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Dépasser nos limites

Chapitre 6

Nos cadeaux d'anniversaire (1/2)

Orgie / Partouze
En octobre 2019, pour mon anniversaire, ma femme et moi avons passé une soirée juste tous les deux. Après être allés au restaurant, nous sommes rentrés chez nous. Pour l’occasion, elle s’était habillée avec la tenue qui m’excite le plus : un micro bikini et des hauts talons. Elle avait mis du vernis rose sur les ongles des pieds et des mains. Je ne sais pas pourquoi, mais j’adore ça.Au lit, avant de faire l’amour, elle m’a donné un cadeau. En le déballant, j’ai découvert un livre avec écrit sur la couverture "bon anniversaire" au-dessus d’une photo de Julie en tenue d’écolière. En voyant ma surprise, elle m’a dit :
— J’espère que ça va te plaire. Je l’ai fait il y a 2 semaines.
J’étais tellement surpris que je n’ai rien répondu. J’ai ouvert le livre. A mesure que je tournais les pages, je découvrais des photos de ma femme de plus en plus dénudée. Au début, elle portait son déguisement, puis elle ne portait plus que des sous-vêtements très sexy. En tournant à nouveau une page, j’ai découvert une photo d’elle sans le haut. Ça m’a fait un peu bizarre, mais j’ai trouvé ça terriblement excitant. Sur les pages suivantes, elle ne portait plus aucun vêtement. Les poses devenaient même très suggestives. Les photos étaient vraiment très belles, très professionnelles.J’avais beaucoup de questions à lui poser, mais j’étais tellement excité que la seule chose dont j’avais envie, c’était de lui faire l’amour. Nous l’avons fait de manière très sensuelle.Après avoir joui tous les deux, nous sommes restés allongés sans parler quelques secondes. Julie a rompu le silence en disant :
— Je crois que je vais te faire des cadeaux plus souvent !
Je lui ai demandé où elle avait fait les photos. Elle m’a expliqué être allée dans un sex-shop pas très loin de chez nous qui proposait un service photo. Un homme d’une quarantaine d’années prenait les photos, assisté par une femme plus jeune qui était surtout là pour mettre à l’aise le modèle. Julie m’a dit qu’elle était assez tendue, alors que pourtant, c’était loin d’être la première fois qu’elle allait se dévoiler devant un autre homme. Étrangement, au moment où elle a enlevé son soutien-gorge, elle m’a dit s’être sentie libérée.
Tout en discutant, je regardais les photos. Le fait de savoir qu’elle s’est montrée nue devant un autre homme (et en plus sans que je sois là) m’a beaucoup excité. J’ai mis un doigt dans sa chatte encore pleine de mon sperme. Je n’ai pas pu résister à l’envie de venir la lécher, avalant au passage mon propre sperme. Elle a joui sous mes coups de langue. Nous avons refait l’amour, cette fois de manière plus intense. J’ai fini par éjaculer sur ses seins. Nous avons passé plusieurs minutes à nous caresser mutuellement, jusqu’à ce qu’on s’endorme.
Le lendemain matin, je me suis réveillé le premier. J’ai feuilleté le livre que j’avais laissé sur ma table de chevet. Ça m’a tellement excité que j’ai décidé de lécher le minou de ma femme pendant qu’elle dormait encore. Ça l’a bien sûr réveillé. Elle m’a dit :
— Ah ouais, tu es comme ça ? Dès le matin ?
Je l’ai fait jouir avec ma langue puis nous avons fait l’amour.Son cadeau m’a beaucoup plu. D’ailleurs, je le regarde encore très souvent.

Un mois plus tard, pour l’anniversaire de Julie, j’étais bien décidé à la surprendre. Je voulais qu’elle réalise son fantasme (voir dans le chapitre 4), c’est-à-dire un plan uro avec plusieurs hommes.J’ai passé pas mal de temps sur des forums, j’ai même contacté des clubs et des saunas libertins de notre région, mais je n’étais pas plus avancé pour réaliser son fantasme. J’ai décidé d’élargir un peu mes recherches. Finalement, un sauna libertin à trois heures de chez nous organisait des soirées gangbang à la demande d’habituées. J’ai échangé plusieurs fois avec le gérant (je lui ai envoyé la fameuse vidéo qui plaisait tant à Julie), qui a fini par me proposer de venir voir par moi-même.

J’y suis allé un après-midi, sans rien dire à ma femme. Le gérant m’a accueilli et m’a fait visiter. Il m’a proposé de mettre une piscine gonflable sous les douches. La pièce était assez spacieuse. Il m’a parlé de la clientèle : en majorité des hommes seuls de 40-50 ans, quelques couples dans la même tranche d’âge. Les tarifs étaient assez élevés, de manière à éviter un certain public, m’a-t-il dit, avec qui il a eu des problèmes par le passé. Pour les soirées gangbang, il laissait entrer plus d’hommes seuls qu’à l’accoutumée.
Pour ces soirées-là, il mettait une sorte d’affiche sur son site internet pour annoncer la soirée. Il m’a demandé si nous étions d’accord pour lui envoyer une photo de ma femme, même à visage masqué ou flouté. Je lui ai répondu que ça ne posait aucun problème. Il m’a fait visiter le reste de l’établissement. L’hygiène semblait irréprochable. En discutant, il m’a dit :
— Particulier comme fantasme...
Je lui ai raconté rapidement quelques expériences que nous avons vécues pour lui expliquer comment nous en sommes arrivés là. Nous avons réglé les derniers détails. Il se chargerait d’acheter une petite piscine. C’était décidé, ça se passerait ici !
Dès le lendemain, je lui ai envoyé par mail deux ou trois photos de Julie nue, le visage flouté. Dans la soirée, il m’a proposé trois affiches disant que Célia (il ne mettait bien sûr pas le vrai nom) voulait une douche dorée pour son anniversaire. La date était arrêtée, il n’y avait plus qu’à.
Je n’ai bien sûr rien dit à ma femme. Je voulais que ce soit une vraie surprise pour elle. Je lui ai juste dit de ne rien prévoir ce jour-là. Elle pensait que je l’emmènerais au restaurant ou quelque chose comme ça.
La veille, le gérant m’a appelé pour me demander si c’était toujours bon de notre côté. Je lui ai dit que j’étais impatient. Le jour J, j’ai dit à ma femme en début d’après-midi d’aller se faire belle. La soirée spéciale de Célia devait débuter à 18 heures. Nous sommes partis un peu avant 15 heures de chez nous. Dans la voiture, j’ai mis le GPS. Julie m’a demandé :
— Tu nous emmènes où comme ça ?— Tu verras, c’est une surprise.
Dans la voiture, j’étais assez stressé. J’espérais que tout se passerait bien et surtout que ça plairait à Julie. Entre le fantasme et la réalité, il y a parfois un pas qu’il n’est pas bon de franchir. Les trois heures de route sont passées relativement vite. Une fois arrivés devant l’établissement, j’ai dit :
— Voilà c’est là.
Elle s’est rendu compte que je l’avais emmenée devant un sauna libertin et m’a répondu :
— Ah d’accord, mais tu es un petit coquin toi ! Pourquoi tu nous as emmenés aussi loin ?— Tu verras...
J’ai ouvert la porte. Le gérant était à l’accueil. Il s’est exclamé :
— Ah ! Voilà la star de la soirée !
Julie m’a regardé surprise et interrogative. Je n’ai rien laissé paraître. Après avoir payé l’entrée, on nous a donné à chacun une serviette, une paire de tongs et la clé de notre casier. Avant d’aller dans les vestiaires, le gérant m’a dit discrètement :
— Prévenez-moi quand vous serez prêts.
Dans les vestiaires, un homme était en train de s’habiller. Il a pris tout son temps pour voir le corps de ma femme. Il faut dire qu’elle s’est déshabillée sans aucune gêne, dévoilant son corps nu le plus naturellement du monde. Une fois sa serviette nouée autour de sa poitrine, elle m’a demandé :
— Qu’est-ce que tu m’as prévu encore ?— Tu verras, tu verras...
En nous dirigeant vers les douches, je me suis rendu compte que sa serviette était trop courte. On voyait clairement ses fesses.La salle où il y avait les douches faisait environ 15 à 20m², avec deux rangées de 4 ou 5 douches face à face. Au sol, il y avait une piscine gonflable de 30 centimètres de hauteur et d’un mètre cinquante par deux mètres. Quand Julie l’a vu, elle a tout de suite compris. Elle m’a regardé avec un grand sourire et m’a dit :
— Nan, mais t’es sérieux ?
Si tu ne veux pas, tu n’es pas obligée. On fera ce que tu as envie de faire.Elle ne m’a pas répondu, semblant un peu troublée. Après quelques secondes, sans prononcer un mot, elle a ôté sa serviette pour prendre une douche. Je l’ai imité. Un homme nous a rejoints. Il a regardé Julie avec envie.Elle a ensuite voulu faire un tour de l’établissement. Nous avons croisé une quinzaine d’hommes seuls et deux couples. Nous nous sommes arrêtés dans la partie bar. Plusieurs hommes nous ont suivis, en restant toutefois à distance de nous. Julie a pris une vodka, qu’elle a bue d’un seul trait. Elle en a pris une deuxième, mais cette fois, elle a pris son temps pour la boire. Elle parlait peu, semblant un peu stressée. Une fois son verre fini, elle se lève d’un coup et me dit :
— Je suis prête. On y va ?
On est alors retourné dans les douches. Avant qu’elle ne monte dans la piscine, je lui ai dit :
— Attends, j’ai oublié un truc aux vestiaires. Je reviens tout de suite.
J’avais pris un débardeur blanc très fin dans ma sacoche. Je suis également allé prévenir rapidement le gérant que nous étions prêts.Quand j’ai rejoint ma femme, elle m’a demandé ce que je faisais. Je lui ai tendu le débardeur. Elle m’a dit une nouvelle fois :
— Mais t’es sérieux ?— Comme sur la vidéo !
Elle a ri, puis elle a enlevé sa serviette pour mettre ce fin vêtement. Il s’est avéré très moulant et assez transparent. J’ai ensuite ressenti une petite vague de stress. Je me suis posé plein de questions : comment ça allait se passer ? Est-ce que ça lui plairait ? Etc.Ce moment de doute n’aura duré que quelques secondes, le temps que le gérant arrive, suivi d’une dizaine d’hommes. Il y en avait de tout âge, même si la majorité avait semble-t-il plus de 40 ans. Il a dit ce que nous attendions et a énoncé quelques règles. Il dégageait une certaine autorité. Il a demandé à Julie :
— Prête ?— Oui.— Alors, amusez-vous bien !
Il est parti, nous laissant seuls avec tous ces hommes. Ma femme est montée dans la piscine et s’est mise à genoux sans même me regarder. Son regard avait changé, son stress avait fait place à de l’excitation. Les hommes étaient face à elle, certains en serviette, d’autres nus, la plupart se branlant. Moi, j’étais prêt d’elle, à l’angle de la piscine.
Très vite, un premier mec s’est approché sans rien dire. Julie le regardait dans les yeux avec un air très salope. Le mec lui a pissé directement sur le visage. Au début, elle avait la bouche fermée, mais après quelques secondes, elle a ouvert la bouche (chose qu’elle n’avait jamais faite, même avec moi). Elle a tout recraché sur elle. Il lui a ensuite arrosé les seins. Le débardeur de Julie, déjà fin et moulant de base, était devenu totalement transparent et lui collait à la peau. Quand il a fini, il est retourné avec les autres mecs sans rien dire.
Un deuxième homme lui a succédé. Il a pissé sur le corps et le visage de ma femme qui semblait comblée. Quand il a fini, il a échangé sa place avec un troisième homme. Celui-ci a eu plus de mal à pisser. Si bien qu’en attendant que ça vienne, Julie a pris le sexe mou entre ses lèvres pour le sucer brièvement. Ça m’a surpris (et le mec aussi d’ailleurs). Quand elle a sorti la queue de sa bouche, le mec lui a pissé sur le visage uniquement. Ses cheveux étaient trempés. Elle a retiré son débardeur pour apparaître entièrement nue. Elle m’excitait terriblement.
Les mecs ont défilé. Elle en a pris quelques-uns brièvement dans sa bouche, mais sans jamais les faire jouir. D’autres hommes arrivaient également dans la pièce.Alors que le sixième ou septième homme lui pissait dessus, je l’ai vu en avaler une petite gorgée. Décidément, elle me surprenait de plus en plus. Les mots doux fusaient de la part des hommes qui étaient là : salope, grosse pute, etc.
Deux mecs se sont ensuite rapprochés en même temps. J’ai regardé Julie, mais ça n’avait pas l’air de la gêner du tout. L’un des deux s’est mis à lui pisser sur les seins. L’autre se branlait à quelques centimètres du visage de ma femme. D’un coup, il s’est mis à gémir et deux ou trois jets de sperme sont venus s’écraser sur le visage de Julie.
Les hommes ont continué à défiler, certains se faisant sucer quelques secondes, d’autres se contentant de pisser sur ma belle. Au total, une quinzaine de mecs se sont succédé. Plusieurs fois, j’ai vu ma femme mettre les mains dans la piscine et se toucher les seins ou le ventre avec ses mains pleines de pisse. Elle semblait vraiment très excitée.
A la fin, seuls trois hommes sont restés. Ils lui avaient déjà pissé dessus et ils se contentaient de la regarder en se branlant. Je me suis approché d’elle et je lui ai demandé :
— Ça t’a plu ?— Hmmm oui !
La voir couverte de pisse de la tête aux pieds, avec l’odeur qui va avec, m’a vraiment beaucoup excité. Je me suis penché pour lui rouler une pelle. Je n’ai ensuite pas pu résister à l’envie de lui toucher les seins. Je bandais très dur, j’étais même au bord de jouir alors que je ne m’étais presque pas touché. Je lui ai dit, en l’aidant à se relever :
— On va prendre une douche ?
Mais avant cela, je l’ai serré contre moi pour l’embrasser à nouveau. Je sentais son corps couvert de pisse contre le mien et ça me plaisait énormément. Nous avons pris une douche sous le regard des trois hommes qui étaient toujours là. Quand elle a mis sa main sur mon sexe, je l’ai arrêté, en lui disant que je ne voulais pas jouir tout de suite pour rester excité au maximum. J’ai bien senti que ça l’a un peu frustré, voire contrarié. J’ai fini de me laver en premier (normal, vu ce qu’elle venait de faire). Je lui ai dit :
— Je reviens, je vais prévenir à l’accueil que c’est fini.— D’accord, à tout de suite.
Je suis allé voir le gérant. On a discuté un peu, puis je suis retourné voir ma femme. Et là, je fus très surpris : elle était en train de branler un des trois hommes, qui était en train de toucher les seins. Ils étaient face à face sous la même douche à se caresser mutuellement. Les deux autres hommes étaient toujours là, mais se contentaient de regarder. Quand, enfin, Julie m’a vu, elle m’a simplement souri et a continué ce qu’elle faisait, pas gênée du tout par ma présence. Le mec a éjaculé rapidement. Il a remercié ma femme, ils se sont fait un smack et il est parti.Quand elle a fini de se laver et après s’être essuyée, elle a commencé à nouer sa serviette autour de sa poitrine. Je lui ai dit :
— Qu’est-ce que tu fais ?— Bin quoi ?— Ta serviette...— Oui... ?— Avant, tu ne la portais pas comme ça.— Ah, je vois !
En enlevant sa serviette et en la nouant cette fois autour de sa taille, elle a rajouté : — En souvenir du bon vieux temps alors !
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