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Dépannage de mon pote

Chapitre 1

Gay
Salut ! Il m’est arrivé quelque chose cet après-midi que je veux vous raconter. L’un de mes potes est venu me rendre visite afin que nous passions un moment ensemble. Nous avons parlé de choses et d’autres, joué à la console, fait une parte de baby-foot, etc… Enfin bref, nous avons fait des choses tout à fait banales. Banales, jusqu’à ce que ma bisexualité arrive sur le tapis. Curieusement, ça revient souvent chez mes potes… Pour ma part, je n’ai aucun problème à en parler même si je ne souhaite pas que cela devienne une étiquette collée sur mon front.Alors qu’il en est à me raconter son célibat prolongé et le désespoir que ça lui cause, je compatis, je suis seul aussi depuis trois mois, il me demande si je ne pourrais pas le « dépanner ». Cela m’interpelle :« Te dépanner de quoi ? Tu veux du fric ?— Non, sexuellement je veux dire.— Je ne comprends rien, explique-toi.— Est-ce que tu pourrais me sucer ?— Ça ne va pas non ?— Allez s’te plaît… Juste vite fait.— Non, je ne vais pas te sucer, même vite fait.— T’as déjà sucé des mecs, je ne vois pas le problème.— J’n’ai pas envie de te sucer, c’est tout.— Tu fais chier… tu ne sais pas ce que tu loupes, tant pis pour ta gueule.— Genre t’es monté comme un cheval… ».Et là, comme il se mettait à faire la gueule grave, j’ai eu un moment de faiblesse :« Bon, on va fait un truc. Tu te fous à poil, et si ta bite mesure plus de 20 cm, j’te suce. ».Il s’est déshabillé en un rien de temps et a commencé à se branler pour atteindre une érection maximale. J’ai été cherché de quoi mesurer et je n’ai trouvé que 19 cm. N’ayant pas le courage de lui refuser sa pipe, je lui ai menti :« Un peu plus de 20 cm. Je vais te faire ta pipe. ».Je me suis déshabillé rapidement, et j’ai commencé à lécher sa bite, en remontant des couilles jusqu’au gland avec la pointe de ma langue, insistant sur son frein puis sur son gland où perlait une goutte de liquide transparent. Je lui ai fait un bisou sur le gland avant d’enfoncer sa bite dans ma bouche. Lui ne bougeait plus, il se laissait faire, tout en fermant les yeux. Sa respiration s’amplifia au fur et à mesure que j’accélérais la cadence. Alors que je m’appliquais, il m’interrompit :« Tu sais que j’ai jamais sodomisé personne… J’aimerais bien que tu sois le premier.— Ah non, ça c’est non, déjà que je te suce…— Allez, s’te plaît.— Non. »Il m’appuya alors sur la tête pour m’intimer de reprendre ma fellation, ce que je fis. Je sentis alors quelque chose près de mon cul. Son doigt s’approcha légèrement alors que son autre main me maintenait la bouche sur sa bite. Ses doigts ne cessaient de m’effleurer l’anus et au fond de moi je me sentais vaincu. Je parvenais à dégager ma tête de son emprise : « OK, c’est bon, vas-y. ».Je me retournai pour lui présenter mon cul. Il approcha son gland de mon trou, le frotta et le fit entrer doucement. Il hésita quelques instants, je l’encourageai :« Bon bah vas-y ! ».Il entra d’un coup. Je lâchai alors un gémissement de plaisir. Il commença des allers-retours, variant la vitesse. Je prenais de plus en plus de plaisir. Ce n’était pas la première fois que je me faisais sodomiser. J’avais eu l’occasion de me faire prendre plusieurs fois par deux mecs que j’avais fréquentés mais qui n’étaient pas aussi bien montés. De plus, j’éprouvais un curieux plaisir à me faire sodomiser par mon pote que je connaissais depuis très longtemps. Nous changeâmes de position. Je m’installai sur le dos, mon pote continua ses allers-retours. Je voyais sa bite entrer et sortir de mon cul avec le même plaisir à chaque va et vient. Lui me regardait en train de prendre mon pied. Je commençais à me branler et j’éjaculais rapidement avec une force dont je n’avais guère l’habitude. Mon sperme se répandit sur mon torse et commença à couler de chaque côté. Mon pote sortit alors de mon cul, approcha sa bite de ma bouche et déversa son sperme sur mon visage. Un premier jet fourni m’atteignit violemment, puis un second. Un troisième et un quatrième arrivèrent, plus modestes. J’ouvris la bouche et un petit cinquième se déversa sur ma langue. Mon pote soupira heureux. J’avalais quelques gouttes pour son plus grand plaisir.
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