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Le demi-médaillon

Chapitre 2

Lesbienne
Je vous ai parlé précédemment de ma rencontre torride avec une inconnue, Solène, qui s’est révélé être ma demi-sœur. J’ai poursuivi mon récit en vous parlant de la manière dont nous avons décidé de vivre ensemble malgré tout. J’ai fini mon premier récit, en sautant les étapes et en vous parlant de la manière dont nous avons eu un enfant et notre départ de notre ville natale. Je vais maintenant faire un petit flash-back, nécessaire, au lendemain de nos retrouvailles sexuelles. Solène et moi nous avons rattrapé le temps perdu, d’abord en parlant de notre mère puis de notre relation amoureuse. Ayant franchi un des tabous de notre société, l’inceste, nous nous promettons de n’avoir d’autre limites dans notre relation que celles des pratiques pour lequel nous n’avons aucun goût, comme le sadomasochisme. Nous décidons de nous laisser une totale liberté dans nos vies sexuelles, avec son complément évident, une totale sincérité mutuelle sur celles-ci.En moins d’une semaine, nous connaissons chacun les principales aventures sexuelles de l’autre. Souvent le récit de l’un conduit à son équivalent de la part de l’autre et est toujours le prétexte à faire encore une fois l’amour. Sans aucun complexe, Solène me parle de son expérience lesbienne avec la femme qui a partagé son logement universitaire pendant deux ans. Je ne lui cache pas que je fantasme depuis toujours de coucher avec deux ou plusieurs femmes en même temps, ou d’assister à une partouze lesbienne. Je lui révèle que, moi aussi, j’avais eu une expérience homosexuelle, un soir de beuverie avec un inconnu avec qui j’avais sympathisé. Au sortir de la boîte de nuit, vue mon état d’ébriété et compte-tenu de ce qu’il n’avait pas bu, il m’a proposé de me reconduire chez moi. En route j’avais cédé à ses avances et fait l’amour avec lui à l’arrière de son tout-terrain où entre autre nous nous étions enculés l’un après l’autre. Solène apprend alors que je n’avais pas suffisamment aimé cela pour faire en sorte de renouveler l’expérience.Les mois ont passés, Richard, notre ami qui me ressemble, a été piégé, comme l’espérait depuis longtemps Solène à porter notre enfant, qui est en bonne santé. Sa naissance nous a contraint à limiter quelques peu les fréquences de nos relations sexuelles, car Solène et moi devons surveiller le bébé bien que nous sommes obligés de le confier souvent à un service de baby-sitting. Nous voulons être de bons parents. Comme vous le savez, nous avons quittés notre ville natale.Dans notre nouveau département nous habitons une maison en pleine campagne à vingt minutes du centre de la préfecture de région. La maison, de près de trois cents mètres carré a quatre niveaux, de la vaste cave au grenier. Elle est entourée d’un parc de plus de deux hectares. En quelques mois nous nous sommes parfaitement intégrés. J’ai vite trouvé à reprendre un cabinet médical, situé dans le centre de la préfecture, qui bénéficie d’une bonne et nombreuse clientèle. J’ai aussi, en tant qu’ancien joueur de Division 2 de handball, j’ai retrouvé un poste identique à celui que j’occupais dans mon ancienne ville, encadrant des équipes locales du principal club omnisports de la ville, dont l’une des équipe est de bon niveau dans sa division de Nationale.La suite du récit de ce jour est l’œuvre de Solène, car elle est l’héroïne principale de ce volet de notre histoire commune.Je n’avais jamais acceptée le nouveau poste que l’on me proposait car le supplément de salaire que l’on m’offrait, n’était pas suffisant pour compenser les frais importants qu’occasionnait celui-ci. L’apport des revenus de mon demi-frère et mari, Philippe, et la situation favorisèrent mon acceptation. Me voici directrice de la succursale régionale de la société qui m’emploie. Mon bureau est au dernier étage d’un bâtiment qui est à environ dix minutes du centre de la préfecture et presque à l’opposé de notre maison par rapport à celui-ci.Mon lien principal avec les dirigeants nationaux et mes subalternes au sein de la société n’est autre que ma secrétaire de direction, Patricia. Son bureau est le seul accès au mien. Dès notre première rencontre, j’ai été troublée par cette belle femme de trente ans, d’un mètre soixante-quinze, aux cheveux bruns mi long, aux yeux noisette et dotée par la nature de seins et de fesses que je trouve magnifique. Le soir même, comme j’en ai été convaincue depuis le matin, Philippe a été séduit par la description que je lui en fais. Il me reparle son envie de faire d’amour avec plusieurs femmes. Tout naturellement s’en suit une nouvelle partie de jambes en l’air. Leur première rencontre n’est que téléphonique, quand, le lendemain matin il me passe un coup de fil, alors qu’il sait que je ne suis pas là. Le soir même, il me dit simplement que si elle est aussi belle que sa voix est douce, elle doit être magnifique.En quelques jours, j’ai eu une entière confiance en Patricia, qui s’est révélée être la « secrétaire de direction idéale ». Je remarque vite qu’elle a les mêmes goûts que moi, et pas seulement vestimentaire. Je découvre peu à peu que, comme Philippe, elle partage avec moi de très nombreux intérêts communs. Une semaine après mon arrivée dans ma nouvelle fonction, nous sommes déjà des amies. Je n’ai donc pas de difficultés pour la faire venir chez nous. La rencontre se passe bien et nos goûts en communs, font que Philippe, Patricia et moi devenons de vrais amis. Philippe tente dès sa seconde visite, trop rapidement à mon idée, de faire la cour à Patricia qui, comme je le pensais, refuse froidement.Un mois plus tard, pour préparer un rapport urgent pour la direction nationale, je sais que je vais avoir une longue journée, malgré l’aide de Patricia. Le soir, vers vingt heures, je quitte enfin les bureaux où se trouve encore Patricia qui met la dernière main à notre tâche. Sur le chemin du retour, je me rends compte que j’ai oubliée un dossier important et je fais demi-tour. En arrivant à la société, quarante minutes après mon départ, je remarque que la voiture de Patricia est encore là. Dans le bureau de ma secrétaire, j’entends les petits bruits typiques de ceux d’une personne qui fait l’amour, venant de mon bureau. Je fini mon approche en silence. Je découvre, posés de façon bien ordonnée sur mon bureau la robe rouge de Patricia, son slip et son soutien-gorge de même couleur.La jeune femme est là, en bas et porte-jarretelles, assise sur mon fauteuil de direction, les pieds posés sur les larges accoudoirs. Les yeux clos, elle est en train de se caresser la poitrine de la main gauche et de se masturber sans vergogne de l’autre. La vision de ses doigts, déjà trempé de sa cyprine, m’excite beaucoup. Je remonte ma robe, introduit mes doigts sous ma culotte et je commence à me masturber moi aussi. L’envie devient vite trop forte. J’enlève ma robe qui, avec mon soutien-gorge et ma culotte, rejoignent les vêtements de Patricia après que, comme elle, je les ai, machinalement, soigneusement pliés.Je m’approche de ma tentatrice et le léger bruit de mes pas finit par révéler ma présence à la jeune femme. Elle veut cacher son intimité en repliant ses jambes et ses bras, mais, se rendant compte que je suis dans la même tenue qu’elle, Patricia décide de reprendre sa position en m’invitant à la rejoindre. Je m’approche de ma jeune amie, plonge directement vers son intimité sans me soucier de ses bras qui voudraient m’enlacer. Je commence à lui lécher le sexe maintenant libre. Je goutte pour la première fois à ce délicieux fruit qu’est l’intimité de mon amie. Ma tendre partenaire, fait vite de nouveau entendre de doux bruits et ne tarde pas à jouir une première fois sous les caresses de ma langue et de mes doigts qui retrouvent enfin des sensations qu’ils n’avaient plus connue depuis ma « camarade » d’université.Patricia se lève, s’allonge sur le tapis et m’invite à m’allonger près d’elle. La jeune femme vient me prendre un premier baiser sur la bouche et nos langues ont vite fait de s’entre mêler. Nous restons dans cette position pendant de longues minutes. Elle descend ensuite sur ma poitrine dont elle s’occupe de longues minutes, me procurant de délicieux frissons. Elle reprend sa descende, passe une ou deux minutes à s’occuper de mon nombril et atteint enfin mon intimité. Ma partenaire y fait preuve d’une efficacité qui ne laisse aucun doute sur sa longue pratique de l’amour entre femmes. Sa langue et ses doigts vont et viennent librement, à la fois doux et excitants, sur et dans mon intimité. Je commence tout naturellement à onduler et faire entendre une douce plainte. Fermant les yeux, sans trop réfléchir, je m’abandonne à ma charmante amie qui n’a pas de mal à me faire jouir une première fois.Après avoir repris mon souffle, je demande à ma partenaire si elle se masturbait souvent dans mon bureau. Elle commence son explication en m’indiquant simplement qu’elle est lesbienne. J’entrevois là un problème pour la conduire à faire l’amour avec Philippe et moi en même temps. Patricia ajoute que je lui ai plu dès notre première rencontre. Je lui dis que c’est aussi mon cas. Elle m’explique qu’elle se masturbait dans mon bureau pour la seconde fois ce soir et qu’elle aime le faire dans le fauteuil qui a, je cite « le bonheur de t’accueillir dans ses bras et sens toujours ta délicate odeur ». Je continue notre conversation :— Dis-moi, ma belle, je crois que nous serions mieux dans ma chambre qu’ici?— Chez toi! Mais il y ton mari! Je l’apprécie beaucoup, mais c’est un obsédé, il m’a déjà fait des avances une fois. S’il était d’accord pour que nous fassions l’amour chez toi, je suis sûr qu’il voudra participer et moi je n’en veux pas de lui pendant ce doux moment, même en tant que simple spectateur.— C’est vrai ma chérie, Philippe est un obsédé, et je suis bien certain que si tu voulais il ne dirait pas « Non » car tu lui plais beaucoup. Pour les avances qu’il t’a fait, c’était lors à ta seconde visite chez nous, il m’en a parlé le soir même.— Il t’en a parlé?— Nous n’avons aucun secret l’un pour l’autre. Mais je le connais, il suffit que je lui dise que je viens avec toi pour faire l’amour et que nous voulons être seules pour qu’il nous laisse tranquille.Patricia ne croit évidemment pas cette affirmation que je sais, moi, totalement exacte. Je téléphone donc à Philippe, sans lui dire qu’elle nous écoute, est tout ce passe comme je le lui ai dit. Il m’annonce aussi qu’il part avec notre bébé pour son cabinet, qui dispose de l’ancien logement du médecin qu’il remplace. Il me souhaite de bien profiter de Patricia. La jeune femme est surprise par notre complicité et notre totale ouverture d’esprit. Elle m’envie d’avoir trouvée l’homme idéal et m’annonce:— Je crois que si un jour je recouche avec un homme, ce ne pourra être qu’avec lui.Cette simple phrase enchante, elle me révèle que ma charmante Patricia, qui a dut avoir une mauvaise expérience avec un homme qui la fait devenir lesbienne, ne ferme pas pour autant la porte à une relation avec mon Philippe. Nous partons vers ma maison. Tous en roulant je téléphone à Philippe qui est déjà sur le point de partir. Je lui apprends les détails qu’il ignore et lui parle de cette phrase pleine de promesse. Il m’annonce qu’il va bien s’occuper du bébé et que, quand il le pourra, il se branlera en nous imaginant en train de faire l’amour.Chez moi, nous sommes à peine entrées que Patricia me prend par la taille et me tends ses lèvres pour un baiser sur la bouche. Nous finissons quand même par arriver dans le salon. Patricia est si pressée qu’en retirant sa robe, le seul vêtement qu’elle et moi avons remis en partant de notre société, elle la laisse simplement tomber sur le tapis. Le temps que j’enlève ma robe, qui suit celle de Patricia, ma douce secrétaire est déjà assise sur le tapis devant le fauteuil.Je ne positionne devant elle pour l’embrasser sur la bouche. Nous nous caressons mutuellement nos corps que nous continuons de découvrir enfin. Mon baiser ne dure que quelques secondes. Ma délicieuse amie entreprend de descendre pour s’occuper de ma poitrine et de m’y mordiller les mamelons. Au bout de plusieurs minutes de ce doux délice, Patricia revient poser ses lèvres sur les miennes et nous restons encore plusieurs minutes à jouer amoureusement de nos langues tous en découvrant des mains nos corps respectifs.Je repousse délicatement ma partenaire en arrière et, en lui tirant les jambes vers l’avant, je l’allonge sur le dos. Je monte sur elle, mon sexe au niveau du sien. Je m’allonge pour reprendre avec elle nos tendres baisers. Je me redresse un peu pour lui caresser et lui titiller la poitrine de la main. Elle en profite pour revenir s’occuper de mes seins avec sa langue et sa bouche. Sa main droite vient me caresser le sexe. Nous restons dans cette position pendant quelques minutes avant que je ne me décide à mon tour à descendre pour m’occuper de nouveau de sa poitrine avec ma bouche. Patricia s’abandonne à mes caresses et place ses bras au pied du fauteuil. J’en profite pour descendre ma main sur sa chatte.Je quitte ma position pour m’allonger à côté de Patricia. Je reprends mes caresses du pouce sur son mont de Vénus pendant quelques minutes avant qu’elle me demande de mettre un doigt dans son intimité. Ma partenaire commence déjà à onduler de plaisir en poussant des petits bruits. Je finis par mettre un deuxième doigt dans sa chatte. Elle écarte les jambes pour me faciliter la tâche. Je me penche à nouveau pour prendre à pleine bouche son sein gauche. La main droite de Patricia vient rejoindre ma main pour caresse son clitoris de l’extérieur.J’ai soudain envie de lui manger la chatte. Je me redresse, positionne mon visage sur son sexe et entreprends de goutter encore une fois à ce délicieux fruit. Ma douce Patricia bouge, me fait lever une jambe pour passer sous moi et s’installe pour faire de même. Nous sommes restées ensemble dans ce merveilleux soixante-neuf pendant de longues minutes. Je suis très heureuse de sentir une nouvelle fois ma bouche inondée de sa cyprine. Ma tendre amie finit par faire entendre un immense « Oui ! » de plaisirs avant de cesser toute activité. Au bout d’une ou deux minutes elle reprend ses esprits, reviens s’activité sur mon intimité et finit par me faire jouir à mon tour. Pendant plusieurs heures nous continuons à faire l’amour en variant les positions. Nous finissons, vers deux heures du matin, dans ma chambre où nous nous sommes couchées après avoir pris une douche très torride.Le lendemain matin mon réveil sonne, il est l’heure de me lever pour aller au travail. Nul doute que Patricia, comme moi, préférerait rester là pour faire encore l’amour. Nous échangeons de trop courtes caresses avant que Patricia ne parte pour aller chez elle se changer. Je suis arrivée à l’heure et Patricia, pour la première fois de sa carrière, arrive avec quinze minutes de retard. Pendant toute la matinée, enchaînant les rendez-vous professionnels, je ne peux parler librement avec Patricia. Je suis, tout la matinée, partagée entre l’envie folle que j’ai de faire l’amour avec elle, surtout quand je la croise, et de rejoindre Philippe pour faire la même chose. À midi, ma secrétaire de direction réussit à m’intercepter quelques secondes sous le prétexte d’une communication importante. Elle me fait savoir que ce soir elle rentrait chez elle, pour que je fasse l’amour avec Philippe, en finissant par:— Philippe est un mec trop bien pour que je le prive de la femme qu’il aime. Je t’aime tant que je suis toute à fait d’accord pour faire comme lui et te partager. Il faudra qu’on en parle demain soir, chez toi, tous les trois.J’aurai voulu continuer notre discussion, mais les personnes avec lesquels je dois déjeuner m’attendent. Je n’ai pas revue Patricia seule de la journée. Le soir je retrouve enfin Philippe. L’annonce de la venue de Patricia pour le lendemain pour parler ouvertement de nos deux relations amoureuses, nous conduit à une soirée aussi chaude que celle de la veille.
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