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Ma demi-belle-sœur

Chapitre 1

Trash
Lorsque j’ai rencontré Nina, je suis tout de suite tombé amoureux d’elle. C’était une jolie petite trentenaire, belle blonde avec des seins magnifiques qui tenaient bien haut et une croupe des plus excitantes. Son joli visage mutin d’ange complétait à merveille le tableau. Nina était issue d’une famille recomposée et j’ai très vite rencontré ses deux papas et ses deux mamans (parents et beaux-parents). J’ai aussi fait la connaissance de toute la fratrie : quatre garçons et trois filles dont la plupart étaient plus jeune qu’elle. Tout ce beau monde s’entendait plutôt bien. J’avais juste décelé une espèce d’électricité entre Nina et Annabelle, la plus jeune des filles de son beau-père. La suite m’a permis d’expliquer d’où venait cette électricité.
C’était un jeudi soir. Nous étions chez la mère et le beau-père de Nina. Ils avaient décidé d’aller au restaurant, nous laissant la maison.
« Surtout ne faites pas de bêtises, les amoureux. » nous avait lancé la mère de Nina.
Alors que nous commencions à nous tripoter gaiement sur le canapé, un bruit de clé se fit entendre depuis la porte d’entrée. Quelques secondes plus tard, Annabelle apparut.
« Salut Anna, lui dis-je un peu embêté de sa présence— Bonsoir, répondit Annabelle— Qu’est-ce que tu fais là ? Demanda sèchement Nina à sa demi-sœur.— Si tu veux, je ne reste pas, dit-elle en baissant les yeux. »
Puis Anna partit à l’étage, dans sa chambre, laissant une atmosphère un peu particulière dans la salon. Nina semblait soucieuse, comme si elle voulait dire quelque chose mais n’osait pas. C’était très curieux. Soudain elle brisa le silence :
« Tu m’aimes ?— Oh oui… Comme un fou, lui répondis-je.— Tu sais, j’aime des choses un peu… particulières…— J’ai du mal à te suivre.— J’aime bien… décider… Tu le sais…— Ça ne me dérange pas du tout.— D’accord mais comment le prendrais-tu si je t’avouais que tu n’es pas le premier que je fais… obéir ?— Il y en a un autre ?— Non, il n’y a que toi que j’aime… Promis !— Je ne sais pas trop… Tu peux m’en dire plus ?
— Le plus simple c’est que je te montre. »
Et Nina hurla le prénom d’Annabelle. Très vite, celle-ci apparut de nouveau dans le salon, les yeux baissés. J’eus du mal à en croire mes yeux mais Annabelle semblait obéir à Nina. Et ça n’était pas qu’une impression.
« A poil ! » lança Nina.
Annabelle retira alors doucement ses vêtements jusqu’à se retrouver nue devant nous. Cette jeune femme (elle venait d’avoir 23 ans) était plutôt ronde mais pas trop grasse. Son sexe était orné d’une belle toison brune touffue et ses seins n’étaient pas très gros. D’un geste, Nina lui ordonna de se retourner et je pus voir ses fesses, un peu grasses et un peu tombantes.
« Elle n’est pas très jolie cette truie, non ? Me demanda Nina.— …— Tu as un copain, Anna ? Lui demanda-t-elle— Non, répondit la pauvre fille— Alors qui te baise ?— Personne en ce moment— Tu as de la chance, j’ai quelque chose pour toi. »
Nina ouvrit ma braguette et sortit mon sexe qui avait déjà pris de l’ampleur. Elle me caressa quelques secondes jusqu’à me rendre bien dur. Quand je fus mûr, Nina lança un « bon appétit » en direction de sa demi-sœur qui s’empressa de nous rejoindre. Elle tomba à genoux devant moi et, sans même me regarder, elle prit mon sexe en bouche. Ses lèvres charnues et sa langue agile faisaient des merveilles sur mon sexe. Tout allait et venait le long de ma verge érigée qui palpitait de plaisir. Ses mains douces tenaient ma tige bien droite pendant qu’elle me câlinait avec sa bouche. A coté de nous, Nina observait la scène en se mordillant légèrement les lèvres. Cela devait être difficile pour elle de voir une autre bouche sur mon sexe tant elle aime me faire des fellations.
« Anna est un super sex-toy. Je l’utilise dès que j’en ai envie. Elle est très obéissante et elle est plutôt douée. Donc je l’utilise quand j’en ai besoin.— Et tu en as souvent besoin ? Haletais-je— Pas depuis toi… Mais elle est toujours en demande alors, des fois, je la laisse s’occuper de moi… Ça va ? Tu ne le prends pas trop mal ? C’est pas trop bizarre ?— Elle te fais du bien et elle suce… super… bien… Donc, non, je ne le prends pas mal du tout. »
Sur ces paroles, Nina se leva et attrapa Anna par les cheveux, la retournant dos à moi. Elle lui claqua ses grosses fesses à pleines mains. Annabelle poussait de petits cris à chaque coup pour exprimer sa douleur. Nina claqua les fesses jusqu’à ce qu’elles se marquent de jolies traces rouges. Une fois prêtes, elle posa une main sur chaque fesse et les écarta vigoureusement.
« Anna, ton petit trou va connaître sa première vraie bite. C’est bien joli de se faire enculer par un gode mais tu vas voir, rien de tel qu’une bonne queue dans le cul. Tu es d’accord ?— Oui, tout ce que tu veux… »
Et Nina m’invita à prendre place dans l’anus de sa demi-sœur. Tout doucement, je forçais l’entrée de ce petit trou qui résistait un peu. Nina semblait amusée de ma difficulté à entrer. Elle se permit même de faire part de son étonnement à Annabelle.
« Alors ma cochonne, tu ne veux pas qu’il entre ?— Je ne suis pas… préparée…— Tu as raison. »
Puis, s’adressant à moi : « Force un peu plus… Pourquoi être tendre ? ».
 Tenant fermement Anna par les hanches, j’ai alors forcé l’entrée de son petit trou qui finit par céder. J’entrais de tout ma longueur dans cet anus chaud et accueillant. Je commençais à besogner le petit trou d’Anna pendant que Nina retirait sa culotte. Elle s’allongea devant sa demi-sœur et remonta sa jupe. Appuyant fermement sur la tête d’Anna, Nina lui intima l’ordre de la lécher. Je sodomisais Anna avec vigueur pendant qu’elle léchait le sexe de Nina qui haletait de plaisir.
« Pourquoi tu pleures, demanda Nina à sa demi-sœur.— Il m’a fait mal.— C’est le métier de petite salope qui rentre… par le cul. »
La vision des fesses et de l’anus rougis d’Anna m’excitèrent très vite et il m’était très compliqué de me contenir. Faisant part de ma difficulté à Nina, celle-ci insulta sa demi-sœur parce qu’elle ne savait pas comment « contenir un mec ». Cette nouvelle épreuve me mit encore plus en difficulté et je dus me retirer pour me répandre sur les fesses d’Anna. Remettant de l’ordre dans mes vêtements, je repris place que le canapé pour observer la magnifique scène. Nina, la femme que j’aimais, était léchée par une femme que je venais d’enculer et sur laquelle j’avais joui. Très vite, Nina fut prise de spasmes trahissant l’orgasme qu’elle avait. Repoussant Annabelle, elle vint se mettre contre moi sur le canapé. J’adore sa tendresse quand elle vient de jouir.
« Anna, tu as joui ? Lui demanda-t-elle— Non, désolée…— Tu veux jouir ?— Si tu veux bien.— D’accord… Tu te caresses… et des doigts dans le cul comme la traînée que tu es. »
Et Annabelle s’exécuta. Deux doigts de sa main gauche prirent place dans son anus que j’avais déjà ouvert pendant que, de sa main droite, elle commençait à jouer avec son petit bouton. Nina, lovée dans mes bras, et moi-même regardions la jeune femme maculée de mon sperme se donner du plaisir devant nous. Son sexe dégoulinant et son anus rougi ne laissait aucun doute sur le plaisir qu’elle prenait à une telle exhibition. Le jeune femme finit par jouir des caresses qu’elle se donnait. Prise dans son orgasme, elle s’écroula devant nous. Nina la poussa alors négligemment du pied.
« Tu peux remonter dans ta chambre. » lui dit alors ma belle.
Lorsqu’elle fut partie, Nina voulut que nous discutions de ce qui venait de se passer. Je lui redis une nouvelle fois que je n’étais pas perturbé par la situation, bien au contraire. Enjouée et rassurée, elle me dit que, dès que je serai de nouveau prêt, nous pourrions rejoindre Annabelle dans sa chambre parce que « son gros cul n’a pas eu encore son compte » selon Nina.
Je fis semblant de ne pas être en état tout de suite pourtant la situation et le vision de la culotte de Nina face à nous me firent bander à nouveau très vite. Au bout d’un moment, la main de ma belle glissa sur ma braguette. Le doute ne lui était plus permit. Me souriant, elle me lança un petit « on y va » qui voulait tout dire. Elle me devança dans l’escalier et je ne pouvais détacher mes yeux de ses fesses que je savais nues sous sa jupe.
Dans la chambre d’Annabelle, nous l’avons trouvée habillée d’une chemise de nuit ‘fée clochette’, des petites lunettes sur les yeux en train de lire. Nous voyant, elle ferma précipitamment le bouquin et voulut le glisser dans le tiroir de sa table de chevet. Mais Nina ne la laissa pas faire, lui ordonnant de nous montrer sa lecture. Il s’agissait d’un roman visiblement coquin. Fière de sa découverte, Nina invita sa demi-sœur à se mettre dans la position de la couverture. Annabelle s’installa alors au milieu de la pièce, à genoux, les mains sur les cuisses. Nina s’est approchée de sa demi-sœur, a relevé sa jupe et s’est retournée pour lui présenter ses fesses.
« Lèche ! »
Et Annabelle commença à étirer sa langue sur les fesses de ma douce.
« Pas là ! Mon petit trou… »
Annabelle écarta alors les fesses de Nina. Elle se mit à lui lécher le petit trou. Nina se mit à gémir de cette caresse. Les yeux mis-clos, elle m’invita à les rejoindre. Se penchant vers moi, Nina sortit mon sexe et commença à me sucer. Sa bouche tendre, aimante et experte dans l’art de s’occuper d’une verge additionnée à la vision de la langue d’Annabelle déployée sur le petit trou de ma belle m’excitaient comme jamais.
Quand je fus prêt, Nina me lâche et se retourna, obligeant Annabelle à se pencher un peu plus en arrière. Dans cette nouvelle position, j’avais une vue imprenable sur le sexe ouvert et humide de ma belle que sa demi-sœur commençait à lécher.
« Prends-moi la chatte. J’en ai trop envie. » me dit Nina.
J’approchais mon sexe tendu de l’antre mouillé et ouvert de ma belle et l’embrochais d’un coup. Alors que je commençais à la prendre, j’ai senti la langue d’Annabelle qui léchait les deux sexes maintenant devant elle. Fiché dans le sexe chaud de ma belle, je sentais la langue de sa demi-sœur sur mon sexe et mes boules. Elle léchait tout de qu’elle pouvait.
Alors que je redoublais d’ardeur dans le sexe de Nina, j’ai senti la langue d’Annabelle entrait dans le sexe de Nina en même temps que ma verge. Nina se mit à gémir très fort, s’agrippant comme elle pouvait aux cheveux de sa demi-sœur. Devant moi, le petit trou couvert de salive de Nina appela mon doigt que j’y enfonçais en douceur. Les gémissements de ma belle prirent de l’ampleur. Elle semblait être sur le point de jouir. J’ai donc augmenté la vitesse et la profondeur de mes deux pénétrations. Nina ne supporta pas bien longtemps ce traitement et finit par jouir bruyamment. Je continuais à bouger dans le sexe secoué de spasmes de Nina. Et mon orgasme pointa le bout de son nez.
« Pas en moi !, hurla Nina— Où ?— Sors ! »
Et j’obéis en me retirant du sexe de ma belle juste avant de jouir. Je ne retins pas mon plaisir et jutai abondamment. En me reculant, j’ai vu que mon sperme avait atterri sur le visage et la chemise de nuit d’Annabelle. Nina félicita sa demi-sœur pour son « comportement de bonne salope » et la gifla.
« Tu peux te mettre au lit maintenant. Mais nue comme tu devrais toujours être. »
Annabelle se releva et retira sa chemise de nuit. Nina attrapa alors le vêtement et lui essuya le visage avant de l’envoyer au lit.
Ma belle et moi sommes ensuite retourné dans le salon. Quelques minutes plus tard les parents de Nina rentrèrent et nous proposèrent de dormir chez eux, dans la chambre d’amis, plutôt que de rentrer. Nina s’empressa d’accepter la proposition.
En pleine nuit, Nina m’a réveillé en me disant de la suivre. En silence, nous sommes allés dans la chambre d’Annabelle. Après l’avoir réveillée et découverte, exhibant le corps nu de sa demi-sœur, Nina s’installa sur elle et m’invita à venir la prendre.
Nous avons fait l’amour sur le lit d’Annabelle qui nous regardait sans avoir le droit de nous toucher. Nous avons enchaîné fellation, cunnilingus, levrette, amazone et même sodomie sous les yeux envieux de la jeune femme. Elle prit quelques petites claques sur les mains à chaque fois que celles-ci s’approchaient un peu trop de son sexe.
Finalement repus de sexe, Nina guida mon plaisir vers le lit d’Annabelle et j’ai giclé une bonne rasade sur son matelas avant que nous nous levions. Nina ordonna à sa demi-sœur de s’installer sur la trace que j’avais laissée. Elle s’exécuta pendant que nous quittions la pièce.
En nous recouchant l’un contre l’autre, Nina me demanda :
« Ça t’a plu ?— Oui, je dois l’avouer.— Tu veux qu’on le refasse ?— Oui, je veux bien.— D’accord. »
Et elle s’endormit dans mes bras.
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