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Dépasser nos limites

Chapitre 2

Une nouvelle étape

Orgie / Partouze
Les jours qui ont suivi, je n’arrêtais pas de penser à ce week-end de découvertes pour moi. Julie et moi en avons parlé longuement. Elle m’a proposé d’inviter à nouveau Olivier, le mec qui m’a enculé. Nous avons essayé de le joindre, mais pas de réponse... Nous avons donc cherché un autre mec, enfin ma femme m’a laissé chercher seul, nous avons juste mis l’annonce ensemble.
Le soir même, j’ai accroché avec Paul, un homme de 50 ans, totalement épilé, les cheveux grisonnants, bien entretenu. Il a un léger ventre, mais on voyait clairement qu’il faisait de l’exercice. Et surtout, sa queue de 18 centimètres, épaisse, m’a immédiatement beaucoup attiré. Quand il m’a envoyé la photo, je me suis dit "hmmm celle-là, il me la faut !". Il était divorcé et bisexuel.
J’ai tout montré à ma femme et je lui ai demandé si elle était d’accord pour qu’il vienne. On a fait un Skype tous les trois. Tout s’est bien passé, à tel point que nous lui avons donné rendez-vous chez nous le samedi après-midi. Nous avons parlé de mes nouveaux penchants pour la soumission en lui racontant nos expériences. Il a simplement dit qu’il était très ouvert à ce sujet, sans en dire beaucoup plus.
Le reste de la semaine est passé assez rapidement, n’étant pas mal pris par mon travail. Le samedi, dès que je me suis réveillé, j’étais excité comme rarement. Quand enfin la sonnette a retenti, Julie et moi sommes allés ouvrir. Il était conforme aux photos. Nous l’avons invité à d’abord prendre un verre sur la terrasse. Julie, qui avait mis un paréo sur son bikini, l’a enlevé. J’ai tout de suite vu dans le regard de Paul que les courbes dévoilées de ma femme ne le laissaient pas insensible.Dès que la conversation s’est orientée sur le sexe, je me suis mis à bander, m’imaginant déjà la belle queue de notre nouvel ami dans ma bouche et dans mon cul. On a parlé de mes désirs de soumissions, voire d’humiliation. Julie a lancé :
— Tu peux lui demander ce que tu veux, il le fera.— Vraiment ?— Oui. Tiens, regarde.
S’adressant à moi, elle a dit :
— Lèche ! en montrant ses pieds.
Son regard est soudain devenu autoritaire. Elle avait les pieds posés sur la table basse. Je me suis exécuté sans rien dire. J’avais un peu honte de faire ça devant un inconnu, mais ça m’excitait aussi énormément. Je me suis mis à genoux et j’ai léché la plante de ses pieds, lui ai sucé les orteils. Il regardait fixement.Julie a rompu le silence en disant à notre invité du jour :
— Tu vois, il fait ce qu’on lui dit de faire.— Oui, je vois ça ! Et vous faites ça souvent ?— Il le faisait déjà avant. Il aime bien me lécher les pieds.
Ils ont continué à parler entre eux jusqu’à ce que Paul dise qu’il aimerait prendre une douche avant de faire quoi que ce soit. Ma femme m’a alors demandé de l’accompagner jusqu’à la salle de bain. Je lui ai donné une serviette et je suis retourné sur la terrasse. Julie consultait son portable, m’ignorant totalement. Elle m’a simplement dit d’aller chercher le lubrifiant et un gode.
Quand Paul est revenu au bout de quelques minutes, il ne portait que sa serviette. Ma femme, sur un ton autoritaire, m’a dit d’aller chercher à boire. En revenant de la cuisine, ils parlaient entre eux. Alors que j’allais m’asseoir, Paul m’a lancé, en me regardant droit dans les yeux :
— Déshabille-toi.
J’ai enlevé mes vêtements, j’étais nu debout devant lui. Il m’a pris par les hanches pour me faire tourner sur moi-même. Dos à lui, il a écarté mes fesses pour voir mon anus. Il a rentré une phalange sans lubrifiant. Ça a eu du mal à rentrer. D’ailleurs, ça m’a fait un peu mal. Il a dit :
— Tu es encore serré ! C’est bien...
Il m’a retourné pour me toucher la queue. Il m’a décalotté, regardant longuement mon gland, il m’a touché les couilles. C’était comme s’il m’inspectait. Puis il a dit :
— Mets-toi à genoux.
Il a alors enlevé sa serviette. Sa queue, pas encore tout à fait dure, me faisait envie. Je l’ai prise immédiatement dans ma bouche. J’ai passé ma langue partout sur sa bite et ses couilles. Il m’a laissé faire. Je commençais à être dans un état second. Pour preuve, j’ai frotté son sexe sur mes joues et sur mes lèvres. Une fois bien dure, cette queue était bien épaisse. Je me suis dit que ça aurait du mal à rentrer.Après quelques minutes, il m’a arrêté. Il a demandé à ma femme :
— On peut aller là-bas ?— Oui bien sûr.— OK, ce sera plus pratique.
Il m’a emmené près de la piscine et m’a dit de me mettre à quatre pattes sur un transat. Julie s’est allongée sur le transat juste à côté, à moins d’un mètre de moi. J’ai senti du froid sur mon anus. Paul était en train de mettre du lubrifiant. Il a fait entrer son index en entier et l’a enlevé.
Soudain, j’ai senti quelque chose de plus gros. En me retournant, j’ai vu que c’était mon gode. Il l’a fait entrer rapidement en moi, ce qui m’a fait pousser un cri de surprise et de douleur à la fois. Les va-et-vient qu’il faisait avec l’objet me faisaient de plus en plus de bien. Je commençais à gémir, surtout quand il me mettait le sex-toy bien au fond de moi. Ca a duré au moins dix minutes. J’avais les yeux fermés, je m’abandonnais totalement.
D’un coup, il a retiré le gode. J’ai ouvert les yeux pour voir ce qu’il faisait. En tournant la tête, j’ai croisé le regard de ma femme, qui avait enlevé le haut de son maillot de bain. Elle me regardait amusée de me voir ainsi, en train de gémir grâce à un autre homme. Paul était en train de mettre une capote. Quand ce fut fait, il a posé son gland sur mon anus et a poussé assez lentement. Sa queue était bien plus grosse que mon gode. J’ai laissé échapper un "oh putain" quand le gland est entré en moi.
Je fermais les yeux à nouveau pour me concentrer sur la sensation de ce sexe qui me pénètre. Une fois au fond, il est resté planté quelques secondes. Je lâchais un "hmmm" de plaisir. Quand il a commencé les va-et-vient, lents, mais profonds, je gémissais presque en continu. La grosseur de son sexe me faisait beaucoup de bien.
Il a dit à ma femme :
— On dirait que ça lui plaît !
J’ouvrais les yeux et regardais ma femme parler à l’homme qui m’enculait. Elle a répondu :
— Oui, il aime ça, tu peux y aller.
Elle m’a ensuite regardé avec un air un peu hautain. J’avais un peu honte d’aimer me faire prendre par un autre homme devant elle, mais le fait de savoir qu’elle me regarde ne faisait que rajouter à mon plaisir.Après quelques minutes, il m’a fait m’allonger sur le dos, les jambes relevées. Il est entré d’un coup en moi, m’arrachant un cri. Je voyais la satisfaction dans les yeux de Paul de me posséder et de me faire crier. Ses mouvements étaient plus amples, ressortant presque totalement pour venir se planter au fond de moi. Quasiment à chaque fois, je criais de plaisir.Je ne sais pas pourquoi, mais à un moment, j’ai tourné la tête pour regarder Julie. Elle regardait la scène comme fascinée. Quand nos yeux se sont rencontrés, elle m’a dit à voix basse :
— C’est bon ?— Hmmm oui !
Au bout d’un moment (je ne saurais dire combien de temps), Paul a accéléré la cadence. Il a enlevé sa queue d’un coup puis a vite retiré la capote pour jouir sur mon ventre et mon torse dans un râle de plaisir. Il y avait un bon paquet de sperme. Je suis resté quelques secondes sans bouger pour reprendre mes esprits. J’ai essuyé sommairement le sperme sur moi à l’aide d’un mouchoir.
Nous nous sommes mis sur la terrasse. Paul et moi étions nus, ma femme uniquement en bas de maillot de bain. Elle exhibait ses seins sans aucune gêne. On a parlé de ce qu’on venait de faire tous les trois. J’ai pris énormément de plaisir, avec en plus l’excitation de le faire devant ma femme. Julie avait aimé me voir me faire sodomiser, même si elle aurait voulu que ça aille un peu plus loin.
Mon amant du jour a posé beaucoup de questions, notamment sur notre "parcours". Il a dit qu’il n’avait pas osé aller plus loin dans les jeux de domination/humiliation comme c’était la première fois qu’on se voyait et qu’il ne savait pas jusqu’où on était prêts à aller. Ce à quoi Julie a répondu, sur un ton entre plaisanterie et défi :
— Dommage, j’aurais bien aimé voir de quoi tu es capable !— La prochaine fois, tu verras...
On a discuté une bonne heure puis Paul devait partir. Avant qu’il parte, Julie lui a demandé :
— Tu peux revenir quand ?— Quand vous voulez ! Demain, je suis libre.
Rendez-vous était pris dès le lendemain, en milieu d’après-midi. J’étais aux anges. Dès qu’il est parti, Julie et moi avons fait l’amour. Elle était trempée !
Le lendemain, j’étais tout aussi impatient que Paul arrive. Julie et moi prenions le soleil dans le jardin, nus. Quand il a sonné, j’ai mis un short et ma femme un bas de maillot uniquement. Nous l’avons accueilli en lui proposant un verre sur la terrasse. Pendant que nous discutions, il regardait les seins de ma femme plus ou moins discrètement. Comme la veille, notre invité a voulu prendre une douche avant de commencer. Il y est allé seul cette fois.
Quand il est revenu, il était en serviette uniquement. Il s’est assis et m’a dit "déshabille-toi". En posant ses pieds sur la table basse, il m’a dit "lèche". Son ton était directif. Je me suis agenouillé et j’ai commencé par passer ma langue le long de la plante de son pied. Ma femme me regardait, j’éprouvais une certaine honte de faire ça. J’aimais le faire avec Julie, mais je ne pensais pas que j’aimerais aussi avec les pieds d’un homme. Cependant, je me sentais profondément humilié : je léchais les pieds d’un homme sous le regard de ma femme.
Malgré tout, je me suis surpris à bander. Après quelques minutes, il m’a dit :
— Arrête ça et viens me sucer.
J’ai jeté un coup d’œil en direction de Julie, qui regardait avec attention. Je me suis rapproché de Paul qui s’était déshabillé totalement. Je l’ai sucé comme j’aime le faire. C’était bon, sa bite me plaisait décidément beaucoup. J’ai joué avec ma langue autour de son gland, en alternant le rythme. Son regard était différent de la veille, plus dur. A un moment, il a pris ma tête pour l’éloigner de sa queue en me disant "arrête, arrête".A genoux devant lui, Paul s’est levé et a frotté sa bite sur mon visage. Il m’a dit, en indiquant un transat :
— Va là-bas et prépare ton cul, j’arrive.
J’y suis allé, après avoir pris du lubrifiant et un gode. Je me suis allongé sur le dos, les jambes légèrement relevées, et j’ai mis du lubrifiant sur mon anus. J’ai rapidement fait entrer deux doigts. Pendant ce temps, Paul finissait sa bière en discutant avec ma femme. J’ai pris le gode et l’ai enfoncé lentement en moi. C’est rentré tout seul. J’ai accéléré les mouvements de va-et-vient. Le plaisir commençait à monter en moi. J’en oubliais presque mon amant et ma femme. Ce n’est que quand je les ai vus se rapprocher que je me suis souvenu de leur présence.
J’ai arrêté de me goder. Paul m’a dit "continue". Je me sentais un peu ridicule de faire ça devant eux (surtout devant Julie à vrai dire), mais le plaisir a vite repris le dessus. Julie s’est allongée à côté de moi, toujours seins nus. Paul s’est rapproché de moi et a pris le relai pour me goder. Il y allait bien plus rapidement et profondément que moi. Je ne pouvais contenir des gémissements. Plusieurs fois de suite, il l’a sorti entièrement de mon cul pour le faire rentrer d’un coup tout au fond. Je me sentais bien ouvert, j’avais très envie qu’il me prenne.
Il a retiré le gode et a mis une capote. Là, je me souviens m’être dit "dépêche-toi de me la mettre, j’en ai tellement envie". Il m’a fait mettre en levrette sur le transat. J’ai lancé un regard vers ma femme qui me regardait avec un air hautain. Paul m’a enculé directement vite et profondément. Je gémissais en continu. Je sentais ses couilles taper contre les miennes. Je me sentais vraiment bien rempli par sa queue.
Il m’a dit :
— T’aimes ça ?
Entre deux cris, j’ai dit "oui". J’ai alors tourné la tête pour voir Julie. Elle me regardait me faire enculer avec attention. Elle avait une certaine perversion dans le regard que je ne lui connaissais pas.D’un coup, Paul a retiré sa queue et la capote et m’a demandé de me retourner. Instinctivement, je me suis mis à le sucer. Sa bite avait le goût de la capote, mais qu’importe, je la suçais avec ardeur. Quelques secondes après, il a sorti sa bite de ma bouche et m’a inondé le visage. J’avais du sperme sur le front, le nez, les lèvres et le menton. J’ai adoré ça. Je suis resté quelques secondes sans bouger. J’aurais vraiment voulu pouvoir l’avaler, mais bon... Je sentais le sperme couler le long de mon visage jusqu’à mon cou.
Paul, toujours face à moi, la queue à seulement quelques centimètres de mon visage, a commencé à me pisser dessus sans me prévenir. Il m’a pissé sur le visage et sur le torse. Ca m’a surpris. Je suis resté assis sans bouger à recevoir ce jet chaud sur moi. Ca m’a beaucoup excité. A un moment, alors qu’il m’arrosait le visage, j’ai même ouvert un peu la bouche. Je ne sais pas pourquoi j’ai fait ça. J’ai tout recraché, mais j’avais le goût dans la bouche.
Quand il a fini, je me suis senti vidé de toute mon énergie. Je me suis allongé sur le transat. En regardant Julie, je me suis senti profondément humilié. Son regard était à la fois lubrique et méprisant. Après quelques secondes, je me suis aperçu qu’elle était entièrement nue. Je ne l’avais même pas vu enlever sa culotte.
Paul est parti se laver rapidement dans la salle de bain. Moi, je suis resté allongé, dégoulinant de pisse, à côté de ma femme. Elle est venue me rouler une pelle magistrale. Visiblement, elle était très excitée. Et puis, elle est allée dans la maison.
Quelques secondes plus tard, je me suis levé pour aller me laver, l’odeur, même si elle était excitante au début, devenait désagréable. En arrivant devant la salle de bain, je les ai entendus parler. Paul a dit :
— Oh pardon, tu en as eu sur toi ?— Oui. C’est pas grave, ne t’inquiète pas. Au contraire...
Et là, je suis entré dans la salle de bain. J’ai compris que Julie avait reçu un peu de pisse sur elle et que c’était sûrement pour ça qu’elle avait enlevé le bas de son maillot de bain. Ça m’a fait bizarre de les voir tous les deux nus en arrivant. Je suis allé sous la douche.En sortant, ils n’étaient plus là. Je suis sorti sur la terrasse. Ils étaient en train de boire une bière, nus tous les deux. Je me suis joint à eux et nous avons discuté tous les trois. Le comportement de Paul était redevenu normal, la soumission n’étant clairement qu’un jeu entre nous. Julie a dit avoir adoré le spectacle. Elle m’a demandé si j’avais aimé. J’ai répondu un oui spontané qui les a fait rire. Et puis, après environ une heure, Paul est parti. Pour lui dire au revoir, ma femme lui a fait un smack, les seins contre son torse. On s’est dit qu’il reviendrait, nous en avions tous les trois envie.
Seuls tous les deux, je lui ai demandé :
— Tu es allé faire quoi dans la salle de bain tout à l’heure ?— Oh... euh...— Je t’ai entendu parler avec Paul. Tu lui as dit que c’était pas grave, au contraire même. De quoi tu parlais ?— Oui, euh... eh bien voilà, quand il t’a pissé dessus...— Dis-moi. - J’en ai reçu sur moi, voilà c’est tout.— Et pourquoi "au contraire" ? Ça t’a plu ?— Ben... oui ça ne m’a pas dérangé. Pourquoi ?
Elle semblait très gênée.
— C’est vrai ?— Oui, pourquoi ? Et puis, tu es mal placé pour me juger toi !
Sentant qu’elle s’énervait, je n’ai pas insisté.
Le soir, alors qu’on prenait l’apéro dehors, nus tous les deux, elle m’a dit :
— Excuse-moi pour tout à l’heure, j’aurais pas dû m’énerver.— C’est pas grave. Tu veux en parler ?— Si tu veux.— Alors, ça t’a plu ?— Je sais pas, c’est difficile à expliquer...
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