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La demi-cougar

Chapitre 2

Première tromperie de femme mariée.

Erotique
La semaine du mariage fut chargée, très chargée. Essayages. De robes, de coiffure, de maquillage, tout y est passé. Charles Henry Mumy était euphorique. Mon mariage fut un mariage bourgeois, les hommes en costumes sombres, les femmes élégantes. Les vieilles avaient sorti toutes leurs breloques, elles brillaient comme des sapins de Noël et tintaient comme des carillons. Quelques vieux me regardaient comme on regarde le gigot le dimanche de Pâques chez belle-maman. A un certain âge, le désir se voit à la lippe pendante plutôt qu’à l’œil égrillard, et ceux-là m’auraient volontiers dégusté en plat principal... Une fois expédiées les formalités administratives et cléricales, on était entré dans le dur, l’apéritif, avec foultitude d’invités, tous des gens importants évidemment.
Il n’y avait aucun de mes amis ni personne de ma famille. Au détour d’une conversation, ils auraient fait vaciller mon auréole. Ils n’auraient d’ailleurs même pas compris le mot, pour eux, l’auréole ne pouvait pas vaciller, toute au plus pouvait-on la titiller, puisque qu’elle était autour du téton ! Je m’étais donc construit une histoire de Cendrillon à faire pleurer le bourgeois. Aînée d’une famille de huit enfants, mes parents m’avaient obligée à quitter l’école à seize ans, malgré ma réussite scolaire, pour m’envoyer à l’usine. Mon salaire était confisqué par mon père pour ses besoins de café et de PMU. Notre conflit était de plus en plus ouvert et violent, et le jour de mes dix-huit ans, ma mère m’avait préparé un gâteau et mon père ma valise. Malgré de nombreuses tentatives, je n’avais revu ni ma mère ni mes frères et sœurs, mon père, tyran domestique, le leur interdisant sous peine de représailles diverses et variées, mais toutes abominables. Mon roman de cosette entretenait les causettes, à ma plus grande satisfaction. On me plaignait sans jamais m’en parler ‘’Afin de ne pas rouvrir la plaie’’. Bien utilisée, la morale bourgeoise issue de vingt siècles d’éducation judéo-chrétienne était une arme redoutable. Contre eux.
Après près de trois heures d’apéritifs, de sourires et de remerciements aux dix milles ‘’Tous nos vœux de bonheur’’ ou ‘’faites-nous un beau bébé’’ ont eu enfin le droit de s’asseoir. Le repas et les vins furent évidemment ‘’somptueux, raffinés, excellents, de grande qualité’’, chacun fouillant sa culture pour ceux qui en avaient et sa mémoire pour ceux qui en avaient encore, afin de trouver un superlatif qui n’ait pas encore été employé. C’était bon, c’est vrai. Mais ce qui était de loin le meilleur pour moi était ma petite chatte qui frottait sur la doublure de ma robe de mariée. A ma demande, Luis et Gina avaient été invités à la noce. Gina m’avait lancé des regards qui ravivaient instantanément chez moi des envies dues à nos moments partagés. Durant toute la cérémonie, j’avais senti ses yeux caresser mes fesses, et je n’avais dû qu’à ma culotte de ne pas passer pour une mariée dépravée. Elle avait consciencieusement absorbé les moites luisances de mon intimité. Et dès le début de l’apéritif, je m’en étais débarrassé discrètement, et je l’avais glissée dans la main de Gina en échangeant quelques mots. Je l’avais vue plusieurs fois la tenir au creux de sa main et la porter à son nez. Certains se demandaient ‘’qui pouvait être cette charmante jeune femme que l’émotion obligeait à essuyer son nez’’. J’avais trouvé en elle, en eux, des complices de jeu à la hauteur de ma perversité...
On ouvrit le bal sur une valse de Strauss, et sous les compliments de circonstance des invités. La soirée ‘’festive’’ était lancée, autant que pouvaient être festifs des bourgeois endimanchés bien nés. On était très loin des surboums où je n’arrivais pas toujours à éviter les mains baladeuses. En vérité, déjà à l’époque, je mettais un point d’honneur à ne ‘’toujours pas éviter’’ ces mains que je considérai comme flatteuses. C’est sur un tchatcha que je retrouvais les bras de Luis. Et c’est au détour d’un enroulé que je lui glissais que j’avais envie de les retrouver dans le parc au cours de la soirée. Je dus bien sûr danser avec beau-papa, tout fier de sa belle-fille, et avec oncle, je ne sais trop qui, qui perdait au moins 30 ans ‘’A faire danser une si jolie femme, Charles Henry ne mesurant sûrement encore pas son bonheur’’. Je subissais ce piètre danseur en me disant que moi, ce que je voulais, c’était retrouver Gina et Luis de bonne heure.
Une demi-heure et trois danses plus tard, je m’éclipsais discrètement après avoir échangé avec Gina des regards pleins de désir. Je descendais dans le parc et je trouvais dans un coin sombre et assez éloigné un banc charmant qui semblait avoir été dessiné pour accueillir des amours brûlantes... Gina et Luis n’étant pas ‘’de la famille’’, ils pouvaient s’absenter sans que cela n’attire pas trop l’attention. Ils me retrouvèrent sans difficulté et je pus retrouver le goût de ses baisers partagés à trois qui me manquaient déjà. Gina me fit asseoir sur le banc et glissa sa tête sous ma robe. Je fermais les yeux pour profiter pleinement. Le souffle chaud de l’haleine de Gina était la première promesse de ce moment. Le sexe gonflé de Luis que je sentais sur le bord de mes lèvres était la seconde. Il n’eut pas besoin de forcer pour que je lui fasse l’offrande de ma bouche. J’aimais sentir son vit vivre sous ma langue. Dans une semi-conscience tout érotique, je le laissais baiser ma bouche pendant que Gina, de la pointe de la langue, cherchait mon plaisir dans les replis de mon intimité. Je sentis une présence à l’entrée de mon ventre. La coquine avait sorti de son sac un joli dildo qu’elle poussait dans ma chatte, et qu’elle mit immédiatement en mode vibratoire. Effet fulgurant. Était-ce le lieu, le fait que je sois encore en robe de mariée avec tous les invités pas très loin, ou seulement une envie irrépressible contenue depuis plusieurs heures ? Le fait est que mon plaisir était bien là, je le sentais au plus profond de moi, il montait inexorablement, et il explosa d’un coup, me remplissant la tête d’une myriade d’étoiles. Mon plaisir déclenchant peut être le sien, c’est le moment que Luis choisit pour se laisser aller dans ma bouche. J’aimais l’odeur et le goût de son foutre et je m’en délectais comme un second plaisir. Gina ressortit de sous ma robe avec un sourire de vainqueur et partagea un baiser parfumé du plaisir de son homme avec moi.
La fraicheur de la nuit faisait disparaître les rougeurs de mes joues qu’avait fait monter mon plaisir. Je retournai à mon mariage retrouver mon mari avec une certitude : en m’y prenant bien, ma vie d’épouse modèle allait être très remplie... La suite sera peut-être une autre histoire...
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