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Ma demi-soeur cache bien son jeu.

Chapitre 2

On rentre à l'appartement

Inceste
Ma demi-sœur cache bien son jeu.Chapitre 2 – On rentre à l’appartement
Arrivés au premier, j’ouvre la porte de mon appartement et m’efface pour la laisser rentrer devant moi en lui indiquant le fond du couloir, me laissant le loisir de mater son cul au passage. J’ai le secret espoir que la soirée ne soit pas encore finie, qui sait ? Je l’installe au salon est passe par la cuisine.
— Je te sers un thé, un café ?— Tu n’aurais pas quelque chose de plus fort ?
Carrément, elle me surprend de plus en plus la demi-sœur.
— J’ai du rhum arrangé si tu veux.— Je veux bien merci.
Elle me répond d’une petite voix, limite gênée.
Je ramène deux verres et m’installe à ses côtés dans le canapé. Je sens l’atmosphère tendue, elle regarde dans le vague en crispant ses poings sur ses genoux, je dois l’aider à se dérider. Je me lance :
— Très sympa ce club, je ne connaissais pas personnellement juste de nom.
Elle attrape le verre de rhum, en avale une belle gorgée, non sans exprimé une mine de surprise tant il est un peu fort certes, pour se donner du courage.
— Tu sais Jérôme j’ai honte, je suis désolé pour ce soir.— Honte de quoi Manon, tu as tout à fait le droit de fréquenter un club échangiste, quel mal y a-t-il à cela ?— Ce n’est pas moi, tu sais comment je suis, c’est juste que j’aime le sexe, c’est plus fort que moi, ne me vois pas comme une salope.— Loin de moi cette idée, tu as tout à fait le droit d’avoir des envies et de les assouvir je n’ai pas le droit de te juger la dessus.
— Merci, ce n’est pas facile tu sais, Lilian est un mari merveilleux, il s’occupe des enfants, de la maison, mais au lit, ce n’est pas ça, il n’est pas trop porté sur le sexe, je ne lui en ai jamais fait le reproche tant je l’aime. Mais j’ai des envies comme tu l’as dit et des fois un vibromasseur ne suffit plus et je vais au club. J’aime ça, l’excitation de faire cela avec des inconnus en plus mais j’ai honte de tromper Tristan de la sorte.— Effectivement, l’aspect de l’adultère est peut-être moralement plus gênant que le fait d’être sexuellement très active et aimant l’échangisme voir le sexe à plusieurs. Tu n’as jamais pensé à prendre un amant ?
Disant cela, je me rapproche d’elle et pose ma main sur son genou, d’un geste qui se veut réconfortant. Main qu’elle ne repousse pas, j’ai même l’impression qu’elle se rapproche elle aussi de moi pour venir coller un peu plus son épaule contre la mienne.
— J’aurais peur que cela dérape ou que cela se sache et fasse voler ma famille en éclat, et que diraient nos amis.— Oui, je vois, ça jaserai dans la paroisse.
Elle échappe un petit rire devant ma pique qui se voulait sur le ton de l’humour. Au moins elle se détend.
— T’es con des fois. Non j’aime me faire plaisir mais je ne veux pas créer une relation intime avec un homme, j’ai déjà cette relation avec Lilian.— En gros tu veux juste du cul.— Oui, c’est un peu ça.— Je peux t’aider si tu veux, et au moins ça reste dans la famille.— T’es malade, ce serait encore pire si cela venait à ce savoir.
Elle reprend une rasade de rhum pour se calmer un peu. Ma main se fait caressante sur sa cuisse maintenant, je remonte de plus en plus vers son entrejambe en de lents va et viens sans rencontrer de résistance de sa part.
— A défaut d’un amant, juste un plan cul, pas de sentiments, de la baise juste, et personne n’a besoin d’être au courant, on passe juste du temps en famille. De plus tu as l’air d’avoir apprécié mon engin tout à l’heure.

D’un coup, je me penche délicatement pour l’embraser dans le cou, tout en remontant toujours plus dangereusement ma main vers la braguette de son jean. Elle penche la tête et se laisse faire, émettant un imperceptible gémissement de plaisir, sa jambe gauche s’écartant légèrement pour venir se frotter contre la mienne, libérant un peu plus l’accès vers son bas ventre.
— Certes tu as un gros sexe et manifestement tu sais t’en servir mais on ne peut pas, ce n’est pas raisonnable, on est de la même famille. — Liens du mariage uniquement pas lien du sang. On est libre de faire ce qu’on veut.— C’est vrai mais je ne sais pas, je suis confuse je ne sais pas quoi en penser.
Je passe mon bras droit dans son dos et la rapproche de moi, ma main gauche maintenant plaquée sur son entrejambe, je m’enhardi à remonter vers le bouton de son jean. Elle vient lover sa tête contre mon épaule écartant pleinement les cuisses, m’invitant à poursuivre mon œuvre, ses dernières barrières morales venant de céder apparemment. Sa tête se tourne légèrement vers moi, je prends cela pour une invitation et lui roule une pelle endiablée, baiser auquel sa langue répond fougueusement. En effet la soirée n’est pas finie encore. Mais subitement elle se détache de moi et se redresse tout en laissant ma main qui a maintenant atteint sa petite culotte et qui joue avec son petit bouton d’amour.
— On ne devrait pas Jérôme.— Chut ma belle détends toi et profite.— Hum, c’est bon.
Elle soulève ses fesses pendant que je lui descends son jean, qui se retrouve bien vite sur le sol avec ses chaussures et sa petite culote, je constate qu’elle a gardé ses porte-jarretelles et ses bas la petite coquine. Je la renverse dans le canapé et commence par lui embrasser le pied, puis je remonte le long des jambes en déposant ici et là quelques baisers, m’approchant toujours plus de son sexe qui semble m’attendre avec impatience tant celui-ci est déjà luisant de mouille. Elle renverse la tête en arrière en soupirant de plaisir quand je viens lui agacer le clito du bout de la langue.
— Putain oui, vas-y Jérôme j’adore ça.

Sans un mot je m’applique à lui bouffer méthodiquement la chatte, qui a retrouver de sa fraîcheur malgré notre séance de stupre d’il y a peu dans la soirée suite au passage par les douches du vestiaire du club échangiste. Je dois particulièrement bien m’y prendre car Manon halète littéralement de plaisir et gémit tout en m’agrippant la tête à deux mains pour mieux m’enfoncer dans ses chaires intimes que je déguste avec délectation, m’attardant au passage sur son petit bout d’amour qui a l’air de fort apprécier. Elle part dans un violent orgasme en m’enserrant fermement la tête de ses cuisses tout en gémissant, elle tremble de tout son corps avant de relâcher son étreinte.
— Humm oui, comme c’est bon, rarement je prends mon pied comme ça avec un cunni.— A ton service ma belle, à toi de me rendre la pareille, j’ai envie de me branler un peu entre tes gros seins coquine.

Ce disant je me relève, m’essuie la bouche pleine de sa mouille et entreprends de me dévêtir moi aussi pendant qu’elle se redresse pour retirer son haut et son soutien-gorge, dégageant sa belle poitrine dont les tétons se dressent de plaisir. Si ma demi–sœur à un cul de bonne taille, elle a surtout une grosse poitrine qui tient bien en place, avec de jolis seins en forme de poire et des auréoles d’un brun foncé. Je n’ai jamais fantasmé sur elle mais j’avoue qu’elle me colle une trique d’enfer la petite sainte nitouche catho avec ses porte-jarretelles et ses bas résille de petite pute, j’ai envie de la salir. J’aime son côté salope quand elle prend son pied, qui contraste totalement avec cet air hautain et sérieuse qu’elle arbore en permanence.
— Allez donnes-moi ta bite, j’en veux encore.
Me dit-elle en se mordant la lèvre inférieure, une vrai petite nympho, je m’approche d’elle et lui présente ma bite qu’elle gobe directement, pendant que je lui malaxe le sein gauche d’une main et lui imprime la cadence de l’autre en lui tenant la tête. Je tente une gorge profonde mais elle me repousse doucement en toussant, j’en profite pour me baisser légèrement et venir branler ma bite bien baveuse entre ses magnifiques nichons, la sensation est divine. Elle met des coups de langue à chaque fois que mon gland ressort d’entre ses seins. Cinq minutes à ce rythme et je lui gicle à la gueule en beuglant d’extase pour son plus grand plaisir, 3 belles trainées qui partent de ses seins jusqu’à son menton, qu’elle s’empresse de ramasser du bout du doigt pour y goûter.
— Délicieux.— Whoa, c’était géant Manon, merci. Donnes moi un peu de temps pour recharger les batteries et on passe à la suite. Ou tu veux rentrer chez toi ?— Au point où on en est, autant continuer.
Me dit-elle d’un air coquin en se massant les seins, décidemment, je ne connais vraiment pas aussi bien ma demi-sœur que je le pensais. Je me lève et me dirige vers la cuisine pour revenir avec2 autres verres de rhum. Elle me voit revenir, sourit et me dit :
— Doucement Jérôme, je ‘ai pas trop l’habitude non plus, je vais devoir dormir là sinon.— C’est toi qui vois ma belle, je n’y vois aucune objection, surtout que j’ai un lit très confortable.— C’est quoi ce sous-entendu ?— Que si la soirée est déjà bien entamée la nuit ne fait que commencer.
Ce disant je pose les verres sur la table, tire Manon à moi à sa grande surprise pour la prendre dans mes bras et l’embrasser tendrement, non sans venir lui caresser la raie et lui titiller la rondelle qui doit se sentir délaissée ce soir. Je la sens fondre et se lover contre moi tout en répondant de sa langue à mon intrusion buccale, tout en collant son bassin contre ma demi-molle. En effet deux éjaculations dans la même soirée, l’ambiance va être plus tendre et câline le temps de recharger les accus. En effet la nuit ne fait que commencer…
A suivre…
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