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Un déplacement professionnel particulier

Chapitre 3

Prélude à une nuit agitée

Erotique
Sophie a enfin réussi à reprendre son contrôle. Longue séance de douche, maquillage léger. Elle hésite à mettre sa robe noire tout de suite, elle opte pour la petite robe bleue qui sera plus sage pour descendre dans la salle à manger.

XXXX


Je souris en repensant au jeune serveur qui a dévoré des yeux mes seins et mes cuisses pendant tout le repas. J’avais bien vu que ma robe était coincée, on voyait même ma petite culotte. Prisonnière du charme de Michel et de sa main qui tenait la mienne, je n’avais rien fait pour mettre fin à la situation.
Surtout que c’était un homme d’une vingtaine d’années environ tout mignon, très joliment fait (un Michel en blond), mais tout timide. Je lui laisserai un bon souvenir. Si je n’avais pas rencontré Michel, j’aurais tenté ma chance.
Arrivée dans la salle à manger, il se précipite vers moi très souriant, mais me déshabillant du regard.

— Madame, bonjour, j’espère que vous avez passé une bonne nuit.
— Oui, elle fut parfaite, il y a très longtemps que je n’en avais pas eu une comme ça.
— Je me suis permis de vous mettre à la table de Michel, (bizarre, il connait son prénom) cela ne vous dérange pas ?
— Non, bien au contraire. Nous avons passé une agréable soirée ensemble et une folle nuit, très coquine. Zut, je vais remouiller rien qu’en y pensant.
— Merci, madame, vous désirez ?
— Un café, et quelques viennoiseries.

Après un grand sourire, il s’en va. J’attends tranquillement. Je sens une main caressant mes cheveux, une bise dans le cou, puis tournant ma tête, un tendre baiser sur mes lèvres. J’entends toussoter, nous levons les yeux. Le serveur nous regarde d’un air amusé.

— Madame, votre commande. Je comprends pourquoi la soirée fut agréable.
— Monsieur, vous désirez ?
— La même chose. Max arrête de m’appeler Monsieur, et la Madame comme tu dis s’appelle Sophie.
— Vous vous connaissez depuis longtemps tous les deux ?
— Depuis trois ans, je viens à Strasbourg une dizaine de fois par an, Max et moi, nous avons sympathisé. plus que sympathiser, nous nous étions occupés de Léa ensemble
— Max, j’ai vu ton regard sur Sophie, hier pendant le repas. La vue était agréable ?
— Désolé Sophie, je n’ai pas pu résister, vous êtes trop belle. J’ai surtout aimé vos magnifiques cuisses.
— Max, tu exagères, va plutôt chercher mon petit déjeuner.

Il s’en va, je regarde son petit cul musclé s’éloigner. Quelques minutes après, il revient en amenant le petit déjeuner de Michel. Je suis un peu troublée par ses deux beaux mâles. Nous déjeunons rapidement. Il se lève.

— Sophie, je vais me changer, à ce soir 19h.
— Moi aussi, vivement ce soir, tu ne m’embrasses pas ?
— Bien sûr que si. Ne t’inquiète pas, tu as une promesse à tenir ce soir, et je m’en souviendrai.

Un long baiser, très long. Je le regarde partir. Mais contrairement à tout à l’heure, je ressens une onde chaleur dans mon bas ventre.

Que veut Michel de moi, passer deux nuits agréables, me le rendant bien d’ailleurs, et tchao, bonne route. Il a bousculé tous mes principes. Je ne voulais pas d‘un coup avec un inconnu, on se rencontre à 20h, le soir, il est dans mon lit me transformant en une vraie salope. Pire, on recommence ce soir.

Je souris en pensant à la punition que Pierre pourrait m’infliger, en fin de compte me faire baiser par ses trois copains ne fut pas du tout désagréable, surtout que ces salauds avaient tout fait pour me faire jouir comme une malade. Par contre, il est certain que mon amant de passage avait moins apprécié d’être obligé de tous les sucer.

XXXX


Je me lève. Je pars me changer pour la conférence. Maquillage, escarpins, robe longue fendue, pas de soutien-gorge, mais une culotte sexy. J’appelle un taxi, il sera là dans dix minutes.
Je descends dans le hall, j’aperçois mon taxi. Je lui donne l’adresse. Nous arrivons, je me rends à la salle de conférence. Elle est vide, je prépare tout le matériel de vidéoprotection, branche mon ordinateur. Un rapide essai. Je descends de l’estrade attendre mon patron. Je l’aime bien, quand j’étais célibataire, j’ai passé des moments très coquins avec lui.

Il arrive, accompagné de trois de ses principaux clients. Je reste statufiée sur place. Michel est l’un d’eux, il est splendide avec son costume crème mettant en valeur son visage bronzé. Lui aussi semble surpris un court instant en me voyant. Mon patron fait les présentations pendant que les autres invités arrivent. Je lui serre la main en souriant.

Il en profite pour dire à mon patron : elle est vraiment très belle votre ingénieure commerciale, me faisant rougir.
Je fais ma présentation, un peu tendue au début. Lorsque je fais mes effets de seins et de jambes, alors que de nombreux hommes profitent du spectacle, je vois un sourire ironique sur ses lèvres. Enfin mon supplice s’achève. Quelques applaudissements.

Cet après-midi, je serais moins sollicitée en passant le relai aux ingénieurs système. Je ne vais pas déjeuner, incapable d’affronter Michel. Vers 17h, les gens quittent la salle. Je vois mon patron en grande discussion avec lui.
La discussion terminée, mon patron s’approche

— Sophie, pas mal la présentation, vous avez toujours de très jolis seins et des cuisses magnifiques. J’avoue que c’est bien joué.
— Merci, monsieur.
— J’ai rajouté une troisième séance mercredi après-midi, et peut-être une quatrième séance jeudi. J’ai rapidement organisé ces réunions avec les ingénieurs système et avec le client là-bas. Vous y participerez. Lui, hélas ! vos seins et vos cuisses ne l’ont pas empêché de voir la principale faille.
— D’accord, monsieur. Je pense, évidemment il en a profité toute la nuit.
— Vendredi, je vous offre des vacances. Je vous ai réservé une chambre jusqu’à dimanche matin. Strasbourg est une ville magnifique que vous aurez tout le temps de découvrir.
— Mais, je ne comprends pas pourquoi, monsieur.
— Nous avons six contrats en cours de signature, j’en attends d’autres après la négociation avec ce client, vous l’avez bien mérité. J’espère que ça ne vous posera pas de problème avec votre conjoint. Vous pouvez le faire venir, si vous voulez, tous vos frais seront remboursés.
— Non, je n’aurai aucun problème, merci, monsieur. waouh tu voudrais bien que je couche avec lui pour remporter le pactole

Pourvu que Michel puisse rester, nous aussi, on jouera les prolongations. J’appelle Pierre.

— Bonjour mon chéri.
— Tiens, tu m’appelles mon chéri. Tu as retrouvé ta bonne humeur, pas comme lundi matin.
— Si tu m’avais prise comme je te l’avais demandé, rien ne serait arrivé (franchement dommage pour moi).
— Tu parles, tu ne penses qu’au sexe, moi je veux une vie normale.
— Faire l’amour une fois par semaine, a notre âge, tu trouves ça normal. Surtout qu’en dix minutes, tout est terminé.
— Écoute, si tu m’appelles pour m’engueuler, je raccroche.
— Avant que tu ne raccroches, je ne rentre que dimanche dans l’après-midi. Au moins, tu seras tranquille le soir.
— Que vas-tu faire ?
— Travailler la journée et chercher un amant pour occuper mes nuits.
— Écoute……….

J’ai raccroché, vraiment en colère. 
XXXX


Enfin 19 h, arrive, je me suis changée. Michel arrive, lui aussi s’est changé. Il me sourit.

— Alors, petite coquine, on use de ses charmes pour convaincre les acheteurs.
— Pas vraiment, je n’ai jamais couché avec personne pour obtenir un contrat.
— J’espère bien, mais je me suis vengé en demandant à ton patron de te faire rester pour continuer les négociations. Les ingénieurs système n’avaient pas l’air enchantés.
— Il t’a dit oui ?
— Bien sûr, trop heureux du nombre de contrats qu’il a signé, et de ceux probablement à venir. Au fait, pour la réunion de mercredi après-midi, ne t’inquiète pas. Il voulait la mettre mercredi matin, mais je me suis dit que tu serais trop fatiguée.
—Tu comptes me prendre toute la nuit !!!!!!!!!!!!
— Absolument, et aussi de me servir de tes jolies fesses sans limite.
— Et si je ne veux pas.
— Impossible, tu m’as promis, d’ailleurs je suis sûr que c’est toi qui demanderas.
— Tu es vraiment un salaud !
— Oui, mais tu l’aimes ton salaud. Viens, on va faire un tour comme promis hier.

Nous partons, j’apprécie beaucoup plus la promenade. J’ai décliné son offre pour un tour en bateau. Nous trouvons un petit bistrot sympa au bord de l’Ill. Nous commandons une coupe de champagne. Je ne me lasse pas de regarder ses yeux verts. Il me dévisage en souriant ma main dans la sienne.

— Michel, tu crois qu’on doit rentrer à l’hôtel ?
— Pour diner non, pour le reste, à moins que tu veuilles que je te prenne dans le parc, je préfère un bon lit.
— Le parc, une bonne idée, un peu de piment.
— OK, mais une fois, le reste dans ta chambre. Que veux tu veux manger, me tendant la carte.
— Juste une grosse salade et une glace.
— Sophie, tu veux bien de moi, jusqu’à samedi matin.
— Idiot, comment peux-tu en douter ?

Le serveur arrive. J’en profite pour jeter un coup d’œil sur mon téléphone qui vibre sans arrêt. C’est mon mari qui m’appelle. Pas de messages vocaux, donc aucune urgence. Avec Michel je suis complètement en dehors du monde réel.

— Madame, Monsieur, que prenez-vous ?
— Deux salades composées, deux glaces maison à la framboise.
— Merci, je vous amène votre commande rapidement.
— Ah, j’oublie deux coupes de plus, on a le temps, nous ne sommes vraiment pas pressés.

Il prend ma main pour me tirer vers lui, il m’embrasse. Nous dinons tranquillement, repas ponctué de longs baisers. Michel paye, puis nous nous éloignons dans le parc. À cette heure, le parc est tranquille, seuls quelques couples se promènent.

Je repère un bosquet avec des arbustes assez hauts pour nous cacher, et des arbres pour que je m’appuie. Je l’entraine. Une fois bien à l’abri des regards, il caresse mes seins, puis retire ma culotte. Il baisse le haut de ma robe pour libérer mes seins, remonte le bas pour accéder à ma chatte, sort son sexe.
Je mets mes jambes autour de sa taille. Je le sens me pénétrer. Il me prend longuement en embrassant mes seins, mes fesses tapent contre l’arbre à chacun de ses coups. Je perds le contrôle sentant les ondes de plaisir arrivées. Il va de plus en plus vite. Nous sommes dans un endroit public, j’essaye de ne pas crier, me contentant de gémir. Il le sent, ses coups de reins sont de plus en plus puissants. Enfin il explose, je ne peux me retenir de pousser un grand cri.

— Tu aimes ça être prise dans un endroit insolite.
— Oui, un peu de risque met du piment.
— La prochaine fois, je te prends dans l’ascenseur à l’hôtel.

Nous restons de longues minutes sans bouger. Enfin, il me libère, remet ma robe en état, ferme son pantalon.

— Mais, et ma culotte ?
— On rentre comme ça, souhaite l’absence de vent et quelqu’un dans l’ascenseur. Au fait, prête à tout subir ?
— Prête à tout avec toi, tu le sais bien.

Nous rentrons, de temps en temps, il met sa main sous ma robe, caressant mes fesses nues, un doigt s’aventurant dans mon anus. J’ai droit à de gros bisous sur ma chatte dans l’ascenseur. Nous arrivons dans la chambre. Je vois des menottes et un petit flacon sur ma table de nuit.

— Michel, on est rentré dans ma chambre.
— Oui, j’ai demandé à Max d’acheter quelques bricoles.
— Pour quoi faire ?
— Je ne veux pas te faire mal en me servant de ton joli cul.
— Et les menottes, tu comptes m’attacher ?
— Oui, les mains dans le dos pour mieux te posséder.
— Si je comprends bien, je vais passer une nuit d’enfer ?
— Non, ma chérie, une nuit au paradis. À la fin, tu verras des étoiles et des petits anges partout. Au fait sort ton sextoy.
— Pourquoi, avec toi je n’en ai pas besoin.
— Pour ton initiation à la sodomie. Tu veux tout savoir ?
— Oh oui, oui (je ne lui dis pas qu’en réalité, je suis aussi anale et qu’avant mon mari en profitait largement).
— Une petite levrette et ton sextoy avec lequel je joue dans tes petites fesses. En plus, ce sera comme si tu avais deux hommes. Mais avant, un petit 69, c’est toi qui as commencé à me sucer, ce matin.
— Je sens que je vais encore dormir comme un bébé.

Michel me déshabille, joue quelques minutes en caressant ma chatte, mes seins qu’il couvre de baisers en mordant et tirant les tétons, mes fesses sur lesquelles il donne deux ou trois claques. Incroyable, sentir ses mains sur mon corps m’enflamme, je rêve d’être baisée, défoncée. Mon aspect salope reprend le dessus.
Il m’allonge sur le dos, vient mettre son sexe au-dessus de ma bouche, plonge sa bouche sur le mien. Ma nuit qui se révèlera très très agitée commence.
Il écarte mes cuisses et commence à me lécher. Il joue avec sa langue la rentrant le plus profondément possible, il mordille mes petites lèvres, mon clitoris. Je commence à gémir. Maintenant, il me doigte doucement, un doigt, puis deux doigts, puis trois. Je mouille, gémis.

Je joue avec son sexe avant de l’enfoncer doucement dans ma bouche. Ma langue le parcourt de bas en haut, s’attardant parfois sur ses bourses, puis j’avale son gland qui disparait entre mes lèvres. J’ai pris ses fesses à pleine main. Il se sert maintenant de ma bouche comme d’une chatte, tout en me doigtant au même rythme. J’ai haleté de plaisir lorsque sa bite a rempli ma bouche.
Notre jeu dure une éternité. Je retrouve le plaisir de sucer un homme. J’aime le gout de son sperme qui coule en gouttelettes sur ma langue. Lorsque nous jouissons ensemble, j’inonde sa bouche d’un long jet de cyprine alors que son sperme envahit la mienne. J’avale tout.

Nous nous couchons l’un contre l’autre, ses mains caressent mes seins et ma chatte. Les miennes branlent tout doucement son sexe.

— Tu aimes mon chéri ?
— Oui ma petite salope, tu m’as fait jouir.
— Glisse encore tes doigts dans ma chatte, écarte bien les lèvres, pince mon clito.
— Branle-moi doucement, puis pose tes lèvres sur mon gland.
— Comme ça, tournant ma langue sur son gland.
— Oui oui, continue. Sophie Sophie, ouiiiiiiiiiiiiii. Salope, je vais me venger.

Nous arrêtons nos jeux de bouche. Nous nous regardons en souriant. Je sais que mon petit cul va maintenant lui servir de terrain de jeux.

— Allez Sophie, un peu de repos, avant que je ne m’occupe de toi.
— Tu n’as pas honte de rendre folle une pauvre femme ?
— Non absolument pas, dès que j’ai récupéré, tu vas redevenir ma petite coquine avide d’être baisée.
— Oh………………
— Ton joli petit cul va longtemps se souvenir de cette folle nuit.

Allongés l’un près de l’autre, nous restons un long moment sans rien dire, main dans la main.……….

(À suivre)
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