Nous sommes allés dans la partie bar. Elle déambulait seins nus dans les couloirs sous les regards envieux des hommes que nous avons croisés. Je trouvais la situation particulièrement excitante.Nous avons pris une bière. Nous étions installés sur une petite table ronde. Plusieurs hommes nous regardaient, ou plutôt regardaient les seins de ma femme. Je lui ai demandé : — Alors, ça t’a plu ?— Oui, mais promets-moi que tu ne me regarderas pas différemment ?— Si, je t’aime encore plus ! Elle m’a dit qu’elle avait beaucoup aimé, même si elle ne le ferait pas tous les jours. Je lui ai dit à quel point j’adorais la voir comme ça, presque nue devant tous ces hommes qui avaient clairement envie d’elle. Je sentais que ça ne la laissait pas indifférente non plus et que la soirée ne faisait que commencer.Alors que nous discutions, un mec dans la quarantaine, plutôt bien physiquement, est venu nous voir pour nous proposer un verre. J’ai laissé Julie répondre. Elle a semblé hésiter quelques instants puis elle a fini par accepter. Il s’est assis à notre table. Nous avons échangé quelques banalités jusqu’à ce que je me rende compte que le mec avait la main posée sur la cuisse de ma femme, qui elle-même, avait glissé sa main sous la serviette de cet homme. Elle le branlait discrètement. Ce petit jeu a duré quelques minutes, jusqu’à ce que notre complice la complimente sur ses seins. J’ai lancé : — Tu peux les toucher si tu veux. Julie m’a souri et s’est laissée faire. Il lui a malaxé les seins devant tout le monde. Il a dit : — Vous voulez qu’on aille dans un coin plus tranquille ? Julie et moi nous sommes regardés avant de répondre "oui" en cœur. En nous levant, j’ai remarqué que le futur amant de ma femme était déjà très en forme. Nous sommes allés au sous-sol dans une petite pièce où il y avait juste un matelas au sol. Il y avait une vitre qui donnait sur le couloir, ce qui fait que les hommes qui nous avaient suivis pouvaient nous voir.Debout tous les trois, je les ai regardés se caresser mutuellement totalement nus. Il semblait hypnotisé par les seins généreux de ma chérie. Elle s’est mise à genoux sur le matelas pour sucer la queue dressée devant elle. J’ai croisé plusieurs fois son regard plein d’excitation. Je la regardais sucer cette bite devant moi pour mon plus grand plaisir. Malheureusement, après à peine deux minutes, il a dit : — Ça vient, ça vient. Et il a éjaculé sur les seins de ma femme. Elle était visiblement frustrée. D’ailleurs, elle a dit "déjà ?". Le mec s’est excusé et il est parti. J’ai dit :
— Tu as l’air déçue ?— Ben oui, ça a duré deux secondes... J’ai plus qu’à aller me laver ! Alors qu’elle allait mettre sa serviette autour de sa taille, je lui ai pris des mains : — Donne-moi ça.— Qu’est-ce que tu fais ?— Tu n’en as pas besoin !— Tu es comme ça ? C’est nue qu’elle déambulait dans les couloirs. Elle m’excitait énormément. Nous étions suivis par trois ou quatre hommes et tous ceux que nous croisions la regardaient avec envie. Après s’être lavée, nous avons refait un tour de l’établissement, Julie était toujours nue. Elle semblait être totalement dans son élément. Nous avons décidé de profiter du sauna. Un couple en est sorti au moment où nous y sommes entrés. Deux des hommes qui nous suivaient sont entrés également. Nous étions accompagnés de trois mecs (l’un était déjà là), dont un se branlait lentement en regardant ma femme totalement impudique. J’ai alors caressé les seins de Julie, histoire d’exciter encore un peu plus tous ces mâles. C’est alors que l’homme assis à côté d’elle m’a imité et a pris le sein droit de ma femme à pleine main. Il a dit : — Je peux ?— Je crois que c’est un peu tard pour demander. Elle s’est laissée se faire caresser. Je voyais dans son regard l’excitation grandir. Elle a tourné la tête pour m’embrasser langoureusement. Elle a voulu me toucher la queue, mais je l’ai repoussée. Dans l’état où j’étais, j’aurais joui en moins de dix secondes. Elle a alors tourné la tête pour embrasser l’homme qui la pelotait. Elle a empoigné son sexe et l’a branlé délicatement. J’ai arrêté de la caresser pour me contenter de regarder la scène.A un moment, elle s’est penchée pour le sucer. Le mec semblait apprécier les talents de suceuse de ma femme. Après quelques instants, elle s’est redressée, la position devenant inconfortable. L’homme lui a proposé de poursuivre ailleurs, mais elle a répondu : — Non, pas maintenant. Il a semblé vexé. Il s’est levé et il est parti sans dire un mot. Julie était surprise de cette réaction (tout comme moi d’ailleurs). Je l’ai embrassée. Sa bouche avait un goût légèrement différent, ce qui m’a beaucoup plu. Je lui ai dit tout bas : — Ca te plaît ?— Oui, mais je ne comprends pas pourquoi il est parti.— Ils sont deux, là, rien que pour toi ! Elle m’a lancé son plus grand sourire avant de m’embrasser à nouveau. Elle m’a dit : — Bon, ben s’ils sont rien que pour moi... Elle est allée s’asseoir entre eux. Ils ont échangé tous les trois quelques paroles, mais je n’ai pas entendu ce qu’ils se sont dit. Les deux hommes alors levés, le sexe tendu, face à ma femme. Elle les a sucés à tour de rôle. L’un, plus âgé que l’autre, était un peu bedonnant et avait un sexe assez petit, mais elle m’a avoué plus tard que vu comme elle était excitée, elle aurait pu sucer n’importe qui. L’homme le plus vieux a demandé à Julie de s’allonger, ce qu’elle a fait. Il est venu placer son visage entre ses cuisses et lui a léché sa belle chatte toute lisse. Pendant ce temps, l’autre homme avait posé un genou sur le banc pour se faire sucer et peloter à pleines mains les seins de ma femme. Ca a duré plusieurs minutes. Pendant ce temps, deux autres mecs sont entrés dans le sauna. Je ne sais même pas si elle s’en est rendu compte. L’homme qu’elle suçait s’est mis à gémir et a joui sur la poitrine de Julie. Vu la quantité de sperme qu’il y avait, ça devait faire longtemps qu’il n’avait rien fait. Elle m’a cherché du regard et m’a fait signe de m’approcher. Je me suis assis à côté d’elle, alors qu’elle se faisait toujours lécher par le quinquagénaire. Je devinais à qu’elle était proche de l’orgasme, rien qu’en regardant son visage. Je lui ai demandé discrètement si ça lui plaisait. Elle m’a répondu de manière très spontanée : — Oh putain oui ! Ces mots ont résonné dans toute la pièce. Quelques secondes plus tard, elle s’est mise à gémir et a eu un orgasme.Julie a mis quelques secondes à reprendre ses esprits. Elle m’a regardé dans les yeux et m’a souri avant de s’asseoir. L’homme qui l’a léchée était debout face à elle. Il nous a demandé : — Vous voulez qu’on aille dans un coin plus tranquille ?— Non, désolée... Il a tourné les talons et il est parti sans rien dire.Julie m’a embrassé, puis elle s’est levée et a dit : — Je vais me laver, tu viens ? Nous nous sommes dirigés vers les douches. Ma femme déambulait à nouveau nue dans les couloirs, avec du sperme qui coulait sur ses seins et son ventre. Elle attirait bien sûr les regards et même quelques mains baladeuses.Sous la douche, nous avons un peu joué à chauffer les hommes qui la regardaient : je lui ai savonné les seins longuement face à eux, elle s’est même penchée à plusieurs reprises, dévoilant toute son intimité. Ce petit jeu nous avait bien excités, tous les deux (tout comme les voyeurs d’ailleurs). Je n’avais plus qu’une idée en tête : la voir se faire prendre devant moi.Après nous être lavés, nous marchions dans les couloirs sans savoir exactement ce que nous allions faire. Nous étions suivis par plusieurs hommes. Pour bien les exciter, j’ai mis plusieurs petites claques sur les fesses de Julie. Nous nous sommes arrêtés à l’entrée de la salle de projection. Il y était diffusé un porno où une femme se faisait prendre en gangbang. J’ai susurré à l’oreille de Julie : — Tu n’aimerais pas être à sa place ?— Pourquoi pas... Je l’ai embrassé dans le cou tout en lui insérant un doigt. Elle mouillait beaucoup, signe de son excitation. Je lui ai dit : — On dirait que tu en as envie. Elle m’a lancé un regard de braise et m’a dit "oui" du bout des lèvres. Nous reprenons notre tour, avec pour objectif de trouver une pièce suffisamment grande pour s’amuser avec les hommes qui nous suivaient. Nous sommes entrés dans une grande pièce au sous-sol, assez lumineuse, où il y avait un grand matelas à même le sol. J’ai pris soin de laisser la porte grande ouverte. Julie et moi étions debout, au milieu de la pièce, tandis que les hommes attendaient à la porte. Pour les inciter à se rapprocher, j’ai fait tourner Julie de façon à ce qu’elle leur tourne le dos. Et là, avec mes deux mains, je lui ai écarté les fesses pour qu’ils voient son petit trou et sa chatte bien humide. Le signal a vite été compris, puisque cinq hommes se sont approchés. L’un d’eux a pris le relai pour écarter les fesses et surtout admirer de plus près l’intimité de ma femme. Toujours debout, elle s’est fait toucher les seins, le ventre et les fesses par tous ces hommes. Un mec a fait entrer un doigt en elle, puis un deuxième. Un autre homme lui a caressé l’anus, mais sans faire entrer son doigt. Julie n’était pas en reste, puisqu’elle a touché presque toutes les bites une à une. Il y avait des hommes qui regardaient à la porte, mais je leur ai fait signe de rester là, ce qu’ils ont respecté. Je regardais ma femme se faire tripoter et doigter par cinq inconnus et ça m’excitait énormément. Elle s’est mise à genoux sur le matelas pour sucer les sexes tendus. Les hommes alignés face à elle. Je l’ai regardée sucer toutes ces queues pour mon plus grand plaisir. Je me branlais très lentement, mais je sentais que j’étais déjà à deux doigts de jouir. Elle s’est ensuite mise en levrette pour se faire prendre par un homme pendant qu’elle en suçait un autre. Je regardais la scène sur le côté. De cette manière, j’ai vu le mec qui la prenait d’abord frotter son sexe contre celui de ma femme, puis la pénétrer de quelques centimètres avant de se retirer. Il a recommencé cela plusieurs fois, mais il n’a pas résisté longtemps à l’envie de mettre un grand coup de reins et de prendre possession de ma femme. Elle s’est mise à gémir sans retenue. Il y avait deux hommes à genoux devant elle qui se faisaient sucer à tour de rôle. D’un coup, le mec qui baisait Julie a accéléré le rythme avant de se planter en elle et de jouir dans un râle de plaisir. Il fut vite remplacé par un des deux hommes qui se contentait jusque-là de regarder. Celui-ci l’a pilonnée fortement. Il a joui assez rapidement. Le cinquième homme a mis une capote à son tour et l’a pénétrée directement. Julie prenait visiblement du plaisir. Elle gémissait assez fortement et elle lançait parfois des regards dans ma direction, alors même qu’elle avait une bite dans la bouche. Je me suis alors approché pour me mettre à genoux moi aussi, mais sur le côté, afin de caresser le dos et les seins de ma chérie. A un moment, alors que mon regard s’était concentré quelques instants sur ses lèvres entourant un sexe tendu de désir, elle a semblé surprise et s’est retournée pour regarder l’homme qui la pénétrait. En le regardant moi aussi, j’ai vu qu’il avait fait entrer son index dans l’anus de ma femme. Je regardais, presque fasciné, ce doigt coulisser dans son petit trou. Le mec la baisait de plus en plus fort, et à un moment, elle s’est mise à sucer comme une déchaînée une des deux bites qu’elle suçait depuis le début. Elle était en train d’avoir un orgasme. Rares sont les fois où je l’ai vue dans un tel état. L’homme qui la baisait et celui qu’elle suçait ont joui presque en même temps. Elle a juste eu le temps de retirer le sexe pour ne pas recevoir de sperme dans sa bouche. Trois jets violents se sont écrasés sur son visage, le reste a fini sur le matelas. Après cela, elle s’est écroulée sur le matelas. Allongée sur le dos, elle semblait avoir besoin de quelques secondes pour reprendre ses esprits. Mais le dernier homme ne lui a pas laissé une seconde de répit. Il s’est branlé en palpant les seins de ma femme avant de lui éjaculer dessus. Nos partenaires étant partis un à un après s’être vidés, nous sommes seuls, Julie et moi. Enfin, pas vraiment seuls, puisque je me suis rendu compte en tournant la tête que quatre ou cinq hommes nous regardaient à l’entrée de la pièce. Une odeur de sexe flottait dans la pièce. J’ai demandé à ma femme : — C’était bien ?— Oui, surtout le dernier ! En désignant les quelques voyeurs, je rajoutais : — Tu as encore envie ?— J’ai besoin d’une petite pause... Elle est restée allongée quelques secondes, puis une fois ses esprits retrouvés, elle s’est levée pour aller se laver encore une fois. En quittant la pièce, nue, elle a reçu plusieurs compliments et quelques caresses des hommes qui venaient de la regarder baiser. Étonnamment, ça l’a fait rougir. Après avoir pris une douche, nous sommes allés dans la partie bar. En voyant l’heure, j’ai dit que l’on devait partir si on voulait aller manger au restaurant dans lequel j’avais réservé. J’ai senti que Julie était un peu déçue. Nous sommes donc allés dans le vestiaire. Il y avait un homme d’une quarantaine d’années, très bien entretenu physiquement, qui venait sans doute d’arriver puisqu’il était en train de se déshabiller. Dès que nous sommes entrés dans le vestiaire, il avait les yeux rivés sur le corps de ma femme. Il faut dire qu’elle ne portait qu’une paire de tongs et rien d’autre. Elle exhibait ses gros seins qui me plaisent tant devant un inconnu sans la moindre gêne. Au contraire, ça semblait lui plaire puisqu’elle prenait tout son temps. Pour ma part, vu que je n’avais toujours pas éjaculé, j’étais encore très excité. Quand j’ai enlevé ma serviette et qu’elle a vu que je bandais, elle est venue contre moi pour m’embrasser et prendre ma queue dans sa main. Le contact de ses seins contre mon torse m’a beaucoup plu. Elle s’est assise sur le petit banc en bois pour me sucer. Je me suis concentré au maximum pour ne pas jouir trop vite. L’homme qui était là nous regardait. A un moment, nos regards se sont croisés. Je lui ai fait un signe de la tête pour lui dire de se rapprocher. Il est venu à côté de moi et a fait tomber sa serviette au sol. Sa bite, similaire à la mienne, était à quelques centimètres du visage de ma femme. Le plus naturellement du monde, elle a abandonné ma queue pour sucer celle de l’inconnu. J’avais une vue imprenable sur ma femme en train de s’appliquer à sucer un autre homme et à y prendre visiblement du plaisir. Ca m’excitait énormément, à tel point qu’il ne m’a pas fallu longtemps pour jouir. Le premier jet est pari directement sur son front. Je l’ai aspergée d’une bonne quantité de sperme sur le visage. Elle m’a regardé dans les yeux avec son regard de salope pendant que je lui éjaculais dessus. A la fin, elle m’a lancé un grand sourire, avant d’engloutir la deuxième queue à sa disposition. La voir sucer une autre bite que la mienne, le visage couvert de sperme, est un spectacle que j’aimerais voir tous les jours. L’homme a joui peu de temps après. Un jet de sperme bien épais a fini sur le menton de Julie, le reste sur ses seins. L’homme est parti après nous avoir remerciés, nous laissant ainsi seuls dans le vestiaire. Alors qu’elle allait se lever, j’ai dit à Julie : — Attends !— Qu’est-ce que tu fais ? En prenant mon téléphone dans mon casier, je lui ai répondu : — Je peux garder un petit souvenir ?— Si tu veux... J’ai pris deux ou trois photos, et alors que j’avais rangé mon portable, elle m’a dit : — Attends, montre ! Quand je lui ai montré la photo, elle a écarquillé les yeux et a lancé "oh la vache !". Nous avons pris une douche rapide, puis nous sommes partis. Au restaurant, nous avons parlé de notre soirée. Je lui ai confié que j’avais peur que ça ne lui plaise pas, que tout ne se passe pas comme prévu. Elle m’a coupé en me disant que c’était parfait. Elle m’a même dit que si ce n’était pas si loin, elle aurait aimé y retourner.Dans la voiture, sur le chemin du retour, Julie s’est endormie rapidement, épuisée par la soirée qu’elle venait de vivre.
