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Dépasser nos limites

Chapitre 5

Ma semaine de congés (2/2)

Orgie / Partouze
Samedi midi, nous étions invités chez des amis, Anne et Christophe. Encore aujourd’hui, ils ne savent rien de nos penchants. Ils ont à peu près notre âge. Anne est fine avec de petits seins. Christophe est assez grand (plus d’1m90) et assez musclé.Il faisait chaud ce jour-là. Après avoir mangé dehors, nos amis nous ont proposé d’aller nous rafraichir dans leur piscine (ils venaient d’acheter une piscine hors sol). J’ai répondu le premier :
— Non, je n’ai pas pris mon maillot. Mais allez-y !
Julie a dit :
— Moi non plus je n’ai pas pris de maillot... Tant pis, je vais me baigner en sous-vêtements. De toute façon, vu la chaleur, ce sera vite sec.
Nos amis n’y ont vu aucun inconvénient. Anne est partie mettre un bikini rose, assez sage. Même si ses seins étaient assez petits, elle était vraiment très sexy. Christophe portait déjà un short de bain. Il n’a eu qu’à enlever son t-shirt.Ma femme a alors fait glisser sa robe à ses pieds, pour apparaître en brassière blanche sans bretelles et en string bleu. Nos amis l’ont regardée, visiblement surpris. Ils sont entrés dans la piscine. Elle faisait environ un mètre de haut. Je me suis accoudé au bord pour discuter avec eux. Quand Julie s’est assise dans la piscine, se mouillant ainsi jusqu’au cou, sa brassière est devenue très transparente. On voyait clairement ses tétons. Elle ne s’en est pas rendu compte. Nos amis n’ont rien dit, mais le regard de Christophe ne quittait pas les seins de ma femme.Après cinq ou dix minutes, Julie a crié :
— Eh mais... On voit tout !
Elle a regardé tout le monde, pas gênée du tout. Au contraire, la situation semblait l’amuser. Elle a rajouté :
— Vous auriez pu me le dire !
Et là, elle m’a scotché. Elle a retiré son haut en disant :
— De toute façon, ça ne sert à rien que je le garde. Tu peux le mettre là-bas mon cœur ?
Nos amis sont restés sans voix. Eux par contre semblaient un peu gênés, surtout Christophe qui n’osait plus vraiment la regarder.Je suis allé près d’elle pour prendre sa brassière et la poser pour qu’elle sèche au soleil. Je lui ai dit :

— Tu aurais pu demander...— Oui, pardon. Ça ne vous dérange pas ?
Anne, en plaisantant, a répondu :
— Non, de toute façon, ça ne change pas grand-chose !
Nous sommes restés à discuter de tout et de rien pendant environ une heure.Quand ils sont sortis de la piscine, Christophe dévorait ma femme du regard. Il faut dire qu’elle ne portait qu’un string. Elle s’est essuyée et s’est dirigée vers la terrasse en restant seins nus. Je lui ai dit :
— Chérie, tu ne te rhabilles pas ?— Oh si pardon, c’est l’habitude.
Elle a remis uniquement sa robe, les seins libres en dessous. Nous avons discuté tous les quatre et leur avons simplement avoué qu’on bronzait souvent nus chez nous. Nous sommes finalement partis vers 18 heures.Nous avions plus d’une heure de route. A peine sortis du village, j’ai posé ma main sur la cuisse de Julie. Rapidement, je me suis mis à caresser sa jolie chatte par-dessus son string. Elle m’a dit "attends" en retirant ma main. Elle a fait glisser son string à ses pieds, puis a dit :
— Ce sera mieux comme ça !
J’ai repris ma caresse. Elle mouillait déjà. Ma main parcourait son corps. Je lui ai dit que j’ai aimé la voir montrer ses seins et voir le regard de notre ami plein de désir. Elle a répondu :
— Je savais que ça allait te plaire !
Il n’y avait pas grand monde sur la route. Alors que je touchais les seins de ma femme, j’ai baissé le haut de sa robe pour libérer ses seins. Elle m’excitait terriblement. Je commençais à avoir du mal à me concentrer sur la route.A peu près à mi-chemin, je me suis arrêté sur une aire de repos. Je ne tenais plus, j’avais trop envie d’elle. Il y avait un camion sur cette aire de repos, mais personne à l’intérieur. Je me suis garé une dizaine de mètres devant.J’ai enlevé nos ceintures de sécurité et j’ai repris mes caresses. Je lui ai demandé d’enlever sa robe. Elle a regardé autour de nous et, ne voyant personne, a enlevé son dernier vêtement. Je me suis penché pour lui lécher les seins. Et puis, alors qu’on s’embrassait, j’ai vu un homme caché derrière un arbre, le routier sans doute. J’ai dit à ma femme :
— Regarde, on a un spectateur !— Tu veux qu’il vienne ?— Comme tu veux, c’est toi qui vois.
Elle a hésité quelques secondes puis s’est tournée vers le voyeur et lui a fait signe de s’approcher avec son index.L’homme, dans la cinquantaine, bedonnant, est immédiatement venu vers nous, la bite à la main. Il est venu à côté de ma femme. Les vitres de la voiture étaient fermées. De ma place, je ne voyais pas son visage, juste sa main aller et venir sur sa queue. Il a d’ailleurs baissé son short pour être plus à l’aise.
Je palpais les seins de Julie devant cet inconnu, comme pour le provoquer. Julie, elle, semblait hypnotisée par la queue du voyeur. Elle le regardait se branler, presque hypnotisée. Je sentais qu’elle avait envie que ça aille un peu plus loin, alors sans rien lui dire, j’ai baissé sa vitre. Elle m’a lancé un regard, l’air de dire "ah ouais, tu veux jouer ?".
Elle a alors mis sa main autour du sexe dressé devant elle. J’ai arrêté de la toucher pour regarder le spectacle. Elle a tourné la tête vers moi pour me regarder avec un petit air de défi, puis elle a pris directement la bite du voyeur entre ses lèvres. Il semblait apprécier, vu les bruits qu’il faisait.
L’homme a mis sa main sur un sein de ma femme. Elle a alors tourné la tête à nouveau vers moi, la langue sortie sur le gland. La scène m’excitait énormément, je bandais. J’ai sorti ma queue et me suis caressé lentement en regardant Julie sucer un autre homme.
Après quelques minutes, le routier a dit :
— Ça vient, ça vient !
Ma femme s’est alors tournée face à lui, donc dos à moi. J’ai entendu le mec grogner presque en continu.Julie a repris sa position, elle avait une bonne quantité de sperme sur les seins. Il était bien blanc et semblait très épais. Le voyeur est parti comme il est venu, sans dire un mot. La vue de ma femme couverte par le sperme d’un autre homme m’a tellement excité que j’ai dû arrêter de me branler pour ne pas jouir.J’ai dit à Julie de sortir. Elle était toujours nue. Je l’ai penchée sur le capot et l’ai pénétrée directement. Je lui ai touché les seins et j’ai étalé le sperme sur sa poitrine et son ventre. Ça m’a tellement excitée que j’ai joui en elle très rapidement.Je me suis rendu compte que le routier nous regardait dans son camion. On s’est essuyés sommairement avec des lingettes et on est partis. Ma femme a remis son string et sa robe dans la voiture.Durant le reste du trajet, une odeur de sexe flottait dans la voiture. Dès que nous sommes rentrés, nous avons refait l’amour.
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