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En déplacement

Chapitre 6

Trash
Dur le réveil, il est 8h, il faut que je me prépare pour cette nouvelle journée de stage qui va me paraitre bien longue. Je regagne ma chambre en peignoir, une douche fraiche pour finir de me réveiller, un peu de maquillage pour masquer les fatigues de la nuit et je m’habille en gentille stagiaire. Je descends pour le petit déjeuner avec mes collègues. Je m’assois à coté de Sophia qui vient d’arriver aussi.« Tu m’as prévu quelque chose pour ce soir ?« Oui, j’organise une petite soirée, c’est notre dernière nuit, le stage finit demain soir et tu dois rentrer chez toi, ton homme t’attend…« Ah mince, je l’ai pas appelé ce matin, je le ferai à la pause !« Tu l’as déjà oublié tu vois ! A mon avis tes parties de baise vont te manquer, ce n’est pas un seul homme qui va pouvoir te satisfaire, tu vas finir par t’ennuyer.« Je te vois venir toi. Je t’ai dit que je ne voulais pas faire la pute.« Oui, c’est bien dommage, tu m’aurais fait gagner un bon paquet. Mais je ne désespère pas. Cette nuit j’organise une vente aux enchères, tu seras le lot, mais juste pour la nuit. Tu vas connaitre une sensation unique dans ta vie, tu seras mise à prix. Si ça te plait je suis sûre que tu changeras d’avis !Le stage se passe comme hier, pas très motivant et long. J’ai hâte d’être à ce soir.Heureusement il y a les pauses, café et cigarettes.Vers 11h, Sophia reçoit un message sur son portable, elle écrit sur une feuille et me la passe : « Iba a besoin de toi ce midi, sa voiture t’attendra devant l’hôtel et te ramènera pour 14h »Je lui écris « Il veut quoi ? Je m’habille comment ?« C’est pour ses affaires, il a un gros client à satisfaire. Tu restes comme tu es, ça ira.A midi, je fais la bise à mon amie et je me dirige vers le parking. Je monte dans la voiture d’Iba, il n’y a que le chauffeur. Je m’installe derrière, la voiture démarre.« Vous m’emmenez où ?« Je ne peux rien te dire pour le moment.On roule dix minutes, le voiture s’arrête devant un hôtel.« Tu descends et tu vas à la chambre 28, c’est au second. Tu trouveras une lettre sur le lit, tu fais ce qu’il y a de noter dessus. Je t’attends là. Dépêches toi !!Je rentre dans l’hôtel, monte au second et rentre dans cette chambre. C’est propre.Je lis la lettre :« Tu te mets toute nue, tu enfiles la cagoule sur ta tête, tu attends allongée sur le dos, les bras et les jambes bien écartées et surtout tu ne parles pas !Je me déshabille, j’enfile la cagoule trouvée sur le lit, c’est une cagoule en tissus élastique avec juste 2 trous pour le nez et un trou pour la bouche, je suis dans le noir. Je m’étends sur le lit comme demandé.Je frémis d’inquiétude, je ne sais pas qui va venir mais je me doute de ce qui va m’arriver… Mon sexe commence à s’humidifier, cette situation m’excite malgré moi.Je guette le moindre bruit, des pas dans le couloir, des portes qui s’ouvrent…Soudain, j’entends la porte de la chambre s’ouvrir, quelqu’un entre, je suis tétanisée.Je n’ose pas bouger. Je distingue des bruits, j’imagine mon visiteur qui se déshabille.Quelqu’un monte sur le lit entre mes jambes. Des mains me soulèvent les hanches, un sexe se présente sur ma vulve et me pénètre sans plus de préliminaires. Il me pénètre lentement, sans à-coup et jusqu’au fond de moi. Il est gros mais je suis trempée et il n’a aucune difficulté à me prendre.Il ressort doucement puis me réinvestit et recommence de plus en plus vite. Je sens ses couilles qui battent sur mes fesses. J’entends ses halètements suivre le rythme de ses allers retours dans ma chatte humide. Mon visiteur n’a qu’une idée, me baiser et jouir de mon corps, je ne suis qu’un trou à bite, une pute simplement. Je suis excitée de n’être qu’une machine à baiser.J’ai l’impression que sa queue durcie encore plus, elle doit être énorme mais mon vagin s’est adapté à ses dimensions. Il sort de moi et me remonte les jambes. Par réflexe j’attrape mes jambes sous les genoux et les écarte au maximum, il a l’air d’apprécier mon geste.Il écarte les fesses, crache sur mon anus, présente sa queue sur mon petit trou et m’encule doucement pour forcer le passage.Heureusement mon cul s’est habitué à ces sodomies depuis quelques jours.Je gémie de cette pénétration. Progressivement sa bite me remplis le cul.Il attend un peu puis il commence ses vas et vient dans mes reins de plus en plus rapides, je le sens pressé de jouir dans mon cul, seul son plaisir est important pour lui.Cette situation de putain prise par le cul dans le noir, par un client inconnu me fait délirer et m’entraine vers un orgasme cérébral qui me prend tout le corps. Mon jus arrose mes cuisses et le ventre de mon client.J’ai bien pris conscience que cet homme est un client qui me baise pour de l’argent, j’ai fais un pas énorme vers ma future condition …Il doit croire que ma jouissance est due à ses œuvres et accélère encore le rythme, je sens qu’il va exposer dans mon cul. Ses muscles se crispent, un jet de sperme arrose le fond de mon cul, il sort sa queue encore raide et se répand sur mon ventre.Je le sens essoufflé, il descend du lit, j’essai de deviner ce qu’il fait. La porte s’ouvre puis se referme en claquant. Je n’entends plus rien, j’attends quelques minutes aux aguets du moindre bruit. J’enlève la cagoule, la chambre est vide. Je saute du lit et me précipite sous la douche. Me voilà propre et rhabillée, la voiture m’attends, je monte à l’intérieur. Le chauffeur me regarde dans le rétro : « L’enveloppe sur la banquette, c’est pour Sophia. La voiture démarre, je prends l’enveloppe. Il me dépose à mon hôtel au moment où les stagiaires rentrent en cours. Je rentre la dernière, je rejoins Sophia et lui tend l’enveloppe. Elle l’ouvre et me montre le contenu en souriant, une dizaine de billets. Elle écrit quelques mots sur une feuille et me la tend :« C’est bien ma fille, tu as bien travaillé. Tu es vraiment douée et surtout très motivée, tu as trouvé ta voie. A présent je doute que tu te contentes de ta petite vie de province.C’est à toi de décider mais réfléchies bien, tu as jusqu’à demain !Je ne sais que penser mais au fond de moi je sens que je suis attirée vers ce monde que je commence à découvrir. Je me rends compte que je n’ai pas appelé mon homme ce matin, je n’ai pas envie de lui parler, je suis déjà loin de lui et de ma vie d’avant…A suivre
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