Je sors de la voiture en suivant Iba. On est sur un chantier, la lune éclaire l’immeuble en construction. Iba m’entraine par le bras jusqu’à une baraque de chantier, un peu de lumière passe par une fenêtre à travers un rideau. Il ouvre la porte, un mélange d’odeurs de cuisine et de sueur me saute au nez, j’ai un instant d’arrêt devant cette porte mais Iba me tire par la taille et me pousse à l’intérieur en refermant la porte.Je découvre une vingtaine d’hommes occupés, certains sont attablés en pleine partie de cartes, d’autres sont allongés sur des lits superposés.Il règne une atmosphère un peu glauque. Une musique africaine sort de nulle part.Mes yeux s’habituent à la faible lumière, ces hommes sont pour la plus part des africains, d’autres ont le type arabe.Dès que je suis rentrée tous les regards se sont posés sur moi et ils se sont tous immobilisés pour regarder cette jeune femme européenne qui rentre dans leur univers.Je suis figée, pourquoi Sophia n’est pas là, soudain j’ai peur et je tremble devant tous ces regards posés sur moi, je suis incapable de bouger.Un homme assez âgé parle avec Iba, je ne comprends pas ce qu’ils se disent. Je pense qu’ils sont entrain de me marchander. Ils se tapent la main, le marché est conclu, je suis vendue à ces hommes.«Fous toi à poil, qu’ils voient pour quoi ils payent.Je ne bouge pas, je suis tétanisée. Iba me claque les fesses sans douceur.« Aller, tu ne vas pas faire ta pucelle, tu va te faire tringlée par tous ces types alors dessape toi !En tremblant, j’enlève mon teeshirt découvrant mes seins, ma jupe tombe à terre, je fais glisser mon string le long de mes jambes et je me retrouve nue à la merci de tous ces mâles en manque de sexe.Je sens que malgré moi je suis excitée par cette situation, j’ai peur mais mon sexe est humide, ma vulve s’ouvre avide de leur queue et mon ventre réclame leur sperme.Je suis folle, Iba me pousse vers la table, les hommes se lèvent et place un de leur matelas crasseux dessus.Iba me prend par la taille et m’assoit sur le matelas.« Allonge toi et ouvre les cuisses, ils vont te baiser chacun leur tour et éjaculer dans ta chatte, ton cul est réservé !« Ils sont combien ?« 23 pour le moment mais d’autres vont arriver, ta présence les attire. Tu vas bien travailler ce soir, je t’attends dans la voiture. Monsieur Diala te diras quand tu peux partir, il va te baiser en premier.Et me voilà seule, nue sur ce matelas, prête à faire la pute pour Iba, les jambes écartées, attendant que tous ces hommes me jutent dans la chatte.Le vieil homme qui a discuté mes tarifs avec Iba s’approche de la table, il relève son vêtement, son sexe est en érection.Il relève mes jambes, approche son sexe de ma vulve et me pénètre sans s’occuper de moi, je le sens m’investir jusqu’au fond de moi. Il me baise lentement, pour bien profiter de moi. Les autres sont autour de la table, ils ont tous leur sexe en main et se branlent en me fixant. Ils n’ont pas encore commencé à me toucher. Une première main se pose sur un sein et me pince le téton, aussitôt d’autres mains se posent sur mon ventre, ma poitrine, mon visage. Mes bras sont écartés, mes mains rencontre des sexes que je saisie et que je branle.J’essais de rester concentrée sur celui qui me baise, je veux sentir ses jets de sperme me remplir. Il commence à accélérer ces va et vient, il va bientôt se répandre en moi. Soudain son premier jet de sperme se projette au fond de mon ventre, suivi par d’autres. Le vieil homme semble se vider dans ma chatte.Cette éjaculation associée à tous ces attouchements me fait partir dans un premier orgasme. M. Diala sort de moi et repose mes jambes, aussitôt un autre homme le remplace et s’active dans ma chatte, celui-ci ne prend pas son temps, il me lime à toute vitesse et jouie dans mon ventre après quelques minutes.Ils me passent tous dessus, j’ai commencé à compter mais je me suis perdue au bout d’une dizaine. Je suis remplie de sperme que je sens couler sur mes cuisses quand ils ressortent leur queue. Je ne ressens plus rien au fond de mon ventre, ils entrent, s’activent sur moi et jouissent. Là je me voie vraiment comme une prostituée qui fait de l’abattage pour payer son mac.Le vieux vient vers moi, il me dit que je peux partir en me tendant mon teeshirt, j’ai beaucoup de difficultés à me relever, j’essais de m’essuier les cuisses comme je peux avec mon teeshirt. Je me retrouve nue dehors, je frisonne. La voiture est là.Iba sort de la voiture, quand je m’apprête à monter dedans il m’arrête et m’entraine vers le coffre :« T’es pleine de foutre et tu pue ! Tu vas te mettre dans le coffre sur la couverture du chien.Je ne suis pas en mesure de discuter, je m’allonge sur la couverture et Iba ferme le coffre. La voiture démarre, je suis dans le noir, je me recroqueville sur moi et je pleure.Quand la voiture s’arrête, j’entends Iba téléphoner à Sophia :« Tu peux descendre récupérer ta pute, elle est dans le coffre… Oui super, elle a fait une bonne soirée. 42 mecs ce soir, c’est un bon rendement, si tu la vends je suis preneur. Elle ferait un malheur dans mon bordel d’Abidjan…Quelques minutes et le coffre s’ouvre, c’est Sophia qui m’aide à sortir.A peine le coffre refermé la voiture redémarre.« Aller vient, je vais m’occuper de toi. Oh, tu as dû t’en prendre, tu as encore du sperme qui coule de ta chatte. Elle me passe un peignoir sur les épaules et m’aide à regagner sa chambre où un bain chaud m’attend.Dans la salle de bain, elle me fait assoir sur le bidet et ouvre le robinet. Elle dirige le jet d’eau sur ma chatte qui s’ouvre. Elle me lave l’intérieur, des grosses gouttes de sperme s’écoulent de mon ventre.« Tu t’es pris au moins 10 litres de sperme ma salope, toi qui adore ça tu as été servie !!Après cette toilette intime je me prélasse dans un bain chaud et je m’endors.A suivre….
