Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire vraie
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 37 J'aime
  • 0 Commentaire

Le demi-médaillon

Chapitre 1

Inceste
Je suis né dans la seconde moitié des années cinquante dans une ville du Sud de la France. Ayant été abandonné, je ne sais rien de mes vrais parents. Ce que je sais c’est que j’ai été déposé dans un couffin dans la principale maternité de ma ville natale, probablement par ma mère. Après un passage rapide par la case « Orphelinat », je suis adopté par un couple de commerçant vivant à environ vingt ou trente kilomètres de ma ville, ma ville natale, où je vis aujourd’hui. Je grandis heureux au sein de cette famille. Dans mon adolescence, mes parents m’annoncent, avec tous les ménagements possibles, que j’ai été adopté. Cette annonce n’a rien changé dans nos relations familiales. Il me donne aussi un demi-médaillon qui était avec moi dans le couffin dans lequel j’ai été déposé à la maternité. Ce médaillon, de forme circulaire, a été coupé en deux parties égales. Il représente un signe du zodiaque, la Vierge.Après une bonne scolarité, j’ai suivi des études de médecine. Diplômé, j’ouvris un cabinet dans ma ville. Dans l’année qui suit mes parents adoptifs meurent accidentellement et je me retrouve de nouveau orphelin. Je garde la maison familiale et loue le commerce de mes parents à un couple qui garde la même activité. Un jour je reçois dans mon cabinet médical, une jeune et superbe femme de deux ans ma cadette, Solène. Elle me plaît immédiatement. Elle revint régulièrement me voir. Nous sympathisons rapidement et au bout de quelques visites, notre relation médecin patient devient une relation amicale. Pour ma première visite chez elle, un samedi soir, je sens tout de suite qu’elle a mis les petits plats dans les grands. Ces plats furent d’abord ceux du repas absolument délicieux qu’elle a préparé. Il faut dire qu’outre d’être très belle, très cultivée, c’est une excellente cuisinière. Elle, qui aime cuisiner pour les autres, sait bien que, suivant l’adage, le chemin du cœur d’un homme passe par son estomac. Après le fromage, elle me quitte quelques instants pour aller chercher le désert dans sa cuisine. Elle revient sans son désert, où plutôt avec le meilleur des déserts, elle-même. Elle est en bustier, soutien-gorge, slip le tout en dentelle fine de couleur noire, ce qui tranche avec la blancheur de sa peau et dévoile ainsi son intimité. Ce charmant ensemble est complété par des bas à coutures noirs soutenu par le porte-jarretelles de la même couleur. Cette vision magnifique a l’effet souhaité par Solène, je bande vite comme un fou en comprenant ce qu’elle veut. Solène s’approche de moi, ouvre ma barquette, libére mon sexe qui en a déjà bien besoin. Sans attendre elle s’agenouille devant moi, prend mon membre en main et entreprend sa première fellation. Je découvre pour l’occasion que décidément la jeune femme est la femme idéale. Elle ajoute à sa beauté, sa culture, ses talents culinaires, une parfaite connaissance de la manière de faire jouir un homme. Sa fellation est magnifique et pendant de longues minutes elle me garde au seuil de la jouissance. Elle se releve et me dit de la suivre dans sa chambre. Dans l’escalier j’ai une belle vision sur ses magnifiques fesses. Dans la chambre elle finit de me mettre nu et m’assois sur son grand lit. Elle m’abandonne encore une fois pour mettre une musique lascive. Elle entreprend, après m’avoir interdit de me masturber, un strip-tease qu’elle met un malin plaisir à faire durer. Le porte-jarretelle et le bustier sont les premiers à être enlevés. Les bas glissent très lentement de ses magnifiques jambes. Vint le tour du soutien-gorge qui met plusieurs minutes à me permettre de voir enfin sa superbe poitrine. Le slip ne met guère plus moins de temps pour me faire découvrir sa sublime chatte totalement rasée. Je n’ai pas débandé de tout son strip-tease. Elle me rejoint enfin sur le lit. Nous nous embrassons longuement quand j’entreprends de descendre le long de son superbe corps. Je fais une longue halte au niveau de sa poitrine avant de descendre, via son nombril, vers son intimité. Après l’avoir caresser pendant plusieurs minutes, j’entreprends un cunnilingus. Elle se lance dans des caresses sur sa poitrine. La jeune femme devient de plus en plus chaude et finit par jouir une première fois. Je remonte alors le long de son corps et je m’attarde encore une fois sur sa poitrine. Mon visage est à peine revenu en face du sien, qu’elle se relève et vient s’installer tête-bêche au-dessus de moi. Visiblement elle veut réaliser un 69. Je n’hésite pas un instant pour replonger mon visage dans son intimité pendant qu’elle prend mon sexe en bouche. Nous restons là encore de nombreuses minutes. Solène jouit une nouvelle fois.Je la vois alors se relever et au lieu de rejoindre pour s’allonger près de moi, elle m’enjambe et vient s’empaler sur mon sexe qui n’a pas débandé. Elle descend et monte le long de ma hampe. Je finis, après environ un quart d’heure de ce doux supplice, par éjaculer dans son vagin. Sentant mon sperme chaud envahir son intimité, Solène a un troisième orgasme encore plus fort que les précédents. La nuit se continue sur la même lancée. Dans les jours qui suivirent nous avons très souvent fait l’amour, jusqu’à 5 ou 6 fois par jours. Solène adore le sexe, avec une seule limitation, que j’accepte, tout en la regrettant, la sodomie. Les mois passent notre relation demeure toujours aussi intense.Moi qui m’était juré de ne jamais me marier, je finis par accepter de l’épouser après une nouvelle discussion sur le sujet. Ayant dépassé ce qu’elle sait être un « tabou » de ma part, le mariage, elle m’offre en cadeau de dépasser elle aussi un « tabou » pour elle, la sodomie. Elle m’avoue pour l’occasion qu’elle n’a jamais été l’objet de cette pratique qu’elle juge dégradante et sale. Je dois cependant partir pour aller acheter des capotes et des lubrifiants. A mon retour, de peur qu’elle soit déçu, je lui explique, un peu faux-cul ce qu’elle va ressentir, en parlant d’une douleur assez forte et d’un plaisir ordinaire. Mes explications finit je lui propose de ne pas le faire, mais Solène me signale qu’elle est prête puisqu’elle me l’a promis. Je lui dis qu’elle pourra à tout moment décidée de refuser d’être sodomisée. Sous ma direction elle se met à quatre pattes sur le canapé. Je la prépare par des caresses délicates pendant de nombreuses minutes. Je mets une capote et je mets mon gland devant sa rosette. Avec le plus de précautions possible, pour qu’elle apprécie la sodomie, j’introduis mon sexe dans ses fesses. Au bout de deux minutes environ, je suis au plus profond d’elle. Toujours avec les plus grandes précautions je commence mon premier va et vient dans ses fesses. Solène, comme je l’espérais, apprécie beaucoup ce que je lui fais. Le rythme de mes pénétrations s’accélérant et elle devient de plus en plus chaude, chaude comme je ne l’avais encore jamais vue. Elle jouit plusieurs fois avant que je jouisse une nouvelle fois. Elle m’annonce qu’elle a beaucoup aimée. Elle n’a depuis plus jamais refusée cette pratique qui est vite devenue le point d’orgue de chacune de nos parties de jambe en l’air.Les préparatifs du mariage avance. Il ne reste plus que quelques semaines avant la cérémonie. Un jour Solène et moi avons décidé d’aller dîner. Elle est presque prête mais veut mettre un collier de perle. Pendant qu’elle met la dernière main à son maquillage, elle m’envoie chercher le dit collier dans sa boite à bijou. Je vais refermer la boîte quand mon œil est attiré par la moitié de médaillon circulaire qui semble correspondre exactement à celui que mes géniteurs ont laissé dans mon couffin. Sans en parler à Solène, je prends le demi-médaillon et je retourne chez moi mettre ma découverte à côté de celui de mes parents. C’est bien la seconde moitié du médaillon. De retour chez Solène, qui m’attende avec inquiétude après mon départ précipité, je lui montre ma découverte. Solène m’apprend qu’elle a cette moitié de médaillon depuis son enfance. Sa mère le lui a légué, outre ses biens, avec une lettre où elle raconte tout sur l’objet. Mon amie recherche la lettre et me la lit. Sa mère s’étant retrouvé seule après la mort de son ami, et quasiment sans ressources, elle avait décidée d’abandonner à sa naissance l’enfant qui devait avoir environ un mois plus tard. Cet enfant, un garçon, fut laissé par elle dans un couffin dans une maternité de la ville, avec l’autre moitié du médaillon coupé en deux par elle-même. Elle avait ensuite rencontrée le père de Solène qui l’avait épousée. Tous les détails de l’histoire, date de la naissance de l’enfant, lieu et circonstances de l’abandon, ne laissait aucun doute, la mère de Solène n’est autre que ma mère et la jeune femme ma demi sœur. Notre relation amoureuse doit cesser immédiatement et notre mariage est impossible. Après plusieurs minutes de discussion dans les larmes de Solène, nous avons décidés d’un commun accord de nous en tenir dans des relations purement fraternelles et d’annuler le mariage. Pendant une semaine, je n’ai pas pu revenir chez Solène, qui de son côté ne cherche pas à me parler. La semaine est très dure, être ainsi sevré du corps de Solène et des heures de plaisir que nous prenions ensemble. Chaque jour le manque ce fait de plus en plus intense. Une semaine après la découverte de notre lien de parenté, je décide de retourner chez Solène, dans un seul but refaire l’amour avec elle par tous les moyens, hormis la contrainte physique. Je suis devant sa porte et je frappe. Solène m’ouvre le regard triste qui devient un sourire charmant quand elle me reconnaît. Elle m’empoigne le bras, me fait entrer dans sa maison et referme la porte derrière nous. Elle se lance tout de suite sur mon pantalon et l’ouvre pour faire sa première fellation depuis une semaine. Inutile de dire que je ne n’ait rien fait pour la repousser, car visiblement elle a la même envie que moi. Nous avons passé la majeur partie de la nuit à faire l’amour comme des fous sans parler autrement que pour dire des "Oui !", des "Va y !", des "Ah !" ou des "Oh !" de plaisir dans un brouhaha de succions et de choc de nos deux corps. Nous jouissons chacun plusieurs fois, avec une intensité que nous n’avons encore jamais atteint. Après une dernière sodomie, nous nous sommes écroulé tous les deux épuisés Avant de reprendre nos ébats amoureux, nous avons parlé de la situation. Il est évidant pour elle, comme pour moi, qu’il est impossible de poursuivre notre relation sans revenir à sa forme sexuelle. C’est Solène qui découvre la solution. Personne ne sait notre lien de parenté si proche. La seule preuve éventuelle, à condition de rapprocher des détails infime, est la lettre. Elle me suggère de la détruire, ce que nous faisons immédiatement. Nous avons décidé de faire monter les deux médaillons en deux pendentifs, un pour elle et un pour moi et d’en faire, pour les autres, une marque d’amour entre nous.La raison principale de l’interdiction des relations entre parents proche, sacralisé par la loi, hors mis les problèmes moraux, c’est le risque grandissant plus le lien est proche d’avoir des enfants atteints de graves maladies congénitales. C’est encore une fois Solène qui trouve la solution. Pour éviter tout risque d’avoir des enfants atteints de telles maladies congénitales c’est de ne pas en avoir du tout. Une femme n’a qu’une période chaque mois où elle peut avoir un enfant. Pendant cette période de fertilité, à l’inverse de bien des couples en demande d’enfant, nous ne faisons l’amour qu’avec des préservatifs. Un bien petit sacrifice pour moi et un bien plus grand pour Solène. Je sais depuis le début que son envie de mariage n’est que le premier volet de son envie principale, avoir un enfant. Nous n’avions pas encore pris contact avec la mairie pour annuler le mariage, nous n’avons donc rien à faire pour nous mariés. Nous sommes vite devenus légalement mari et femme, et secrètement demi-frère et demi-sœurs.L’envie d’enfant de Solène ne cessant de grandir, je lui propose de faire croire à un ami, Richard, qui lui faisait hors ma présence une cour empressée, qu’elle lui cède enfin. Il avait divers avantages à faire ce choix. C’était un ancien amant occasionnel de Solène et dans l’optique d’être le père réelle de mon enfant, il a l’avantage de me ressembler un peu physiquement, mêmes taille, couleurs de cheveux et d’yeux. Nous décidons de le piéger de façon à ce qu’il nous donne notre enfant sans s’incruster dans la vie de Solène, qui n’en a d’ailleurs pas envie.Un soir, en présence de Richard, après une dispute simulée entre Solène et moi, j’ai quitté la maison, laissant notre ami seul avec ma femme en laissant entendre que je ne reviendrais pas de la nuit. Comme prévue par Solène, Richard ne mis pas 2 minutes pour essayer d’en profiter. Il commence par me débiner et obtient ce qu’il espérer depuis des années, recoucher avec Solène. Bien sûr la date de cette « dispute » et de ses suites tombent précisément pendant sa période de fécondité. Pendant trois mois ma femme à reçut les avances répéter de Richard pendant les périodes propices, faisant en sorte de lui laisser la place discrètement pendant celles-ci. Solène m’a reçu un soir en m’annonçant qu’elle était enceinte. Nous avons, conformément à notre plan initial, fait ce qu’il faut pour que Richard ne puisse plus ce retrouver seul chez nous avec Solène qui d’ailleurs ne voulait plus aussi souvent lui céder. Nous le gardons sous le coude, nous réservant une carte de sortie, une reprise des relations adultérines avec Richard, au cas où la première grossesse de Solène se conclue par un problème du type fausse couche.Six mois plus tard naît notre enfant qui, au dire de nos amis et de Richard ressemble à Solène et à moi. Un semestre plus tard: il est notre enfant se révèle en parfaite santé. Solène et moi, conformément à notre plan, nous avons piégé une dernière fois Richard. Un week-end, je « rappelais » à Solène, devant Richard, que quinze jours plus tard, j’allais être exceptionnellement absent le samedi matin à cause d’une réunion importante. Richard, qui n’a plus couché avec Solène depuis 5 mois, comme prévue, saute sur l’occasion pour faire sa cour et obtient, la veille du samedi concerné, l’accord de Solène pour profiter de ce samedi matin pour faire l’amour. Au matin, je fais mine de partir pour ma « réunion » et je m’installe à peine un kilomètre de chez moi dans un coin discret, avec un talkie-walkie. Son double était branché chez moi et je parle avec Solène depuis 2 ou 3 minutes quand elle m’annonce que Richard, fidèle à notre plan sonne déjà à la porte. Elle cache l’engin, sans l’éteindre, et va ouvrir en peignoir à son « amant ».La porte refermée, Richard met déjà ses mains sous le peignoir de Solène, qui a presque du mal à faire entrer Richard dans le salon, pourtant très proche de la porte d’entrée et où est caché le talkie-walkie. Pendant ce temps je suis revenue tout près de chez moi. A l’entrée de ma porte j’attends le signal convenu entre nous pour me permettre de savoir qu’ils sont nus tous les deux et que leur position ne laisse aucun doute sur ce qu’ils sont censés être en train de faire. Je n’ai là encore pas longtemps à attendre pour l’entendre. Je rentre chez moi et je joue alors celui qui a oublié des documents et découvre sa femme entrain de se faire prendre par son amant. Je me mis en colère contre elle, en laissant bien voir que je l’aime follement, mais surtout sur contre mon ami qui a osé me trahir, et trahir sa femme et ses enfants, en couchant avec ma femme. Je lui laisse à peine le temps de se rhabiller et lui interdisant de jamais osé revenir. Nous avons pris la décision de ne rien dire de son origine à notre enfant. Pour éviter le plus possible le risque qu’il rencontre par hasard l’un des enfants de Richard avec qui il pourrait avoir un enfant à risque, pour l’enfant et de découverte de notre lien de famille, nous avons quitté ma ville natale. Solène, à la grande joie de son patron, accepta pour cela, ce qu’elle avait toujours refusé depuis des années, le poste de directrice d’une succursale de sa société à plus 500 km de notre ville. Je l’ai bien sûr suivi en faisant passer ce choix comme un sacrifice d’un homme amoureux à la femme qu’il aime. Nous vivons aujourd’hui, des années plus tard, heureux en famille et sur le plan sexuel.
Diffuse en direct !
Regarder son live