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Denis Couillemolle

Chapitre 3

Première humiliation

Trash
Le lendemain matin, Denis et Isabelle se levèrent comme à leur habitude pour prendre leur petit-déjeuner. Durant le repas, ils ne parlèrent pas des évènements de la veille puis Denis alla prendre une douche et se changea pour se rendre à son travail. Il embrassa son épouse et sortit de l’appartement. 
En chemin, Denis se prit à penser qu’il appréhendait de revoir Franck et se demandait comment allait se dérouler sa journée de travail compte tenu de ce qu’il s’était passé entre eux. 
En arrivant sur son lieu de travail, il salua ses collègues comme à l’accoutumée. Le ton chaleureux employé par ces derniers pour lui répondre le rassura quelque peu puisqu’il put en déduire que Franck ne leur avait encore rien divulgué de sa nouvelle orientation sexuelle. 
En passant devant le bureau de celui-ci, Denis s’aperçut qu’il était déjà arrivé sur les lieux. Il décida donc d’aller le saluer afin de savoir ce qu’il en était de sa situation dans l’entreprise. 
— Salut, Franck !— Salut, Denis ! La forme ?— Oui, oui, comme toujours.— Très bien. 
Suite à cet échange basique, les deux hommes se regardèrent droit dans les yeux sans prononcer un seul mot. Denis souhaitait amener le sujet sensible tandis que Franck demeurait suspendu à ses lèvres, attendant qu’il se mette à table. Ce fut pourtant ce dernier qui brisa le silence. 
— Je suppose que tu veux discuter de ce qu’il s’est passé hier soir. — Oui. 
Franck se leva de sa chaise et alla fermer la porte de son bureau afin d’assurer un minimum d’intimité à leur conversation. 
— Vas-y, Denis, je t’écoute. — Tu n’as encore rien dit aux autres de ce qu’on a fait hier soir ?— Bien sûr que non. Ils n’ont rien à voir avec ça donc ils n’ont pas besoin d’en être informés. Par contre, ta femme...— Elle sait. — Et comment elle a réagi ?
— Au début, très mal, mais je lui ai expliqué ce que je ressentais et elle a fini par me pardonner et accorder une nouvelle chance à notre couple. — C’est super ! Donc tout va bien comme avant ?— Pas tout à fait. — Comment ça ?— Eh bien, comme je lui ai parlé du gode, elle a voulu que je me le mette devant elle. — Et elle a aimé voir ça ?— Evidemment ! Elle a même voulu que je la baise avec. — Eh ben dis donc ! Isabelle est une femme très compréhensive. — Oui, j’ai beaucoup de chance mais elle m’a dit qu’on remettrait ça et plus encore. — Plus encore ? C’est-à-dire ?— Je n’en sais rien. Elle n’a pas voulu me le dire explicitement. — Ça va sûrement être bien pour vous deux. Ne t’inquiète pas. — Oui, tu as raison. 
Denis fit mine de ressortir du bureau mais Franck lui fit signe d’attendre un moment. 
— Toi et moi, nous aurons beaucoup de travail aujourd’hui. J’ai donc pensé qu’on pourrait s’encourager mutuellement. — Ici ? Mais tu es fou ?! Et si quelqu’un nous voit ?— Ne t’en fais pas : la porte est fermée à clé et le boss ne viendra que dans deux heures. Ça nous laisse amplement le temps de nous amuser. — Oui, mais si on voit que je ne suis pas à mon bureau, on va se poser des questions. — Mais non, comme on est ingénieurs en informatique, il nous arrive souvent de nous absenter de nos bureaux pour des réunions. À part toi et moi, personne dans cette entreprise ne saura quoi que ce soit de ce qu’il y a entre nous. 
Denis dut se rendre à l’évidence. Les arguments avancés par Franck étaient très convaincants et il sentait au fond de lui qu’il en avait également envie. 
— Bon, d’accord. On s’amuse un peu et après, au boulot. 
Les deux hommes se dévêtirent et lorsqu’ils furent tous deux intégralement nus, Denis s’agenouilla devant Franck et prit son sexe en bouche. 
— Hum... Excellent, Denis. Tu suces presque aussi bien que ma femme. 
Denis essaya de bredouiller un remerciement mais la verge de son collègue entre ses lèvres l’empêchait d’articuler le moindre son. Franck savoura la fellation durant quelques instants puis retira son sexe de la bouche de Denis. Il lui fit ensuite signe d’appuyer son torse contre son bureau, de manière à se retrouver le plus cambré possible. Denis obtempéra et Franck le pénétra d’un coup sec. 
Tout en faisant ses va-et-vient dans l’arrière-train de son collègue, il ne cessait de le complimenter sur ses dispositions. 
— Tu as un cul vraiment très accueillant, Denis. Ma queue y rentre comme dans la chatte de ma femme. 
Franck pilonna Denis pendant de longues minutes puis il finit par se retirer et éjaculer sur son postérieur et son dos. 
Les deux hommes se rhabillèrent puis Denis gagna son bureau. Le reste de la journée se déroula comme d’ordinaire avec la pause de midi durant laquelle il échangea joyeusement avec ses collègues. À la fin de la journée, après avoir rangé son bureau, Denis prit le chemin de son domicile. 
En entrant dans l’appartement, il salua son épouse. Isabelle lui répondit presque en même temps qu’une voix masculine qu’il connaissait bien. Surpris, Denis se dirigea vers la chambre à coucher de laquelle provenaient les voix. En entrant dans la pièce, il constata que son épouse se trouvait en compagnie de Marc. Tous deux étaient allongés nus sur le lit conjugal et le regardaient en souriant d’un air moqueur. 
À cette vision, Denis écarquilla les yeux, n’osant croire ce qu’il voyait. Cette réaction amusa beaucoup Isabelle qui vint l’enlacer. 
— Ça te surprend, n’est-ce pas ?— Il y a de quoi, non ? On n’a jamais convenu que je te laisserais me tromper. — C’est vrai mais je t’ai dit qu’on remettrait ce qu’on a fait hier soir et plus encore. — Et dans le "plus encore", tu pensais me tromper ?— Entre autres choses. 
Denis n’en revenait pas que sa femme pût avoir une telle réaction à ses révélations de la veille. Il ne s’attendait absolument pas à ce qu’elle franchisse le cap de la tromperie. 
— Et de tous les hommes avec lesquels tu aurais pu me tromper, il a fallu que tu choisisses Marc ? Un ami à moi et un homme marié ? Je ne suis pas sûr que sa femme apprécierait. — Ne t’en fais pas pour elle : on lui expliquera le moment venu. En attendant, si tu nous rejoignais ?— Tu n’as toujours pas répondu à ma question. Pourquoi Marc ?— Il faut que tu saches qu’initialement, ce n’était pas prévu. Je souhaitais simplement l’inviter à prendre un café ici pour avoir sa version des faits par rapport à ce qu’il s’est passé chez lui. Nous avons beaucoup échangé là-dessus et je lui ai parlé du petit jeu auquel nous avons joué avec ton gode. Il m’a alors proposé quelques petites choses qui nous aideront à faire en sorte que nous nous épanouissions tous dans la nouvelle orientation sexuelle que tu as choisie. — L’adultère n’a jamais fait partie de ma vision des choses. — Je le sais, mon chéri, mais j’ai besoin de ça. 
Denis bouillonnait intérieurement de colère. Sa femme profitait de sa confidence pour le trahir et elle osait de surcroît lui expliquer qu’elle avait besoin de le faire. 
— Comment ça, tu en as besoin ?— Moi aussi, j’ai envie d’être baisée et si tu ne veux plus t’acquitter de ça, eh bien, je cherche quelqu’un d’autre. On veut tous accepter ton choix et t’aider dans cette voie mais il va falloir que tu fasses aussi quelques concessions.
La colère de Denis retomba peu à peu. La sincérité d’Isabelle l’avait beaucoup touché et il décida de tenir compte de ses besoins. 
— Tu as raison, ma chérie. Je me suis laissé emporter. Pardonne-moi. — Ça ne fait rien. Si on s’y mettait maintenant ?
Denis hocha la tête en signe d’approbation et se dévêtit avant de rejoindre son épouse et son ami sur le lit conjugal. Sa verge ayant retrouvé son plus haut niveau de fermeté, Marc invita Isabelle à venir lui prodiguer une fellation. Celle-ci, ravie, s’empressa de répondre à l’invitation en le prenant en bouche. 
Ne voulant pas être en reste, Denis approcha son visage du fessier de son épouse et lui en lécha la raie, la faisant glousser. Enchanté par ce spectacle, Marc se saisit du crâne d’Isabelle pour lui imposer son rythme et ordonna à Denis de poursuivre sa tâche. 
Le trio tint cette position durant un certain temps puis Marc décida que le moment était venu de passer à autre chose. 
— Alors, Isabelle ? Elle est bonne, ma queue, n’est-ce pas ?— Excellente, même !— Que de compliments ! On va voir ce qu’en pense ton mari. 
Marc et Isabelle échangèrent un regard complice qui échappa à Denis. Le premier lui ordonna de se mettre à quatre pattes sur le lit tandis que la seconde s’absentait de la chambre durant quelques instants. 
Marc présenta ensuite sa verge aux lèvres de Denis qui s’empressa de la gober. Sous les encouragements de son ami, Denis ne cessait de multiplier les efforts pour lui prodiguer la meilleure fellation possible. Sa concentration était telle qu’il n’entendit pas Isabelle revenir dans la chambre. 
Il fut alors surpris lorsqu’il sentit un gros objet s’enfoncer dans son arrière-train. Le moment de confusion passé, Denis comprit qu’Isabelle s’était équipée d’un gode-ceinture dans le but de le sodomiser. Au vu de la légère douleur qu’il éprouvait, il en déduisit que le sextoy employé par son épouse devait être encore plus imposant que le gode qu’il avait acquis. 
Isabelle encula son époux de toutes ses forces jusqu’à être à bout de souffle. Denis, de son côté, au comble de l’extase, se masturbait avec frénésie sous les coups de butoir de sa femme qui contribuaient énormément à cet état. Il recracha la verge de Marc pour les prévenir qu’il allait jouir. 
Isabelle et Marc le retournèrent de manière à ce qu’il se retrouve sur le dos et éjacule sur son propre ventre. 
— Eh bien, on dirait que ça lui a plu de se faire prendre par sa femme. — C’est ce qu’on dirait, effectivement. 
Denis confirma leurs dires en opinant du chef. 
— Bon, Isabelle, si on lui montrait ce qu’on faisait avant qu’il n’arrive ?— Volontiers. 
Marc et Isabelle aidèrent Denis à se relever et l’installèrent sur une chaise en face du lit conjugal. Isabelle retira son gode-ceinture et se positionna ensuite à quatre pattes sur le lit, Marc derrière elle, en prenant bien soin de regarder son époux dans les yeux.
Dès la première poussée de son amant dans ses chairs intimes, Isabelle émit un râle de plaisir. Marc pilonna la femme de son ami durant plusieurs minutes puis le couple changea de position. Marc s’allongea sur le lit tandis qu’Isabelle venait s’empaler sur lui. 
En voyant le rythme effréné auquel son ami sodomisait sa femme et le visage de cette dernière déformé par le plaisir, Denis se prit à regretter ses confidences. Il aurait aimé être celui qui satisfaisait tant Isabelle. 
Marc, de son côté, haletait et ne cessait de complimenter Isabelle sur son physique. Il l’encula durant quelques minutes puis se retira. 
— Tu as vraiment de très beaux seins, Isabelle. Et si tu les utilisais pour me finir ?— Avec plaisir. 
Isabelle logea habilement la verge de Marc dans le sillon de ses seins et le masturba jusqu’à son éjaculation. Dès qu’ils se furent remis de leurs ébats, les deux amants demandèrent à Denis de nettoyer la poitrine de son épouse. Celui-ci se leva de sa chaise pour aller chercher du papier absorbant mais il fut interrompu par Marc. 
— Non, non, Denis. Nettoie-la avec ta langue. 
Denis jeta un regard suppliant à Isabelle. Celle-ci se contenta de lui adresser un sourire moqueur. 
— Fais ce que Marc t’a dit. Nettoie-moi les seins avec ta langue. 
Avec une mine de dégoût, Denis rejoignit les deux amants sur le lit conjugal et lécha les seins de sa femme jusqu’à ce qu’ils fussent exempts de toute trace de sperme. Il chercha ensuite un mouchoir en papier dans lequel recracher la semence de Marc mais il fut arrêté par Isabelle. 
— Avale. 
Avec un haut-le-coeur, Denis s’exécuta sous les rires de Marc et Isabelle. 
— Tu vois, ce n’est pas si dur. Avec un peu de pratique, tu t’habitueras au goût. 
Sur ce dernier conseil de Marc, ils se rhabillèrent tous les trois puis les époux raccompagnèrent leur ami et amant jusqu’à la porte d’entrée. En prenant congé d’eux, Marc leur promit de parler à sa femme et de venir les voir aussi souvent que possible. 
— Alors, mon chéri, comment as-tu trouvé notre premier trio avec Marc ?— Plutôt sympa au début mais à la fin un peu moins. — Je sais qu’on t’en a beaucoup demandé pour une première fois en voulant que tu me nettoies les seins et que tu avales le sperme de Marc mais tu vas finir par t’habituer. — Tu as sûrement raison. 
Isabelle lui répondit par un sourire puis se souvint d’une chose dont elle désirait lui faire part. 
— Au fait, j’ai également pensé à autre chose. — D’accord et à quoi as-tu pensé ?— J’ai pensé qu’on pourrait parler de ton complexe à Lisa, Paul et Stéphane. — Mais ça ne va pas ?! On ne peut pas leur parler de ça ! Ça leur ferait un choc. — Peut-être au début. Surtout pour Paul et Stéphane. Mais je pense que si on ne leur dit rien, ils se douteront certainement de quelque chose. Ils sentiront sûrement un changement dans nos attitudes respectives. C’est pourquoi je te propose d’en parler d’abord à Lisa. Elle comprendra sûrement un peu mieux la situation.— Tu as peut-être raison mais ce sera difficile de leur parler de ça. 
Isabelle embrassa tendrement son époux. 
— Je sais. C’est pour ça qu’on va le leur dire ensemble. — D’accord. 
Les époux échangèrent un nouveau baiser tendre puis décidèrent de s’accorder un peu de temps pour réfléchir à la façon d’annoncer la nouvelle à leur fille qui devait regagner sous peu le domicile familial. 
[ à suivre ]
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