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Déplacement entre collègues

Chapitre 3

Gay
V : Les masques tombent

Il est 18h, on branche l’ordi pour faire une visioconférence, afin de faire un compte rendu à Isabelle de ces trois jours de travail. Elle nous félicite pour ça, et pour les retours positifs qu’elle a déjà reçus par e-mail. Cette nouvelle nous rend heureux, notre mission est accomplie. On la salue et Antoine referme l’ordi.
— Bon ! et bah on a plus qu’à aller fêter ça avec un bon petit repas et du bon vin du pays ! — Ça marche !
Même restaurant, mêmes plats, pas de grande surprise pour ce dernier repas jusqu’au moment où Antoine appelle la serveuse :
— Madame s’il vous plaît, vous ne remettez une autre de ce Saint Emilion ?— Tout de suite Monsieur. — Une autre ? On aura bu une bouteille chacun ! — La fin d’un voyage d’affaires ça se fête !— Ahaha certes, mais on va pas être frais demain.— T’inquiète pas, tu es jeune toi, et on a le temps demain, l’avion n’est qu’au milieu de l’après-midi. — Ça marche !
La serveuse arrive et nous débouche une seconde bouteille. C’est vrai qu’il est bon ce vin, même s’il commence à me tourner un peu la tête ! De retour à l’hôtel, on garde le même ordre que d’habitude, je prends une douche express avant de me glisser sous les draps comme la veille. Mais cette fois-ci, je reste bien réveillé pour voir s’il refait la même chose qu’hier. Je veux en avoir le cœur net. Comme hier, il arrive, me retrouve dormant sur le ventre, tire la couette vers le bas, se glisse dans le lit, et la remonte doucement vers mon épaule. En effet maintenant j’en suis sûr, il me caresse vraiment en remontant la couette ! Étant à moitié sur moi pour amener la couverture jusqu’à mes épaules, je sens tout son corps collé contre le mien, avec une grosse boule qui semble bien dure à mi-hauteur. Je garde les yeux bien fermés, faisant croire que je dors profondément même si mon cœur commence à s’accélérer. Il reste contre moi, je sens sa main glisser par-dessus la couette, longer mon dos jusqu’à mes fesses, et cette boule dure contre ma hanche. Il faut que je fasse quelque chose.
Je pousse un petit soupire et me retourne sur le dos, il sursaute et recule d’un coup.
— Qu’est-ce qu’il se passe ? Je t’ai fait peur ? — Tu m’as surpris, je pensais que tu dormais c’est tout. Il répond d’un air gêné.

Je le regarde dans les yeux, et je prends mon courage à deux mains. C’est comme au poker, quitte ou double :
— C’est ça que tu voulais voir ? En disant cette phrase, j’ôte la couette de mon corps, je me retrouve alors en boxer, avec une belle barre transversale dedans qui prouve mon excitation face à ses avances.— Euh...— Je me trompe ? J’étais réveillé et j’ai bien senti ce que tu faisais.
J’en profite pour tirer la couette qui le recouvrait, son boxer aussi est à deux doigts de craquer à cause de la pression de sa queue qui a l’air d’être énorme.
— Matt je...— Embrasse-moi maintenant, ou on dort chacun de notre côté et cette histoire sera oubliée.
Je vois sa respiration accélérer, son cœur va exploser, il tremble. Son excitation est heureusement plus forte que sa peur, il prend son courage et vient poser ses lèvres contre les miennes avec sa belle barbe qui pique mon visage. Je le regarde, mon nez contre le sien pendant quelques secondes, plus proche que jamais. C’est le moment ! Je prends sa tête et l’approche à moi jusqu’à ce que nos lèvres se retouchent une seconde fois, j’approche ma langue pour lui faire comprendre de me laisser entrer. Ses lèvres sont douces. Il ouvre délicatement la bouche, j’en profite pour aller me mêler à la sienne. Il se laisse faire comme un débutant figé. Après quelques échanges, je me relève et le pousse en arrière pour le coucher sur le dos. Je lui grimpe dessus, j’adore ce moment : être sur son corps si parfait, mes mains glissent le long de ses épaules et pectoraux, mes fesses posées sur son boxer prêt à exploser.
Il passe ses mains sur mon dos, jusqu’à les plonger dans mon boxer pour me masser les fesses.
— Qu’est-ce que tu es beau Matt, depuis que je t’ai vu, tu m’as toujours fait quelque chose.— Toi aussi, tu es un vrai dieu Grec !
Le lion est sorti de sa cage, on s’embrasse fougueusement, il me prend la nuque pour m’embrasser toujours plus loin, mais moi j’ai envie de plus, j’ai envie de voir sa queue qui d’ailleurs va faire craquer son boxer. Je descends, face à lui, il se relève un peu contre la tête de lit, écarte les jambes. Je lèche son boxer tout humide avant d’attraper l’élastique et de le tirer vers le bas. Je découvre une queue énorme, non circoncise, avec un gros gland brillant comme s’il venait d’être poli. Je prends son sexe en main et fais quelques va-et-vient, je le vois gémir de plaisir. Je l’apporte à ma bouche pour sentir une nouvelle fois cette odeur forte que j’ai déjà sentie la veille et gobe son gland en faisant tourner ma langue autour.
— Oh putain !
Voyant son plaisir, je m’exécute en reproduisant mes meilleures techniques que j’ai bien assez travaillées dans le passé en branlant légèrement la base de sa queue tout en faisant des va-et-vient très baveux sur le reste. Vu sa taille en plus il y a de quoi faire. Je descends jusqu’à ses couilles massives pour les gober une à une. Je le vois en extase, et ça me plaît. J’essaie de gober sa queue en entière, mais elle est trop grosse, pourtant j’ai envie d’avoir son engin déformer le fond de ma gorge et mon nez dans sa toison. Malheureusement, j’ai les yeux plus gros que le ventre, ça n’est pas possible.
— Elle est énorme ! dis-je en rigolant, le menton plein de bave. — Ahaha c’est vrai, elle te plaît ?— C’est un délice.
Antoine sourit, il est là à moitié assis/couché contre le mur pendant que moi je suis à quatre pattes devant en train de lui tailler une pipe. Il me caresse les cheveux comme pour me remercier. Je me relève quitter mon boxer trempé d’excitation pour chevaucher ce bel étalon. J’ai envie de le sentir en moi, profondément. Je cale sa queue entre mes fesses, et reprends sa bouche pour l’embrasser de nouveau. Il comprend bien ma volonté, je sens ses mains agripper mes fesses, les écarter, me donner un coup de reins, et les resserrer. Je roule du cul comme une cochonne en manque.
— Tu as envie ?— C’est plutôt à toi de me dire si tu me veux. J’ai jamais fait l’anal alors je ne te promets rien.
Bien sûr que j’en ai envie. Je crache alors un bon coup dans ma main pour aller enduire sa queue de salive, avant de la présenter à mes fesses. Je guide son énorme gland jusqu’à ma rondelle, le passage va être chaud, mais... l’excitation est trop forte. Je m’assois délicatement dessus. Son gland commence à me percer, c’est sans doute le moment que je préfère le plus dans la sodomie.
— Hmmmmmmm... Attends attends, t’as pas de capote ?— Merde. Les capotes, non j’en ai pas, j’en utilise plus depuis longtemps avec ma copine, et je suppose que c’est pareil pour toi. Écoute on s’en fout, je suis clean, toi aussi je suppose, et après tout tu as déjà ton gland dedans. — Merde c’est vrai. Putain ce que c’est bon !!
Je sais que c’est mal de ne pas se protéger, mais nous sommes déjà trop loin pour arrêter et aucune pharmacie aux alentours. Je fais alors glisser mes fesses le long de sa longue tige, j’y vais doucement au début, des aller-retour sur cinq centimètres, puis dix, puis quinze. Une chaleur au fond de moi m’enivre. J’arrive assez vite au moment où je m’assois totalement sur lui, sa queue entière en moi. Je suis alors totalement empalé sur lui. Il est aux anges, je ne l’ai jamais vu comme ça avec un regard sauvage, un regard profond dans ses yeux noirs qui me fait comprendre à ce moment qu’il a pris la confiance, et que je suis à lui. Il attrape mes fesses avec ses deux grosses mains et me fait sautiller sur sa tige. Je couine de plaisir. Ses coups de reins donnent des chocs électriques dans ma prostate qui fait dégouliner du liquide au bout de ma queue droite comme jamais. Il la prend en main et me branle en même temps. Nos gémissements se mêlent au grincement du lit.
Je me penche contre lui pour l’embrasser à nouveau, lui en profite pour me mettre sa queue encore plus loin. Je pousse un cri comme une salope. Il prend autant de plaisir à me sodomiser qu’à m’entendre gémir sous ses coups de queue. D’un coup il m’agrippe et me retourne sur le dos. J’ai alors les jambes en l’air, posées sur ses épaules, et lui contre moi crache sur son membre pour me le remettre facilement. Mon cul est totalement ouvert, il glisse sa queue directement jusqu’au fond sans difficulté et reprend ses va-et-vient. Ses grosses couilles tapent contre les miennes, le lit contre le mur. Je n’arrive pas à décrocher de son regard, il me dévisage avec virilité et puissance ! Où est mon collègue réservé d’il y a quelques jours ?! Je glisse mes mains le long de son torse pendant que lui n’arrête pas son rythme. Il vient m’embrasser, profondément, comme s’il voulait lécher tous les recoins de ma bouche.
Son rythme s’accélère, nos gémissements deviennent de plus en plus puissants, il me tient par les hanches tellement fort que je ne peux plus bouger, je suis à lui. Il m’explose le cul au point que je ne sens plus ma rondelle, nos corps s’emboîtent à la perfection pendant que nos esprits sont en congé. Il accélère encore, je me fais secouer comme rarement je l’ai été par un homme, le lit s’écrase sous chaque coup contre le mur, tout l’hôtel doit nous entendre, jusqu’à ce qu’un râle puissant de mâle dominant sorte de sa bouche suivi de trois ou quatre moins forts. Il s’arrête, il ne me lâche plus, ne bouge plus, et me regarde avec un air surpris, même presque choqué, désolé. Je comprends ce qui vient de se passer, il se retire sans un mot, un long fil de sperme nous relie encore. Il regarde sa queue, son corps entier tremble. Il relève la tête.
— Matt putain, je suis désolé, j’aurais pas dû.— T’inquiète pas, c’était excellent !— Ouais, mais c’est pas...— Chut tais-toi, fais-moi confiance.
Je le tire vers le lit pour qu’il vienne se coucher contre moi. Il se met à me caresser le torse pendant que moi je me branle d’une main tout en me touchant la rondelle ouverte pleine de sperme avec l’autre. En quelques mouvements, cinq jets puissants se projettent sur moi, le plus puissant vient même atteindre la main d’Antoine qui est sur mes pecs. Je râle de plaisir. Je suis plein de sperme, heureux, mais lessivé. Épuisé et sous le choc de ce qui vient de se passer. On reste là, l’un contre l’autre quelques minutes attendant que nos esprits et nos souffles reviennent.
— Tu ne m’en veux pas ? — Pas du tout, j’ai adoré !— C’est vrai que c’était bon, je ne voulais pas finir en toi, mais l’excitation était tellement forte que je n’ai pas réussi à me contrôler. — Ne t’inquiète, c’était excellent, et c’est le principal.— C’est vrai. Si ça peut rester entre nous d’ailleurs, ça m’arrangerait par rapport à mes filles.— Moi aussi, vis-à-vis de ma copine. — Pas de soucis. Mais d’ailleurs si je peux me permette une question, vu comment tu suçais bien et comment tu as pris facilement ma queue en toi, ce n’était pas ta première fois avec un homme, je présume ?— En effet tu m’as démasqué. Je n’en parle jamais pour ne pas être catégorisé gay, mais j’ai eu une période de ma vie, de mes 19 ans à mes 25 ans où j’ai eu des histoires avec des hommes. Et toi ? Je te renvoie la question.— Woh ! OK je vois, je comprends que tu caches, la bisexualité est tellement mal comprise que les gens sont vite étiquetés gay. Pour ma part c’est la première fois. J’avoue avoir déjà eu des fantasmes, j’ai déjà traîné sur quelques sites pornos gay, mais j’essaie de me le refuser au maximum.
D’accord, et bien ravis de t’avoir montré ça.
Je le regarde en souriant, lui est posé ne décrochant plus son regard de moi.
— Je suis content de l’avoir partagé avec toi.
Après ces quelques mots, je me relève pour aller à la douche, nettoyer mon torse et mon cul de tout ce sperme. En me regardant dans le miroir de la salle de bain, je suis heureux de ce qui vient de se passer et en même temps je ressens du dégoût en imaginant la tromperie que je viens de faire à Alexandra. Je n’ai pas du tout pensé à elle pendant l’acte, et ça me fait vraiment peur. Au retour de la douche, Antoine dort déjà.
Je vais chercher un boxer propre quand j’aperçois qu’il n’a pas remis le sien, alors pour des questions d’équités, je m’enfile sous la couette, nu aussi, contre lui.
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