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Denis Couillemolle

Chapitre 1

Révélation d'un homme complexé

Trash
CETTE HISTOIRE A POUR BUT DE VOUS DIVERTIR ET DE RETRANSCRIRE DE LA MANIÈRE LA PLUS FIDÈLE POSSIBLE LE FANTASME DU MEMBRE QUI M’A DEMANDÉ DE L’ÉCRIRE POUR LUI. 
Denis Couillemolle (1)
Denis, père de famille de 38 ans, vivait en région parisienne avec son épouse Isabelle et ses trois enfants, Lisa et les jumeaux Paul et Stéphane âgés respectivement de 20 et 18 ans. 
Ingénieur en informatique dans une entreprise particulièrement en vue, Denis offrait un cadre de vie idéal à sa famille en finançant en grande partie les études et les loisirs de ses enfants. Isabelle, elle, gérait un magasin de vêtements qui rencontrait un franc succès auprès de ses clients et aidait également son mari à subvenir aux besoins de leur famille. 
Cependant, malgré le tableau quasiment idyllique de sa situation familiale et professionnelle, Denis ressentait un mal-être qu’il prenait grand soin de dissimuler à son entourage. 
En effet, si tout allait pour le mieux en-dessus de la ceinture, en-dessous, c’était autre chose. Profitant de quelques moments épisodiques de solitude, Denis avait pris l’habitude de se dévêtir devant le miroir de la chambre conjugale afin de prendre ses mensurations. Ces dernières le mettaient encore et toujours mal à l’aise du fait de leur petitesse. 
Peu à peu, le mal-être de Denis se mua en complexe. À tel point qu’il se demandait s’il devait réellement être considéré comme ce qu’il semblait être, c’est-à-dire un homme. 
Durant plusieurs mois, Denis oscillait entre l’affirmative et la négative, se disant tantôt que le fait d’être un homme ne se limitait pas à la seule taille de son organe tantôt que ce détail était d’une importance capitale pour le qualificatif. 
Pendant les phases d’affirmation, Denis se contentait de se rhabiller et d’oublier temporairement son trouble. En revanche, dans les situations où il se disait qu’on ne pouvait le qualifier comme étant un homme, il s’imaginait qu’on devait obligatoirement le traiter comme un objet.
Plus le temps passait, plus les pensées de Denis allaient vers la négation de sa condition d’homme, tant et si bien qu’il décida un jour de prendre volontairement congé de son travail afin de faire le tour des sex-shops et d’y trouver un jouet lui permettant d’entamer sa "carrière de couille molle".
Au bout de deux heures de recherches, Denis finit par jeter son dévolu sur un gode noir long d’une vingtaine de centimètres et large d’environ sept centimètres. En ressortant de la boutique avec sa nouvelle acquisition, il se prit à sourire en pensant qu’elle représentait le double de ses mensurations. 
Dès qu’il fut arrivé chez lui, Denis s’empressa de déballer son achat pour l’essayer. Il commença par le porter à ses lèvres pour le sucer puis il décida de tenter de réaliser le stade suivant de l’utilisation du gode. Peu expérimenté, il enfonça tant qu’il le put le jouet dans son arrière-train jusqu’à en ressentir une vive douleur qui le lui fit retirer derechef. 
Denis passa à peu près une heure à se renseigner sur des sites spécialisés sur la façon de s’habituer à son nouveau jouet et mit en pratique tous les conseils qu’il y avait trouvés avant de retenter l’expérience. Une nouvelle fois, la douleur lui fit retirer le gode de son petit trou mais il constata avec ravissement qu’il avait pu l’enfoncer aux trois quarts, contrairement à sa première tentative où il n’avait pu aller que jusqu’à la pointe de l’engin. 

Il appliqua à nouveau ce qu’il avait appris sur internet et essaya une nouvelle fois de s’enfoncer son jouet dans le rectum. Cette fois-ci, Denis parvint à accueillir l’engin dans toute sa grandeur dans son arrière-train et en prit plaisir. 
Ce jour-là, il décida de garder le gode sur lui en tout temps et de s’en servir dès qu’il en aurait l’occasion tant cet objet lui avait fait du bien. 
Environ un mois après avoir pris cette résolution, Denis s’absenta du domicile familial pour aller voir un match de foot avec des amis à lui. À cette occasion, il décida d’emporter son gode avec lui malgré le fait qu’il n’était pas sensé lui être utile. 
Le match devant débuter dans les alentours de 21h, Denis décida de se rendre à pied au domicile de Marc, l’un de ses amis chez qui devait se dérouler la soirée. À son arrivée, tous les invités étaient déjà sur place. Parmi eux se trouvait Franck, l’un de ses collègues de travail, ainsi que Marc et deux autres amis à lui, Pierre et Robert. 
Ils accueillirent chaleureusement Denis et lui proposèrent une bière qu’il accepta volontiers. Denis posa sa veste sur une chaise et les cinq amis bavardèrent jusqu’au début du match puis concentrèrent leur attention sur la télévision de Marc. 
À la fin du match, leur équipe favorite ayant remporté la victoire, Denis et ses amis s’accordèrent une autre bière et analysèrent le contenu de la partie comme ils avaient l’habitude de le faire après chaque match. 
Ils se mirent d’accord sur le fait que l’arbitrage avait été correct mais il débattirent longuement d’une occasion de but manquée par leur équipe. Le temps filait vite et les cinq amis décidèrent qu’il était temps de mettre un terme à la soirée. Ils se saluèrent et les invités se revêtirent pour quitter l’appartement de Marc. 
Alors qu’il reprenait sa veste, Denis entendit un bruit sourd et constata, horrifié, que son gode était tombé de la poche de sa veste. Il tenta de l’y ranger discrètement mais le sextoy n’avait pas échappé aux regards étonnés des autres invités. 
— Eh bien, Denis, on dirait que ta femme ne peut plus se contenter de toi. Tu es trop gentil de lui avoir acheté cet engin. 
Denis fut temporairement rassuré par cette plaisanterie de Marc mais Robert acheva vite de mettre fin à ce sentiment. 
— C’est pour sa femme ou pour lui ? Question à un million de dollars.
Pierre et Franck se mirent à rire, croyant à une plaisanterie. Cependant, Robert s’empressa de les calmer. 
— Je ne plaisante pas, les gars. Il y a un moyen très efficace de savoir si ce gode a déjà servi. Donne-moi ça, Denis. 
Denis tendit le sextoy à son ami qui se mit à l’examiner puis à le renifler.
— CQFD ! Ce joujou a bel et bien servi à notre cher Denis ici présent ! Étant donné qu’il ne l’a apparemment pas lavé, on peut encore voir des traces et sentir l’odeur de ses petits jeux. 
Robert fit passer le gode entre les mains de Pierre, Franck et Marc qui parvinrent aux mêmes constations. Denis n’osait plus articuler le moindre son, pétrifié de honte. Franck posa une ultime hypothèse. 
— Bon, en même temps, qu’est-ce qui nous fait dire que ce n’est pas Isabelle qui se serait amusée avec et Denis qui l’aurait pris avec lui pour avoir son odeur près de lui ?
Robert s’empressa de contrecarrer cette idée. 
— Le simple fait qu’en général, les femmes se mettent ces joujoux dans un autre endroit de leur anatomie. 
Pierre, Marc et Franck hochèrent la tête en signe d’assentiment tandis que Denis, submergé de honte, se faisait de plus en plus petit et ne pouvait soutenir le regard de ses amis qui lui souriaient d’un air concupiscent. 
— Eh bien, je pense qu’on va finir la soirée autrement. 
Cette suggestion implicite de Marc fit sourire les trois autres. Denis tenta de se tirer de cette fâcheuse posture. 
— C’est bon, les gars. Rendez-moi ça et on oublie tout. 
Cette proposition de Denis n’eut pour effet que de faire rire davantage ses amis. 
— Non, non, Denis. Tu as éveillé notre curiosité avec ce gode. Montre-nous comment tu t’en sers. — Vous êtes malades ?! Je ne vais pas faire ça devant vous. — Allez, Denis. On veut juste satisfaire notre avidité de savoir. Si ça peut t’aider, on se mettra aussi à poil. Comme ça, tu ne seras pas seul. 
Comprenant que ses amis ne le laisseraient pas s’en aller avant qu’il n’ait fait sa démonstration, résigné, Denis se déshabilla, imité comme promis par Marc, Robert, Pierre et Franck. 
Malgré l’étrangeté de la situation, les cinq hommes bandaient dur et Denis se sentit plus humilié encore en faisant la comparaison entre son sexe et ceux de ses amis. Ce net écart de grandeur fit rire les quatre autres aux éclats. 
— Eh ben dis donc, c’est vraiment tout petit chez toi, Denis. — Je me demande même comment il a pu faire trois gosses à Isabelle. — C’est sûr qu’elle ne doit pas être difficile pour se contenter d’une aussi petite bite. — Si seulement elle était là pour voir ce qui passe ici. Sa réaction vaudrait sûrement le détour. 
Ces phrases humiliantes prononcées par ses amis manquèrent de peu de faire sangloter Denis qui prit son courage à deux mains et s’enfonça le gode dans son arrière-train. 
Sous les rires et les encouragements de ses amis, Denis accéléra ses mouvements jusqu’à ce que Marc décidât qu’ils en avaient assez vu. 
Croyant en avoir terminé, Denis fit mine de se rhabiller mais en fut immédiatement empêché par Marc et les trois autres. 
— Ne pars pas comme ça, Denis. Tu as un cul tellement accueillant et on est encore tout durs. — S’il vous plaît, les gars ! Vous n’allez pas faire ça ?! Et vos femmes, qu’est-ce qu’elles diront si elles l’apprennent ?— Ne t’en fais pas, elles comprendront. 
Sur ces mots, Marc fit signe à Denis de s’agenouiller au sol. Pierre se plaça derrière lui tandis que Robert et Franck prenaient position à ses côtés. 
— Ouvre la bouche. 
Acculé, Denis n’eut d’autre choix que d’obtempérer et Marc logea sa verge entre ses lèvres, lui imposant une fellation. 
— Branle-nous. 
Suite à cet ordre sec de Robert, Denis se saisit des deux engins situés de part et d’autre de lui et les caressa aussi fort qu’il le pouvait tandis que Pierre s’enfonçait dans son petit trou. 
— Hum... Il se débrouille bien, notre Denis, pour une première fois. Enfin, si c’est vraiment sa première fois. 
Pierre, Franck et Robert rirent à cette remarque de leur ami. 
— C’est vraiment la première fois que tu te fais baiser par des vrais hommes ?
La bouche toujours remplie par le sexe de Marc, Denis ne put qu’émettre un gémissement en guise d’acquiescement, ce qui provoqua l’hilarité des quatre autres. 
— Bon, on tourne, les gars ?
Franck, Robert et Pierre hochèrent la tête en signe d’approbation et les quatre hommes changèrent de rôle. Marc se plaça à la gauche de Denis pour être masturbé tandis que Robert se plaçait en face de lui afin d’être sucé. Pierre et Franck prirent respectivement place à la droite et à l’arrière de Denis. 
Marc et les trois autres alternèrent ainsi leurs positions jusqu’à éjaculer l’un après l’autre sur le corps de Denis. Lorsqu’ils se furent entièrement vidés, les quatre hommes demandèrent à leur ami de les nettoyer en les prenant en bouche. Denis s’exécuta et reçut finalement la permission de se rhabiller. 
— Et la douche alors ?— Comment ça, la douche ?— Ben, je ne peux pas rentrer chez moi dans cet état. — Bien sûr que si.— Vous êtes fous ?! Si Isabelle sent l’odeur ou voit les traces...— Il faut bien qu’elle sache. Vous êtes sensés n’avoir aucun secret l’un pour l’autre. 
Sur ce dernier argument, Marc et les trois autres éclatèrent de rire et Denis s’en alla en récupérant son gode et en espérant être suffisamment rapide pour ne pas éveiller les soupçons de sa femme.
[ à suivre ] 
  
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