les fesses la font partir de nouveau et plus d’une fois, il faut remettre le gode dans son cul devenu aussi glissant et béant que sa chatte. De temps en temps, j’en profite pour reprendre sa moule, mais elle l’en déloge presque aussitôt, pas de doute, elle préfère par derrière. Comme moi...
Elle jouit enfin dans un long soupir. Nous sommes essouflées, je n’ai pas joui vraiment, mais cette séance valait le déplacement. Je déguste enfin son jus intime et elle apprécie mes coups de langue qui viennent aussi laper son anus salé de sueur.
Le slip de latex m’a fait transpirer, la sensation est agréable, nouvelle. Quand elle me l’ôte, elle me renverse et pose sa chatte sur la mienne, mes cuisses bien écartées en frottant ses lèvres sur les miennes. C’est si bon, chaque frôlement de mon clito me rapproche de l’orgasme. Elle a adopté la même cadence infernale que tout à l’heure et nous jouissons face à face, chatte à chatte, mes jambes nouées aux siennes.
Tout à l’heure, je la baisais comme un mec, maintenant c’est elle qui me baise. Et j’adore ça. Elle parle sans arrêt, une vraie poissarde. Je ne m’en plains pas, car elle m’énerve aussi, de sa voix rauque qui murmure à mon oreille des obscénités.
— Ohhhh, ma gouine chérie, qu’est-ce que j’aimerais te pénétrer...— ...?— J’aimerais avoir un gros clito pour te le mettre dans la moule et dans le cul.— ...? (ça s’appelle pas une bite ?)— J’en ai vu sur des vidéos, rien que d’y penser, j’ai envie de te fourrer... Oh oui, le frotter sur ta vulve, le mouiller à ta crème...

Cette femme est sans aucun doute la pire salope que j’ai rencontrée, et pourtant, j’en connais, mais des comme elle, jamais ! Je savoure ma chance autant que mon plaisir.Je crois avoir été à la hauteur, j’avoue qu’elle m’a fait passer mes limites.
Elle est lovée contre moi, débordant de tendresse, nos caresses sont floues, aucune de nous n’a envie de reprendre, nous avons besoin de souffler.
— Tu es satisfaite de ta petite femme ?— ...?— Tu sais, je pourrais avoir des hommes, plein, même, mais je préfère être à une femme... me dit-elle, se lovant contre moi.— Ca oui, tu aimes être bien pénétrée... et partout ! lui dis-je en laissant glisser un doigt de son abricot à son étoile.— C’est vrai et de mille façons, je crois que j’ai tout essayé, mais aucun homme ne me baise comme le fait une femme, sans doute parce qu’elle connaît le goût de ce qu’elle me donne... et là dessus, tu n’es pas la dernière... tu es vraiment un bon petit mec !— Tu m’as aussi donné beaucoup de plaisir, je pense n’avoir jamais rencontré une hétaïre avec une imagination telle que toi...— Vraiment ?
Sur ce, elle s’échappe et revient en tenant une banane qu’elle a épluchée à moitié. Elle la suce comme un sexe d’homme, ses yeux mi-clos me fixant, pour être bien sûre qu’aucun mouvement de sa longue langue ne m’échappe. Elle alterne lent et rapide, fait descendre le fruit sur son ventre, lisse son petit bouton avec et l’enfonce entre les lèvres, la peau tigrée pendante exacerbant l’incongruité de la scène.Elle se masturbe devant mes yeux fascinés, avec une dextérité qui dénote une grande expérience. Le fruit entre et sort au rythme de son envie, elle le porte à la bouche de temps en temps et le replonge dans sa petite fente, chaque fois un peu plus couverte de crème...Puis, d’un geste lent et érotique, elle jette la peau et se tourne pour me laisser la voir s’enculer avec. Son étoile bien prise, elle lève les bras et entame une danse lascive, son cul de cavale enserrant l’infâme pénétration.
Inconsciemment, j’ai porté mes mains sur ma chatte et me caresse en la matant.
— Fais-toi jouir pour moi, ma chérie...— Oh oui... regarde bien...

Elle n’a pas besoin de ses mains pour faire bouger le fruit dans ses fesses. Sans la casser, elle se baise la rondelle avec sa banane, la fait aller et venir. Quelle chienne ! Je lui crie ma jouissance, elle n’attendait que ça pour venir également.J’ai trop envie de grignoter le fruit qui lui sort de l’anus. Sucre et amertume me ravissent. Elle, c’est ma langue qui s’immisce qu’elle apprécie...
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