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Ma demi-soeur Juliette et moi

Chapitre 2

Erotique
Après cette nuit... particulière dirons-nous, nous nous levons et nous nous habillons pour aller prendre le petit-déjeuner. Emma ma belle-mère et mon père sont rentrés du boulot tard dans la nuit. Ils nous ont préparé le petit-déjeuner en avance. J’arrive dans ma cuisine et je dis :
— Aaah trop bien, ils nous ont encore fait la surprise. — Ils avaient intérêt sinon je leur mettais la misère. — A quoi ? Aux petits chevaux ?
Juliette attrape le tupperware (putain ce mot est impossible à écrire en devinant xD) qui sèche sur le bord de l’évier et me le lance au visage. Dans un réflexe, je le repousse du poing et l’envoie sur un des verres posés sur la table qui tombe et se brise. On se regarde, et on explose de rire.
— Joli réflexe, allez, maintenant, nettoie, dit-elle toujours en rigolant. — Tu m’as pris pour ton esclave ou quoi ? dis-je en levant un sourcil ? — Oui, mon esclave sexuel, dit-elle en souriant à la manière d’un psychopathe, coucou Hannibal Lecter :).
On se dépêche de ramasser les bouts de verre, en prenant garde à ne pas se blesser. Mais manque de chance, je me coupe le doigt. Pas une grosse entaille, mais au moment où Juliette a fini de mettre les bouts qu’elle a trouvés dans la poubelle, elle me fait mettre le doigt sous l’eau ce qui me soulage. Quand on voit que ça ne saigne plus, elle regarde mon doigt, l’approche de sa bouche et commence à le sucer.
— Juliette, qu’est-ce que tu fais ? C’est du sang quand même, c’est pas génial. — Je te signale que j’ai avalé autre chose hier soir, dit-elle en me faisant un clin d’œil.
C’est à ce moment précis que ma belle-mère entre en chemise de nuit dans la pièce.
— Qu’est-ce que tu as avalé d’autre hier soir ma chérie ? demande-t-elle en ouvrant la porte du frigo. — Le petit lait de son yaourt, dis-je sans laisser le temps de répondre. Je déteste ça, ça me dégoûte et en fait, ça me dégoûte encore plus de voir les gens le faire. — C’est ça, dit Juliette, un sourire aux lèvres et en riant presque. J’ai mangé un yaourt au citron.
Quand j’entends ça, je lui donne un coup de coude. Elle chuchote:
— Aouhh, ça va pas ? — T’es pas bien de parler comme ça ? Imagine, elle entend ce qu’on dit...— Qu’est-ce qu’il se passe les enfants ? demande Emma en se retournant, ayant choisi ce qu’elle voulait manger. — Non rien, on arrive pas à choisir entre aller à la piscine ou au ciné aujourd’hui, dit Juliette. — Rien ne vous empêche de faire les deux, répond Emma en souriant. Si besoin, prenez de l’argent dans mon porte-feuille, c’est moi qui offre. — Merci, dis-je en souriant poliment, en priant pour qu’elle retourne au plus vite roupiller avec mon père.
Quand sa mère est sortie, Juliette se retourne vers moi et me rend le coup de coude que je lui ai donné un peu plus tôt.
— Tu me prends pour qui Tony ? Tu crois vraiment que j’allais nous griller ? Tu sais ce que je t’ai dit hier soir, au lycée je m’en fous, mais je n’ai pas envie de le dire aux parents pour le moment. — Je sais, mais tu sais aussi comment je suis, quand y a une situation qui me stresse. Je vois le mal partout, même dans des petites blagues anodines comme tu as pu le faire. Pour tout te dire, j’aimerais pour l’instant que notre relation reste la plus secrète possible, même au lycée.
Juliette est surprise, voire choquée. Elle pose la main sur la joue de son amant secret et le regarde tendrement.
— Ça te fait si peur que ça ? demande-t-elle. — Tu sais comment je suis, je n’ai pas changé en une nuit. Je me préoccupe énormément, et même un peu trop du regard des gens. Même si je sais que nous sommes adultes et qu’en plus de ça, nous n’avons strictement aucun lien du sang, ça me stresse. Mais je crois que notre relation est une bonne chose. Ça va m’aider à affronter mes peurs. Je t’aime, et je ferai autant d’efforts que je pourrais. Tu as ma parole.
Elle pose sa deuxième main sur mon autre joue et m’embrasse à pleine bouche. Nos langues se lient et se séparent. Elle place ses mains dans mon dos et moi sur ses fesses, et je la soulève pour la mettre sur le plan de travail. Moi, je ne suis qu’en t-shirt et en caleçon, et elle ne porte également qu’un t-shirt sans soutien-gorge et juste une petite culotte. Je remonte son t-shirt pour lui caresser les seins et les suçoter, et je remarque qu’elle a déjà les tétons tout durs. Je descends tout en continuant de déposer des baisers sur son ventre et je descends encore jusqu’à arriver sur sa petite culotte que j’écarte et que je mets d’un côté de sa chatte pour pouvoir la lécher et la bouffer correctement. Quand je passe mon premier coup de langue, je peux sentir qu’elle est déjà tout humide. C’est alors que je commence à jouer de mes doigts sur son clitoris qui lui aussi commence à devenir tout dur.
J’accélère un peu mes frottements dessus et elle commence à se cambrer en arrière, signe que l’orgasme est sur le point d’arriver. Quand je le vois, j’enfonce un doigt dans son vagin, vite rejoint par un deuxième et je commence doucement des va-et-vient que je fais de plus en plus rapide. Un petit cri s’échappe de la bouche de Juliette et dans un réflexe inattendu pour moi, elle se met la main sur la bouche pour être la plus silencieuse possible. Quand je sens qu’elle est sur le point de vraiment avoir son orgasme, je me redresse vite, je remets sa culotte en place et je tire même un peu sur son t-shirt pour le placer devant le vagin. L’éjaculation est très atténuée, même s’il y a quand même quelques gouttes qui tombent par terre. Pendant qu’elle se remet de cet orgasme extrêmement matinal, je prends de quoi essuyer le sol, et je passe un coup sur sa culotte, ce qui comme je le voulais la chatouille et la fait réagir.
— On va aller à la piscine, dit-elle entre deux respirations. — Et pourquoi ça, Madame Je-décide-de-tout-et-tu-obéis ? — Parce que comme ça, je pourrais te sucer la bite dans la douche et même sous l’eau et là, on aura pas besoin de cacher notre ébat amoureux, Monsieur je pinaille.
Elle descend du plan de travail, m’embrasse en me mordant doucement la lèvre du bas, et retourne dans sa chambre, pour s’habiller, en dandinant son petit cul et en se retournant, pour voir si je la regardais. Quand elle voit que mes yeux regardent en dessous de la ceinture, elle sourit de son sourire doux et coquin et accélère jusqu’à sa chambre, et je rejoins la mienne également pour m’habiller.
Ça va vraiment vite, ce week-end-là. Un jour, je suis célibataire et toujours puceau, le soir même je tombe sur ma demi-sœur nue dans la douche où elle m’avoue qu’elle est amoureuse de moi et où on a notre première relation sexuelle, ou en tout cas début. Et là, dès le matin je lui offre un splendide cunni alors que nos parents dorment dans la chambre à côté, elle me dit que notre deuxième relation sexuelle aura lieu dans un endroit public: la piscine. Wouah.
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